Analyse contrastive des formes verbales : français et kifuliiru

Enseignement supérieur et universitaire
Institut Supérieur Pédagogique d’UVIRA ISP-UVIRA

Section : Lettres-Sciences Humaines
Département : Français – Langues africaines
B.P :2316 BUJUMBURA

Mémoire présenté et soutenu en vue de l’obtention du diplôme de licencié en Pédagogie Appliquée
Option : Français
Analyse contrastive des formes verbales : français et kifuliiru
Essai d’analyse contrastive de quelques formes verbales du français et du Kifuliiru.

Par
Jules ZIGABE MUKENGE

Directeur :
RUHEKENYA JUMAPILI Samson
Professeur

Co-directeur :
KIJINDIRE TUNDWA Arthur
Assistant

Année universitaire
2018-2019

EPIGRAPHE

« Toute la terre avait une seule langue et les mêmes mots. Comme ils étaient partis de l’Orient, ils trouvèrent une plaine au pays de Shimear, et ils y habitèrent. […] allons, descendons, et là confondons leur langage afin qu’ils n’entendent plus la langue, les uns des autres ».
(Genèse 11 : 1 – 7).
Jules ZIGABE MUKENGE

DEDICACE

A notre Créateur, Dieu Tout-Puissant qui nous protège et nous donne la force, la souplesse et le courage d’affronter les obstacles. Il est notre « secours ».

A mes chers parents NDARA MUKENGE Namufumbe et SOFIA Nakangu qui ont contribué sur tous les plans à ma formation et à la réalisation de ce travail. Sans eux, je ne serais jamais ce que je suis devenu aujourd’hui. Leurs conseils prodigués avec amour et leur soutien sont multiformes.

A mon épouse KITUZA KARAUSI Elisabeth pour sa patience et son affection. Elle a persévéré pour que je sois ce que je suis.

A mes jeunes filles Délice MUHOLEZA SOFIA et Bénédite FEDHA.

A mon frère BIJIMUNGU MUKENGE et mes sœurs SHUKURANI, HURUMA et FADHILI MULASI pour leur générosité.

Jules ZIGABE MUKENGE

REMERCIEMENTS

Il est pour nous un grand plaisir de pouvoir nous retrouver au bout de notre cycle de licence au département de Français – Langues Africaines. Nous exprimons notre profonde gratitude à toute personne qui, de près ou de loin, a contribué à la réalisation de ce travail.

De prime abord, nous adressons nos sincères remerciements au professeur RUHEKENYA JUMAPILI Samson et à l’Assistant KIJINDIRE TUNDWA Arthur qui, en dépit de leurs multiples occupations, ont accepté de diriger ce travail. En effet, leurs remarques, leur rigueur scientifique nous ont été d’une grande importance. Et nous leur avons franchement gré pour leurs permanents contacts. Nous leur disons vivement « merci ».

Nos remerciements s’adressent également à nos chers parents NDARA MUKENGE et SOFIA NAKANGU qui ont conçu l’idée de nous scolariser. Qu’ils trouvent ici le résultat de leurs efforts et leur soutien tant matériel que moral.

Nous exprimons notre profonde gratitude à notre épouse KITUZA KARAUSI Elisabeth pour nous avoir patienté et supporté pendant notre absence et séparation.

Nos sentiments de reconnaissance s’adressent aussi à tous les enseignants de l’ISP-UVIRA en général et particulièrement ceux du Département de Français – Langues Africaines pour la formation qu’ils nous ont rassurée.

Nous témoignons notre admission à nos frères BIJIMUNGU, BALEKEZI MUKENGE et à nos sœurs SHUKURANI, HURUMA, FADHILI, FAIDA et TULINABITU MULASI pour leurs conseils et encouragements.

Nous restons reconnaissant aux amis MULUME NAKISHALE, TIMBA MUGOZI, DAVID ISSA, MUSHOMBE KATIBA, BALEKE NZONGA, Aimé MUGOSA, etc. Ils nous ont soutenu en des moments difficiles.

Nous ne pouvons pas terminer ce propos sans penser à nos véritables amis et compagnons de lutte WILONDJA Mwagalwa Pascal, MBURUGU BARHISHI Gustave, MUHUBIRI RUHIGITA Espoir. Nous leur réitérons notre profonde reconnaissance.

Que celui qui n’est pas cité ici, pourtant il a contribué à cette œuvre mémorable, trouve satisfaction dans l’accomplissement de ce travail.

