L’identité au cœur de la stratégie du tourisme sportif

L’identité au cœur de la stratégie du tourisme sportif

3.10.8 L’identité au cœur de la stratégie du tourisme sportif

Pour réussir à développer l’offre, d’autres auteurs insistent sur l’importance d’intégrer ce processus identitaire à la stratégie de l’entreprise.

Les témoignages confèrent que l’économie du tourisme et par conséquence celle des sports, reste vulnérable à la concurrence mondialisée.

Pour s’en dégager, les organisations produisent des services dont la valeur se base sur l’unicité du produit. Selon eux, c’est le seul moyen pour sortir de la compétition sur les coûts de main-d’œuvre et protéger à long terme l’offre ludosportive.

En œuvrant en ce sens, l’offre de devient performante. Les organisations construisent un nouvel axe de communication orienté sur la création de valeur apportée par l’ensemble des acteurs de l’entreprise.

Ces stratégies nécessitent une communication nouvelle dans les organisations.

Elle ne se construit plus sur la fonctionnalité sportive et le prix des produits. Elle implique de mettre en jeu un ensemble complexe d’atouts tels que l’utilisation des particularités culturelles des acteurs de l’entreprise.

C’est une équation complexe qui en découle et intègre à la fois les intérêts des clients, des décideurs et des salariés dont les identités professionnelles deviennent des valeurs déterminantes.

En tourisme sportif, la valeur de l’offre est sous la dépendance de l’identité de ses acteurs.

La valeur d’un produit y reste déterminée par la relation liant les professionnels et les clients. Les entretiens présentent le caractère différenciant du produit comme un important critère de satisfaction du client.

En sport, bien que la fonction première est de simplement pratiquer un loisir en toute sécurité, le client détermine son choix également sur des critères immatériels comme l’image du sport qu’il cherche à pratiquer, de sa représentation sociale, de la notoriété de l’organisme de service et du prestige du site de pratique.

Deux raisons expliquent cette évolution récente dans la communication des organisations sportives.

Tout d’abord, la valeur d’une entreprise reste avant tout économique et financière. Ensuite, l’humain entre au cœur du processus de création de valeur et contribue à l’augmentation du prix des produits de l’entreprise.

Comprendre comment s’élabore la stratégie de la valeur consiste à centrer la réflexion sur les hommes qui en sont le cœur.

Le processus de construction identitaire de l’organisation sportive permet de concilier les intérêts des clients et ceux des salariés. Il repose sur un réseau complexe de relations interpersonnelles entre ces différents acteurs.

La pratique de certaines activités sportive dépasse la simple consommation d’un produit qui se transforme en une aventure qui peut être vécue de manière intensément sociale et dans laquelle les clients abordent essentiellement de manière empirique leur confrontation à l’environnement.

Si la relation pédagogique guide les clients dans l’activité, cette relation s’imbrique ensuite dans une autre relation, plus affective et informelle. Elle permet aux professionnels d’obtenir l’adhésion des collatéraux. Cette forme de maillage, au centre duquel l’identité est omniprésente, remplit plusieurs fonctions essentielles.

Celle de faire adhérer au projet sportif les clients et celle de construire un langage commun nécessaire pour la mise en oeuvre de l’activité physique.

L'identité au cœur de la stratégie du tourisme sportif

Dès lors, c’est le même état d’esprit, le même mot d’ordre qui habite les différents acteurs concernés par l’activité sportive et dont les implications en matière de communication sont nombreuses.

Le corollaire en est la redistribution de l’initiative, le concept d’« empowerment » se rapproche en français de « l’esprit d’entreprise ».

Ce concept revient à poser la question de la rationalité des organisations dans un contexte où la valeur née de la compétence professionnelle et de la contribution personnelle des acteurs.

Le paradoxe des organisations actuelles réside dans le fait de devoir à la fois concilier les besoins de rationalisation des activités de l’organisation, imposé par la conjoncture économique à celui de personnalisation qu’attendent acteurs et clients.

