Les règles de la réanimation de la démocratie RRD

Les règles de la réanimation de la démocratie RRD

§2. Les règles de la réanimation de la démocratie « RRD »

Il s’agit d’un schéma solutionnel qui s’érige en une prescription médicamenteuse pour sauver les états postcoloniaux africains. Nous estimons que pour arriver à la démocratie participative il faut préalablement réanimer la démocratie, et ce à la fin de la réanimation qu’on aboutira à la Démocrite participative.

Les règle de la réanimation de la démocratie est un schéma solutionnel que nous avons tiré de la médecine générale ou des enseignements réservé à la formation de médecin et des infirmiers autrement appelé les ABCD de la réanimation.

2. 1 le postulat général des ABCD de la réanimation

En médecine générale, les ABCD de la réanimation sont des pistes de solution pour une prise en charge ou l’application de soins médicaux en cas d’urgence. Il existe à cet effet quatre types d’urgence421 :

  • L’urgence vitale : elle met en jeu le pronostic vital détresse cardio-respiratoire, syndrome hémorragique, accident neurologique
  • L’urgence vraie : elle n’engage pas le pronostic vital mais nécessite des soins rapides. Colique néphrétique, laryngite, fracture conclusion, appendicite, état d’agitation
  • L’urgence ressentie : le patient peut légitimement penser que son état nécessite des soins urgents, alors qu’il ne souffre d’aucune pathologie grave fièvre isolée, douleur abdominale, douleur thoracique atypique.
  • L’urgence de confort : le patient majore les symptômes pour obtenir de soins dont l’urgence n’est pas justifier pilule oubliée, arrêt de travail, insomnie

421 Mallard, B. , urgence Réanimation, paris, ed. Estem, 2010, p.

Ainsi le médecin ou l’infirmier ne pas tenue d’appliquer obligatoirement toutes les règles de la réanimation car tout dépend maintenant de la situation de l’urgence dans laquelle il se trouve. Le médecin fera usage suivant le cas de :

  • La première règle « A »= « Air ways » : Avant toute réanimation il faut désobstruer toute les voies respiration. Ici, il s’agit de découvrir le problème ou la source du problème.
  • La deuxième règle « B » = «Briphing » : cette règle veut que l’on donne au patient en détresse de l’oxygène.
  • La troisième règle « C » = «circulation » : il s’agit de traiter l’anémie pour éviter le choc.
  • La quatrième règle « D » = « déshydratation » : il s’agit de passer à la phase de la transfusion ou de la perfusion quand la déshydratation est grande. Afin d’éviter que le patient tombe dans le coma.

Ce sur base de ces règles de réanimation d’origine de la médecine générale que nous voulons tiré notre remède pour sauver les Etats postcoloniaux africains, qui au fait, souffre de la maladie grave qui est le sous-développement avec tous ces corollaires pauvreté, dégradation de condition de vie, maladie endémique, chômage etc. .

C’est dans ce que KADONY. N. va jusqu’à considérer que « l’Afrique est malades des impuissances en R. I. » ; d’où il faut assurer une thérapie pour l’Afrique.

Celle-ci ne pourra réussir que si nous puisons dans le domaine de la médecine des solutions adéquates pour les appliqués dans le domaine des R. I. ici nous faisons allusions précisément au domaine de l’Afrique qui veut sortir du retard dans le processus de développement. .

2. 2. Application des R. D. D en Afrique postcoloniale

La démocratie n’a pas permise depuis sa restauration en 1990 de déclencher un processus véritable développement en Afrique postcoloniale. L’Afrique est restée à la trainé du développement; tout est au rouge et l’Afrique va mal.

L’Afrique est véritablement dans l’état de choc, c. à. d. elle est défaillante sur le plan politique et socio-économique de manière aigue, cette défaillance est accompagnée d’une une paralysie qui le rend incapable de jouer un rôle important et influent sur la scène internationale, et d’une souffrance dirigeante du fait de l’incapacité des gouvernants à fournir à la population ce qu’il faut pour leur bien-être et leur sécurité. On assiste à la disparition de l’Etat-providence et l’Etat gendarme.

