Discussions empiriques sur la rentabilité des banques

Discussions empiriques sur la rentabilité des banques

La rentabilité des banques

I. Discussions empiriques sur la rentabilité des banques

Nous présentons quelques travaux empiriques déjà menés sur la rentabilité des banques en mettant en exergue les contributions et limites de chaque étude et en comparant les résultats afin de mieux positionner notre recherche.

Les deux premières études analysent les déterminants de la rentabilité des banques en dehors de l’Afrique; ensuite, nous présentons deux autres études menées dans le contexte africain : l’une, analyse les déterminants de la profitabilité des banques dans l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) et l’autre, analyse la rentabilité des banques marocaines.

Enfin, nous allons clore nos discussions empiriques en présentant deux études menées en République Démocratique du Congo.

1. Approche économétrique des déterminants de la rentabilité des banques européennes (Yao, 2005)

Dans son article, Yao, K.(2005) analyse la rentabilité des banques dans six pays européens (28 banques allemandes; 21 banques belges; 19 banques françaises;32 banques luxembourgeoises; 14 banques anglaises; et 22 banques suisses) entre 1994 et 1997. L’objectif de l’étude était de montrer comment les caractéristiques des banques et l’environnement financier affectent la rentabilité des banques européennes.

L’auteur a utilisé un modèle à effet fixe en adaptant la formulation linéaire de Bourke (1989) avec une structure de la matrice variance covariance des erreurs sans corrélation et Homoscédasticité. Trois variables ont été expliquées : le rendement des capitaux (ROE), le rendement des actifs (ROA) et le rendement de la valeur ajoutée par rapport au total des actifs (Bénéfice avant impôts + Charges personnel + provisions sur pertes / Total actif).

Les variables exogènes retenues dans le modèle sont : le frais du personnel (Frais du personnel/Total actif); le ratio de liquidité (Caisse + dépôts bancaires+ valeurs mobilières/Total actif et le ratio du capital (Capital + réserve/ Total actif).

Quant aux variables exogènes externes, il y a le ratio de concentration : il s’agit de la part des actifs des dix plus grandes banques par rapport au total des actifs; la propriété des banques par le gouvernement; le taux d’intérêt; la structure de marché; l’inflation et le PIB.

Son étude a abouti aux résultats suivants :

  •  L’augmentation des frais de personnel améliore la rentabilité des banques européennes car, lorsqu’il est bien rémunéré, le personnel a tendance à se consacrer plus à son travail; ce qui accroît sa productivité
  •  Le taux d’intérêt nominal long terme sur obligations influence positivement et significativement le niveau de la marge dégagée par l’industrie bancaire et sur la rentabilité;
  •  L’implication de l’Etat en tant qu’actionnaire semble être négativement corrélée avec la rentabilité des banques;
  •  Le ratio de liquidité est négativement corrélé avec la rentabilité. Car les liquidités détenues par les banques ont généralement un coût. Ces résultats ont été identiques à ceux de Molyneux et Thornton (1992) mais sont en désaccord avec ceux de Bourke (1989) qui trouvait une relation positive statistiquement significative;
  •  Il existe une relation positive et significative entre la rentabilité et les ratios de capital. Bourke (1989); Molyneux et Thornton (1992) ont eu à trouver les mêmes résultats.

La contribution de l’auteur est l’ajout d’un autre indicateur de mesure de la performance des banques; il s’agit du rendement de la valeur ajoutée par rapport au total des actifs (Bénéfice avant impôts + Charges personnel + provisions sur pertes / Total actif).

2. Analyse des déterminants de la rentabilité des banques commerciales saoudiennes (Abderazek, 2010)

L’objectif poursuivi par l’étude était d’analyser le lien entre d’une part, la rentabilité (Variable endogène) mesurée par la ROE, ROA et MIN (Marge d’intérêt net) et d’autre part, les facteurs internes et externes au système bancaire saoudiens.

