La déconstruction de la fable : de la fable au récit

La déconstruction de la fable de la fable au récit

1- 2- La déconstruction de la fable : de la fable au récit

D’après L’Encyclopédie(2021), la « fable », issue du latin fabula, est le terme que le théâtre utilise traditionnellement pour désigner l’histoire racontée. En d’autres termes, elle désigne l’ensemble des actions que propose la fiction ou encore, « l’agencement des actes accomplis » (Ricoeur:1980-1983).

C’est leur configuration qui importe avant tout, la manière dont leur succession et leur articulation logique – leurs liens de cause à effet, en particulier – constituent un tout, avec un début, un milieu et une fin.

Le primat de la fable posé par Aristote, a déterminé toutes les poétiques, théâtrales ou romanesques, jusqu’à la modernité: la cohérence interne de l’histoire racontée ou représentée est en effet la première condition d’effectivité de la mimésis littéraire. Mais pendant que le roman privilégie l’histoire et la diégèse, l’usage du terme fable est la spécificité du théâtre.

La fable est généralement constituée de l’exposition, du nœud dramatique, des péripéties et du dénouement.

A ce niveau, nous allons faire recours à la méthode de Schaeffer à savoir la « relation d’exemplification globale », on verra si les propriétés mises en évidence sont exprimées dans des descriptions « contrastives » et des définitions « en compréhension ».

On pourrait faire le lien avec des « conventions constituantes » c’est-à –dire des conventions qui produisent des activités ; l’écart sera ainsi considéré comme un « échec ».

1-2-1- L’exposition

L’exposition est la partie littéraire du drame. Elle désigne tout ce que le spectateur a besoin de connaitre au début de l’histoire.

Elle est la mise en place des éléments indispensables à la compréhension de l’intrigue à savoir le problème traité ; les (s) personnages principaux, les costumes et le lieu de l’action. Et elle a pour objectif de susciter la curiosité du public sans toutefois surcharger sa mémoire.

Il convient donc d’analyser la façon dont le dialogue informe le spectateur dans l’exposition et aussi d’analyser les moyens entrepris par l’auteur pour rendre l’action dynamique.

L’exposition doit être courte et ne pas dépasser les limites du premier acte. Éclairant le spectateur sur l’identité des personnages et la situation initiale, elle lui permet d’entrer d’emblée dans l’action proprement dite.

L’exposition peut se présenter sous la forme : d’un dialogue entre un personnage principal et un personnage secondaire, de deux personnages principaux ou de deux personnages secondaires ; du monologue d’un personnage.

Dans le théâtre contemporain, l’exposition peut être précédée d’un prologue adressé au public, insistant souvent sur le rôle de la fatalité dans les destinées humaines.

L’absence de didascalies octroie au lecteur une grande liberté d’interprétation. Les dialogues trahissent parfois une certaine méfiance à l’égard du langage, méfiance qu’on retrouve chez beaucoup de dramaturges du XXe siècle.

Les dialogues sont construits par l’opposition de longs monologues, mettant ainsi l’accent sur l’importance du langage, de la communication et de la formulation de la pensée.

Le problème de mise en scène est accentué dans l’œuvre lagarcienne dans la mesure où le dramaturge français Jean-Luc Lagarce s’abstient de décrire le décor de la scène, sauf pour dire que la maison d’enfance de Louis où vivent désormais Suzanne et la mère, c’est-à-dire le lieu de l’intrigue, se trouve à la campagne. Il y a là l’idée de la routine et d’un monde figé, mais aussi l’idée d’un isolement.

Ceci permet également de mettre l’accent sur une opposition entre les espaces associés au personnage de Louis (la grande ville, l’urbanité) et l’espace d’Antoine (petite maison de campagne).

La pièce repose essentiellement sur des monologues, même si ceux-ci sont entrecoupés de scènes plus dialoguées. L’impossibilité de Louis à dire son message empêche l’action d’avancer et enferme les autres personnages dans un verbiage logorrhéique.

