Dictionnaires du jeune cinéma français – Où sont les femmes ?

Femmes cinéastes pendant la période Nouvelle Vague – Chapitre I :
Pour certains, la Nouvelle Vague est une école cinématographique, esthétique, pour d’autres non. François Truffaut déclare quant à lui dans un entretien accordé à France- Observateur en 1961 que la Nouvelle Vague « [n]’est ni un mouvement, ni une école, ni un groupe, c’est une quantité, c’est une appellation collective inventée par la presse pour grouper cinquante noms de nouveaux qui ont surgi en deux ans59 ». C’est effectivement en raison de la profusion de premiers films et de l’affluence de nouveaux -et souvent jeunes- réalisateurs sur une courte période dès la fin des années 1950 que la presse s’enthousiasme et annonce un renouveau dans le cinéma français, une Nouvelle Vague.
En effet, tandis qu’au début des années 1950 seuls seize premiers longs métrages sont tournés chaque année, ce nombre double dès 1957 et passe à environ trente par an. Ainsi, entre 1957 et 1962, environ cent cinquante cinéastes réalisent leurs premiers films distribués commercialement60. La moyenne d’âge de ces réalisateurs est alors inférieure à trente ans. Ce détail n’est pas négligeable, s’agissant d’une profession à laquelle on n’accède habituellement qu’après plusieurs années d’assistanat.
Font donc partie du « club » les cinéastes ayant réalisé leur premier long métrage à la fin des années 1950. C’est le cas des jeunes critiques des Cahiers du Cinéma, Jacques Rivette dont le film Paris nous appartient sort sur les écrans en 1956, de Pierre Kast qui réalise Un Amour de Poche en 1957, de François Truffaut et Claude Chabrol qui tournent quant à eux leurs premiers longs métrages respectifs, Les Quatre Cents Coups et Le Beau Serge, en 1959 ou encore de Jean-Luc Godard qui présente A bout de Souffle en 1960. Claude Chabrol se souvient de cette période : « les copains des Cahiers et moi, passés à la réalisation, avons été promus, comme une marque de savonnette. Nous étions « la nouvelle vague61 ».
A première vue, cette Nouvelle Vague semble avant tout masculine. D’ailleurs, on le sait, le cinéma est depuis toujours un monde d’hommes. Néanmoins, dans ce contexte d’effervescence autour de la jeunesse, autour d’un nouvel essor pour le cinéma français, y- a-t-il plus de femmes qui passent à la réalisation ? Combien de cinéastes de sexe féminin réalisent leurs premières œuvres durant cette période ?
Pour Geneviève Sellier la réponse est simple : aucune femme ne réalise son premier film à la fin des années 1950, aucune donc ne se retrouve parmi les nouveaux réalisateurs placés sur le devant de la scène à l’aube des années soixante. En effet, aucune réalisatrice ne répond à ce critère bien précis puisque les quelques femmes cinéastes françaises en activité ces années là, telles Agnès Varda ou Jacqueline Audry, ont tourné leurs premiers films plus tôt. La première passe en effet du court au long métrage en 1954 avec La Pointe Courte lorsque que la seconde a alors une filmographie déjà bien remplie puisqu’elle a tourné de nombreux films comme Gigi en 1949, Olivia l’année suivante ou bien Huis Clos en 1954. Paula Delsol, écrivaine et cinéaste, a quant à elle déjà réalisé quelques films courts mais son premier long métrage, La Dérive, dont elle écrit le scénario en 1961 ne sort qu’en 1962.
1) Les dictionnaires du jeune cinéma français – Où sont les femmes ?
Pour les trouver peut-être faut-il soulever les limites et étendre la recherche. En effet, pourquoi se cantonner aux cinéastes ayant obligatoirement tourné un premier long métrage aux alentours de 1958 ? Les femmes sont certes moins nombreuses que les hommes dans l’industrie cinématographique, il n’empêche qu’elles existent et certaines d’entres elles travaillent en tant que réalisatrices tout au long de la période Nouvelle Vague qui s’étend approximativement de 1958 à 1965. Pour les repérer, je me suis donc penchée sur certains dictionnaires du cinéma français parus dans les revues spécialisées de l’époque, notamment dans Positif et les Cahiers du cinéma.
