Les limites de ce travail sémiotique : discours managériaux

Difficultés et limites de ce travail : communication des organisations

Conclusion générale

Selon Charaudeau lorsqu’on étudie un texte, il est question « de mettre à jour l’être caché qui se trouve derrière l’être de parole. »223 Voici en quelques sortes ce qui a été fait durant ce travail sémiotique.

Pour ce faire, nous avons mis l’accent sur deux organisations que sont le GICAM et l’ECAM, plusieurs discours ont été recueillis allant de 2010 à 2020.

Principalement les discours des patrons de ces structures appelé ici pole d’émission discursif se façonnent autour de certains théories afin de convaincre les différents adhérents de la place forte qu’occupe ces détendeurs d’influences dans la place public.

Partant de la question de recherche principal, on a vu que les organisations patronales se détournent de leurs objectifs dans leurs discours quelques fois afin de meubler l’actualité et de faire la une des médias.

1- Les difficultés et limites de ce travail sémiotique

Malgré un essor considérable, la sémiotique peine encore à s’implanter dans les cursus universitaires, tournant autour de la linguistique et des sciences de l’information et de la communication selon Karine Philippe.

Néanmoins, les recherches se multiplient, définissant les contours d’une discipline toujours en devenir, fidèle à son projet fondateur : saisir la mécanique du sens.

La difficulté d’accès aux différentes organisations patronales a concouru aux manques cruels de certaines données pouvant servir à mieux expliciter cette analyse qualitative.124

Au vu que les différents présidents de ces structures n’ont jamais été rencontré à cause de leurs indisponibilité et surtout du Covid-19, ce travail s’est juste appesanti sur l’analyse sémiotique de ces discours pris soient chez leurs proches collaborateurs ou encore télécharger en ligne sur les différents sites internet.125

 223 Charaudeau P. Op.cit.

224 Notamment la loi portant création de l’ECAM.

225 http://patronat-ecam.cm/

https://www.legicam.cm/index.php/p/presentation-du-groupement

2-Pistes de recherches

2-1- En communication des organisations

► D’abord, on peut dire que définir un énoncé à partir de la structure grammatical c’est ressortir les différents actes de langage qui font son ensemble. Et ces actes sont dit performatifs.

La performativité qui en découle ici fait partie des éléments clés mis en avant dans l’étude des discours au même agencement que le pouvoir ou la signification. La communication par le biais des SIC s’intéresse de près à ces trois notions phares.

► Ensuite, étant donné que la symbolique est une sémiotique, selon Umberto Eco, alors réciproquement la sémiotique est par essence une symbolique.

La communication se fait communion aux signes exhibés, comme l’a souligné Régis Debray. Autrement dit que sa sois en littérature où en communication les domaines de crise du signe et du symbole peuvent être étudié à des buts bien spécifique dont ce travail propose un éventuel attardement.

► Pour continuer, Mintzberg pense que « l’instrument crée une chaine continue de pouvoir depuis le(s) détenteur(s) d’influence externe(s), en passant par le P.-D.G et en descendant la ligne hiérarchique jusqu’aux opérateurs. »126

En d’autre terme celui qui possède le pouvoir à la capacité de domination et de guide sur la structure hiérarchique. S’appuyant sur le pôle d’émission dans une organisation, l’étude du pouvoir peut conduire sois a la maturité de l’organisation soit au déclin.

Pour définir le pouvoir, Mintzberg convoque Dahl, le pouvoir c’est « la capacité d’une personne A d’obtenir qu’une personne B fasse quelque chose qu’elle n’aurait pas fait sans l’intervention de A. » Cette étude peut faire l’objet d’une analyse autre auquel ce travail n’a pas pu s’appesantir.

►Pour ajouter, le code fait partir des éléments que ce travail de recherche n’a pas abordé volontairement au vu de la limite de page que recours cette analyse. Il est ancré dans la structure de base permettant d’étudier un signe en sémiotique.