Jules ZIGABE MUKENGE

SIGLES, ABREVIATIONS ET SIGNES

ISP: Institut Supérieur Pédagogique FLA: Français – Langues Africaines TFC: Travail de Fin de Cycle

CT: Chef de Travaux

TFE: Travail de Fin d’étudesd

P.U.F: Presses Universitaires de France

p.: Page

p.p: Pages

C.f: Confer

P.N: Préfixe Nominal

P.A: Préfixe Adjectival

P.P: Préfixe Pronominal

P.V: Préfixe Verbal

Suf.: Suffixe

I.O: Infixe Objet

Ed.: Edition

C.V.C: Consonne-voyelle-consonne CVNC: Consonne-voyelle-nasale-consonne

CSVC: Consonne-semi-consonne-voyelle-consonne CSVNC: Consonne-semi-consonne-voyelle-nasale-consonne

CV: Consonne-voyelle

VC:Voyelle-consonne

NCVC: Nasale-consonne-voyelle-consonne COD: Complément d’objet direct

<°: Analyse segmentaire

« »: Traduction en français

+: Existence du morphème

-: Non existence du morphème

Ø:Morphème zéro

INTRODUCTION GENERALE

Notre travail porte sur « l’essai d’analyse contrastive de quelques formes verbales du français et du kifuliiru ».Il relève donc de la linguistique en général et de la linguistique contrastive en particulier. Tout au long de ce travail, nous porterons notre attention sur le fonctionnement des formes verbales du français et du kifuliiru.Il sera question de contraster les formes verbales dans ces deux langues.

CHOIX, OBJET ET INTERET DU SUJET

Nous allons jeter notre dévolu sur les formes verbales du français et du kifuliiru. Ce sujet n’a pas été choisi au hasard. Il a été l’objet d’une grande réflexion vu l’impact du kifuliiru sur l’apprentissage de la langue française. Les formes verbales du français et du kifuliiru ont suscité notre attention en ce sens que le verbe constitue le noyau de toute phrase. Il sera donc question, pour nous, grâce à l’analyse contrastive, d’analyser tout en vérifiant le fonctionnement des formes verbales en français et en kifuliiru.

En outre, notre choix sera guidé par la volonté de valoriser la linguistique contrastive s’intéressant aux langues non congénères. Nous avons seulement l’avantage d’actualiser le français et le kifuliiru, mais également d’enseigner les élèves actualisant concomitamment les deux langues, surtout nous sommes égalementformé à décrire le fonctionnement des langues.

Signalons aussi que nos réflexions ne seront pas une émanation d’un travail léger ni vulgaire mais d’un exposé fructueux et objectif autour du fonctionnement des formes verbales en français et en kifuliiru. Il sera question de chercher à comprendre l’impact des éléments de différence sur l’apprentissage du français.

PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE DU TRAVAIL

PROBLEMATIQUE

Ce travail est intitulé : « Essai d’analyse contrastive de quelques formes verbales du français et du kifuliiru ».

Il va donc consister à analyser les formes verbales du français et du kifuliiru, le français étant une seconde langue apprise après une première langue appelée « maternelle » par l’élève mufuliifu, entraînant, bien entendu, des interférences. Dans un tel cas, les chercheurs didacticiens ne cessent de travailler afin de chercher des pistes de solution à de telles difficultés qui génèrent, bien sûr, des interférences de la première langue (kifuliiru) sur la seconde langue, qui est le français.

C’est cela qui nous a poussé à mener une analyse contrastive sur les deux langues non apparentées dans le but de déceler les éléments de dissemblance les caractérisant. Ce travail est, par conséquent,à cheval entre la linguistique et la didactique car la linguistique contrastive est une linguistique appliquée. Il s’avère donc d’une importance capitale pour les techniciens de la didactique.

Au regard de cette problématique cadrant avec l’analyse contrastive du français et du kifuliiru, les questions suivantes se posent :

Les formes verbales du français et du kifuliiru ont-elles la même structure ?

Quels sont les éléments constitutifs d’une forme verbale du français et du kifuliiru ?

Quel est l’impact des éléments de transfert et d’interférence du kifuliiru sur l’apprentissage du français ?

Quelles sont les pistes de solution à ces difficultés ?