« 40 moins de 40 » de Cinéma 58, 1958
Mais avant cela, j’ai consulté « 40 moins de 4062 », la célèbre enquête sur la jeune académie du cinéma français de Pierre Billard parue dans Cinéma 58. Via divers articles et sur plusieurs dizaines de pages, l’auteur dresse une liste des jeunes cinéastes français et évoque les surprises mais aussi les déceptions apportées par la nouvelle génération.
Billard est l’un des premiers à évoquer ce nouveau cinéma et ses espoirs. Ceci dit, il parle moins de « Nouvelle Vague » -cette appellation n’est utilisée qu’une seule fois- que de « jeunesse » au sens stricte puisqu’il s’appuie sur la seule année de naissance des réalisateurs pour établir une différence entre les uns et les autres. En effet, pour définir les « nouveaux » réalisateurs et les distinguer des « anciens », il se base « sur la jeunesse authentifiée par le bulletin de naissance » et tient donc compte de l’âge des metteurs en scène. A noter que seuls ceux ayant tourné au moins un long métrage sont comptabilisés. D’un côté il place les moins jeunes nés entre 1878 et 1913, comme René Clément qui ferme la marche des anciens. De l’autre, il présente les plus jeunes, ceux nés à partir de 1918 et de fait âgés de moins de quarante ans. Ils sont quarante de moins de quarante ans, tous nés entre 1918 et 1932. Agnès Varda est la seule femme de cet échantillon de nouveaux cinéastes, elle fait par ailleurs partie des plus jeunes puisqu’elle est née en 1928. On retrouve la jeune femme quelques pages plus loin, au milieu de ceux que l’on « attend au tournant », où elle est décrite comme « la plus attachante de ces néophytes ». Encore plus loin, on lui offre la parole, elle est l’une des huit metteurs en scène invités à répondre à un mini questionnaire de huit questions.
Nous retrouvons ainsi la jeune Agnès à plusieurs reprises tout au long de cette enquête spéciale. Son film La Pointe Courte figure même parmi les seize films de la jeune génération considérés comme « intéressants ».
Mais Pierre Billard affirme avec scepticisme que ce qui frappe chez ces moins de quarante « c’est leur manque de jeunesse63 » ajoutant que « la sagesse avec laquelle cette « nouvelle vague » suit les traces de ses aînés est déconcertante ». Ainsi, si seize films sont jugés comme intéressants aucun n’est vu comme un chef-d’œuvre et d’après les conclusions émises par Billard, la Nouvelle Vague du cinéma français n’apporterait rien de prometteur. Mais il faut dire que les conditions de productions sont défavorables à l’essor d’un nouveau cinéma, justifie l’auteur qui termine finalement en annonçant d’autres espoirs, tels les réalisateurs de court-métrages ou ceux issus des Cahiers du cinéma dont les premières réalisations laissent selon lui entrevoir d’intéressantes révélations. Il conclut de fait avec plus d’enthousiasme : « 1958 peut-être, doit être pour le jeune cinéma français, l’année des confirmations éclatantes, des éclosions inattendues, des révélations fulgurantes. Ou alors…64 ».
En dirigeant cette enquête en février 1958 et en la concluant de la sorte, Pierre Billard est somme toute assez perspicace puisque quelques mois plus tard, en mai 1959, François Truffaut triomphe au festival de Cannes avec son premier long métrage Les Quatre Cents Coups. Finalement, c’est L’Express qui qualifie certains films distribués en 1959, dont ceux de Truffaut et Resnais présentés au festival cannois cette année-là, d’œuvres « Nouvelle Vague ». Comme l’indique Michel Marie, « cette fois-ci l’origine générationnelle et sociale du terme est vite balayée au profit de son application plus strictement cinématographique65 ». Désormais l’expression ne sera plus utilisée en dehors du cadre cinématographique. Les journaux parlent alors de « Nouvelle Vague », de « jeune cinéma » ou de « nouveau cinéma » pour qualifier cette génération de cinéastes, jeunes et novateurs, que l’on repère dès 1959.
