Analyse des fondements de la multinationalisation des entreprises en Algérie

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🏫 Université Mouloud MAMMERI de Tizi-Ouzou - Faculté des Sciences Economiques, Commerciales et des Sciences de Gestion - Département des Sciences Economiques
📅 Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de Magister - 2015-2016
🎓 Auteur·trice·s
GUESMIA El Hadi
GUESMIA El Hadi

La multinationalisation des entreprises en Algérie est analysée à travers l’impact des Investissements Directs Étrangers sur l’économie locale. L’article met en évidence les obstacles institutionnels et propose des solutions inspirées de modèles internationaux pour renforcer l’attractivité du pays.


Imperfection des marchés et la multinationalisation

Il est notable que les premiers cadres d’analyses de la multinationalisation, représentés par Hymer.S, Vernon.R et Kindleberger.C.P, développaient, dans les années 1960 des analyses proches. Hymer(1968) présentait une explication de la multinationalisation des firmes reposant sur les avantages spécifiques, alors que Vernon (1966) développait une théorie fondée sur le cycle de vie du produit, les économies d’échelle et le lien des innovations avec les caractéristiques des nations.

Kindleberger(1969), quant à lui, dans le prolongement de Hymer exposait le principe général des avantages monopolistiques. Ce qui est cependant du commun entre ces différentes tentatives est la mise en évidence des conditions minimales qui rendaient un IDE plus profitable que toute autre forme sur le marché extérieur. Il est donc indispensable que la firme possède un avantage monopolistique sur ses concurrents extérieurs.

Avantage spécifique, barrières à l’entrée et multinationalisation

Avantage spécifique transférable

L’économiste canadien HYMER.S est généralement considéré comme le premier à avoir développé les fondements de la théorie de la multinationalisation des entreprises via l’internalisation des activités à partir des imperfections de marché1. Son postulat de départ est que2: toute firme s’implantant dans un pays étranger est désavantagée par rapport aux firmes locales de par les coûts d’implantation liés notamment aux barrières linguistiques et culturelles, aux pratiques juridiques et à la différence des préférences des consommateurs etc.

En effet, le point de départ déterminant de sa thèse sur le sujet en 1960, six ans avant le travail Vernon, était cette humble question, «comment, étant donné que les firmes nationales ont un avantage sur leur marché et qu’il existe des barrières considérables aux échanges internationaux, certaines firmes étrangères arrivent à s’imposer à l’étranger?»3.

Pour répondre à la question, Hymer soutenait que pour que l’investissement à l’étranger soit possible et rentable, la firme doit posséder un avantage spécifique4 et transférable internationalement pour rester concurrentielle sur un produit qu’il fabrique à l’étranger. Ces avantages doivent lui permettre d’obtenir des gains supérieurs aux coûts d’implantation et de demeurer ainsi compétitive sur le territoire étranger5.

Dans le prolongement, Kindleberger(1969), élargit ces questions en distinguant la condition nécessaire de la condition suffisante de l’internationalisation de la firme6. La première porte sur l’intérêt de la firme à investir à l’étranger plutôt que de recourir à un investissement dans son pays d’origine(PO). Et cela dans le cas où les opportunités de croître sur le marché local devenaient difficiles (émergence d’un oligopole..) ou impossibles (mise en place d’une législation antitrust défavorable aux firmes locales de grande taille..).

Les firmes peuvent alors se tourner vers les marchés étrangers, en vue de rechercher de nouveaux débouchés et l’apport de ressources complémentaires. Néanmoins, l’accès à un marché étranger peut parfois s’avérer compliqué, en tenant compte des barrières à l’entrée. Une firme ne peut donc raisonnablement opter pour une stratégie d’internationalisation que si elle détient des avantages spécifiques qui lui permettront de couvrir les coûts générés par l’entrée sur le nouveau marché. Kindleberger distingue quatre formes d’imperfections qui forment cet avantage spécifique7 :

-Les imperfections sur les marchés des produits: différenciation des produits, marketing

-Les imperfections sur les marchés des facteurs de production : accès privilégié aux marchés de capitaux, détention d’une technologie exclusive ;

-Des économies d’échelle internes (à la firme et du secteur) et externes ;

-Des politiques gouvernementales d’intervention sur les marchés, tendant à favoriser l’implantation des multinationales.