Ainsi, pour que la démocratie produise des fruits escomptés en Afrique postcoloniale, il faut procéder par sa réanimation. Ce de cette façon seulement que l’Afrique peut revivre, et la démocratie ne sera plus un « luxe » pour l’Afrique comme le pense certains auteurs.

Avant de proposée la prescription médicamenteuse. Il sied de souligner que l’Afrique est dans « l’urgence vraie » : car l’ère de pronostic vital est dépassé René Dumont et pleins d’autres auteurs en ont fait brillamment ce travail, l’ère est maintenant venue pour l’application de soins rapide. Ce soin rapide suivra les processus des ABCD de la réanimation de la démocratie, de manière ci- après422 :

422 Lire a ce sujet Gay Bernard, médecine générale, paris, 2003. Et Barbara Mallard, IDEM

1ère Etape : Air ways démocratique

Il faudra à ce niveau que les Africains commencent par découvrir le problème qui freine l’instauration d’une véritable démocratie, cette démocratie de développement.

Nous estimons pour notre part que le problème qui bloque l’instauration de cette démocratie développement, c’est l’homme africain lui-même. Cet homme est un « homme désintégré », corrompu par les cultures occidentale a tel point qu’il est embrouillé et devient acculturé.

Le deuxième problème qui empêche l’établissement d’une démocratie capable de placer l’Afrique sur la ligne du processus de développement, Ce sont les institutions politiques Africaines qui manifestent une illégitimité à outrance.

Une fois cette étape accomplie, il est possible de passer à la prochaine étape aussi capitale.

2ème Etape : Briphing démocratique

A ce niveau, il faudra oxygéner l’Afrique ou encore les africains doivent s’oxygéné. Ce pourquoi nous suggérons ici une éducation de l’homme Africain, non pas un pseudo éducation qui a souvent conduit à la formation des « hommes instruits » depuis l’indépendance jusqu’à nos jour.

Mais une éducation qui pourra conduire à la formation des « intellectuels » c. à. d. « ceux qui travaillent pour l’intérêt général, ils ont une vision globalisante pour le bien-être de la société toute entière, ils ont le souci de repenser le système social d’oppression de la minorité423 ». Il faudra donc que les Africains renforcent l’éducation surtout civique pour accroitre les nombres des intellectuels.

Car jusqu’aujourd’hui, nous pouvons réaffirmer « qu’il existe peu d’intellectuels, et ces derniers se contractent dans l’oscillation, la timidité, la phobie et l’amorphisme. Ils attendent mélancoliquement le messie hypothétique» Pour venir changer par un coup de miracle la situation de l’Afrique.

423 NDABAREYE, N P. et KADONY, N K. , « socialisme scientifique et socialisme africain : divergence ou convergence », in CEPAC, nº13, juin 1989, pp. 39-40.

Il faudra également, après avoir trouvé la solution pour l’homme, en trouvé aussi pour les institutions. En effet, les institutions politiques doivent-être revues non seulement suivant l’axe de leur légalité mais aussi et surtout celui de leur légitimité.

Cette dernière notion est essentielle du fait qu’elle renvoie à l’acceptation « anthropologique » du pouvoir tel qu’il se présente, par la population. Ce de cette manière qu’on évitera les différentes contestations du pouvoir qui se soldes à des rebellions de tout genre.

Une fois que le problème a été découvert et que les solutions de l’éducation pour l’homme et la légitimité pour les institutions politiques Africaines sont résolus. il faudra passer alors à une autre étape qui permet d’éviter la régression ou le retour au point zéro.

3ème Etape : Circulation

L’anémie dont-il est question pour le cas de l’Afrique, c’est la perte de ses ressources naturelles et humaines424. Une perte qui a engendré la précarité, la pauvreté, la faim, bref, le « sous-développement du sous-développement ».

C’est pourquoi nous proposons que les africains se mettent au « travail » pour éviter d’être à la merci des institutions financières internationales et des certaines puissances qui leurs contraints d’adopter de Comportement de fois impopulaires, dégradante, honteuse et non démocratique.

