LES SYNERGIES D’ACTION MAILLON FAIBLE ?

La notion de synergie

Le mot « synergie » provient du grec « sun » (avec) et de « ergon » (travail), qui se traduit par la mise en commun de plusieurs composantes pour l’accomplissement d’une tâche, d’une fonction. Nous pouvons par synergie, entendre toute action coordonnée de plusieurs parties ou éléments dans un seul et même but. Un phénomène par lequel plusieurs éléments interagissent pour créer un effet commun. Il est important aussi de souligner que le concept de synergie peut revêtir une typologie variée selon des objectifs définis et précisés. C’est ainsi qu’on pourrait parler de synergie organisationnelle, relationnelle, fusionnelle ou (con) fusionnelle, ou encore coopérative.

Par synergie dans ce travail, nous entendons association, action coordonnée de composantes différentes pour la réalisation d’une même finalité. L’une des principales conditionnalités pour une attractivité touristique performante et pérenne est de favoriser une approche réticulaire, de fédérer et mobiliser les acteurs autour d’une vision et de projets touristiques. Dans cet élan il est extrêmement important de souligner que, créer des synergies sectorielles, du fait de la multiplicité sectorielle que contient l’industrie du tourisme, c’est dynamiser le secteur touristique en vue d’un but ultime, à savoir rendre attractif la zone touristique. La finalité ici est l’attractivité de la Région de Douala.

Ces synergies permettent aux pouvoirs publics de contrôler le secteur du tourisme, puisqu’elles donnent la possibilité et l’opportunité aux acteurs de pouvoir être représentatifs et ipso facto de pouvoir se faire entendre. Ce qui rend possible la participation de ces derniers dans la mise en place de l’attractivité touristique. A partir de là coordonner les différentes actions en faveur du rayonnement de la zone touristique concernée devient une formalité salutaire, du fait de la coopération de tous les acteurs, que ce soit dans le cadre d’une synergie entre les acteurs privés ou entre les acteurs privés et publics et même avec les populations.

Le guide à l’usage des décideurs70 mise en place par l’OMT et le PNUE en 2006 stipule d’ailleurs que

70 OMT et PNUE, « Vers un Tourisme Durable : Guide à l’usage des décideurs », 2006, P.16

Le tourisme durable est une affaire de contrôle local mais aussi de travail commun. Tous ceux qui sont impliqués dans le tourisme doivent avoir la possibilité d’influer sur son développement et sa gestion. Cela peut prendre la forme de partenariats formalisés ou d’accords plus informels, et impliquer le renforcement et l’utilisation des structures démocratiques locales

Entendu comme cela, notre ambition est de jauger les interactions des différentes composantes autour de la mise en place de l’attractivité touristique dans la Région de Douala. Nous aborderons donc cet aspect en deux temps, à savoir : primo les acteurs et leur rapport que ce soit du point de vue de la coordination, de la collaboration voire de la consultation et leur ressenti, secundo nous essaierons de toucher du doigt la nature de leurs interactions.

Les acteurs concernés par l’attractivité touristique dans la région de douala

Mettre en place l’attractivité touristique c’est faire intervenir une constellation d’acteurs pour la mise en valeur des atouts naturels et construits, de la zone ou destination touristique concernée. En ce qui concerne la Région de Douala, notre recherche d’informations a été circonscrite sur trois parties prenantes : la CUD, les Délégations départementale et Régionale du tourisme et des loisirs, enfin les agences de tourisme, les hôteliers et les restaurateurs. Pour ce qui est des restaurateurs, des hôteliers et des agences de tourisme choisis, nous en avons sélectionné quatre agences de tourisme, trois hôtels et trois restaurants dans la ville de Douala, et enfin les citoyens. Il s’agit :

Agences de tourismeHôtelsRestaurants
1-Sofitoul1-hôtel Sawa1-Saga Africa
2-Jumia Travel2-hôtel Pullman2-la Méditerranée
3-Jully Voyage3-hôtel Bano palace3-le Fouquet
4-ATM Travel.