Le « dictionnaire partiel et partial » de Positif, 1962
En juin 1962, Positif sort un numéro spécial titré Feux sur le cinéma français. Dans le premier article on peut lire : « Il y a deux choses que nous jalousent les pays étrangers : De Gaulle et la Nouvelle Vague66 ». Mais il y a un « mais ». On peut nous envier cette Nouvelle Vague nous dit Robert Benayoun, l’auteur de l’article, néanmoins, à y voir de plus près « il n’y a rien de moins jeune en France que le groupe de cinéastes issu du 175, Champs- Elysées ». Pour lui, les cinéastes n’auraient aucune des qualités que l’on reconnait à la jeunesse, telles la naïveté ou l’idéalisme. Toutefois, un « dictionnaire partiel et partial d’un nouveau Cinéma Français67 » y est publié.
« Partiel » et « partial », l’énoncé donne le ton. Le dictionnaire n’est ni complet ni neutre, ses treize auteurs ont pris parti. Aucune autre indication n’est donnée et les noms des différents cinéastes retenus sont révélés, classés par ordre alphabétique sur une vingtaine de pages. Cinquante réalisateurs sont présentés par plusieurs phrases chacun, par quelques lignes pour évoquer leur biographie, quelques autres pour citer leur filmographie et, enfin, par une critique de leur travail. On ne compte qu’une seule femme parmi les Jacques Rivette, Jean Becker, Chris Marker, Georges Franju, Edouard Molinaro et autres François Reichenbach. Cette réalisatrice, la même que celle mentionnée par Pierre Billard quatre ans plus tôt, c’est Agnès Varda. Selon les rédacteurs, la cinéaste aurait un style « indéniable » mais celui-ci souffrirait « de trop s’évertuer et de tomber dans la lourdeur ou l’insignifiance quand il visait seulement au trait inspiré68 ». La jeune femme n’en est pas moins célébrée puisqu’avant que ne soient décrites les limites de son style, on mentionne la manière dont ses quelques films « ont amplement démontré les qualités d’œil et d’esprit [de la cinéaste], la vivacité de son imaginaire, l’éclat tout féminin d’un goût rarement en défaut69 ».
Trois numéros plus tard, en décembre 1962, un nouveau dictionnaire « partiel et partial » est présenté mais il concerne cette fois-ci les réalisateurs de courts métrages français70. Vingt-neuf de ces cinéastes du court sont mentionnés. On y retrouve trois réalisatrices : Yannick Bellon, Nelly Kaplan et Annie Tresgots. On se rend donc compte que la proportion de femmes est plus importante dans le milieu du film court que dans celui du long où n’était retenue qu’une seule réalisatrice. Ainsi, soit la proportion de femmes est plus importante parmi les courts métragistes que chez les réalisatrices de longs métrages, soit le travail des premières est plus apprécié que celui des secondes. En tout cas, force est de constater que l’on retient plus de femmes du côté du court.
