Le cadre théorique de la technologie RFID révèle comment un système de pointage innovant peut transformer le contrôle d’accès à l’Université Mariste du Congo. Découvrez les avantages d’une identification efficace et posez-vous la question : votre institution est-elle prête pour cette révolution technologique ?
1.6 LES TYPES DE TAG
1.6.1 TAG ACTIF
Son alimentation provient d’une source interne qui se dessine sous forme d’une batterie, d’une pile, etc. Ceci peut effectivement augmenter la portée du signal et ainsi communiquer avec un type de lecteur de faible puissance et à des distances de 20 à 100 mètres environ[3]. De ce fait, on parle d’indentification active lorsque l’étiquette elle-même est active.
L’avantage principal de ce type de tag réside dans le fait que le tag n’est pas forcement obligé
d’être à proximité du lecteur.
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Figure 1.3 – Tag RFID actif
1.6.2 TAG PASSIF
Comparé au tag actif, le tag passif est moins coûteux et peut être de plus petite dimension. Quand le tag reçoit un signal électromagnétique, il emmagasine l’énergie dans un condensateur embarqué (on-board capacitor)[4] et ce processus est appelé couplage inductif. Quand le condensateur est suffisamment chargé, il alimente le circuit du tag qui transmet à son tour un signal modulé au récepteur (lecteur) qui comprend des informations contenues dans le tag. La communication entre les deux dispositifs utilise deux méthodes pour moduler le signal à transmettre. Deux autres méthodes de classification des tags RFID furent : la lecture seule (RO) et la lecture/écriture (RW).
Le type RO est caractérisé par une mémoire qui ne peut qu’être lue. On peut les assimiler à des codes bars de par sa mémoire statique. Ainsi cette dernière ne pouvant pas être altérée, ce type est fréquemment programmé avec une quantité de données limitées et statiques pour y stocker un numéro de série ou d’identification par exemple[5].
Le type RW aussi appelé « Smart », plus maniable que les tags RO peut stocker une large quantité de données avec une mémoire adressable qu’on peut modifier facilement, les données peuvent être modifiées ou bien effacées autant de fois qu’on le souhaite. Ainsi certains Tags sont munis des deux types de mémoire RO et RW en même temps.
Par exemple, le tag RFID d’une palette a un numéro de série contenu dans la section RO de la mémoire pour toute la durée d’utilisation de cette dernière et la section RW peut être utilisée pour indiquer le contenu à n’importe quel moment et quand la marchandise est renouvelée ou bien changée ; cette section de la mémoire est réécrite afin de suivre le changement du contenu.
Figure 1.4 – Tag RFID passif comparé à un grain de riz
1.7 LES STANDARDS ET LES NORMES RFID
Une norme est un document de référence approuvé par un institut de normalisation reconnu tel l’AFNOR. Elle définit des caractéristiques et des règles volontaires applicables aux activités. Elle est le consensus entre l’ensemble des parties prenantes d’un marché ou d’un secteur d’activité.
Une norme permet de :
- Définir un langage commun entre les acteurs économiques : producteurs, utilisateurs et
consommateurs ; - Définir le niveau de qualité, de sécurité et du moindre impact environnemental des
produits, services et pratiques ; - D’harmoniser les bonnes pratiques.
La norme facilite les échanges commerciaux, tant nationaux qu’internationaux, et contribue à mieux structurer l’économie et à faciliter la vie quotidienne de chacun. A la différence d’une règlementation, la norme a un caractère volontaire: s’y conformer n’est pas une obligation mais elle traduit un engagement des entreprises à satisfaire un niveau de qualité et de sécurité reconnues et approuvées.
Les champs couverts par les normes sont aussi variés que les activités économiques et touchent également la RFID, et on présente deux organisations qui prennent en charge la normalisation des systèmes RFID : l’ISO et l’EPCGlobal.
Une norme permet de :
- Définir un langage commun entre les acteurs économiques : producteurs, utilisateurs et
consommateurs ; - Définir le niveau de qualité, de sécurité et du moindre impact environnemental des
produits, services et pratiques ; - D’harmoniser les bonnes pratiques.