Nous avons choisi la CUD parce que du point de vue de ses compétences, elle coiffe l’ensemble des municipalités de la communauté d’agglomération de Douala.

Les Délégations Régionale et Départementale ont été choisies parce qu’elles représentent la tutelle ministérielle du tourisme et des loisirs.

Les agences de tourisme, les hôteliers, les restaurateurs ont été choisis dans ce travail, comme acteur privés impliqués dans le domaine, dont les activités sont indispensables dans le développement du tourisme de la Région de Douala.

Les citoyens, qui constituent l’objet même de toute administration rationnelle humaine. Car si nous avons d’un côté les administrateurs, cela sous-entend qu’il existe également de l’autre côté des administrés. Ceux-là qui vivent dans le territoire et qui s’identifient à ce territoire.

Une coordination inexistante

Relation avec les acteurs privés

La CUD

Celle-ci affirme avoir tenté, sous l’impulsion d’un promoteur privé, de mettre en place des plates formes permettant l’échange avec les acteurs privés du secteur du tourisme en vue de tendre vers une fédération des compétences. Sauf que, du fait de la suspicion des uns et des autres liée aux enjeux d’appartenir à une plateforme, qui a à sa tête un porteur de projet, ces initiatives ont échoué.

L’un des représentants de cette institution lors de notre entretien nous expliquera que :

L’histoire de plateforme, c’est compliqué à mettre en œuvre, dans la mesure où il faut un administrateur, il faut un porteur de projet. Et quand le porteur est là tous les autres se demandent quel est son intérêt à constituer la plateforme ? Qu’est-ce qu’il gagne ? Qu’est-ce que nous gagnons ? À partir du moment où les uns et les autres sont suspicieux sur l’intérêt de se retrouver dans une plateforme ça devient compliqué. La plateforme est nécessaire mais parfois difficile (…) la finalité c’est la plateforme, c’est ça la solution. La difficulté c’est de mettre en place cette plateforme et de la pérenniser. Il y a des plates formes qui ont été initiées mais dont la pérennité laisse à désirer71.

Ce qui laisse entrevoir l’incapacité des acteurs privés à travailler de concert dans un climat de confiance et de sérénité ; qui torpille toute volonté de synergie, leur permettant de faire bloc et de participer à la mise en place de cette attractivité touristique doualaise et littorale.

La DRTL

Elle organise des rencontres et séminaires de formation où sont invités les syndicats des hôteliers, des restaurateurs et des transporteurs pour y effectuer une mise à jour des

71 Extrait de l’entretien avec un responsable de la DEPIDD (Division des Etudes, de la Planification, des Investissements et du Développement Durable) auprès de la CUD (Communauté Urbaine de Douala)

pratiques dans chaque secteur concerné. Mais en ce qui concerne les réunions d’échange envers ces acteurs privés sur l’état du tourisme dans la Région, le secrétariat répondra comme suit :

En fait il y’a d’abord les syndicats, des hôteliers, des agences et tout…ils s’organisent. Ici nous nous occupons beaucoup plus du domaine administratif et parfois nous organisons des rencontres avec tous ces acteurs du tourisme dont les agences, les hôteliers, les restaurateurs. On fait des séminaires de formation ici, nous organisons beaucoup de séminaires de formation ici, on fait des rencontres pour qu’ils essaient de nous parler de leurs difficultés sur le terrain parce que c’est eux qui sont beaucoup plus sur le terrain, ils nous disent quelles sont les difficultés qu’ils rencontrent et on essaie de voir ensemble comment améliorer

Les Opérateurs privés (Agences de tourisme, hôteliers et restaurateurs)

Pour cette catégorie, aucun effort n’est fait dans l’optique de la mise en place d’un projet touristique fédérateur, ni même des rencontres de travail ou de consultation sur l’activité touristique. Les seules choses qui sont observées, sont les multiples descentes sur le terrain pour le contrôle d’hygiène et d’insalubrité, et la réclamation de l’OTVP nous dira un responsable d’hôtel.

