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Étude éco-bactériologique et enzymatique de quelques zones humides classées en convention internationale de Ramsar de la région biogéographique d’Oran

Ce mémoire étudie l’éco-bactériologie et l’activité enzymatique dans les zones humides classées Ramsar de la région d’Oran et de Bechar, isolant 35 souches bactériennes et analysant leur résistance aux antibiotiques et leur contenu plasmidique.


Université des sciences et de la technologie d’Oran Mohamed Boudiaf

Faculté des sciences de la nature et de vie

Département de biotechnologie

Spécialité : biotechnologie végétale – Option : Productions végétales et microbiennes

Mémoire

Éco-bactériologie en Algérie : étude des zones humides

Étude éco-bactériologique et enzymatique de quelques zones humides classées en convention internationale de Ramsar de la région biogéographique d’Oran
(Lac Télamine et Lagune du Macta) et de Bechar (Barrage de Djorf torba)

Mr: Ziri Mohammed Abderrahmane

Pour l’obtention du diplôme de magister en biotechnologie

Année universitaire 2013/2014

 

196

Remerciements

En tout premier lieu je dois remercier Allah le tout puissant de m’avoir donnés les ressources morales, physiques, matériels et intellectuelles pour terminer ce travail.

Mes remerciements les plus forts vont à M. Cheba B., Maître de conférences à l’Université Mohammed Boudiaf d’Oran, qui m’a permis d’effectuer ma thèse sous sa direction et pour la confiance qu’il a su m’accorder.

Je tiens à remercier également Monsieur Boudjemaa A., professeur à l’université Mohammed Boudiaf d’Oran pour avoir accepté de présider le jury de mon mémoire.

J’adresse tous mes sincères remerciements à Monsieur le Docteur Djibaoui Rachid., Maitre de conférences à l’université Abdelhamid Ibn badis de Mostaganem qui me fait l’honneur d’examiner mon mémoire.

Je remercie vivement Monsieur le Docteur Abdelouahed Djamel Eddine., professeur à l’université Aboubaker belkaid de Tlemcen, je lui suis très reconnaissant d’avoir accepté d’être membre de jury de mon travail.

Je remercie également Monsieur Tchouar Noureddine.,Professeur à l’université Mohammed Boudiaf d’Oran, je lui suis très reconnaissant d’avoir accepté de participer aux jurys de mon travail.

Ma reconnaissance s’adresse également à ma famille et à mes proches amis

Liste des abréviations

pH : Potentiel hydrogène T° : température

°C : degré Celsius

CE : Conductivité électrique MES : matière en suspension

Api 20 E : Appareillage et Procédés d’Identification des Non Entérobactéries (galerie Biochimique).

ADN : acide désoxyribonucléique A : Djorf torba

M : Macta

T : Télamine

UV : Ultra-violet

µs/cm : micro simens/centimètre NPP : nombre le plus probable UFC : unité formant colonie

DMS : (degrés, minutes, secondes) mg/L : milligramme par litre

B.C.P.L : Bouillon Lactosé au bromocrésol pourpre SC:simple concentration

DC : double concentration

TGEA: Tryptone Glucose Extract Agar

TTC: chlorure de 2, 3, 5 triphényl tétrazolium ONPG: ortho-nitrophényl--D-galactopyranoside L.D.C: la lysine-décarboxylase

O.D.C : l’ornithine-décarboxylase

A.D.H : l’arginine-dihydrolase BN : bouillon nutritive

MFL : milieu de fermentation liquide MH : Géloses Muller Hinton

Nm : nanomètres DO : densité optique

LB : milieu Lauria et Bertani Mm : milimoles

Min : minute

EDTA : Ethylène diamine Tétracétique acide SDS : sodium dodecyl sulfate

UL : microlitres V : volume

TE : Tris-EDTA

P/V: poids/volume

TBE: Tris-Borate-EDTA BET: bromure d’éthidium KB: kilobase

NCBI : National Center for Biotechnology Information DP : degré de polymérisation

K da : kilodaltone

PFM : pectines faiblement methylées PHM : pectines hautement methylées UIB : union international de biochimie DE : degré d’estérification

CMC : Carboxyméthylcellulose MC : Méthylcellulose

CBH : cellobiohydrolases Md : mégadalton

R : résistante

S : sensible

I : intermédiaire ND : non déterminé

GN : gélose nutritive CT : coliformes totaux CF : coliformes fécaux SF : streptocoques fécaux GT : germes totaux

M : moyenne

Am : activité amylolytique C : activité cellulolytique Pc : activité pectinolytique UI : micro unité

Ug : microgramme

FMAT : La flore mésophile aérobie totale NaCl : Chlorure de sodium

AFNOR : Agence française de normalisation GNAB : Gel, Net, Alc, Bilié

EEA : European Environment Agency

EPTB : Établissement Public Territorial du Bassin de la Sèvre Nantaise

DGF : Direction General des Forets

DRFB : Direction Régionale des Forets Bechar CEE : Communauté Economique Européenne. OMS : Organisation Mondiale de la Santé.