La satisfaction d’au moins d’une des imperfections susmentionnées permet d’avoir un avantage par rapport aux firmes locales. Pour affermir sa thèse Hymer, s’inspirait beaucoup des travaux de Bain.J.S (1956)8 sur les barrières à l’entrée dans une industrie, de Chandler(1972)9 sur la structure interne des entreprises ainsi que leurs stratégies et leurs organisation et de Caves.R (1982) qui retient les barrières à l’entrée10 comme un élément d’imperfection du marché et comme explication de l’internationalisation des firmes11.

Hymer (1976) trouvera ainsi une explication faisant intervenir les avantages monopolistiques. En ex- ante les firmes accroissent leur part de marché domestique par le biais de fusions ou l’expansion interne pour ensuite développer leurs opérations internationales et leurs structures lorsque les limites de marché domestique sont atteintes. Ceci dit donc que les stratégies d’internationalisation sont monopolistiques et fondées sur l’exploitation de barrières à l’entrée comme celle de différenciation de produit, l’accès exclusif à certains facteurs, les aides gouvernementales, la capacité d’innovation etc.12.

L’IDE ne devait pas apparaitre ici comme un substitut aux échanges commerciaux, car il s’agissait d’un moyen d’exercer un contrôle direct sur la production.

Cette théorie a eu par ailleurs le mérite d’expliquer certaines réalités de l’intégration verticale, mais il convient d’admettre que les avantages d’internalisation ne se vérifient que par l’acte d’internalisation.

Un cadre d’analyse plus élaboré de l’investissement étranger sera repris quelques années plus tard par l’américain Vernon. R, ainsi, que la théorie dite de réaction oligopolistique et d’analyse d’investissements croisés.

Cycle de vie international du produit et d’oligopole mondial

En 1966, Vernon.R développait ce que nous appelons aujourd’hui « le modèle du cycle de vie du produit », qui est considéré comme une première explication dynamique de la relation entre le commerce et l’investissement à l’étranger13, combinant à la fois des éléments de l’économie industrielle et de l’économie internationale14. Vernon définit son approche du commerce et de l’investissement international en disant qu’elle remplaçait la doctrine des coûts comparatifs et ce, notamment par la dimension temporelle de l’innovation et de l’effet des économies d’échelle15.

En s’inspirant des travaux sur le marketing, dans le modèle, Vernon soulignait que lorsqu’une firme s’implante à l’étranger,ce n’est que pour prolonger la durée de vie d’un produit en fin de course sur son marché national. En effet, d’après Vernon, lors de son introduction sur le marché, le produit passe par trois phases principales : la croissance, la maturité et le déclin. En effet, c’est en fonction des caractéristiques et l’évolution des marchés que la firme va choisir entre la décision d’exporter où de délocaliser sa production. Ainsi, lorsque le marché d’un produit est en phase de croissance, la firme accroit la rentabilité de son investissement initial en élargissant son marché par l’exportation, et de fait les économies d’échelle réalisées vont renforcer sa compétitivité-prix sur les marchés tiers. Toutefois, lorsque à une certaine durée de vie le produit se banalise et les coûts de production deviennent davantage un enjeu et d’autant plus que la concurrence devient atroce, notamment par les firmes imitatrices locales qui sont déjà présentes sur le marché étranger. En effet, afin de préserver son avantage technologique absolu, la firme se trouvera contrainte à se délocaliser dans les pays suiveurs; des importateurs de ses produits. Là un passage d’une situation de monopole technologique à une situation d’oligopole, dans laquelle les barrières à l’entrée diminuent au fur et à mesure que le produit arrive à maturité, peut être observé.