Le « dictionnaire du jeune cinéma français » des Cahiers du cinéma, 1962, 1964, 1967
Au même moment, c’est-à-dire en décembre 1962, les Cahiers du Cinéma publient eux aussi leur dictionnaire dans une édition spéciale Nouvelle Vague. On retrouve ainsi dans le numéro 138 de la revue une présentation des cent soixante-deux nouveaux cinéastes français71. Il est intéressant de noter que contrairement aux deux dictionnaires de Positif qui étaient définis comme partiels et dont les auteurs avouaient leur parti pris, celui des Cahiers est annoncé comme non exhaustif, certes, mais aussi comme impartial. Il est effectivement précisé qu’il a été réalisé sans qu’aucune considération esthétique ne limite la sélection. Pourtant, outre l’ensemble des cent soixante-deux cinéastes ayant tourné leur premier long métrage depuis 1959, « année pivot où le Festival de Cannes vit le triomphe de la N.V.72 », cette sélection révèle également d’autres réalisateurs qui aux yeux des rédacteurs font partie intégrante du nouveau cinéma français. Les cinéastes ayant déjà tourné avant 1959 mais jugés comme importants ont donc également été retenus. C’est à ce titre qu’est présentée Agnès Varda, dont le premier long métrage La Pointe Courte fut réalisé en 1954, bien avant 1959 donc. Cependant son second grand film Cléo de 5 à 7, sorti en 1961, est également cité. Paula Delsol fait quant à elle partie de ces nouveaux réalisateurs à proprement parler puisqu’après avoir été assistante, script-girl et scénariste de courts métrages, elle réalise son premier long métrage, La Dérive, en 1962. Francine Premysler connaît un parcours similaire et tourne également son premier long métrage, La Mémoire Courte, en 1962. Ainsi, sur les trois femmes que l’on compte parmi plus de cent soixante cinéastes, deux à peine débutent leur carrière dans le long métrage après 1959.
En 1964 paraît dans les Cahiers une mise à jour du dictionnaire du jeune cinéma français paru deux ans plus tôt73. A nouveau, en préambule, une note précise qu’aucune présélection et qu’aucun jugement basé sur des choix esthétiques et subjectifs ne sont entrés en jeu dans l’élaboration du dictionnaire. Celui-ci recense tous les auteurs français ayant tourné un film voire un premier film en 1962 et 1963. 85 réalisateurs répondant à ce critère y sont répertoriés. La seule femme de ce recensement est Agnès Varda puisqu’elle tourne en effet le court métrage Salut les Cubains en 1963.
Une troisième mise à jour du dictionnaire des Cahiers du cinéma est présentée dans le n°18774 de la revue, en 1967. Y figurent cette fois-ci les cinéastes ayant réalisé au moins un long métrage depuis 1962. Ils sont 156, dont cinq femmes : Geneviève Bailac, Paula Delsol, Marguerite Duras, Nadine Trintignant et Agnès Varda.
Comme on peut le constater, la part de réalisatrices à légèrement augmenté de l’un à l’autre dictionnaire des Cahiers, puisqu’alors que l’on ne compte que trois femmes parmi cent soixante-deux réalisateurs en 1962 et une pour plus de quatre-vingts en 1964, l’on recense cinq femmes pour moins de cent soixante cinéastes en 1967. Geneviève Bailac, Marguerite Duras et Nadine Trintignant font ainsi leur entrée dans le monde du grand film après 1962. La première tourne en effet son premier long métrage, La Famille Hernandez, en 1964 tandis que la seconde coréalise avec Paul Seban La Musica en 1966. La même année, sort Mon amour, mon amour de Nadine Trintignant.
Yannick Bellon, Nelly Kaplan et Annie Tresgots dont la revue Positif relevait le travail en décembre 1962 ne sont pas citées dans ce recensement des Cahiers car à sa parution, en février 1967, aucune des trois n’a encore réalisé de long métrage. Kaplan et Bellon sont en effet encore court métragistes et ne tourneront leurs premiers longs métrages, respectivement intitulés La fiancée du pirate et Quelque part quelqu’un, qu’en 1968 et 1972. Annie Tresgots, qui fut scripte ou assistance monteuse notamment pour Hiroshima mon amour d’Alain Resnais en 1959, réalise quant à elle plusieurs courts métrages et documentaires mais ne passera jamais au long métrage. Par ailleurs, Francine Premysler et Paula Delsol qui faisaient partie des cent soixante-deux nouveaux cinéastes français relevés par les Cahiers du cinéma en 1962 n’auront finalement tourné chacune qu’un seul long métrage dans les années 1960, La Mémoire Courte pour la première, La Dérive pour la seconde.