La norme facilite les échanges commerciaux, tant nationaux qu’internationaux, et contribue à mieux structurer l’économie et à faciliter la vie quotidienne de chacun. A la différence d’une règlementation, la norme a un caractère volontaire: s’y conformer n’est pas une obligation mais elle traduit un engagement des entreprises à satisfaire un niveau de qualité et de sécurité reconnues et approuvées.
Les champs couverts par les normes sont aussi variés que les activités économiques et touchent également la RFID, et on présente deux organisations qui prennent en charge la normalisation des systèmes RFID : l’ISO et l’EPCGlobal.
1.7.1 LE STANDARD EPCGLOBAL
Le consortium EPCGlobal est né de la coopération de » l’Auto-ID labs » du »MIT » et du »GS1″ (connu pour la création du format EAN). Il s’intéresse au développement et à l’établissement des standards pour les étiquettes électroniques, les codes produits électroniques et l’architecture EPCGlobal. Il a été créé dans le but de développer l’utilisation d’étiquettes électroniques au niveau mondial et de les intégrer dans un système global. Plusieurs axes ont été développés dans ce sens.
- Créer des étiquettes électroniques à bas coûts : les étiquettes apposées par un fabricant
sur un produit ne lui sont pas retournées. - Ces étiquettes doivent opérer en Ultra-Hautes Fréquence (UHF) pour avoir de bonnes
propriétés physiques (permettant une distance de lecture par exemple) et rendre global le système RFID afin de rendre possible l’utilisation des étiquettes apposées sur les produits à chaque intermédiaire. - Créer une architecture en réseau pour que tout un chacun puisse accéder aux informations associées à un numéro de série stocké sur une étiquette.
Ces deux derniers points mettent en avant le besoin d’interopérabilité et sont
pour cela fondés sur des standards ouverts.
Le réseau EPC (codes produits électroniques) est une architecture d’interfaces standardisées et ouvertes, pensé pour supporter une meilleure visibilité de la localisation et des mouvements des objets dans les chaînes de production ; avec une granularité jusqu’à l’identifiant unique EPC de chacun. Contrairement à l’ISO, le consortium est composé d’acteurs industriels (Cisco System, Sony Corporation, DHL Solutions Innovations entre autres), académiques (MIT), ou d’organisations à but non lucratif (GS1).
Le standard EPCglobal se compose :
- D’un système de codification séquentielle des produits, le code produit électronique (Electronic Product Code) EPC.
- D’un standard d’étiquette RFID, hiérarchisé en 4 classes :
- Classe 1 : étiquettes epc simple lecture-seule
- Classe 2 : fonctionnalités additionnelles : Lecture/écriture, sécurité des données, Détection de vol
- Classe 3 : classe 2 + batterie
- Classe 4 : relais RFID autonome
Ces deux derniers points mettent en avant le besoin d’interopérabilité et sont
pour cela fondés sur des standards ouverts.
Ces deux derniers points mettent en avant le besoin d’interopérabilité et sont
pour cela fondés sur des standards ouverts.
Le réseau EPC (codes produits électroniques) est une architecture d’interfaces standardisées et ouvertes, pensé pour supporter une meilleure visibilité de la localisation et des mouvements des objets dans les chaînes de production ; avec une granularité jusqu’à l’identifiant unique EPC de chacun. Contrairement à l’ISO, le consortium est composé d’acteurs industriels (Cisco System, Sony Corporation, DHL Solutions Innovations entre autres), académiques (MIT), ou d’organisations à but non lucratif (GS1).
Le standard EPCglobal se compose :
- D’un système de codification séquentielle des produits, le code produit électronique (Electronic Product Code) EPC.
- D’un standard d’étiquette RFID, hiérarchisé en 4 classes :
- Classe 1 : étiquettes epc simple lecture-seule
- Classe 2 : fonctionnalités additionnelles : Lecture/écriture, sécurité des données, Détection de vol
- Classe 3 : classe 2 + batterie
- Classe 4 : relais RFID autonome
1.7.2 STANDARD ISO (INTERNATIONAL ORGANIZATION FOR STANDARDS)
L’Organisation internationale de normalisation (ISO) a rédigé des normes relatives à l’identification et la gestion des objets ou équipements dans la série des protocoles d’interface ISO 18000-x conçus pour des opérations de logistique. Ces normes couvrent toute la gamme des fréquences utilisées dans le monde en matière de RFID. Les sept éléments de cette norme sont les suivants :
- 18000-1 : Identification par radiofréquence (RFID) pour la gestion d’objets – Partie 1 : architecture de référence et définition des paramètres à normaliser.