C’est ce qu’a été en fait constaté par Vernon chez les firmes américaines en Europe dans les années 1950- 60, où l’IDE a permis le prolongement de durée de vie de la production tout en compensant l’avantage technologique perdu. Par ailleurs, une fois le produit est devenu totalement standardisé, une délocalisation dans les PED pourrait avoir lieu dans le but de la recherche des coûts de production très bas et où une demande pour le produit existe.

Cette délocalisation peut être sous forme de licence ou sous-traitance. Bien entendu, avec une réexportation au pays initialement innovateur.

Pourtant, la portée explicative de ce modèle sera considérablement réduite au cours des années 1960 et 1970. L’érosion des différences entre les pays de la triade va favoriser le développement des IDE croisés. L’hypothèse de l’écart technologique ne tiendra plus, ça d’une part. D’une autre part, ce modèle n’admettait pas les PA, puisqu’ils sont nécessairement imitateurs.

Mais ceci ne l’empêchait pas d’être le départ de modèle de Kojima (1978) et Ozawa (1979) que nous avons déjà analysé, qui faisaient valoir la possibilité d’adaptation technologique plutôt que d’imitation16 et que l’IDE pouvait être un créateur de commerce en transformant la DST. Cette limite tient d’ailleurs au schéma qu’adoptait Vernon reposant sur les avantages découlant de la localisation à l’étranger plutôt que sur les avantages spécifiques des firmes, de ne pas avoir suffisamment tenu compte de l’importance de certains AC notamment en matière de main d’œuvre et de la stratégie17. En sus, l’approche de Vernon n’expliquait pas pourquoi seules certaines firmes sont innovatrices18. On lui reproche aussi l’absence d’une distinction entre l’innovation de produit et l’innovation de procédé19.

La réaction de Vernon.R devant ces changements, s’est traduite par la proposition d’une seconde version de son modèle: le cycle oligopolistique. Dans sa version de cycle de vie des oligopoles, il accordait plus d’importance au pouvoir structurant des entreprises, ce qui lui a permis d’expliquer les croisements des IDE et de prendre en considération les facteurs stratégiques qui apparaissent de plus en plus importants dans les années 70 et 80. Selon sa théorie, il existe trois types d’oligopoles successifs20: l’oligopole innovateur se caractérisant par l’importance des coûts de production et de différenciation de produit; l’oligopole mur qui se caractérise par le recours aux barrières à l’entrée, économies d’échelle et de cartellisation et l’oligopole vieillissant qui se caractérise par la concurrence en fonction des prix.

Nous pouvons conclure qu’avec ce modèle, Vernon rompt avec les théories de commerce international qui s’intéressent aux produits échangés pour se focaliser sur la firme et la structure oligopolistique des marchés. C’est une sorte d’un retournement d’un contexte fait exclusivement aux nations à un autre fait aux firmes. Mais force est de constater que c’est à Hymer, qui a probablement eu le plus d’importance dans les efforts de développer une théorie des FMN.C’est lui le premier à mettre l’accent sur les avantages spécifiques des entreprises et les avantages oligopolistiques.

Réaction oligopolistique et l’échange de menaces

Autre la recherche de nouveaux débouchés, de l’apport de ressources complémentaires, de la gestion du cycle de vie du produit, Knickerbocker.F.T(1973)21 montrait que la multinationalisation peut être déterminée par la structure de marché de PO et le comportement de la firme leader. Il formalisait une autre motivation associée au concept de « réaction oligopolistique »22. Ce concept vise à expliquer pourquoi les firmes suivent leurs concurrents lorsqu’elles s’implantent à l’étranger.