Un paradoxe inimaginable, les mêmes enseignant de la démocratie sont les premiers à donner des directives antidémocratiques comme le plan d’austérité contraire sur le plusieurs angles à la déclaration universelle de droit de l’homme dont-ils sont le principaux constructeurs.

Donc le travail est le seul moyen qui rendra les africains responsables et autonomes sur la scène internationale, et si les africains ne se mettent pas au travail, ce sera le coma qui attendra leurs Etats Africains, et dans cet optique envisagé la démocratie développante serait une perte de temps.

Une fois la troisième étape est accomplie, il sera nécessaire de passer à la dernière étape qui semble être très importante, sans cela l’Afrique pourra être dans l’échec ou le coma éternel.

4ème Etape : Déshydratation

L’Afrique en générale et certains Etats en particuliers RDC, Somalie, Madagascar ont atteintes le paradoxisme des antivaleurs corruption, détournement, injustice, inégalité croissante etc. ces Etats ont besoin d’être perfuser par la sanction.

En effet, l’instauration de la sanction qui aura un caractère impartial, permettra de lutter contre l’impunité et les inégalités dans chaque Etats africains.

Conclusion partielle du sixième chapitre

Le bilan de la démocratie en Afrique postcolonial cinquantenaire est alarmant. Apres plusieurs analyses qui ont suivies la trajectoire de trois régions de l’Afrique Afrique de l’Ouest, de l’Est et du centre, on se rend compte que l’Afrique est pareille dans sa totalité.

Le tableau économique, politique et social des Etats africains démontrent clairement la faillite de la démocratie qui avait suscitée au départ, plusieurs espoirs de développement et de changement.

Toutefois, nous ne pouvons ignore les efforts fournis par certains Etats démocratique à l’instar du Benin et du Sénégal dans le domines politique, qui en fait, présentent des signes positif de la libéralisation de la vie politique avec comme illustration la réussite de l’organisation des élections démocratique et la pratique de l’alternance politique.

Pour le reste des Etats, on constate simplement qu’après 50ans d’indépendance, ces Etats ont du mal à aller vers une démocratie véritable ou, ont encore du mal à décoller et à se concentrer sur des stratégies de sortie du sous- développement et de la pauvreté qui commence à atteindre son paroxysme.

Dans ce sens le rapport de PNUD2010 fait état de l’IDH de ces pays et, certains d’entre eux sont dans le bas classement, notamment la RDC, le Congo, la RCA, la somalie, le Tchad. D’où la démocratie n’a pas libéré l’Afrique de carcan de la pauvreté, de la mauvaise gouvernance, et du sous- développement.

Pour chuter avec ce chapitre, nous avons proposé une véritable alternative de société qui s’inscrit dans une démocratie dite participative, et dans un schéma préalable des conditions que nous établissons en termes de prescription médicamenteuse. il s’agit des règles de la réanimation de la démocratie ou encore les ABCD de la démocratie.

Les règles de la réanimation de la démocratie RRD

Conclusion générale

Il n’est pas aisé de conclure un travail scientifique comme le nôtre que de l’introduire. Toutefois, puisque nous en sommes à l’orée et, étant donné que la tradition scientifique et académique l’exige, nous tenterons dans les lignes qui suivent de conclure cette étude qui a portée sur thème ci-après : « Les Etats post coloniaux et la problématique de la démocratie en Afrique : bilan de 50 ans »

Apres plusieurs études effectuées brillamment par des chercheurs aussi avérés talentueux à l’instar de Farès, Beauchamp, Seck, kikassa, Aboukar Diop, etc. il était urgent pour notre étude d’ouvrir des nouveaux prismes d’interrogations pour nous démarquer des études précédentes.

D’où nous avons soulevé une problématique qui se schématise à trois questionnements, à savoir : « quels sont les problèmes de la démocratie en Afrique post coloniale ? Quel bilan pour les 50 ans d’indépendance ? Et enfin quelles en sont les perspectives ? »

L’objet d’étude de notre travail a transpiré de cette problématique soulevée.