- 18000-2 : Identification par radiofréquence (RFID) pour la gestion d’objets – Partie 2 :
paramètres de communication d’une interface radioélectrique en dessous de 135 kHz. - 18000-3 : Identification par radiofréquence (RFID) pour la gestion d’objets – Partie 3 :
paramètres de communication de l’interface radioélectrique à 13,56 MHz - 18000-4 : Identification par radiofréquence (RFID) pour la gestion d’objets – Partie 4 :
paramètres de communication de l’interface à 2,45 GHz. - 18000-5 : Protocole de l’interface radio pour les systèmes RFID exploités à 5.8 GHz. Le but de cette norme était de définir la couche physique, le système anti collision et les
valeurs des protocoles RFID exploités dans la bande des 5.8 à 5.9 GHz. Ce thème de
normalisation a été abandonné faute d’un manque global d’intérêt. - 18000-6 : Identification par radiofréquence (RFID) pour la gestion d’objets – Partie 6 :
paramètres de communication d’une interface radio entre 860 MHz et 960 MHz. - 18000-7 : Paramètres de communications de l’interface radio pour les systèmes RFID
passifs exploités à 433 MHz.
La plus importante de ces normes pour RFID en haute fréquence est l’ISO 18000-6C. Le protocole correspondant a été préparé par « GS1 EPCglobal » et il est souvent évoqué sous le nom de « norme EPC Gen 2 ». EPCglobal est également l’auteur d’une norme HF EPC basée sur l’ISO 18000-3.
L’ISO 15693 se rapporte à l’interface radioélectrique des étiquettes à haute fréquence dont le protocole est lu à moins de 0,9 mètre. Ces étiquettes trouvent leur emploi à l’occasion des inventaires de produits pharmaceutiques et, plus généralement, des petits objets. L’ISO 14443 a également trait à un protocole utilisé sur une interface radioélectrique-à haute fréquence et lu à faible distance.
Il est principalement utilisé pour les transactions financières sécurisées.
1.8 APPLICATIONS DE LA RFID
La RFID est actuellement une technologie en plein essor et qui se développe dans des domaines de plus en plus variés ; Sécurité, transport, logistique, fidélisation client, paiement, santé, etc. Son utilisation varie selon la fréquence (LF, HF, UHF) où chaque plage de fréquence répond à une norme qui décrit une série de technologies RFID (ISO 18000-x) comme nous pouvons le voir dans le tableau suivant :
FREQUENCE | APPLICATIONS |
---|---|
<135 kHz |
-Tri des déchets, -Identification animale (134,2 kHz), -Système d’alarme, surveillance des arbres de Paris… |
13,56 MHz |
-Cartes à puce sans contact, cartes de transport… -Réservation de billets d’avion, manutention des bagages -Forfait de station de ski… |
443 et 900MHz |
-Traçage de palettes, de conteneurs, -Télécommandes d’ouverture centralisée |
2,45 et 5,8 GHz |
-Télépéage, -Délivrance automatique du carburant dans les stations-service. |
Table 1.2 – Les applications de la RFID suivant les fréquences
1.9 CONCLUSION
Ce chapitre permet d’avoir une vue d’ensemble de la technologie RFID. Cette technologie permet de recueillir des informations sans pour autant avoir le tag en visuel, de modifier ces données, d’exécuter plusieurs lectures… Tant d’avantages qu’elle apporte en comparaison aux autres technologies tel que le code barre. Certes cette technologie est en plein essor, elle est mise en avant dans le secteur commercial mais ses applications sont colossales : prenant le domaine médical où la RFID est en court de développement, que ce soit pour
identification et localisation des patients, personnel, nourrissons ou des équipements et instruments chirurgicaux. Malgré la forte réglementation du secteur de la santé, des changements législatifs en faveur de la RFID aux USA ont beaucoup contribué à son adoption, estimant ainsi le marché de la RFID dans cette industrie à environ 2,4 milliards de dollars avec un taux de croissance de 29,9 %.[6]
identification et localisation des patients, personnel, nourrissons ou des équipements et instruments chirurgicaux. Malgré la forte réglementation du secteur de la santé, des changements législatifs en faveur de la RFID aux USA ont beaucoup contribué à son adoption, estimant ainsi le marché de la RFID dans cette industrie à environ 2,4 milliards de dollars avec un taux de croissance de 29,9 %.[6]
CHAPITRE II : PRESENTATION DE L’UMC
L’objectif de ce chapitre est de présenter l’existant dans le milieu de recherche. Tout au long de cette phase, nous présentons brièvement le milieu de recherche et nous schématiserons ensuite l’expression préliminaire des besoins.