HYPOTHESES

Vu les questions de la problématique du présent travail ainsi que ses objectifs, nous allons envisager les réponses provisoires suivantes qui pourront être confirmées ou infirmées après l’analyse :

Les formes verbales du français et du kifuliiru n’auraient pas de même structure car le français et le kifuliiru sont des langues non apparentées.

Les éléments constitutifs d’une forme verbale du français seraient le préfixe, le radical, la désinence, et pour le kifuliiru on aurait l’initiale, la préinitiale, la postinitiale, le radical, le formatif, le postformatif, le suffixe, l’infixe, la finale, la postfinale, etc.

Les éléments de transfert dans les formes verbales du français et du kifuliiru auraient un impact positif. Ils faciliteraient l’apprentissage de la langue française tandis que les éléments d’interférence empireraient l’apprentissage du français.

Face à ces difficultés, les pistes de solution seraient de deux ordres : d’une part, pour les enseignants, ils devraient appliquer ou utiliser la méthode contrastive pour déceler le fonctionnement des formes verbales en français et en kifuliiru ; d’autre part, pour les élèves, parmi les pistes de solution on aurait l’usage de dictionnaire et d’autres livres de grammaire du français, l’apprentissage du français parles apprenants fuliiru dès les bas âges.

OBJECTIFS DU TRAVAIL

Le présent travail s’assigne comme objectifs principaux ;

De dégager les principales différences entre les formes verbales du français et du kifuliiru ;

D’identifier le transfert positif du kifuliiru sur le français ;

De découvrir le transfert négatif (interférence) du kifuliiru sur le français et son impact négatif sur l’apprentissage de la langue française;

De proposer aux enseignants de français quelques pistes de remédiation aux difficultés auxquelles se heurtent les élèves fuliiru en particulier et bantu en général dans l’apprentissage du français.

De prédire les difficultés auxquelles se heurteraient les apprenants fuliiru dans l’apprentissage du français.

ETAT DE LA QUESTION

Notre travail est intitulé « Essai d’analyse contrastive de quelques formes verbales du français et du kifuliiru ». En menant des recherches au département de Français – Langues Africaines, nous nous sommes rendu compte que quelques travaux ont déjà été effectués sur le kifuliiru en général, les formes verbales et sur l’analyse contrastive du français et du kifuliiru en particulier à l’ISP – UVIRA et BUKAVU. Ces travaux sont, soit des Thèses de doctorat, soit des Mémoires de licence ou de Maîtrise ou des Travaux de Fin de Cycle de graduat.

Plusieurs de ces travaux s’arrêtent sur la description (phonétique, phonologique, morphologique, syntaxique) du kifuliiru.

Néanmoins, aucun travail n’a jamais porté sur l’analyse contrastive des formes verbales du français et du kifuliiru.

Sans être exhaustif, dans le même cadre d’idées, citons quelques travaux ayant été produits :

BASIMISE RUKABO : « La dérivation en kifuliiru (ikifuliiru), TFE, inédit, I.S.P-BUKAVU, 1983. Il s’intéresse à la dérivation comme procédé de création des mots.

BUTOTO MANENGA François : « Analyse contrastive du français et du kifuliiru : Cas des noms », TFC, inédit, I.S.P/UVIRA, 2017.Ce travail porte sur l’analyse contrastive des noms, des systèmes phonétiques et phonologiques du kifuliiru et du français.

MASUMBUKO MALEGA Honorable : « L’expression métonymique et métaphorique à travers quelques anthroponymes fuliiru », Mémoire, inédit, ISP-UVIRA, 2017.

Ce travail est une analyse approfondie des anthroponymes du kifuliiru à la lumière de la métonymie et de la métaphore.

MAVUDIKO BASHOMBERWA François : « Essai d’une analyse structurale des formes verbales du kifuliiru (J54 », Mémoire, inédit, I.S.P

– BUKAVU, 1996.Ce travail porte lui sur l’analyse structurale des formes verbales du kifuliiru.

MAVUDIKO BASHOMBERWA François : « Etude de variations phonologiques et morphologiques du proto-bantu en kifuliitu (ikifuliiru), TFE, inédit, ISP/BUKAVU, 1994.Ce travail relève les reflexes phonologiques et morphologiques du proto-bantu en kifuliiru.

RUHEKENYA JUMAPILI Samson : « Lexique comparé des langues de la zone J : Cas du kifuliiru, kinyindu et mashi », TFC, Inédit, UNILU, 1986.Ce travail relève les éléments lexicaux de ressemblance et de dissemblance entre le kifuliiru, le kinyindu et le mashi.