Les efforts fournis pour atteindre cet objectif ont nécessités que notre argumentation soit fragmente en six chapitre, et le traitement de phénomènes étudié a été rendu possible par l’usage de la méthode historique.

Le premier chapitre était consacré au cadre conceptuel et théorique, nous nous sommes préoccupés de cerner la notion de l’Etat dans une première section, à ce niveau, il était question de définir l’Etat, de discuter sur sa formation et de dégager sa mission, ses formes et ses éléments constitutifs.

Dans une deuxième section, il était question d’étudié l’histoire de la colonisation de l’Afrique. Nous nous somme attardé d’étudié la colonisation de l’Afrique à la fin du 19e siècle avec la conférence de Berlin de 1885 comme détonateur, pour déboucher à la fin des années 50 sur les indépendances des pays africains.

Cette section à chuter par une analyse des caractères généraux des Etats postcoloniaux africains. La dernière section de ce chapitre se penche sur l’histoire de la démocratie en Afrique. Il était principalement question d’étudié le multipartisme en Afrique, l’organisation de la conférence nationale et enfin l’alternance politique en Afrique.

Le deuxième chapitre été complémentaire au premier, dans le sens où il était question de cerner la notion de la démocratie. En effet, la démocratie entendue comme étant le pouvoir pour le peuple et par le peuple, selon la formule de Lincoln, soulève débat qui se parcellise en deux tendance, d’une part la tendance qui considère la démocratie comme pouvoir du peuple, et d’autre part la démocratie vue comme une démocratie électorale.

Pour mieux appréhender le fonctionnement de la démocratie dans le monde et en Afrique en particulier, nous avons procédé à la classification de la démocratie et, nous avons dégagé les principes et les exigences de la démocratie.

Le troisième chapitre a abordé l’analyse de l’Etat de lieux des Etats postcoloniaux africains. Ici, nous avons en avance anticipé nos conclusion en affirment que les Etats post coloniaux se portent mal.

Leur situation politique calamiteuse se manifeste dès les années 1960 par une recrudescence de coups d’Etat, au point que l’histoire ayant trait au pouvoir politique post coloniaux révèle que les coups d’Etat ont fait défiler n’importe qui, importe quand au commandement des Etat africains.

L’enjeu excessif du pouvoir, ou encore la question de la légitimité du pouvoir peuvent justifier ce phénomène des coups d’Etat récurrentes en Afrique. L’ouverture à la démocratie n’a pas mis fin à ce phénomène ; les coups d’Etat refont surface et, ils sont plus pire que celle de lavant démocratie car, les coups d’Etat actuels sont accompagnés du soutien morale de la population.

Nous avons également souligné dans ce chapitre que, les africains ont abandonnés le multipartisme de l’indépendance pour se loger dans le monopartisme, qui en fait, favorisa la pérennisation, le culte de la personnalité des hommes au pouvoir. Le retour au multipartisme durant les années 1990 n’a pas résolu le problème de l’alternance politique.

Dans un tel contexte, les guerres civiles n’ont pas tardées à surgir et faire de l’Afrique le maillon faible. De cette manière, ce chapitre s’est étalé sur cinq sections, à savoir le monopartisme africain, les transitions politiques interminables, la recrudescence des coups d’Etat, et enfin les guerres civiles.

Le quatrième chapitre de notre étude a porté sur la démocratisation des régimes politiques africains . nous avons démontré dans ce chapitre que la décennie 90 marque véritablement une ère d’espoir et de changement pour les africains. Un peu partout en Afrique, des présidents tout puissants sont obligés de lâcher du lest, et dans le meilleur de cas, il quittent le pouvoir aux termes des élections.

D’où la démocratisation des régimes politiques africains s’observe à travers plusieurs signes dont : la fin du parti unique et l’ouverture au multipartisme, la multiplicité des organes presse, la renaissance coopérative, et l’organisation des élections. Ces signes marquant l’ouverture démocratique en Afrique ont fait l’objet chacun d’eux d’une section de ce quatrième chapitre.

Le cinquième chapitre de ce travail été consacré à l’étude de la problématique de la démocratie en Afrique : bilan de 50 ans d’indépendance » ; Nous avons dégagé déjà à ce niveau un bilan totalement négatifs.