Les rapports qu’on a avec la municipalité, tournent autour de la réclamation de l’OTVP, ceci cela, mais je dis la vérité jamais ne viennent vous proposer quelque chose qui permet à vous hôteliers d’accroître vos revenus et donc c’est ça le véritable problème. On a l’impression qu’ils sont là plutôt pour traquer les gens. Moi c’est l’impression que j’ai, ça c’est mon impression personnelle. Qu’est-ce qu’ils font d’attractif pour la population ou les employés ? Rien ! Une fois il y a eu un projet où ils ont fait venir beaucoup experts étrangers, c’était des urbanistes qu’ils ont logés ici, peut-être parce que nous sommes voisins à leurs bureaux, mais à part ça on n’a pas de relation en tant que telle 72

Les tours opérateurs sont formels là-dessus. Il n’existe aucune initiative qui va dans le sens d’une rencontre régulière entre eux et les collectivités territoriales, et ils s’en offusquent de ne pas être consultés sur l’organisation du tourisme dans la Région de Douala (Jully voyages). Même si pour d’autres à l’instar de l’agence AMT il y’a eu des rencontres mais sans issue favorable d’où le désistement et désormais plus rien. Puisqu’aucune action n’avait été entreprise de la part de la CUD après les échanges lors de ces rencontres.

Les restaurateurs également mentionnent cette indifférence des pouvoirs publics dans la logique d’une rencontre avec eux. Car il n’y a pas de rencontre avec la CUD.

Ils sont effacés, ils sont invisibles sur le terrain, on ne les voit pas. Sauf certainement quand il faut aller prélever peut-être des impôts je ne sais pas trop quoi (…) Dans le cadre du restaurant, c’est vrai il y’a des correspondances que nous recevons de la part du ministère du tourisme et puis après, quoi ?

72 Chef de réception à l’hôtel Bano palace (Akwa, Douala)

What next ? (…) La communauté urbaine est absente. Je travaille dans un restaurant nous avons une rue à coté de nous, vous pouvez faire le constat vous-même, je veux dire qu’on n’avait pas besoin de leur dire qu’à côté d’un établissement touristique, qu’en plein Akwa centre commercial, on devrait essayer de mettre un peu d’ordre. On n’a même pas de passerelle pour les véhicules. On a une poubelle à côté. Donc je dis la communauté urbaine est absente. Peut-être c’est un manque de moyens, peut-être… toujours est-il que le constat est là ils sont absents. Maintenant pour ce qui est du ministère du tourisme je sais que là-bas il y’a de temps en temps quelques formations…peut-être c’est un problème de budget mais ce n’est pas assez, parce qu’en principe c’est un secteur qui est je dirai encore un tout petit peu embryonnaire maintenant il faut former des gens. Et cette formation ce n’est pas seulement le fait des privés mais il faut que l’Etat aussi s’implique, il faut que le ministère du tourisme offre des colloques, offre pas mal de séminaires pour pouvoir recycler ceux qui sont dans le domaine par exemple qui n’ont pas reçu une formation préalable. Leur expliquer le bien-fondé de la fidélisation par exemple d’un client dans un cadre de restauration, parce que quand vous fidélisez un client c’est le pays qui gagne, il ira et il reviendra parce que votre sourire l’a fait rester. Mais si on ne recycle pas les gens, si on ne les forme pas, comment voulez-vous que ça se passe bien ? Mais les promoteurs font ce qu’ils peuvent 73

A partir de ces discours actantiels, nous avons trois tendances qui se dégagent :

La première, celle de la CUD, est une tendance qui stipule que s’il n’y a pas de collaboration ou de consultation, cela est lié à l’incapacité des acteurs privés à se regrouper eux-mêmes pour parler d’une même voix afin que cela puisse compter dans le processus de prise de décision sur l’organisation du tourisme dans la Région de Douala. Ce que nous appellerons incapacité actantielle à participer au développement durable du tourisme dans la région

La seconde, celle de la DRTL, est une tendance qui semble promouvoir une approche coopérative, notamment avec les syndicats existants (hôteliers, restaurateurs, transporteurs et les agences de tourisme) en vue d’un encadrement efficace de l’activité touristique. Et tout va pour le mieux semble-t-il. Nous appellerons cela fédération sensu-actorielle

La troisième, celle des acteurs privés qui dessine une marginalisation managériale dans l’organisation du tourisme dans la Région.