On peut dès lors comprendre l’assertion suivante : « il n’aura échappé à personne que les langues naturelles peuvent être conçues comme des codes permettant de combiner des signes selon des règles, c’est-à-dire ayant sémantique et syntaxe.

Autrement dit, produire et comprendre des énoncés verbaux se ramène en partie à des opérations de codage et de décodage. »127

►De plus, la communication intentionnelle est une communication codé essentiellement basé sur les signes, elle se caractérise par la volonté de communiquer par les gestes, les postures, les mimiques(…) pour expliciter cet entendement, elle peut constituer l’objet d’un approfondissement élargit d’un autre sujet de recherche étant donné que les discours managériaux promulgués se font oralement.

►En outre, durant ce travail de recherche, on s’est très peu attardé à la notion de changement organisationnel128 ayant directement des effets sur la structure que ça soit ceux qui conduisent ce changement ou bien ceux qui la subissent. Etant donné que le GICAM a changé de nom en 1998 cet élément peut être un approfondissement d’un autre travail de recherche.

►Quant à Ayouche Houria cet auteur cherche à justifier les financements issus des patronales : « (…) il y a vingt ans, un représentant du CNPF229 publiait un ouvrage intitulé ‘‘l’insurrection des patrons’’ dans lequel il dénonçait les excès inadmissibles de l’Etat, il en appelait à la constitution d’un cinquième pouvoir celui des patrons. »230

Ce point vu est parti constituante d’une des pistes de recherche des travaux d’Eichenberger231 auquel ce mémoire aurait pu aussi s’attarder.

 226 Mintzberg p 448. Op.cit.

227 Galy N. P 6. Op.cit.

228 Perret V. (2010) Les paradoxes du changement organisationnel, mise à jour le 15 Novembre 2010 [En ligne]

https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00536314 [Consulté le 27 Juin 2021]

229 CNPF= confédération national du patronat français.

230 Ayouche p 20. Op.cit.

231 Eichenberger Op.cit.

►Enfin, les analyses assistés par ordinateur ou encore les logiciels de textométries232 permettent de mieux étudier ce qui se jouent dans les textes notamment les significations. A cet effet voici quelques logiciels qui pourront être utiles aux auteurs qui pourront s’y intéressé selon le modèle de Pincemin Bénédicte :233

  • DtmVic (Data and Text Mining – Visualization, Inference, Classification) développé dans les années 2000, il offre une gamme très complète et approfondie de traitements de type statistique exploratoire multidimensionnelle.
  • Hyperbase sortit en 2011, il se caractérise comme un logiciel particulièrement complet, intégrant la large palette de calculs que son concepteur curieux et dynamique a voulu expérimenter et offrir. Une de ses principales spécialités est le calcul et la visualisation de distances intertextuelles.
  • Hyperbase Web Edition ayant le développement le plus récent car sorti en 2018, il n’a pas encore des fonctionnalités en aussi grand nombre que les autres, mais il intègre une version des calculs les plus centraux (analyse factorielle des correspondances), une fonctionnalité-phare d’Hyperbase (l’analyse arborée), et un calcul de polycooccurrence (sur deux niveaux) doté d’une visualisation dynamique.

 232 On parle de textometrie au sens de Pincemin B. lorsque l’analyse des données est appliquée à un texte.

233 Pincemin B. Op.cit.

Il se présente comme un serveur en ligne, utilisable via un simple navigateur web, sans qu’il y ait d’installation logicielle à faire.

Les limites de ce travail sémiotique : discours managériaux

  • IRaMuTeQ comme l’origine de son nom l’indique, se veut une Interface de R pour les Analyses Multidimensionnelles de Textes et de Questionnaires.

Il a été créé en 2010 et est concrétisée dans le logiciel ALCESTE (diffusé par la société Image), depuis la manière de lemmatiser les mots jusqu’à l’analyse thématique de corpus. IRaMuTeQ est également connu pour ses graphes arborescents de vocabulaire, par analyse des similitudes.