L’étude a porté sur un panel cylindré de dix banques commerciales sur une période allant de 1999 à 2007. Les paramètres ont été estimés à partir d’un modèle à effet individuel fixe et à partir de la méthode de moindre carré; son étude a abouti aux résultats suivants :

  •  La variable adéquation du capital est positive et significative au seuil de 1% pour les 3 cas. Ces résultats sont conformes aux prédictions de l’auteur et sont identiques aux résultats trouvés par (Yao, 2005)
  •  Le signe du ratio allocation des dépôts est positif et significatif au seuil de 1% pour ROA et 5% pour ROE cela implique que les banques saoudiennes financent une grande partie de leur actif productif par des dépôts sans recourir à des ressources externes coûteuses;
  •  Le coefficient net d’exploitation indique une relation inverse et significative au seuil de 1% avec ROA et ROE;
  •  La taille de la banque a une relation positive et significative au seuil de 5 % avec ROA et 1% avec MIN;
  •  Il y a une relation inverse et significative au seuil de 1% entre le ratio de liquidité et la rentabilité mesurée par la marge d’intérêt net (MIN). Les banques les plus liquides détiennent un niveau de capital et de risque très élevé.
  •  Le risque de crédit n’est pas significatif pour les banques saoudiennes; car elles arrivent facilement à recouvrer leurs créances;
  •  Il existe un lien significatif entre le taux de croissance de l’économie mesuré par le PIB et le niveau de rentabilité des banques;
  •  Concernant, les croissances du taux d’inflation et du taux interbancaire, l’étude a montré que leur effet est faible et non significatif sur la rentabilité des banques saoudiennes.

Dans son article, Abderazek S.(2010) mesure la rentabilité des banques à l’aide de trois differentes variables endogènes : ROA, ROE et MIN tout en utilisant les mêmes variables exogènes (Déterminants internes et externes) pour chaque variable endogène.

L’avantage que cette approche présente est d’identifier le modèle le plus significatif; dans le cas de son étude, le modèle avec la ROA comme variable endogène a une meilleure qualité d’ajustement car le coefficient de détermination est de 75,4%; contrairement aux modèles ROE et MIN, qui présentent des coefficients de détermination respetivement de 68% et 51%.

Partant de l’équation : 𝑅𝑂𝐸 = 𝑅𝑂𝐴 × 𝐿𝑒𝑣𝑖𝑒𝑟 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑟, dans son article, l’auteur a tenu compte du ratio de levier à travers l’adéquation du capital qui est un facteur qui influe sur la ROE. Un ratio de levier financier très élevé pour une banque pourrait l’exposer à un risque d’insolvabilité car le financement des opérations de crédit se fait plus avec les dépôts plutôt qu’avec les fonds propres de la banque.

Toutefois, étant donné que la ROA et le ratio de levier entrent dans le calcul de la détermination de la ROE, nous pensons qu’il est préférable de se limiter à estimer un seul modèle avec la ROE comme variable endogène.

Concernant le modèle avec comme variable endogène, la marge d’intérêt net (MIN), qui mesure les revenus nets dégagés par rapport aux actifs productifs (crédits et titres).

Nous pensons que cette variable qui est considerée par l’auteur comme étant endogène, peut également être une variable exogène qui explique la ROE car ce ratio est proche du ratio de rotation d’actif; donc, la capacité à transformer rapidement les crédits octroyés en intérêt reçu par la banque.

3. Mesure de la performance des banques dans les pays en développement

Le cas de l’UEMOA (Union Economique Et Monétaire Ouest Africaine) (Kablan , 2007)

L’un des objectifs poursuivis par l’étude était celui d’identifier les facteurs spécifiques aux banques de l’UEMOA qui influent sur leur efficacité après la restructuration du système bancaire survenue de 1993 à 1996. L’étude a été menée sur un échantillon de 35 banques des pays suivants : Bénin, Burkina Faso, Côte d’ivoire, Mali, Sénégal et Togo.