II.1. HISTORIQUE
La Congrégation des Frères Maristes des Ecoles (FMS) est arrivée en République Démocratique du Congo le 07 septembre 1911 pour s’occuper des écoles primaires officielles pour les garçons. Elle reçut des Autorités coloniales du Congo Belge la mission de s’installer dans la Province Orientale. C’était à Stanley ville, aujourd’hui Kisangani, que les Frères Maristes ouvrirent leur première école au Congo Belge.
L’année 2011 a constitué un tournant important dans la mission et la vie de la Congrégation des Frères Maristes des Ecoles en RDC. La célébration du Centenaire de l’œuvre mariste au Congo fut l’occasion d’une évaluation du passé et d’une projection pour l’avenir.
Pour marquer la fin du premier centenaire de la présence mariste au Congo et le début du deuxième centenaire, les Frères Maristes de la RDC, réunis en Assemblée régionale à Kisangani, à Noël 2010, décidèrent d’ériger une œuvre éducative qui constituerait un monument offert à la jeunesse congolaise en général et à celle de la Province Orientale en particulier aujourd’hui Province de la Tshopo.
Les études de faisabilité de cette œuvre éducative furent confiées à un groupe de trois Frères, à savoir les Frères Masumbuko Mununguri, Médard Lusuna Mwana Kyomba et Valentin Djawu Lungumbu Wambo. Au bout d’un processus de sondage et d’échanges, il se dégagea la nette volonté de lancer une université plutôt qu’un institut supérieur.
Des démarches furent entreprises pour obtenir les autorisations nécessaires auprès du Ministère national ayant l’Enseignement Supérieur et Universitaire dans ses attributions.
En août 2011, le Ministère de l’Enseignement Supérieur et Universitaire prit un arrêté autorisant la Congrégation des frères Maristes de la province d’Afrique Centre-Est à ouvrir une université privée à Kisangani, dans la Province Orientale, en RDC, sous le nom de « Université Mariste du Congo(UMC). »
Le Pouvoir Organisateur de la toute nouvelle université mit sur pied une équipe composée de frères et de laïcs pour préparer l’ouverture effective de l’Université Mariste du Congo.
Le lancement des activités de cette Université a eu lieu en 2012 avec l’ouverture de la première année académique 2012-2013, le 13 octobre 2012 et la cérémonie de l’inauguration de cette Université a eu lieu le 20 avril 2013 à Kisangani. L’Université Mariste du Congo est donc à sa troisième année de fonctionnement.
II.2. SITUATION GEOGRAPHIQUE
L’Université Mariste du Congo se situe entre de part et d’autre par la route menant de l’aéroport international de Bangboka et le boulevard Mobutu connu sous le non de la route Camp Ketele. Elle est limitée au Nord par l’école primaire Mwangaza, de Sud par le camp des enseignants de Mwangaza, à l’Est par l’Hôpital Général de Référence de Kabondo et à l’Ouest par le groupe scolaire Sainte Marie.
Dans le Quartier commercial, Commune Makiso. C’est-à-dire elle est installée dans à Kisangani dans les anciennes installations de l’Internat de l’Institut Champagnat à la ville de Kisangani, Province Orientale, en République Démocratique du Congo. Donc, l’Université Mariste du Congo sise sur l’Internat de Mwangaza au Quartier commercial, Commune Makiso, dans la ville de Kisangani en RDC.