  • Lexico 5 est développé depuis le milieu des années 2010. La visualisation par « carte des sections » est la fonctionnalité centrale, qui permet d’articuler une vue synthétique globale de la répartition d’un mot (ou groupe de mots) au fil du corpus, et l’étude des cooccurrences.

Ce logiciel est capable de traiter de façon efficace et rapide de gros corpus (au moins plusieurs dizaines de millions d’occurrences).

  • Le Trameur a été conçu en 2008, il propose une généralisation du modèle textométrique sous la forme d’une « trame » de mots localisés dans un « cadre » délimitant des zones de contexte.

La principale nouveauté du Trameur consiste à pouvoir travailler sur des textes structurés et annotés. Le Trameur permet la modification, l’ajout et la fusion d’annotations sur les mots en cours d’analyse.

  • TXM a été initié dans le cadre du projet ANR Textométrie (ANR-06-CORP-029), réunissant les équipes de Lyon, Nice, Paris et Besançon.

Le développement a débuté en 2009, avec le double objectif de repenser les calculs textométriques dans le contexte des corpus annotés et structurés, et de concevoir un logiciel modulaire open-source. Une caractéristique générale du logiciel est la recherche de souplesse et de puissance.

En plus de ces 7 logiciels, on peut ajouter tropes, maxqda, sémato, et XLSTAT.

2-2- D’autres disciplines et sciences

►En dernier lieu, en sciences du langage, Marty Robert s’appuie sur une enquête d’un commissariat en Suède pour développer le continuum de son argumentaire. A travers cette enquête, on a découvert que seulement 20 % de notre communication faisait appel au discours.

Les 80 % restants tiennent entièrement du langage gestuel, a expliqué un responsable de la police locale. L’auteur affirme ensuite que « la pertinence épistémologique de la distinction a priori verbal/non-verbal reste donc à établir. »234

Cette distinction justement constitue l’ancrage de la thèse de Losson Olivier qui apporte un début de réponse aux problèmes d’éducation et de communication auxquels la communauté sourde est confrontée.

Il s’appuie sur les LSF pour mettre en évidence les langages mimiques et la communication gestuelle.235 A travers tous ces éléments, un ancrage de ce travail peut se faire également en science du langage.

►Pour conclure en productique : les méthodes de lecture labiales à travers notamment les LPC236 permettent de mieux cerner l’étude sur le geste qui peut être un approfondissement d’un autre travail de recherche.

