Les remèdes
Malgré les grands efforts déployés par les fondateurs de la science de la criminalité et les pôles qui les ont suivis dans la recherche des causes de ce phénomène, et même à l’instar de la création d’écoles et d’instituts spécialisés dans l’étude de cette science et les conférences internationales qui lui sont consacrés, la criminalité pose souvent une question inquiétante.
Comment peut-on remédier le genre humain à fin que les individus puissent vivre en paix ?
Il faut admettre dès le début qu’on peut remédier la situation des criminels qui débutent dans le domaine. Quant aux professionnels aucun remède ne peut les sauver, même devant la loi ils sont appelés les habituels. Il faut aussi se rendre compte que les textes relatifs à la loi concernant le phénomène féroce de la criminalité, seuls, ne peuvent pas le réduire en faisant appel d’urgence à un projet politique, économique, social, et culturel, se basant sur le code généré par la libre volonté du peuple et rendant les droits de l’Homme applicables.
Le gouvernement : un moyen de controle
Certes, le droit à l’emploi, le droit à la santé, le droit à l’éducation et le droit à une vie décente, sont des principes qui doivent être présents et fournis par le système gouvernemental dans toute communauté puisqu’ils mettent en pratique la justice sociale et par conséquent permettent de réduire le taux de criminalité.
Les sociologues estiment que les véritables raisons de l’aggravation du phénomène de la criminalité reviennent à l’exclusion, la marginalisation, le chômage et la hausse des prix, donc au faible niveau de vie et c’est pourquoi le gouvernement doit préserver les simples droits aux citoyens à fin de ne pas limiter mais plutôt de minimiser les dégâts sociaux venant du crime.
Dans ce contexte David H.Bayley un avocat aux Etats-Unis a écrit dans son oeuvre « police pour l’avenir » : « les droits de base incombe à l’État de protéger la sécurité de ses citoyens et à toutes les personnes relevant de sa juridiction ».3
Ce qui prouve notamment le devoir du gouvernement envers les individus non seulement au niveau de la sécurité mais surtout au niveau de l’économie, le domaine qui influence presque tous les phénomènes sociaux d’une façon relative étant donné qu’il s’agit d’une dégradation sociale ou bien d’un abaissement de niveau de vie.
Si l’économie est bien élevée, comme dans les pays développés, les taux de crimes sont minimisés par rapport aux états qui sont en voie de croissance et flagrant chez le tiers monde.
Figure 25 : (Nombre de vols avec violence dans le monde)
3 (David H. Bayley, POLICE FOR THE FUTURE, Oxford University Press, 1994, P.3)
Figure 26
L’État moderne essaye de protecteur contre la criminalité à travers les opérations de maintien de l’ordre et de la justice pénale et les gouvernements essaient d’améliorer l’efficacité de ces systèmes à travers l’amélioration de la force policière qui effectue le plus souvent une série de tâches les plus importantes de prévention et d’enquête des crimes qui semblent enracinés dans la vie quotidienne et partout dans l’univers.
Et malgré l’effort fait par la police pour éradiquer le crime de la société, elle ne parvient pas dans tous les pays du monde à empêcher la criminalité. Dès lors la responsabilité nécessite plus que les efforts de la police, de sorte que la prévention et l’investigation des crimes dépendent de façon critique sur le niveau et la qualité de la coopération entre la police et la communauté qu’elle dessert.
Ainsi il faut des efforts concertés par les politiciens, les membres des organes judiciaires, les groupes communautaires, des institutions publiques et privées encore les individus.
L’effet des médias
Il est reconnu que la sécurité est l’un des piliers les plus importants de la communauté, où les progrès de la société proportionnelle mèneront à la sécurité et à la stabilité, Il existe un lien étroit entre la sécurité et le développement, il n’y a pas de développement sans sécurité, et c’est avec elle que les conditions économiques et sociales seront équilibrés et favorables.
Et même en présence du contrôle et de sécurité, tous les organes de l’Etat doivent y participer à fin d’atteindre l’objectif du développement.
Parmi les organes les plus importants de l’état est le dispositif de médias contemporains, qui contribue avec ses moyens d’impression multiple de sensibilisation audio – visuel dans les questions de sécurité, et renvoie l’importance des médias dans la réalisation de la sécurité en ce qu’elle peut facilement être à la pensée humaine et de la conscience, et contribue à la formation des opinions et des tendances.
C’est pourquoi les sociétés modernes ont tendance à développer une prise de conscience globale de sécurité à travers le lancement des « campagnes de sensibilisation et de sécurité », qui jouent un rôle positif à attirer l’attention des membres influents de la communauté aux phénomènes de la sécurité et les inviter à éviter de tomber dedans ainsi à éviter les effets négatifs.