73 Responsable service du restaurant la méditerranée, Akwa-Douala

Relation avec les citoyens

Les citoyens sont des acteurs à part entière du processus de développement de la ville dans la mesure où elles sont concernées à tous les niveaux. Dans l’élaboration des politiques publiques, le déploiement des actions gouvernementales, la réception et l’accueil des touristes. De ce fait il est important de les impliquer de manière concrète dans le processus de fabrication de l’attractivité. Il y a donc nécessité de multiplier des initiatives facilitant la communication avec les populations, les sensibiliser sur les attitudes et comportements favorables au tourisme. Former des guides touristiques spécialisés sur la « région touristique » afin de rendre l’attractivité touristique possible.

Ce qui est observé est que :

La CUD aménage les marchés, les routes, met en place les dispositifs d’éclairage public, se préoccupe de l’assainissement de l’environnement, passe sporadiquement des campagnes de communication grand public à travers des affichages et banderoles sur la préservation de la propreté. C’est le cas de la campagne « Douala ville propre » en 2005, qui a été une opération portée par l’ONG environnementale SPEED (Synergie pour la Protection de l’Environnement et l’Education pour un Développement durable) en vue de la participation collective des populations à la propreté de la ville, activité qui devait être effectuée une journée mensuelle. Cette opération a rencontré des préoccupations liées à la création des espaces verts pour pallier à l’occupation anarchique de l’espace et à la rupture de l’équilibre naturel du milieu urbain. Toute chose qui a empêché à cette opération de prospérer74.

De nos jours on assiste à une relance des Journées propreté dans chaque collectivité locale de la ville de Douala. Ces journées propreté varient d’une municipalité à l’autre. Pour douala 1er et douala 2ème, tous les mercredis selon ce programme, aucun commerce, aucune entreprise n’ouvre ses portes avant 10 heures précises par exemple. Ceci pour donner le temps aux citoyens d’effectuer des travaux manuels sur leur environnement. Ce qui est observé c’est le manque de suivi adéquat dans cette initiative, mais aussi le manque d’accompagnement.

La DRTL quant à elle affirme qu’il existe des programmes opérationnels d’excursion, de visite, ouverts au grand public. Mais aussi un séminaire consacré à la jeunesse notamment les lycéens et collégiens faisant partie des clubs tourisme de leurs établissements respectifs.

Nous parlons beaucoup du tourisme interne, par exemple nous avons créé des clubs tourisme dans les établissements scolaires pour inculquer la culture touristique aux jeunes, pour qu’ils apprennent que le tourisme commence d’abord chez soi, ce n’est pas toujours à l’extérieur, c’est chez soi, il faut

74 Florine Nseumi Léa, la nouvelle expression, –Le portail de Développement local au Cameroun, en ligne, consulté le 4 décembre 2018 vers 12h05

d’abord connaitre son pays. Et nous organisons beaucoup d’excursions avec les élèves, avec les promoteurs et avec les citoyens lambda. Chaque année nous avons au moins deux excursions que nous organisons. L’année dernière on était à Mouanko, Yôyô et au Moungo. Donc cette année on est en train de voir quel site visité, on est en train de travailler là-dessus

Les Citoyens ne se sentent pas concernés par la question du tourisme, les agences de tourisme comme la CUD brandissent comme premier facteur l’inculture touristique. Ce qui est fort préoccupant. Et qui devrait inciter à plus d’efforts de sensibilisation de la part des édiles municipaux, de la CUD et de la DRTL. Il existe par exemple de nombreuses associations dans les quartiers à travers lesquelles on peut commencer une sensibilisation ambitieuse sur le tourisme afin de favoriser son émergence dans la Région de Douala. Mais jusqu’ici rien ne semble être fait.