D’après Knickerbocker, le choix de s’internationaliser concerne en priorité des firmes oligopolistiques qui investissaient dans différents pays pour contrer, tenir en échec ou devancer des firmes rivales. En effet, une menace majeure pour la stabilité d’un oligopole est que l’un des acteurs d’un tel système concurrentiel décide de conquérir unilatéralement un avantage compétitif, lui permettant de devancer durablement ses concurrents. Cette réaction oligopolistique s’apparente à un comportement d’imitation des firmes. En s’internationalisant, la firme qui agit en premier modifie à son avantage les règles du jeu. Ce comportement est ressenti comme une agression par les autres firmes de l’oligopole local, puisqu’il y a remise en cause de l’équilibre des forces en présence. Les autres firmes locales vont dès lors chercher à annuler l’avantage de l’adversaire et rétablir leur propre part de marché en imitant son comportement. Il en découle une sorte de fuite en avant, où chacun s’internationalise parce que le concurrent leader l’a fait, même si cela ne procure pas un avantage immédiat. Cette réaction oligopolistique met par conséquent en avant la dimension défensive de l’internationalisation où la position sur le marché prime sur la recherche de rentabilité23.

1.1.3.4. Oligopole mondial: investissements croisés et intra-branches

Comme nous l’avons précédemment souligné, les investissements croisés vont également dans la logique de la réaction oligopolistique, autrement dit, de l’oligopole mondial tenant des imperfections de marché mondial.

Initialement, selon ANDREFF.W(1996, l’analyse voyait ses prémisses dans l’explication des IDE européens aux USA et cela, dans une logique de l’agresseur d’agressé24. Dit autrement, des échanges de menaces. Dans le même sens, Mucchielli(2005), a aussi étudié le comportement des firmes oligopolistiques 25. C’est ainsi qu’a été analysée l’implantation des firmes américaines en Europe, suivie de la réplique des firmes eurpéennes s’implantant auxUSA.

Les ventes des deux pays se partagent entre les deux marchés et en fonction des PDM. Par hypothèse, la PDM des firmes américaines est forte sur leur territoire et faible en Europe. Le cas est similaire pour les firmes européennes. La dynamique du modéle va etre etre déclenchée par l’évolution comparée des tailles de marché.

Partons d’une situation d’équilibre, et supposons que le marché européen voit sa taille augmenter(mise en place du marché commun).Cette évolution modifie les rapports de force entre les deux groupes de firmes, car les firmes américaines ont une faible part sur le marché le plus dynamique(Europe) et une forte part sur le marché le moins dynamique(USA).

L’inverse étant vrai pour les firmes eurpéennes. Ces dernières ameliorent leur position(Mucchielli, 2005, p80).

En réponse à ce changement, les firmes américaines investissement en Europe afin d’augmenter leur part sur marché européen. La réponse des firmes européennes sera alors de tenter à leur tour d’augmenter leur part de marché aux USA en profitant de la faiblesse de l’économie américaine (et donc d’un Dollar faible et de la concurrence interne), puis d’accentuer cette pénétration lorsque la conjoncture renversera les taux de croissance en faveur de la taille du marché américain et en défaveur du marché européen. Le croisement s’effectue alors de façon intertemporelle: il y a d’abord investissements américains en Europe, puis investissements européens aux USA(Mucchielli, 2005, p81).

Cette analyse peut trés bien s’appliquer aux investissements intrabranches, puisque la concurrence oligopolistique s’effectue à l’interieur de chaque secteur.

De façon globale, elle peut etre utilisée pour expliquer le renversement de la position des USA, qui sont passés d’une situation de pays investisseur à celle de pays d’accueil (Mucchielli, ibidem).