Chacun parle, mais ne parvient pas réellement à communiquer avec la personne à qui il s’adresse. La parole sert de fuite, et paradoxalement l’on pourrait même dire que la parole empêche de formuler.

Elle est le masque du malaise qui existe entre les personnages. La pièce est structurée temporellement de manière relativement précise dans la mesure où elle suit l’arrivée de Louis, puis son départ de la maison.

La pièce est encadrée par un prologue et un épilogue pris en charge par Louis. Ces deux monologues ne sont pas directement adressés et tendent à rendre compte des motivations intérieures du personnage.

Dans L’Eden Cinéma la scène de la première partie s’ouvre avec joseph et Suzanne qui plantent le décor en racontant les débuts de la mère, sa naissance, sa formation professionnelle et son affectation en Indochine française : « JOSEPH – La mère est née au nord de la France, dans les Flandres françaises, entre le pays des mines et la mer.

Il y’a maintenant presque cent ans. Fille de fermiers pauvres, l’ainée de cinq enfants. Elle était née, elle avait été élevée dans ces plaines sans fin du nord de l’Europe. » (1977:12).

Cette présentation nous situe quant à la suite des événements. La mère, présentée comme une fille qui appartient à une famille démunie, sera nourrie d’ambitions avec l’envie d’améliorer ses conditions de vie.

L’envie de découvrir l’ailleurs : « SUZANNE – Prise en charge par le département, elle avait fait une école d’institutrice. Son premier poste est Dunkerque- elle a entre vingt-trois et vingt-cinq ans. Un jour, elle fait une demande pour entrer dans le cadre de l’enseignement colonial. Sa demande est acceptée.

Elle est nommée en Indochine française » (Duras, 1977:13). Cette présentation qui nous situe sur la genèse de l’histoire constitue le nœud de l’intrigue. Une histoire folle et passionnée, dont le lecteur a soif d’en découvrir davantage.

Dans Le paquet, le personnage de Claudel dans son monologue nous parle de son enfance. Une période marquée par tant d’amour et tant d’amitié à son égard. « Dans la cour de l’école, lorsque j’étais enfant, vous allez penser que j’exagère, mais tout le monde venait vers moi. » (Claudel, 2010:11).

Ici, aucune mention sur l’identité du personnage, aucune information sur son statut social. C’est un personnage qui monologue sur sa vie, une vie faite « de hauts et de bas »

1- 2-2- Le Nœud

Au théâtre, le nœud de l’action est le moment où l’intrigue arrive à son point essentiel. Mais à ce niveau, le dénouement reste encore incertain.

En fait, l’art du théâtre consiste à nouer une intrigue, d’imbriquer de manière non arbitraire les obstacles qui font face aux héros. Le nœud dramatique se présente dès lors comme un fait qui fait rebondir l’action. Il peut être mineur ou majeur.

Dans l’intrigue, le nœud est souvent un obstacle pour les protagonistes ; une information essentielle qui change l’action du protagoniste dans le cours de l’histoire et il renferme l’incident déclencheur, le climax et la réponse dramatique.

Il convient donc d’analyser comment l’action progresse. En d’autres termes, il s’agira de voir comment les obstacles interviennent au cœur du corpus.

Le premier élément qu’on retrouve dans le nœud de l’action dramatique, est l’incident déclencheur qui se présente comme tout événement qui lance l’action et permet de comprendre les motivations, les objectifs des personnages ou protagonistes.

Lavandier affirme : « l’incident déclencheur est un élément fortuit, parfois (mais pas toujours) conflictuel qui bouleverse la vie d’un personnage ». (Lanvandier:1997:127).

Ainsi, l’incident déclencheur apparaît comme un générateur d’actions au début du récit dans le premier acte.

Le deuxième élément c’est le climax : c’est le moment où le nœud dramatique atteint son point culminant. L’obstacle majeur est mis en œuvre.

Ici, on distingue l’obstacle interne et l’obstacle externe. L’obstacle interne renvoie aux caractéristiques d’un personnage qui constituent une source d’obstacle pour lui-même et l’obstacle externe n’a rien à voir avec le personnage auquel il s’oppose.