L’auteur a prouvé que l’efficacité-coût des banques est impactée positivement et significativement par la part des capitaux propres dans l’actif total. Ce résultat a également été trouvé par (Allen et Rai,1996); (Yao, 2005) et (Abderazek, 2010).

Une analyse plus détaillée (par groupe de banques) a également démontré que les banques locales à capitaux privés sont les plus efficientes suivies par les banques étrangères, puis des banques étatiques qui présentent les degrés d’efficacité-coût et technique les plus faibles.

L’auteur a fini par proposer principalement deux recommandations : La première permettra aux banques de réaliser des économies d’échelle. L’auteur propose que les autorités mettent en œuvre des mesures (notamment la promotion d’une bancarisation plus importante au sein des populations des pays de l’UEMOA) permettant aux banques par le biais des économies d’échelle d’incorporer de manière effective les changements technologiques.

La mise en place des guichets automatiques par exemple rendrait certains services bancaires plus accessibles aux clients et donc aurait un impact plus important sur la performance des banques.

Etant donné que la Fintech bouleverse actuellement le business model des banques, l’apport de l’auteur permettra non seulement aux banques de s’insérer aux changements de l’environnement technologique afin de maintenir leurs performances, mais aussi, à baisser certains coûts à l’interne afin d’être efficient.

La deuxième recommandation concerne la gestion interne des banques; l’auteur recommande à ce que l’autorité monétaire veille à la santé financière des banques de la zone et particulièrement à leur capacité à financer leurs actifs immobilisés par leurs fonds propres.

A cette recommandation, nous pouvons insister surtout sur le financement des actifs circulants; que l’on peut considérer dans le cadre d’une banque comme étant des crédits octroyés. Il sera donc important que les autorités limitent la prise de risque excessif en utilisant les fonds du public pour financer les crédits.

4. La rentabilité des banques et ses déterminants: Cas du Maroc ( Mansouri & Afroukh , 2009)

Son étude explique la performance financière (mesurée par les rendements sur actifs et les marges d’intérêt) de 5 banques marocaines sur une période allant de 1993 à 2006 à partir des variables organisationnelles, macro-financières et macro-économiques.

L’auteur est principalement parti des hypothèses suivantes :

Il suppose que plus les charges d’exploitation bancaire augmentent plus la rentabilité se dégrade et, de ce fait, une meilleure gestion des charges peut aboutir à des niveaux très élevés de performance; Le ratio du capital est supposé alors avoir un effet positif sur la performance bancaire.

En utilisant le modèle linéaire de (Bourke, 1989) avec un modèle à effet individuel sur des données de panel, l’auteur a abouti aux résultats ci-après :

* La rentabilité des actifs (ROA), est affectée négativement par les charges générales, ce qui fait que les banques marocaines puissent respecter un ratio de coefficient d’exploitation qui ne dépasse pas 70%;

* Il existe une relation négative entre la rentabilité et le niveau des capitaux propres. Selon l’auteur, la règlementation prudentielle influe sur la rentabilité car elle impose aux banques un niveau minimum de couverture des emplois par des ressources stables; Ces résultats sont conformes aux études de (Abderazek, 2010); (Yao, 2005) et (Kablan , 2007). La seule différence est au niveau de la mesure des fonds propres. Les trois précédents auteurs ont utilisé un ratio de fonds propres (Actif/Fonds propres); en effet, toute augmentation des fonds propres; réduira le ratio et baissera la rentabilité.

* Le volume des crédits distribués est favorable à la profitabilité des banques;

* Il existe une relation négative entre la taille des banques et leurs rentabilités.

Contrairement aux autres études, l’auteur utilise une dimension temporelle assez grande, soit de quatorze périodes; ce qui permet de mieux observer la tendance des variables dans le temps. Il va plus loin en élargissant l’échantillon à 240 observations grâce à une opération de trimestrialisation des données.