Ce constat amer de la vie démocratique en Afrique post coloniale est dû à plusieurs problèmes, entre autre, les problèmes des droits, les problèmes de l’indépendance de la justice et du parlement, de la politisation de l’armée, les problèmes d’organisation des élections libre, transparentes et démocratique ; et enfin les problèmes de la gouvernance politique. Chacun de ces problèmes a été traité de manière particulière dans les sections qui ont constituées ce chapitre.

Le sixième chapitre se penché sur le bilan et perspective de 50 ans d’indépendance des Etats africains. Deux grandes sections ont constitués l’architecture de ce chapitre. La première section a établi le bilan de la démocratie en Afrique à l’ère de cinquantenaire.

Nous nous somme pencher sur trois régions Afrique de l’Ouest, de l’Est, et l’Afrique centrale pour mieux établir les réalités politiques, économique et sociales de l’Afrique.

Parmi les trois régions précitées, seule l’Afrique de l’Ouest qui présente un bilan plus au moins bon de la démocratie à cause des efforts fournis par le Benin et le Sénégal en direction de la démocratisation de la vie politique par l’organisation des élections libre, transparente et démocratique, et par la promotion de l’alternance politique.

En tout cas vu de l’extérieur. Cependant, l’Afrique de l’Est et l’Afrique centrale présentent un bilan triste, alarmant de la démocratie sur le plan économique, politique et sociale. En observant la vie politique et socioéconomique de ces pays, tout porte à croire que l’Afrique est encore à son premier pas vers la démocratie et développement.

Sur le plan socioéconomique, le rapport du PNUD2010 le démontre biens en classant les Etats comme la RD Congo au dernier rang du classement des Etats. sous l’angle politique, l’Afrique présente le pire de scenario de la mauvaise gouvernance :la démocratie électorale n’est qu’ une farce destinée à contenter, à plaire la communauté internationales ; les droit et libertés consacrés par les constitutions nationales de ces pays, sont largement violés, bafouer par les dirigeants politiques ; les constitutions sont élaborées à la mesures des ceux qui sont au pouvoir et, sont amendées ou réviser à chaque fois quel ne répondent plus aux désire et aspiration des dirigeants.

Toutefois nous devons reconnaitre les efforts de la pratique de la démocratie dans un bon nombre des pays africains à l’instar de la RDC, de Cote d’ivoire, du Sénégal, du Madagascar, etc. Mais ces efforts sont trop infime pour positivé le bilan de 50 d’indépendance.

a deuxième section s’est attelée sur le perspectives solutionnelle pour l’Afrique. Nous avons estimé qu’une véritable alternative de société devait s’inscrire dans un type de démocratie et un schéma préalable de condition de réparation de la démocratie.

Une telle vision lavons nous souligne, sera certes taxée d’utopique, mais nous ne pouvons ignorer le fait « qu’à certains moment donné de histoire l’utopie aussi recèle une force créatrice ».

D’où nous avons proposé d’une part la démocratie participative comme le type démocratie appropriée pour l’Afrique. Et d’autre part, l’application des règles de la réanimation démocratie ou les ABCD de la démocratie.

Ces derniers sont une prescription médicamenteuse pour une Afrique malade et en état d’urgent.

De cette manière, nous réaffirmons encore que les africains doivent fournir des efforts pour consommer les médicaments que nous avons prescrit dans le cadre ce travail, au cas contraire les 50 ans avenir seront de larmes, de feu, de sang, et de faim pouvant conduire a un dépérissement véritable et total de l’Afrique.

Bibliograhie & Webographie

Pour citer ce mémoire (mémoire de master, thèse, PFE,...) :
📌 La première page du mémoire (avec le fichier pdf) - Thème 📜:
Les États postcoloniaux et la problématique de la démocratie en Afrique
Université 🏫: Université de Lubumbashi - Faculté des Sciences Sociales
Auteur·trice·s 🎓:
Douceur Kadony

Douceur Kadony
Année de soutenance 📅: Politiques et Administratives. R. I. , juillet2013
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