Aujourd’hui, il est éminemment question de satisfaction liée à la fois au produit mais aussi à la manière avec laquelle il a été mis en avant, promu, vendu, et enfin de la réponse qu’il donne à la problématique de satisfaction du client.

Cette valeur réside clairement dans l’image que l’entreprise perçoit des attentes du client et du renvoi en termes d’identité qu’en donne ses acteurs.

Pour cela, les pressions de la matérialité professionnelle, s’exerçant sur le corps social de l’entreprise sportive, doivent être accompagnée. Compensée d’abord par un enrichissement des tâches à l’identique de ce qui se déroule dans les organisations qui considèrent cet enjeu comme essentiel.

Compensée également par des politiques salariales participatives. Il est difficile de définir ce qu’est une politique salariale participative.

Elle doit correspondre, en termes de marché, au niveau pratiqué par les plus forts concurrents et laisser une part belle à une rémunération variable, à la fois dépendante des résultats de la société et des performances individuelles.

Aucune structure sportive n’adopte cette pratique. Pourquoi le moniteur de voile perçoit la même rémunération, quelque soit le nombre de clients qu’il encadrent.

Ce dispositif ne l’entraîne t’il pas à préférer une journée de mauvais temps qui le « force » à rester au port et à ne pas travailler alors qu’il serait heureux de d’avantage travailler, si sa rémunération augmentait en proportion de l’intensité de son travail.

La pression, enfin, doit être compensé par un sentiment d’identité forte de métiers. La question n’est plus de simplement de garantir un emplois au salarié mais plutôt de lui donner une perspective de son métier dans le temps.

La formation amène les hommes à un plus haut niveau de qualification et permet d’affecter leur culture de métier.

Chercher à répondre à cette quête identitaire émanant des professionnels du sport revient également à consolider et à développer la satisfaction des clients.

Il est aujourd’hui assez clairement établi qu’il y a corrélation entre bonheur interne et réussite externe. Les particularités du professionnalisme, de la compétence, des aptitudes et des attitudes des acteurs sont des éléments qui intègrent peu à peu le processus de communication des organisations et des organisations sportives.

Ce débat identitaire dépasse même le cadre professionnel, car il pose également le problème de la quête de sens de notre société.

Pour l’entreprise sportive, l’identité crée de la richesse et la dégage de la concurrence sur les coûts. L’identité « mesure » le métier de l’organisation, là où elle sait le mieux le faire.

Elle permet à l’organisation de sortir des activités quelle ne réussit pas. Ce principe apparemment simple est cependant très exigeant dans sa réalisation. De nombreux succès économiques proviennent de produits plutôt chers, et fabriqués dans des pays à main-d’oeuvre coûteuse.

De même, force est de constater, dans les services que les enseignes les plus performantes ne sont pas, et de loin, celles qui pratiquent les prix les plus bas et ne se concurrencent pas sur le seul front des prix de leurs produits.

Ces entreprises de biens ou de services ont en commun une performance qui vient de l’identité de leur offre. Les produits, le prix mais aussi la qualité, la lisibilité de la gamme, le savoir-faire des réseaux ou des vendeurs sont en cohérence avec la perception globale qu’a le client de l’organisation.

On en retient comme enseignement pour les organisations de tourisme sportif, que le développement de leur offre ne peut aboutir sans y impliquer avant tout les hommes et l’identité de leur métier.

https://wikimemoires.net/2014/02/satisfaction-client-caracteristiques-et-mesure-et-la-qualite/

Même si ce processus échappe à toute rationalisation et que son instrumentalisation reste difficile, le développement du tourisme sportif repose en très grande partie sur ses acteurs et de la représentation de leur métier.

Conclusion

Le sport intègre l’industrie du tourisme sous sa forme ludique. Il s’émancipe de la vocation compétitive du mouvement associatif et fédéral et revêt une logique de consommation.

La pratique de sports de loisir enregistre une croissance constante depuis une vingtaine d’années. Si le sport présente aujourd’hui les caractéristiques économiques d’un marché, l’industrie du tourisme le considère toujours comme un simple loisir de complément.