Les obstacles donnent de l’intensité à l’action dramatique et la hausse à son plus haut degré (climax) car du climax découle la réponse dramatique.

La réponse dramatique est un événement qui suscite l’équilibre pour la résolution du problème posé au départ, au niveau de l’exposition. C’est ainsi que Lavandier asserte : « le climax est donc le moment précis qui apporte la réponse dramatique.

C’est le point d’équilibre ». (Lavandier, 1997:133). D’autre part, la réponse dramatique peut être positive ou négative selon le bon vouloir de l’écrivain.

De ce fait, il convient de dresser le nœud dramatique De Juste la fin du monde et de L’Eden cinéma.

Les conflits se mettent en place et les personnages se révèlent dans les actes qui suivent l’exposition jusqu’à un moment de crise appelé « nœud ».

La progression dramatique vers le nœud résulte de la rencontre des forces en présence. Son rythme varie en fonction du nombre de péripéties. Une péripétie est un renversement de situation provoqué par des éléments extérieurs.

Elle produit un effet de surprise et pousse les personnages à prendre des décisions. Si ce renversement est brutal, on parle de coup de théâtre ; s’il sert seulement à relancer l’action, on parle de rebondissement. Plus les péripéties sont nombreuses, plus l’intrigue est complexe.

Dans Juste la fin du monde, le retour de Louis met tout le monde en paroles. Certains se plaignent de sa longue absence : c’est le cas de Suzanne. Certains se réjouissent de son retour : à l’instar de la mère.

Le début du conflit commence à la deuxième partie, scène 2. Suite aux reproches de Suzanne envers Antoine « désagréable ». Tout d’abord, la scène débute avec des répliques d’Antoine, brèves, rythmées et sous forme des questions rhétoriques.

La première commence par le pronom personnel « moi ? », qui est répété et qui annonce que le sujet de ce passage sera Antoine qui réagit, sa question « je suis désagréable ? », montre un questionnement de ce dernier sur lui-même.

Ensuite, on voit que Suzanne s’acharne sur son frère, d’abord avec l’anaphore du pronom « tu », qui amplifie les reproches « tu es désagréable, c’est invraisemblable. » ; « tu ne t’attends pas, tu t’attendrais… ».Tout comme l’allitération en (t).

En outre, grâce à la que

 

stion rhétorique, on voit qu’Antoine ne comprend pas les reproches de sa sœur, on retrouve une anaphore « je ne sais pas ce (…) après moi « le seul changement est le pronom, car pour essayer de comprendre sa sœur en vain, Antoine parle d’abord à la troisième personne « elle », il prend tout le monde à parti, puis à la deuxième personne « tu », il parle uniquement à Suzanne.

Ensuite, Antoine parle de Louis, en se demandant si c’est de sa faute « si c’est Louis », « si c’est Louis », puis, il demande de l’aide à Catherine en l’interpellant « Catherine », « Catherine, aide-moi », car il ne trouve pas de réponse.

A la suite, Antoine emploie le pronom « on » en parlant de sa famille et Louis. Il parle du départ de Louis en essayant de s’expliquer, il dit « je l’accompagne », puis « on l’accompagne », ici encore il parle d’abord de Louis puis, de tout le monde.

Et dans une longue réplique, Antoine se défoule, il ne s’adresse à personne en particulier, il continue à se questionner, se demandant pourquoi Suzanne lui a fait ses reproches.

De plus, le mot « désagréable » est répété cinq fois par Antoine, ce qui montre que ce reproche l’a touché, l’a impacté, par la répétition de ce mot, qui est à la base du conflit de départ, il essaie de nous prouver qu’il n’est pas comme cela.

En fin de compte, la dernière phrase de cette tirade est « ne me regardez-pas tous comme ça », on voit ici qu’Antoine se sent exclu, jugé par sa famille, le point d’exclamation montre un agacement (énervement) de celui-ci.