Recensement : combien de femmes derrière les caméras ?
En comptabilisant les différents noms féminins mentionnés par les divers dictionnaires du cinéma français on obtient un total de neuf réalisatrices. Yannick, Nelly, Annie, Francine, Paula, Agnès, Geneviève, Marguerite et Nadine représentent ainsi la gent féminine dans l’ombre des projecteurs. Néanmoins, il faut ajouter à cette liste le prénom Jacqueline. En effet, Jacqueline Audry est une des cinéastes les plus prolifiques des années 1950 et, entre 1940 et 1970, elle ne réalise pas moins d’une quinzaine de longs métrages ! Toutefois, elle n’est citée dans un aucun dictionnaire car elle débute sa carrière dans les années 1940 et, de ce fait, ne peut être considérée comme une nouvelle cinéaste. De plus, elle n’est pas cataloguée dans la dernière mise à jour du dictionnaire des Cahiers du Cinéma parue en 1967 car n’y figurent pas les « cinéastes français n’ayant rien tourné depuis 1962 ou 1964 », or elle réalise Cadavres en vacances en 1961 mais ne tourne son prochain film, Fruits amers, qu’en 1967.
Ainsi, après une simple observation, on se rend compte que les dictionnaires ne sont effectivement pas exhaustifs, d’ailleurs ils n’ont pas la prétention de l’être. Par conséquent nous ne pouvons pas connaître de source sûre le nombre de femmes cinéastes pendant la Nouvelle Vague mais l’on peut deviner que peu de femmes accèdent à la réalisation. D’ailleurs, on peut se demander si celles qui sautent le pas sont reconnues par la profession autrement que par les dictionnaires ? Mais à quoi juge-t-on le prestige d’une profession ? Dans le domaine du cinéma nous pouvons supposer que la récompense est l’un des indicateurs permettant de mesurer la reconnaissance d’un artiste ou d’un auteur. C’est pourquoi nous allons analyser les palmarès de quelques festivals français et internationaux.
Lire le mémoire complet ==> (Techniciennes et professionnelles du cinéma pendant la Nouvelle Vague :
Quels statuts et quelles fonctions pour ces femmes de l’ombre ?
)

Mémoire de Master 2 recherche – Esthétique, arts et sociologie de la culture
Université Paul Verlaine de Metz – UFR Sciences Humaines et Arts
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59. François Truffaut, entretien avec Louis Marcorelles, France-Observateur, 19 octobre 1961.
60 Geneviève Sellier, « Images de femmes dans le cinéma de la Nouvelle Vague », Clio, numéro 10/1999. URL : http://clio.revues.org/document265.html.
61 Claude Chabrol, Et pourtant je tourne…, Paris, Laffont, 1976, p.135.
62 Pierre Billard, « 40 moins de 40 », Cinéma 58 n°24, février 1958, pp.4-42.
63 Ibid., p.31.
64 Ibid., p.34.
65 Michel Marie, La Nouvelle Vague, une école artistique, Paris, Armand Colin, 2005, p.10.
66 Robert Benayoun, « Le roi est nu », Positif n°46, juin 1962, p.1.
67 « Dictionnaire partiel et partial d’un nouveau Cinéma Français », Positif n°46, juin 1962, pp.19-38.
68 Albert Bolduc, « Varda Agnès.» in « Dictionnaire partiel et partial d’un nouveau Cinéma Français », Positif n°46, juin 1962, p.38.
69 Ibid.
70 « Dictionnaire partiel et partial des réalisateurs de courts-métrage français », Positif n°49, décembre 1962, pp.49-56.
71 « Cent soixante-deux nouveaux cinéastes français », Cahiers du Cinéma n°138, décembre 1962, pp.60-84.
72 Ibid., p.60.
73 « Dictionnaire du nouveau cinéma français », Cahiers du Cinéma n°155, mai 1964, p.15-22
74 « Dictionnaire du nouveau cinéma français », Cahiers du Cinéma n°187, février 1967, p.53-64
 

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