Le tourisme sportif ne se structure pas et les organisations fonctionnent sans volonté apparente de développer leur offre, paradoxalement à la dynamique du secteur dans lequel elles exercent.

Le tourisme sportif se présente sous la forme d’une juxtaposition de services de tourisme et d’activités sportives sans réelles stratégies d’organisation et de communication. Actuellement, la majorité des auteurs s’accordent à dire qu’il ne représente pas une réelle offre de service.

La consommation croissante des activités ludosportives et le dynamisme local de l’industrie du tourisme encadrent le secteur du tourisme sportif alors qu’il se caractérise par un sous-développement persistant.

L’investigation explore les origines de ce paradoxe. Une étude conjoncturelle exclue toute origine d’ordre économique et engage l’investigation sur une problématique communicationnelle.

L’étude se cadre sur le concept interactionniste spécifique des sciences de l’information et de la communication. Ainsi orientée, l’investigation explore le processus identitaire supposé être à l’origine de la problématique du tourisme sportif.

La communication s’y construit entre les acteurs professionnels du tourisme sportif et leurs clients en s’insérant dans la complexité conjoncturelle des entreprises.

L’investigation se centre sur les phénomènes identitaires qui affectent le tourisme sportif. Le processus identitaire s’explore dans une logique de construction réciproque.

L’identité est reconnue dans la mesure où elle est à la fois suffisamment identique et suffisamment différente des autres professionnels. La connaissance des processus éclaire le phénomène de construction identitaire des acteurs du tourisme sportif.

La confrontation à la matérialité professionnelle marchande du tourisme se perçoit comme un désenchantement par les professionnels du sport.

Ces acteurs construisent une représentation valorisante des métiers du sport à partir de ses valeurs intrinsèques alors que la matérialité marchande s’élève en opposition..

Cette résistance se matérialise dans la culture des entreprises de tourisme sportif qui se construit dans l’opposition aux exigences marchandes de ces professions.

Considérant que la culture d’une organisation en assure sa régulation sociale, la conduite du projet de recherche investit la bibliographie du management en centrant son approche sur la gestion des aspects culturels de l’organisation.

L’investigation explore comment les organisations font face à ce phénomène culturel. La culture d’une entreprise se présente comme l’expression humaine de ses activités professionnelles.

Les contraintes matérielles relatives au travail exercent des contraintes sur les acteurs qui résistent à toute évolution. La recherche se renseigne dans l’histoire des différents courants du management.

Elle met en évidence la prise en compte des préoccupations culturelles dans les organisations en étudiant la communication qui accompagne chaque évolution. Le management gère les résistances des acteurs à l’aide d’une communication qui confère plus de sens au travail.

L’organisation valorise ses dimensions immatérielles et la communication ne s’élabore plus sur la base de la matérialité de ses activités professionnelles.

Les recherches portant sur la culture d’entreprise sont essentiellement d’origine américaine. Cela demande de diverger du modèle instrumental qu’elles prônent pour l’adapter aux réalités locales des organisations.

En France, la culture d’entreprise se présente d’avantage centrée sur les réalités sociales de l’individu que sur sa fonction. La communication se construit à partir de l’identité véhiculée par les rôles et les statuts de chaque acteur dans l’organisation.

L’extrapolation de ces investigations au domaine du tourisme sportif formulent le corps d’hypothèse :

La résistance à l’industrialisation des activités sportives s’explique comme la conséquence de la perception par les acteurs d’une certaine déqualification et de perte de sens social de leur travail.

C’est la matérialité professionnelle de l’organisation qui est à l’origine de ce phénomène. Nos propos dressent des liens entre les faits organisationnels et la dimension identitaire à l’aide d’études de cas effectuées en entreprise.

L’absence d’organisation de taille conséquente en tourisme sportif impose d’explorer ce phénomène au sein de six grandes firmes industrielles.

Leurs études mettent en exergue la récurrence d’une communication qui cherche à valoriser le métier de leurs acteurs quand les organisations changent leur matérialité professionnelle.