La déconstruction de la fable  de la fable au récit

Le nœud du conflit débute avec un dialogue entre les différents personnages et plus précisément avec une réplique de Catherine, qui est traduite sous la forme d’un chiasme, toujours à la scène 2 de la première partie : « elle ne te dit rien de mal, tu es un peu brutal, on ne peut rien te dire. Tu ne te rends pas compte, parfois tu es un peu brutal, elle voulait juste de le faire remarquer… »

Dans Le paquet, il est impossible de dégager le nœud puisqu’il s’agit d’un monologue dans toute la pièce.

Dans L’Eden Cinéma, nous pouvons citer deux éléments déclencheurs : le premier élément déclencheur est « quand elle a décidé de mettre ses économies de dix ans dans l’achat d’une plantation. » (Duras, 1977:18). Le deuxième est la rencontre avec Mr JO, qui est épris de Suzanne.

Incidents déclencheurs : l’achat d’une plantation ; monsieur JO tombe amoureux de Suzanne

Protagonistes : Ses enfants Suzanne et Joseph, le caporal

Objectifs : Améliorer la condition de vie de la famille, rechercher des ressources financières en projetant un mariage entre Suzanne (pauvre) et Joseph (riche).

Obstacles internes : le manque de confiance, la peur

Obstacles externes : le cadastre, le père de Mr Jo (pour le cas d’un éventuel mariage entre Mr JO et Suzanne)

Climax : la plantation est inondée malgré la construction des barrages ; Suzanne demande à Mr JO de ne plus mettre ses pieds au bungalow

La réponse dramatique : la mort de La mère ; l’échec de la virginité de Suzanne qui finit par coucher avec Agosti dans une relation hors mariage.

A travers cette analyse, nous constatons que la vie de nos différents protagonistes est parsemée d’obstacles divers et malgré tout, les réponses dramatiques sont déconcertantes car elles sont sanctionnées à la fois par la mort et par le découragement (cas de Mr JO).

1-2-3- Les péripéties

Dans une pièce de théâtre le mot « péripétie » désigne un revirement de situation plus ou moins complet. Elles se constituent d’éléments successifs et imprévus qui constituent l’intrigue.

Les modernes l’appellent « coup de théâtre ». Elle annonce soit la catastrophe, soit la réconciliation. C’est un événement inattendu qui modifie et fait évoluer l’intrigue dramatique.

Les péripéties suivent un principe de logique ou de causalité qui reflète des situations plausibles. « L’action dans laquelle les événements s’enchainent selon la règle de vraisemblance et du nécessaire parait seule susceptible de rencontrer l’adhésion du public. » (Hubert, 2008:31).

Dans L’Eden Cinéma, plusieurs péripéties peuvent entrer en jeu. La première se trouve dans la scène narrée « la marée de juillet monta à l’assaut de la plaine et noya la récolte » (Duras, 1977:19), et comme on dit « jamais un sans deux », le même phénomène se reproduit : « La marée de juillet monta encore à l’assaut de la plaine et noya la récolte » (Duras, 1977:20).

La deuxième est présente dans la scène jouée à travers cette didascalie : « La mère voit le regard de Mr Jo sur sa fille. Elle se met à regarder sa fille. Et celle-ci sourit à l’héritier du planteur du nord » (Duras, 1977:42).

Ces deux événements apparaissent comme un tournant décisif dans la vie de cette famille démunie qui est aux aguets d’une âme salvatrice pour se ressourcer.

Dans Juste la fin du monde, les péripéties ne sont pas très visibles puisque les actions cèdent la place à la narration.

Le paquet est aussi à l’image de Juste la fin du monde : pas de péripéties, pas de coup de théâtre. On assiste ainsi à la déconstruction du drame comme dans le nouveau roman.

1-2-4- Le dénouement

Le dénouement est la façon dont une action s’achève. Ce sont les dernières scènes d’une pièce de théâtre, là où l’intrigue se résout et où un ordre nouveau est institué.