RUHEKENYA JUMAPILI : « La Morphosyntaxe du kifulliiru », thèse de doctorat,UNILU, 2010.Dans ce travail le professeurRUHEKENYA JUMAPILI traite de la morphosyntaxe de plusieurs catégories grammaticales en kifuliiru.

Etc.

DELIMITATION DU TRAVAIL

Ce travail a comme cible, les formes verbales du français et du kifuliiru. C’est une étude contrastive des formes verbales dans ces deux langues. Il relève de la linguistique (grammaire) contrastive dans le sens où il vise à comparer les formes verbales de deux langues non congénères, à savoir le kifuliiru (langue bantu) et le français (langue romane). Le présent travail se situe entre la linguistique et la didactique du fait qu’il prélève les éléments d’interférence du kifuliiru et leur impact négatif sur l’apprentissage du français.

Les éléments de dissemblance entre les formes verbales du français et du kifuliiru sont la source des difficultés chez les élèves fuliiru.

Une langue comprend plusieurs aspects et plusieurs éléments ; nous ne pouvons pas nous intéresser à tous les éléments et aspects à la fois. Notre réflexion ne portera que sur la morphologie verbale en français et en kifuliiru, car l’aspect phonétique et phonologique a déjà fait l’objet de la recherche.

METHODOLOGIE DU TRAVAIL

Dans tout travail scientifique, il est indispensable que le chercheur précise sa méthode et ses techniques de recherche, car c’est à travers celles-ci qu’il montre le cheminement de sa recherche par rapport à ce qu’il vise.

Ainsi, pour mener à bon port nos analyses, nous nous servirons des approches méthodologiques suivantes :

L’observation par laquelle, dans la récolte des données, nous réunirons les éléments constituants de notre corpus;

L’approche structuraliste nous aidera à dégager la structure de chaque forme verbale du français et du kifuliiru, car toute forme verbale est constituée des éléments interdépendants qu’il convient d’analyser et d’expliquer ;

L’approche contrastive nous permettra de dégager les éléments de ressemblance (transfert) et de dissemblance (interférence) entre le français et le kifuliiru qui sont des langues non apparentées ;

SUBDIVISION DU TRAVAIL

Hormis l’introduction et la conclusion générale, ce travail est subdivisé en trois chapitres dont le deuxième et le troisième font le gros de notre sujet :

Le premier chapitre est intitulé « cadre théorique et méthodologique ». Dans ce chapitre, nous allons définir quelques concepts-clés du sujet, présenter les méthodes utilisées pour analyser les formes verbales du français et du kifuliiru et le corpus sur lequel vont porter nos analyses.

Le deuxième chapitre portera sur la « structure des formes verbales du français et du kifuliiru ».

Il sera question de dégager les éléments constitutifs d’une forme verbale du français et du kifuliiru en vue de déceler les différences et les ressemblances y relatives.

Le troisième et dernier chapitre portera sur le système de conjugaison du français et du kifuliiru. Il s’agira d’examiner les différents modes et temps de verbes dans les deux langues cibles afin de dégager les ressemblances et les dissemblances et présenter enfin quelques pistes de remédiation aux interférences linguistiques du kifuliiru sur le français, source des difficultés auxquelles se butent les apprenants fuliiru.

DIFFICULTES RENCONTREES

Les difficultés auquelles nous nous sommes heurté au cours de la réalisation de ce travail sont de divers ordres :

Le manque de la documentationqui traite de la contrastive dans notre bibliothèque pour nous en inspirer.Nous nous sommes démené dans plusieurs façons pour réaliser ce travail.

Le manque de moyen financier était aussi une des plus grandes difficultés que nous avons connues.Mais c’est par la grâce de Dieu et le concours de certaines personnnes de bonne volonté que nous sommes parvenu à achever ce travail.

La charge de la fammille est une difficulté aussi qui ne nous a pas permis d’évoluer convenablement.