Une concertation collaborative qui tarde à naître

Le constat est assez froid quant à la concertation ou la collaboration entre les différentes parties prenantes.

Pour les acteurs non étatiques du tourisme, toute tentative de leur part allant dans ce sens est vouée à l’échec, seulement nous observons aussi de leur part une complaisance dans le fait de ne pas pouvoir être formellement représenté et reçu par les instances administratives.

Pour les acteurs étatiques, les acteurs privés impliqués dans le tourisme redoutent toute représentativité relative à la mise en place d’une plateforme d’échange avec les édiles municipaux autour de la question du tourisme. Car il en résulte de part et d’autre des suspicions d’intérêts autour de l’initiation, puisqu’il faut toujours un initiateur, un porteur de projet.

On peut aussi noter l’insuffisance de tables rondes entre acteurs étatiques de divers secteurs intervenants dans le tourisme, autour de la question du tourisme dans la Région de Douala.

Cette situation tétanise et pétrifie toute énergie susceptible de contribuer à la dynamique d’attraction touristique du territoire de la Région de Douala.

CONCLUSION DU CHAPITRE

Les acteurs et opérateurs du tourisme dans la Région de Douala sont divers. Ils peuvent être concernés directement ou indirectement. Ils entretiennent des relations asymétriques et inconstantes, et semblent se gargariser dans un manque de synergie qui n’aide pas à la fabrication de l’attractivité touristique du territoire de la Région de Douala.

CONCLUSION DE LA PARTIE

De cette première partie nous retenons ceci :

Le chapitre 1 aborde les variables principales de l’attractivité territoriale à savoir les atouts modifiables et ceux non modifiables. Les atouts modifiables se sont ceux qui ont été construits par une politique d’aménagement du territoire et qui constituent des sites ou des potentialités touristiques, répondant à des objectifs d’attraction territoriale. Les atouts non modifiables sont des dotations de la nature qui sont des paysages et richesses naturelles capables d’attirer les ménages. Nathalie FABRY et AMARTYA SEN nous ont suffisamment inspirés sur ces variables notamment avec les notions d’avantages concurrentiels et de capabilité, sans oublier Sylvie BRUNEL avec la notion de Disneylandisation des territoires.

Le chapitre 2 quant à lui s’est interrogé sur les différentes arrivées de touristes dans la Région de Douala afin de jauger la notoriété de la destination. Il s’est avéré au vue des données recueillies que la Région de Douala est visitée par des touristes venant des quatre coins du globe. Nous avons en pole position les africains et particulièrement ceux de la CEMAC et ensuite les français. Ceci pourrait servir au pays tout entier et à la Région de Douala de peaufiner sa politique d’attraction touristique, afin de générer encore plus d’arrivées de touristes.

Le chapitre 3 enfin, nous a permis de présenter les différents acteurs intervenants dans le tourisme dans la Région de Douala. Après avoir présenté leurs missions, nous nous sommes intéressés sur la manière dont ils se mobilisent pour fabriquer l’attractivité de la Région de Douala. Nous avons alors pu constater que ces acteurs n’arrivent pas à collaborer convenablement que ce soit entre les acteurs étatiques entre eux, les acteurs étatiques et les acteurs privés, et enfin les acteurs privés entre eux. Toute chose qui ne favorise pas une réelle attractivité observable dans la durée du territoire touristique de la Région de Douala.

Pour citer ce mémoire (mémoire de master, thèse, PFE,...) :
Université 🏫: Mémoire de Master II en sciences de l’information et de la communication, spécialité communication des organisations - 2015
Auteur·trice·s 🎓:
M. Priso Koum Felix OLIVIER

M. Priso Koum Felix OLIVIER
Année de soutenance 📅: Université de Douala
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