Il doit être complet et rapide. Inscrit dans le dernier acte, il résout le conflit de façon définitive. Idéalement, il doit résulter de la logique de l’action elle -même. On connaît cependant des dénouements qui découlent d’une intervention divine (deus ex machina) comme dans Dom Juan, de Molière.

Ce texte assure-t-il les fonctions d’une scène d’exposition traditionnelle ? La scène d’exposition va de la page 12 à la page 21. Des questions à savoir où, quand, qui et quoi, se bousculent dans la mémoire du spectateur. Il y a donc absence de scène et d’acte, une suite continue de répliques.

La fin de l’intrigue dans L’Eden Cinéma est triste et malheureuse avec d’une part, le décès de la mère qui n’a malheureusement pas connu le bonheur qu’elle a tant recherché : celle d’une terre cultivable à l’abri des inondations du pacifique et d’autre part, Suzanne perd sa virginité mais refuse la proposition de mariage que lui fait Agosti.

Mais seul Joseph est sur la bonne voie, puisqu’il a trouvé une femme aisée avec qui il vivra. Elle a une voiture et aime Joseph, ils ont un projet de mariage, car elle rompt avec son époux pour suivre Joseph.

L’une des particularités de la pièce Juste la fin du monde est le manque d’action qui la caractérise. Il ne se passe rien, les seuls actes observables sont liés au langage.

La structure de la pièce repose sur des scènes comme juxtaposées, une suite de paroles isolées : soit le dialogue ne prend pas entre les personnes dans les scènes de groupe, soit la parole est confisquée par un seul personnage, donnant lieu à une succession de monologues.

La parole solitaire de louis vient régulièrement ponctuer la pièce : au début (prologue), à la fin (épilogue) et au début de la seconde partie (scène 1), au centre de la pièce survient l’intermède, comme dans un hors-temps, un hors-lieu, à mi-chemin entre le fantasme, contribuant à fragmenter un peu plus la temporalité, à disloquer le réel.

Pas de péripéties, pas de coup de théâtre, il n’est question que de langage: de la volonté de dire, de l’incapacité de dire.

Et ce qui fait la singularité de la pièce, c’est le fait qu’elle adopte une focalisation interne en privilégiant le point de vue de Louis qui, dépassant les limites du personnage du théâtre, se place en narrateur et en témoin d’une histoire qu’il raconte autant qu’il la rejoue, brouille les frontières entre les genres littéraires.

Ainsi, cette pièce, intéressante, ne suit pas les étapes traditionnelles de l’action dramatique, avec un nœud, des péripéties et un dénouement. Dans le théâtre de Lagarce, c’est la parole qui tient lieu d’action.

Le paquet est une œuvre qui, elle aussi, est sans action véritable, c’est un monologue basé sur le langage. Le héros joue avec les mots et raconte un tas d’histoires sans fin, laissant à chaque fois les spectateurs dans la perplexité. Tout est raconté sur scène. Aucune action, puisqu’il est le seul personnage sur scène.

Ces deux pièces à savoir Le paquet et Juste la fin du monde ne sont pas construites sur le développement d’un drame et ne se structurent sur l’apparition d’un nœud dramatique qui organise la progression d’une fiction et les actions des personnages jusqu’au dénouement.

On constate en outre qu’on a affaire à une composition très fragmentée au sein de laquelle les relations entre les moments de la pièce restent vagues, et la notion même de fiction tend à s’amenuiser.

Notre corpus est donc construit, à travers, ce rejet de la cohérence psychologique des personnages et la vraisemblance, sous le modèle du récit.

Pour citer ce mémoire (mémoire de master, thèse, PFE,...) :
📌 La première page du mémoire (avec le fichier pdf) - Thème 📜:
Le mélange des genres dans la dramaturgie française contemporaine à travers L'Éden Cinéma
Université 🏫: Université de Maroua
Auteur·trice·s 🎓:
Tchingdoube valentin

Tchingdoube valentin
Année de soutenance 📅: Mémoire présenté en vue de l’obtention du diplôme de master ès lettres
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