TABLES DES MATIERES

EPIGRAPHE I

DEDICACE III

SIGLES, ABREVIATIONS ET SIGNES V

INTRODUCTION GENERALE 1

0.1. CHOIX, OBJET ET INTERET DU SUJET 1

0.2. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE DU TRAVAIL 2

0.2.1. PROBLEMATIQUE 2

0.2.2. HYPOTHESES 3

0.3. OBJECTIFS DU TRAVAIL 3

0.4. ETAT DE LA QUESTION 4

0.5. DELIMITATION DU TRAVAIL 6

0.6. METHODOLOGIE DU TRAVAIL 6

0.7. SUBDIVISION DU TRAVAIL 7

0.8. DIFFICULTES RENCONTREES 7

CHAPITRE I : CADRE THEORIQUE ET METHODOLOGIQUE 8

1.1. CADRE THEORIQUE 8

1.1.1. Définition des concepts – clés 8

1.1.1.1. Analyse 8

1.1.1.2. Analyse contrastive 9

1.1.1.3. La linguistique contrastive 9

a) Définition 9

b) Historique 10

1.1.1.4. Les formes verbales (verbes) 11

a) Définition 11

b) Espèces de verbes 12

c) Groupes de verbes 15

1.1.2. PRESENTATION DES LANGUES 16

1.1.2.1. Le français 16

a) Origine 16

b) Statut sociolinguistique du français 18

c) Phonétique et phonologie du français 19

1.1.2.2. Le kifuliiru 21

a) Historique du peuple Fuliiru et sa langue 22

c) Phonétique et phonologie du kifuliiru 24

1.2. CADRE METHODOLOGIQUE 26

1.2.1. DE LA COLLECTE DES DONNEES 27

1.2.1.1. L’observation 27

1.2.1.2. La méthode d’enquête 28

1.2.2. DE L’ANALYSE DES DONNEES 28

1.2.2.1. Le structuralisme 28

1.2.2.2. L’approche contrastive 30

1.3. PRESENTATION DU CORPUS 30

CONCLUSION PARTIELLE 34

CHAPITRE II : STRUCTURE DE LA FORME VERBALE 35

2.1. LA MORPHOLOGIE VERBALE EN FRANÇAIS 35

2.1.1. Le radical 36

2.1.2. La racine 38

2.1.3. La désinence 39

2.1.4. Le préfixe 45

2.1.5. Le suffixe 46

2.2. LA MORPHOLOGIE VERBALE EN KIFULIIRU 49

2.2.1. LES MORPHEMES DE FORMATION 50

2.2.1.1. Le radical 50

2.2.1.2. L’extension ou suffixe 52

2.2.2. LES MORPHEMES DE CONJUGAISON 59

2.2.2.1. La préinitiale 59

2.2.2.2. La postinitiale 60

2.2.2.3. Le formatif 60

2.2.2.3. La finale 63

2.2.3. LES MORPHEMES DE SUBSTITUTION 64

2.2.3.1. L’initiale 64

2.2.3.2. L’infixe 66

2.2.3.3. La postinitiale 67

2.3. DIFFERENCE ENTRE LA FORME VERBALE DU FRANÇAIS ET CELLE DU KIFULIIRU 70

CONCLUSION PARTIELLE 72

CHAPITRE III : LE SYSTEME DE CONJUGAISON DU FRANÇAIS ET DU KIFULIIRU 73

3.1. LE SYSTEME DE CONJUGAISON DU FRANÇAIS 73

3.1.1. Les modes 74

3.1.1.1. Les modes personnels 74

3.1.1.1.1. L’indicatif 74

3.1.1.1.2. Le conditionnel 82

3.1.1.1.3. Le subjonctif 84

3.1.1.1.4. L’impératif 87

3.1.1.2. Les modes impersonnels 88

3.1.1.2.1. L’infinitif 88

3.1.1.2.2. Le participe 89

3.1.2. L’aspect 91

3.1.2.1. L’aspect accompli 91

3.1.2.2. L’aspect non accompli 92

3.2. LE SYSTEME DE CONJUGAISON DU KIFULIIRU 94

3.2.1. Les formes verbales tabellaires 94

3.2.1.1. L’indicatif absolu 94

3.2.1.2. L’indicatif relatif et conjonctif 99

3.2.2. Les formes verbales non tabellaires 100

3.2.2.1. Le conditionnel 101

3.2.2.2. Les modes injonctifs (subjonctif et impératif) 102

3.2.2.3. L’infinitif 105

3.3. RESSEMBLANCE ET DISSEMBLANCE DU SYSTEME DE CONJUGAISON DU FRANÇAIS ET DU KIFULIIRU 106

3.4. QUELQUES PISTES DE SOLUTION AUX INTERFERENCES LINGUISTIQUES 109

CONCLUSION PARTIELLE 111

CONCLUSION GENERALE 112

BIBLIOGRAPHIE 116

TABLES DES MATIERES 119

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