L’une des limites de son étude est de prendre en compte que la rentabilité de l’actif et la marge d’intérêt comme variables de mesure de la performance financière des banques. Une fois de plus, rappelons que ces variables sont incluses dans la rentabilité financière. Donc, il sera plus intéressant d’étudier un indicateur qui englobe toutes les parties prenantes d’une entreprise, plus particulièrement les actionnaires.

5. Déterminants de la rentabilité des banques commerciales en République Démocratique du Congo

Une analyse économétrique en données de panel (Koli, 2013)

L’auteur étudie la performance financière de six banques congolaises (De 2006 à 2012) mesurée essentiellement par le rendement de l’actif (ROA). En utilisant la formulation linéaire de (Bourke, 1989), il spécifie son modèle en utilisant les variables exogènes suivantes : Taille de la banque; ratio des capitaux propres; ratio crédits accordés; Taux d’inflation; PIB par habitants; ratio de la taille du secteur bancaire et le ratio de la concentration bancaire.

Les résultats de son étude ont prouvé qu’au niveau des variables managériales, la taille de la banque, capitaux propres, crédit, impactaient négativement la rentabilité des banques congolaises. Quant aux variables externes, la croissance économique et l’inflation influaient positivement sur la rentabilité de l’actif (ROA); la taille du secteur bancaire et la concentration bancaire affectaient négativement la rentabilité de l’actif (ROA) des banques.

La faible taille de l’échantillon est une limite de son étude car les données longitudinales exigent une grande base pour mieux comprendre le comportement global des individus statistiques.

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6. Déterminants de la Rentabilité Financière des Banques Commerciales en République Démocratique Du Congo de 2005 à 2015 : Etude économétrique (Uvoya, 2015)

Son étude est proche de celle menée par (Koli, 2013). Les deux auteurs poursuivaient le même objectif principal, celui d’identifier les facteurs explicatifs de la performance financière des banques en RDC et ont utilisé la même démarche méthodologique (Spécification linéaire de Bourke avec un modèle à effet individuel) mais avec quelques différences au niveau des variables. (Uvoya, 2015)

Mesure la performance des banques avec la rentabilité financière (ROE) qui est expliquée à partir des variables exogènes suivantes : Rentabilité financière retardée, Total actif, coefficient de fonds propres, coefficient d’exploitation, volume crédit, volume dépôt, ratio crédit/Dépôt, taux d’inflation, taux de croissance du PIB.

Son analyse portait sur trois banques commerciales (BCDC, RAWBANK et TMB) de 2005 à 2015; soit 33 observations. Il a abouti aux résultats suivants :

* Le volume de crédit, le taux de croissance du PIB, le taux d’inflation, le ratio crédit/Dépôt, le total actif et la ROE décalée influent positivement sur la ROE des banques commerciales. Les résultats sur la variable crédit diffèrent de ceux trouvés par (Koli, 2013).

* Le coefficient d’exploitation, les coefficients de fonds propres et le volume de dépôt impact négativement la ROE des banques.

L’une des contributions de l’auteur est le fait de mesurer la performance financière des banques par la rentabilité financière (ROE) car cet indicateur présente l’avantage de prendre en considération les points de vue de toutes les parties prenantes d’une entreprise; l’auteur prend également en compte la rentabilité financière retardée (ROEt-1) qui capte la persistance de la rentabilité financière des banques.

La limite de son étude est au niveau de la taille de l’échantillon; l’auteur a analysé que trois individus statistiques pendant 11 périodes. Et pourtant, l’analyse de données de panel exige un grand nombre d’observations surtout au niveau de la dimension individuelle afin de mieux capter l’homogénéité ou l’hétérogénéité des données.