S’ajoute à la charge prise par le gouvernement pour diminuer le fait de la criminalité le rôle fondamental des médias tant qu’il est un appareil d’expression reflétant la mentalité de masse et les tendances des esprits, fondé sur les faits, vise à influencer la position de l’être humain et le pousse à se comporter d’une manière particulière dans le cadre de la sensibilisation.
De là on peut apprendre aux individus la politique de dissuasion du crime, la politique de prévention du crime et même la politique de traitement des délinquants à en résoudre le phénomène de la criminalité.
La coopération sociale (collective et individuelle)
Suite aux menaces de la criminalité et de la délinquance qui peuvent affecter tous les membres de la société, il faut alors engager leurs responsabilités au sein de la communauté en collaboration de la police qui permettra de réduire ce phénomène. L’intégration de la vie civile est une nécessite indispensable dans le rôle de l’État représenté dans les institutions et organismes officiels.
Chaque fois le rôle et la participation de la société civile est réduit il affaibli l’efficacité des institutions de l’Etat et de la police dans les questions de déviation de la résistance et de la criminalité.
Comme le citoyen est la base de l’opération de sécurité, la participation à la lutte contre la criminalité et la délinquance est en vertu de compléter le travail du policier, et si un citoyen a le droit sur l’État d’assurer la sécurité sociale à lui, l’État a aussi ses droits envers les citoyens qui doivent participer pour fournir cette sécurité, et donc la conviction que crime visant la communauté non seulement l’individu.
La première étape de la prévention est la sensibilisation, et il faut compter tous les programmes sociaux, médiatiques, et ceux de la santé auprès de la population pour la faire prendre conscience des dangers de la criminalité, ce serait épargner la communauté beaucoup de problèmes et de crimes économiques et humaines qui secouent la société de l’entité familiale.
Le sens de la sensibilisation du public face aux dangers de la criminalité, ne doit pas parvenir du niveau de leur connaissance de la législation et des institutions de dissuasion, mais doit être le comportement de l’avant automatique, par exemple si l’individu fait le témoignage d’un autre individu, et lorsqu’il refuse de se couvrir et de cacher la personne fugitif de la justice, et quand il aide à arrêter un dangereux criminel, il confronte la criminalité.
Une mauvaise gérance gouvernementale mènera automatiquement aux mauvaises conditions de vie socio-économiques, une manœuvre immorale contre les bonnes mœurs pourraient renverser toute une génération et créée par la suite des individus infectés, mal construits et surtout qui manquent de confiance.
Des associations cherchant à remédier à ce phénomène criminel sont aujourd’hui présentes, des conseillers sociaux sont là pour rétablir ce que les milieux infectés ont produit, or les tentatives de guérison semblent encore faibles et trop fragile face à ce phénomène tellement grandiose et hyper dangereux.
Conclusion
Au début du mémoire on s’est posé tas de questions concernant l’origine d’un acte criminel, de ses perplexités, bien également de l’enrayage de ses problèmes néfastes.
Dans le premier chapitre, on a relevé que le comportement criminel est à l’origine d’un état psychique, premièrement général, puis personnel selon la capacité de l’individu à se contrôler, ou selon sa composition génétique, sans négliger notamment l’effet de l’environnement extérieur en ce qui concerne l’aide inaperçue à la création d’un criminel.
Le comportement criminel, n’est pas un comportement humain ordinaire, puisque dans le deuxième chapitre on a découvert qu’il s’agisse plutôt de tout un mécanisme communicatif criminel, d’où les manipulations, spirituelle, faciale et corporelle sont les principales règles du comportement criminel, et d’après lesquelles on a pu classifier les délinquants selon plusieurs profils.
Certes, le comportement criminel est pourrissant et c’est pourquoi on s’est investi dans la recherche des solutions les plus efficaces dans le troisième chapitre.
On a remarqué alors que la plus grande lutte universelle dépend des moyens gouvernementaux, d’où la prévention par le maintien de l’ordre tels les lois, la force policière ainsi que la justice.
Outre des efforts concertés par les politiciens, les membres des organes judiciaires, les groupes communautaires, des institutions publiques et privées, les médias, même les individus, doivent y s’investir.
Si l’on admet que le comportement criminel est infectant, au quel point il peut contaminer les comportements sains sur le plan universel ?
Le Djihad des mineurs en Syrie est-il un combat contre la dictature ou bien un nouveau visage de manipulation et de violence ? Le terrorisme étant une forme de violence, est-il unique dans son genre ?
BIBLIOGRAPHIE
Sigmund Freud : Introduction à la psychanalyse
Lombroso : L’homme criminel
Le Pèlerin du 28 avril 1929
David H. Bayley, POLICE FOR THE FUTURE, Oxford University (Press, 1994, )
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