 234 Marty R. Op.cit.

235 Losson O. Op.cit.

236  Langue française Parlée Complétée

Tables des matières

Listes des sigles et abréviations iv
Liste des schémas vi
Listes des tableaux
Introduction générale 1
1-Contexte de recherche et justification 1
2 – Les objectifs 2
3- Les intérêts 3
4- La revue de littérature 3
5- Cadre théorique, problème et questions de recherches 9
6-Hypotheses 11
7- Cadre méthodologique 12
8- Le plan 13
PARTIE 1: MANAGERS ET DISCOURS MANAGERIAUX SUR LES BASES DE DONNEES 14
CHAPITRE 1 : LES DISCOURS MANAGERIAUX SUR LES BASES DE DONNEES : ESQUISSE TYPOLOGIQUE ET CADRE D’ANALYSE 15
1-Recensement de quelques discours dans les organisations 15
1-1-Discours managérial 15
1-1-1-Historique 15
1-1-2-Conceptualisation 15
1-1-3-Caractérisation 16
1-1-4-Rapports avec les autres discours recensés 17
1-2-Discours patronal 17
1-2-1-Conceptualisation 17
1-2-2-Caractéristiques 18
1-2-3-Rapports avec les autres discours recensés 18
1-3-Discours politique 18
1-3-1-Conceptualisation 18
1-3-2-Justification de cette notion dans ce travail 19
1-3-3-Rapports avec les autres discours recensés 19
1-4-Discours propagandiste 20
1-4-1-Conceptualisation 20
1-4-2-Objectifs 20
1-4-3-Justification de cette notion dans ce travail 20
1-4-4-Rapports avec les autres discours recensés 20
1-5-Discours publicitaire 21
1-5-1-Conceptualisation 21
1-5-2-Objectif 21
1-5-3-Justification de cette notion dans ce travail 21
1-5-4-Rapports avec les autres discours recensés 21
1-6-Discours mythique 21
1-6-1-Conceptualisation 21
1-6-2-Justification de cette notion dans ce travail 21
1-6-3-Rapports avec les autres discours recensés 22
2-Corpus d’analyse 22
2-1-Présentation des deux organisations patronales 22
2-1-1-GICAM 22
2-1-1-1-Le GICAM c’est quoi ? 22
2-1-1-2-Missions, fonctions et rôles 23
2-1-1-3-Adhésion 23
2-1-2-ECAM 25
2-1-2-1-L’ECAM c’est quoi ? 25
2-1-2-2-Missions, fonctions et rôles 25
2-1-2-3-Adhésion 27
2-1-3-Présentation simplifiée des deux patronales 28
2-2-Classification organisationnelle 29
2-3-Originalité de ce travail 30
CHAPITRE 2 : LES ORGANISATIONS PATRONALES AU CAMEROUN : GESTION RELATIONNELLE, REPRESENTATIVE, ET RAPPORT THEORIQUE 32
1-Gestion relationnelle et représentative des managers au sein des organisations patronales 32
1-1-Gestion relationnelle 32
1-1-1-Objectifs des organisations patronales 32
1-1-2-Centres d’intérêts des organisations patronales 32
1-1-3-Le pouvoir dans une relation 33
1-1-4-Relations entre employés 33
1-1-5-Relations entre organisations patronales et politiques 34
1-1-6-Relations entre organisations patronales et gouvernement 35
1-1-7-Relations entre organisations patronales et médias 35
1-1-8-Relations entre organisations patronales et certains bourgeois 36
1-1-9-Justification de l’analyse sur la gestion relationnelle 36
1-2-Gestion représentative 37
1-2-1-La représentativité et la communication engageante 37
1-2-2-La représentativité au sens de Marty Robert 37
1-2-3-La représentativité organisationnelle 37
1-2-4-Rapports autour de la représentativité et justifications 38
1-2-4-1-Rapport avec le traitement du signe 38
1-2-4-2-Rapport entre gestion représentative et relationnelle 38
2-Rapports entre les différentes théories 38
2-1-La théorie de construction et de déconstruction 39
2-1-1-Conceptualisation 39
2-1-2-Importances de cette théorie 40
2-1-2-1-En communication 40
2-1-2-2-En science du langage 40
2-1-2-3-En sémiotique 41
2-1-3-Rapports 41
2-1-3-1-Rapport entre sémiotique et communication à travers cette théorie 41
2-1-3-2-Rapport entre communication financière et discours managérial par le biais de cette théorie 42
2-2-Analyse thématique 43
2-2-1-Conceptualisation 43
2-2-2-Rapports à ce travail 44
2-3-Analyse de contenu 45
2-3-1-Conceptualisation 45
2-3-2-Rapports avec d’autre théorie 45
2-4-La sémanalyse 46
2-4-1-Conceptualisation 46
2-4-2-Rapport à ce travail et application 46
2-5-La scène pratique 46
2-5-1-Conceptualisation 46
2-5-2-Rapports à ce travail 46