Pour faire face aux contraintes économiques et sociales en provenance de son environnement, ces six firmes adaptent leur organisation.

Chacune des évolutions s’accompagne d’une communication de revalorisation des métiers de l’entreprise.

Cette récurrence conduit à valider l’hypothèse émise : Lorsque l’organisation s’engage dans une logique de rationalisation du travail, les acteurs construisent en réaction une communication centrée sur une revendication de leur identité professionnelle.

Les résultats se transfèrent dans le secteur ludosportif. Une série de vingt entretiens matérialise les spécificités de la construction identitaire du tourisme sportif.

Les experts, représentants d’institutions et personnalités professionnelles s’expriment sur la nécessité de rationaliser les activités pour atteindre une qualité technique de service. Cette logique, bien que techniquement nécessaire, s’oppose également à l’attente d’authenticité des clients.

Cette authenticité est unanimement mise en avant par l’ensemble des acteurs interrogés et énonce une quête identitaire.

Fort de ces résultats, on dresse un modèle de la construction identitaire du tourisme sportif :

Les acteurs professionnels du tourisme sportif, confrontés à la matérialité professionnelle marchande, entrent dans un processus de résistance à la banalisation de leurs activités.

Ils expriment cette identité aux clients dans la communication construite autour de revendications d’authenticité. Cette communication maille la matérialité professionnelle et les valeurs intrinsèques que véhicule le sport.

Stratégiquement, cette quête de sens est utile au tourisme sportif. Par son expression, l’offre se perçoit et se différencie au travers de ses particularismes culturels.

Si cette communication entrave le développement organisationnel de l’offre de tourisme sportif, elle représente également un avantage communicationnel indéniable.

Elle apporte à l’organisation des particularités qui se remarquent et s’opposent à la banalisation de l’offre en maintenant une représentation sociale du sport que certains consommateurs attendent.

La compréhension de ce processus de construction identitaire entraîne à penser qu’il peut se généraliser à toute entreprise, dont les clients sont enclins à construire une communication avec les acteurs de l’organisation qui dépasse la simple fonctionnalité marchande.

Dans ce cas, l’identité d’une organisation témoignant de son patrimoine, de sa situation géographique ou de sa culture, lui permet de revendiquer une place au sein d’une économie globale qui sous-entend la disparition des particularités locales.