1.1.3.5. Investissements et échanges de menaces

Une autre version de réaction oligopolistique est par ailleurs née avec l’amélioration des comportements oligopolistiques. En effet, si une firme leader de l’oligopole décide d’un IDE dans un pays donnée pour modifier la structure de marché pour son avantage, alors par réaction ou mimétisme les firmes suiveuses de l’oligopole vont investir dans ce pays. Et cela afin d’affaiblir la position de leader chez lui, et ainsi lui faire lâcher prise à l’étranger, sur le territoire de la firme agressée : c’est l’échange de menaces. Pour ne citer à titre d’illustration, le cas Michelin qui répond à l’investissement de Firestone en France par une expansion de ses investissements aux USA en achetant Uniroyal.26

________________________

1 MOUHOUD.M « mondialisation et délocalisation des entreprises », 4éd, la découverte, 2013, p116.

2HAY.F, MILELLI.C et SHI.Y « Les firmes chinoises et indiennes à la conquête de l’Europe ? », Presses universitaires de Rennes, 2009, p11.

3 MOUHOUD.M, 2013, Idem.

4 D’autres vocables sont utilisés : actif spécifique, actif intangible ou propriété spécifique de firme.

5HYMER.S, « la grande corporation multinationale : analyse de certaines raisons qui poussent à l’intégration internationale des affaires », revue économique novembre, 1968, p949 à 973.

6MEIER.O et MESCHI.P.X « Approche Intégrée ou Partielle de l’Internationalisation des Firmes : Les Modèles Uppsala (1977 et 2009) face à l’approche « International New Venture » et aux Théories de la Firme », Erudit, vol. 15, n° 1, 2010, p12.

7MUCCHIELLI.J.L , « les FMN, mutations et nouvelles perspectives », Paris, Economica, 1985, p7.

8 MUCCHIELLI.J.L, op.cit, p29.

9 CHANDLER .A.D, « stratégies et structures de l’entreprise », paris, organisation, 1972.

10CAVES.R distingue quatre types de barrières à l’entrée : le coût de capital, les dépenses en R&D, les dépenses de production et les économies d’échelle.

11 CAVES.R utilise pleinement le principe de différenciation des produits comme un déterminant essentiel de la délocalisation des firmes dans « internationals corporations : the industriel economics of foreign investment », Paris, Economica, 1971, p1.

12 MEIER.O et MESCHI.P.X, 2010, op.cit.

13LEONTIEF (1953) a été l’un des premiers à se pencher sur les faiblesses de la théorie de l’échange international. La structure commerciale américaine contredisait la théorie de l’échange international. Les exportations américaines étaient intensives en travail et non en capital. Il expliquait ce paradoxe par les qualifications des travailleurs américains et le contenu technologique des produits.

14 TERSEN.D et BRICOUT, op.cit, p62

15RAINELLI.M, «Les multinationales de l’agro-alimentaire », Économie rurale, Persée, N°231, 1996. p 5.

16Les auteurs soutenaient l’idée d’une multinationalisation qui reposait sur la mobilisation et la transmission de l’innovation du PO vers PA, ce qui renforcerait les avantages naturels de ces pays. C’est ce que justifieraient l’adaptation technologique et la production à l’exportation dans plusieurs pays asiatiques que beaucoup de PA ne pratiquent d’imitation. (Le cas asiatique est analysé en détail en Chapitre III, Partie II).

17 GENDARME.R « des sorcières dans l’économie mondiale : les multinationales », éd CUJAS, paris 1981, p45.

18GRAHAM E.M. “Transnational investment multinationals firms : a rivalry phenomenon », 1987,Journal of Post Keynesian Economics, 1.

19 ANDREFF.W, « les multinationales globales », La découverte, Paris, 1996, p101.

20 ANDREFF.W, Op.cit. P103.

21Cité par MUCCHIELLI.J.L, « les relations économiques internationales », Hachette supérieur, 4éme éd, Paris, 2005, p80.

22Plusieurs économistes utilisent le terme d’« investissements en grappe » pour désigner cette réaction oligopolistique à savoir : Hirsh, 1976, D. Tersen et Bricout (le qualifie de’’ follow the leader”, op.cit, p63).

23 MUCCHIELLI.J.L, ibidem.

24ANDREFF .W, Op.cit ; 1996, p101.

25 MUCCHIELLI.J.L, Op.cit, 2005, p80.

26 MUCCHIELLI.J.L, ibidem.

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