2-6-La Phanéroscopie 46
2-6-1-Conceptualisation 46
2-6-2-Rapports à ce travail 47
2-7-Le structuralisme 47
2-7-1-Conceptualisation 47
2-7-2-Rapports à ce travail 47
2-8-Théorie de la dérivation 47
2-8-1-Conceptualisation 47
2-8-2-Rapports à ce travail 48
2-9-La théorie des ECM 48
2-9-1-Conceptualisation 48
2-9-2-Rapports à ce travail 48
2-10-La théorie de la contingence 48
2-10-1-Conceptualisation 48
2-10-2-Rapports à ce travail 49
2-11-La théorie de la traduction 49
2-11-1-Conceptualisation 49
2-11-2-Rapports à ce travail 49
2-13-Théorie des représentations sociales 50
2-13-1-Conceptualisation 50
2-13-2-Rapport à ce travail 50
2-14-Théorie de l’engagement et de l’identification de l’action 50
2-14-1-Conceptualisation 50
2-14-2-Rapports à ce travail 50
PARTIE 2 : APPROCHE SEMIOTIQUE SUR LES DISCOURS MANAGERIAUX 52
CHAPITRE 3 SEMIOTIQUE DE LA NOTION DE BASE DE DONNEES DANS LES DISCOURS MANAGERIAX 53
1-La sémiotique au sein des organisations patronales 53
1-1-Presentation de l’auteur 54
1-2-Histoire de la sémiotique 54
1-3-Roles de la sémiotique 54
1-4-Courants de pensées en sémiotique 56
1-5-Objectif de la sémiotique 56
1-6-Avantages de la sémiotique pour les sic 57
1-7-Justifications 57
1-7-1-Justifications des travaux sur la sémiotique 57
1-7-2-Justifications sur l’étude du signe au sein de la sémiotique 58
1-7-3-Justifications de l’insertion du concept base de données dans la titraille 59
1-7-4-Justification de l’embranchement sur une étude sémio-qualitative des discours 59
1-7-5-Rapport entre la sémiotique et les sic 60
2-Pertinence de l’étude sur les significations en sic 60
2-1-Faire les études sur les significations c’est quoi ? 60
2-2-La référence des significations 62
2-3-Justification de l’étude des significations en sic 63
CHAPITRE 4 ENJEUX (DEFIS) ORGANISATIONNELLES ET COMMUNICATIONNELLES DES DISCOURS MANAGERIAUX SUR LES BASES DE DONNEES 65
1-Adaptation, interprétation, et dysfonctionnement des informations signées au sein des patronales 65
1-1-Histoire du signe 65
1-2-Définition du signe 66
1-3-Les trois facettes d’un signe 66
1-4-Cirluation du signe 67
1-5-Les éléments constitutifs d’un signe 69
1-6-Domaines d’étude du signe 69
1-7-Localisations des signes 70
1-7-1-Localisation en général 70
1-7-2-Localisation en herméneutique 70
1-8-Outils pour étudier le signe 71
1-9-Les types de signes 71
1-10-La référence des signes 71
1-11-Le signe en psychologie 72
1-12-Le signe en communication 72
1-13-Adaptation du signe 73
1-13-1-Adaptation en science du langage 73
1-13-2-Adaptation en organisation 73
1-14-Interpretations du signe 74
2-Cohesion, harmonie, pérennité et visibilité autour de la communication pour la production des informations signées 75
2-1-Production dES information signées 75
2-2-Les informations signées 77
2-2-1-Pour la construction d’une information 77
2-2-2-Importances 78
2-2-3- Pérennités 78
2-2-4-Cohesion 79
2-2-5-Le contexte informationnel 80
2-2-6-Visibilite 80
2-3-Interpretations 80
2-4-Justifications sur le pôle d’émission 81
2-5-Rapports entre informations signées et sémiotiques 82
2-6-Position scientifique de ce mémoire 83
2-7-Mise en place d’une situation de communication 83
2-8-Problemes majeurs des patronales 84
CONCLUSION GENERALE 85
1-LES DIFFICULTES ET LIMITES DE CE TRAVAIL 85
2-PISTES DE RECHERCHES 85
2-1-En communication des organisations 85
2-2-D’autres disciplines et sciences 88
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

Pour citer ce mémoire (mémoire de master, thèse, PFE,...) :
Université 🏫: Université de Douala - Ecole Doctorale : Sciences sociales et Humaines - Département de Communication - Unité de formation : Sciences Humaines, Littérature et Communication
Auteur·trice·s 🎓:
MWET ATTI BONANE Bernard Moise

MWET ATTI BONANE Bernard Moise
Année de soutenance 📅: Laboratoire des Arts et Communication - Mémoire soutenu en vue de l’obtention du master II en communication des organisations - 2021/2030
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