Table des matières

Introduction
Première partie : L’organisation artisanale du sport face à la réalité industrielle du tourisme
1° chapitre : Le contexte professionnel et les réalités du tourisme sportif
1.1 La conjoncture favorable au développement du tourisme sportif
1.1.1 L’émancipation de l’offre sportive vers une logique de loisir
1.1.2 Le cadrage quantitatif des sports de loisir
1.1.3 L’apparition et la définition du tourisme sportif
1.1.4 L’actualité conjoncturelle du secteur touristique
1.1.5 Les réalités locales prédisposent aux activités du tourisme sportif
1.1.6 La conjoncture sensible du tourisme n’affecte pas celle du sport
1.1.7 Les déficiences du couplage entre le tourisme et les sports
1.1.8 Les faiblesses organisationnelles du tourisme sportif
1.1.9 L’origine culturelle de la défaillance de l’offre de tourisme sportif
2° chapitre : L’ambiguïté de la communication dans le monde professionnel
1.2 La référence aux sciences de l’information et de la communication
1.2.1 La complexité organisationnelle du tourisme sportif
1.2.2 Les problèmes relationnels dans l’organisation de tourisme sportif
1.2.3 Les problèmes sociaux engendrés par l’évolution organisationnelle
3° chapitre : L’exploration de la culture professionnelle du tourisme sportif
1.3 Le recours aux concepts de l’anthropologie culturelle
1.3.1 L’investigation de l’identité sous une approche anthropologique
1.3.2 L’interprétation structuraliste du concept d’identité
Deuxième Partie : La place de l’identité professionnelle dans le développement des entreprises
4° chapitre : La construction de l’identité entre similitude et différenciation
2.4 L’exploration du concept d’identité
2.4.1 La dualité du concept d’identité
2.4.2 Les processus d’attribution de l’identité
2.4.3 Le concept d’identité dans une logique constructiviste
2.4.4 Le cadre identitaire de la profession sportive
2.4.5 La gestion malaisée des organisations sportives
2.4.6 Les résistances identitaires face à une communication à logique économique
5° chapitre : L’évolution du management de la fonction vers le lien social
2.5 La genèse de la théorisation de l’expérience managériale
2.5.1 La recherche de rationalisation dans l’organisation
2.5.2 L’émergence d’une quête identitaire des acteurs de l’organisation
2.5.3 L’organisation communique entre rationalité et réalité sociale
2.5.4 La multidimension du management moderne
6° chapitre : La quête de sens au travail dans les entreprises
2.6 La culture, une construction de la nature humaine
2.6.1 La culture comme expression des activités humaines
2.6.2 La culture, expression sociale de l’organisation
2.6.3 Le projet d’entreprise, vision instrumentale de la culture de l’organisation
7° chapitre : La revendication identitaire des acteurs du tourisme sportif
2.7 L’appréhension de la dimension sociale par le management
2.7.1 L’émergence des préoccupations sociales du management
2.7.2 La réforme culturelle du management
2.7.3 L’intégration de la dimension culturelle dans le management
2.7.4 L’identification des facteurs de la motivation au travail
2.7.5 La gestion de l’organisation par ses aspects culturels
2.7.6 La modélisation fonctionnelle de la culture d’entreprise
2.7.7 Les limites d’une approche instrumentale de la culture d’entreprise
2.7.8 L’incohérence de la culture d’entreprise fonctionnelle
2.7.9 La culture d’entreprise gouvernée par sa dimension identitaire
2.8.0 Un management en équilibre entre fonctionnalité et identité
Troisième partie : Le développement du tourisme sportif entre technicité et authenticité
8° chapitre : La dimension professionnaliste de la culture d’entreprise en France
3.8 Les similitudes de la communication interne de 6 firmes françaises
3.8.1 Le premier cas des établissements papetiers Canson-Guarro
3.8.2 Le second cas des industries de construction automobile Renault
3.8.3 La troisième étude de cas du quotidien de presse Ouest-France
3.8.4 La quatrième étude de cas de la compagnie E.D.F.-G.D.F. Services
3.8.5 La cinquième étude de cas de l’entreprise de transport publique R.A.T.P.
3.8.6 La sixième étude de cas de la compagnie New Sulzer France
3.8.7 L’existence d’un lien entre évolution organisationnelle et quête identitaire
9° chapitre : Le particularisme identitaire des loisirs et du tourisme sportif
3.9 L’exploration du processus identitaire par l’enquête
3.9.1 L’élaboration du protocole d’enquête par entretien
3.9.2 Le recueil des avis sur l’organisation de l’offre ludosportive
3.9.3 Les entretiens de moyenne durée, effectués sur les lieux de travail
3.9.4 L’analyse thématique du contenu des entretiens de moyenne durée
3.9.5 Les entretiens de courte durée, effectués en forum
3.9.6 L’analyse du contenu des entretiens de courte durée
3.9.7 Les entretiens de longue durée, effectué en séminaire
10° chapitre : Une profession entre vocation sportive et réalisme professionnel
3.10 La construction identitaire du tourisme sportif
3.10.1 La dimension de l’organisation influence l’identité
3.10.2 Les modalités structurelles intègrent la construction identitaire
3.10.3 L’autonomie des acteurs renforce la construction identitaire
3.10.4 Les liens hiérarchiques souples de l’organisation sportive
3.10.5 L’accompagnement juridique de la construction de l’identité
3.10.6 L’identité contrarie la représentation marchande du sport
3.10.7 La description de l’identité des organisations du tourisme sportif
3.10.8 L’identité au cœur de la stratégie du tourisme sportif
Conclusion

Bibliographie

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