L’Université Mariste du Congo se situe entre de part et d’autre par la route menant de l’aéroport international de Bangboka et le boulevard Mobutu connu sous le non de la route Camp Ketele. Elle est limitée au Nord par l’école primaire Mwangaza, de Sud par le camp des enseignants de Mwangaza, à l’Est par l’Hôpital Général de Référence de Kabondo et à l’Ouest par le groupe scolaire Sainte Marie.
II.3. FINALITES DE L’UMC
Comme toutes les universités du monde, l’UMC est ouverte à tous ceux qui voudraient approfondir leur connaissance du monde, de la société et de leur environnement. Tout en promouvant les valeurs chrétiennes, l’UMC se propose d’assurer la formation intégrale de l’être humain afin de l’aider à contribuer efficacement à la construction d’un monde humain et fraternel.
L’adéquation entre le savoir, la raison, la foi, la science et l’amour constitue le socle sur lequel l’Université Mariste du Congo bâtit son système éducatif. Les programmes de l’Enseignement National offrent la matière pour réaliser cette harmonisation entre le savoir scientifique et la vie quotidienne des populations que l’Université Mariste du Congo s’engage à introduire dans le monde moderne, fait de justice et de paix.
L’Université Mariste du Congo est une institution qui a une vision, une mission, qui véhicule certaines valeurs et qui met en place des moyens pour réaliser sa vision et sa mission
II.4. VISION DE L’UNIVERSITE MARISTE DU CONGO
Avec son approche pédagogique mariste léguée par Saint Marcellin Champagnat Fondateur des Frères Maristes des Ecoles, l’Université Mariste du Congo veut être une institution de référence pour contribuer à la régénération du capital humain et social détruit par les antivaleurs.
II.5. MISSION DE L’UMC
L’Université Mariste du Congo a pour mission d’évangéliser en éduquant chrétiennement les jeunes dans une approche intégrale et pluraliste pour qu’ils deviennent de vertueux citoyens en :
- Assurant la formation des cadres de conception dans divers domaines de la vie nationale à travers les enseignements des matières inscrites au programme officiel en vue de promouvoir l’éclosion des idées nouvelles et le développement des aptitudes professionnelles ;
- Contribuant à l’évolution de la science par l’organisation de la recherche scientifique fondamentale et appliquée, orientée vers la solution des problèmes qui se posent dans la Province Orientale en particulier et dans le Pays en général ; mais tout en tenant compte de l’évolution du monde ;
- Aidant à la régénération du capital humain et social, détruit par les antivaleurs, selon l’approche pédagogique mariste ;
- Formant un citoyen du monde, un entrepreneur, une personne de valeur capable de comprendre et de résoudre les problèmes qui se posent dans son milieu.
II.6. VALEURS VEHICULEES PAR L’UMC
Pour former de bons citoyens et de vertueux chrétiens, l’UMC forme aux valeurs suivantes :
- L’amour du travail bien fait
Manifesté à travers la discipline, l’effort et l’honnêteté. Aujourd’hui, avec « la loi de moindre effort » qui se dévoile à travers les antivaleurs telles que la corruption, le tribalisme, le régionalisme, le trafic d’influence dû à l’appartenance à un parti politique ou à un rang social déterminé, la négligence, la paresse, le relativisme, le favoritisme, etc. L’Université Mariste du Congo veut insuffler l’amour, l’honnêteté et l’effort pour un travail bien fait. - L’égalité des chances pour tous
Réalisée par la justice, l’équité et l’amour. Car « pour éduquer les jeunes, il faut les aimer tous également », disait le Père Champagnat. - L’exemplarité
Etre éducateur est une responsabilité qui exige une présence continue et d’être plus témoin que maître… - La simplicité
Nos relations, nos rencontres avec les autres doivent être simples et régénératrices. Il s’agit de la pédagogie de « l’engendrement » chère à notre Seigneur Jésus : « Je suis venu pour que vous ayez la vie et que vous l’ayez en abondance. » (Jann 10,10 ; Is 62) - L’esprit de famille
Vécu en pratiquant le respect, la solidarité, le sens de responsabilité et de coresponsabilité. Je suis parce que nous sommes l’Université Mariste du Congo. Savoir vivre, savoir vivre avec les autres.