II. Etudes de cas

Nous avons pris le cas de deux études menées en RDC où les auteurs ont eu à appliquer le modèle de Dupont pour mesurer la performance financière des banques commerciales :

Etude comparative du niveau de rentabilité économique et financière : Cas de l’ECOBANK et TMB (Kapinga, 2018) & Cas de RAWBANK et BCDC (Mbuyi, 2018)

Les deux études poursuivaient principalement deux objectifs : Le premier consistait à vérifier l’une des propositions de Modigliani. et Miller, M. : « La rentabilité économique des entreprises évoluant dans un secteur concurrentiel ne devrait pas être très différente d’une entreprise à l’autre du fait qu’elles sont toutes soumises aux mêmes facteurs de risque opérationnel, mais leurs performances commerciales peuvent les différencier en fonction de leurs tailles et de leurs positionnements sur le marché »; le deuxième , cherchait à comparer la rentabilité financière de deux banques commerciales à partir du modèle de Dupont.

(Kapinga, 2018) a eu à comparer de 2010 à 2013 la rentabilité financière de l’ECOBANK et de la TMB par le modèle théorique de Dupont. (Mbuyi, 2018) compare la rentabilité de RAWBANK et celle de BCDC de 2009 à 2013.

Apres analyse, les auteurs ont abouti aux résultats suivants : (Kapinga, 2018) a prouvé que la rentabilité financière de deux banques a eu à évoluer progressivement. Au niveau de l’ECOBANK, cette performance s’explique principalement par la marge nette et la rotation d’actif. Pour la TMB, le niveau de performance a surtout été influencé par le levier financier.

Les résultats de (Mbuyi, 2018) ont prouvé que les rentabilités économiques de BCDC et RAWBANK sont restées faibles durant la période sous étude. Soit une moyenne de 1,8% et 1% respectivement. L’écart entre les deux moyennes n’est pas significatif car, il est de 0,8%. Néanmoins, les deux banques ont eu à réaliser des rentabilités financières élevées.

Les résultats de (Mbuyi, 2018) ont également prouvé que les deux banques avaient des taux de rentabilité commerciale différente car chaque banque met en œuvre des stratégies commerciales différentes.

Le fait de vérifier la théorie de Modigliani.F et Miller, M. en utilisant le modèle de Dupont est une contribution de ces études. Mais au niveau de l’approche méthodologique; les auteurs se sont limité à valider leurs hypothèses qu’avec des méthodes purement descriptives sans étudier l’existence d’un lien significatif ou une relation de causalité entre les variables.

Compte tenu des contributions ainsi que des limites des travaux empiriques présentés ci-dessus, notre recherche va tenter de modéliser l’équation de Dupont afin de mesurer les impacts de chaque variable sur la performance financière (mesurée par la rentabilité financière, ROE) de quatorze banques commerciales sur huit exercices.

Le chapitre premier poursuivait trois objectifs : Poser toutes les bases théoriques liées à la rentabilité financière et à sa décomposition (Modèle Dupont); présenter et discuter sur les travaux empiriques proches de l’objet de notre recherche et enfin, présenter un cas concret de l’utilisation du modèle de Dupont dans une banque.

Pour atteindre ces objectifs, le chapitre s’est subdivisé en trois points :

Le premier, intitulé « Bases théoriques » a permis de poser les jalons afin de mieux comprendre l’activité d’une banque commerciale ainsi que le diagnostic financier avec le modèle de Dupont;

Le deuxième point, intitulé « Discussions empiriques sur la rentabilité des banques » a permis d’identifier les contributions ainsi que des limites de tous les travaux empiriques présentés afin de mieux justifier l’orientation de notre recherche;

Le troisième point, intitulé « Etudes de cas » a permis de clarifier le positionnement de notre recherche en prenant deux études menées en RDC.

« Une confrontation permanente entre théorie et expérience est une condition nécessaire à l’expression de la créativité », Joliot-Curie,P. C’est sur base de cette citation que nous allons passer au chapitre 2 où il sera question d’appliquer toutes ces théories dans quatorze banques commerciales congolaises regroupées en banques locales et banques étrangères.

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