Tris : 2-amino-2-hydroxymethyl-propane-1,3-diol µm : unité de longueur micron (1×10-6)

mm : unité de longueur millimetre (1×10-3) n: unité de longueur nanometre (1×10-9) CBM: carbohydrate binding module.

AEP :Alimentation eau potable

Liste des figures page

Figure 01 : Les types de zones humides rencontrées le long d’un bassin versant. 28p Figure n° 02 : Le réseau hydrographique méditerranéen. 29p

Figure n° 03 : Répartition géographique de quelques types de zones humides dans le bassin méditerranéennes.29p

Figure 04 : Les superficies des zones humides de chacun des pays du bassin méditerranéen.30p

Figure n° 05 : Les taux en (%) des pertes des zones humides de la méditerranée selon chaque pays estimées par intervalle d’année.31p

Figure n° 06 : Répartition géographique des zones humides en Algérie.35p

Figure 07: Classification des principales familles bactériennes sur la base des caractères morphologiques et biochimiques selon Violet, 2003.44p

Figure n°08 : Structure chimique de l’amidon.66p Figure n°09 : Structure chimique de l’amylose.67p Figure n°10 : Structure chimique de l’amylopectine.67p

Figure n°11; Mécanisme d’action des enzymes amylolytiques.69p Figure n°12: Structure du squelette polygalacturonique des pectines.73p

Figure n°13 : Réactions catalysées par les différentes enzymes pectolytiques.74p Figure n°14 : Les différentes voies de la dégradation enzymatiques des pectines.76p Figure n°15 : Mécanisme de β élimination par les lyases.77p

Figure n°16: Structure fibreuse de la cellulose.79p

Figure n°17: Vue sur la structure Linéaire (a) et moléculaire de la cellulose (b).79p Figure n°18 : L’hydrolyse de la cellulose par l’action synergique des enzymes.81p Figure n°19 : Détails mécanistiques de l’activité cellulase beta-glucosidase.81p Figure n°20 : Structure d’un plasmide.90p

Figure n°21 : localisation géographique du lac Télamine sur carte de zones humides wilaya d’Oran.96p

Figure n°22: Extrait d’une carte hydrographique du bassin versant du Macta wilaya d’Oran.97p

Figure n°23 : localisation de la zone humide de Djorf Torba wilaya de Bechar sur la carte hydrographique du bassin versant de Guir.98p

Figure n°24 : Protocole de la technique de colimetrie en milieu liquide test présomptif et confirmatif.104p

Figure n°25 : Protocole de la technique de colimetrie en milieu liquide test Mackenzie.105p

Figure n°26 : Schéma représentatif de la technique du dénombrement des germes totaux. 106p

Figure n°27: Aspect du milieu GVFS avant(1) et après incubation(2).117p Figure n°28: Technique de Purification et de Conservation.118p

Figure n°29 : Technique de recherche de l’Oxydase.120p

Figure n°30 : la mise en évidence de l’activité enzymatique polysaccharolytique sur milieu solide.124p

Figure n°31: Technique de production d’enzyme polysaccharolytique par fermentation liquide.126p

Figure n°32 : Technique de l’antibiogramme.128p

Figure n°33: Protocole d’extraction plasmidique à partir des bactéries.132p Figure n°34: Protocole d’électrophorèse.132p

Figure 35 : Evaluation de la taille des fragments d’ADN plasmidique avec comparaison à un marqueur de taille Gene Ruler™ 1kb DNA Ladder.133p

Figure 36 : Déduction de la taille des fragments d’ADN plasmidiques à partir du graph Log taille=F (distances parcourues).134p

Figure 37 : Les changements de PH enregistrés lors des 4 prélèvements.137p Figure 38 : Les changements de T (C°) enregistrés lors des 4 prélèvements.139p

Figure 39 : Les changements de CE (us/cm) enregistrés lors des 4 prélèvements.141p Figure 40 : Taux des matières en suspensions MES (mg/L) des trois zones humides (Macta, Télamine, Djorf torba) lors des 4 prélèvements.142p

Figure n° 41: Présentation graphique des résultats quantitatifs du dénombrement bactériologique pour chaque zone humide étudiée.144p

Figure n°42: Taux de différentes souches isolées de la zone humide Djorf torba représentées par famille.158p

Figure n°43: Taux de différentes souches isolées de la zone humide Macta représentées par famille.159p

Figure n°44: Taux de différentes souches isolées de la zone humide Télamine représentées par famille.160p

Figure n°45 : Répartition quantitative des bactéries isolée selon l’activité amylolytique166p.

Figure n°46 : Répartition quantitative des bactéries isolée selon l’activité cellulolytique168p.

Figure n°47 : Répartition quantitative des bactéries isolée selon l’activité pectinolytique170p.

Figure n°48:L’activité enzymatique polysaccharolytique des souches issues de la zone humide Djorf torba.171p

Figure n°49: L’activité enzymatique polysaccharolytique des souches issues de la zone humide Macta. 172p

Figure n°50 :L’activité enzymatique polysaccharolytique des souches issues de la zone humide Télamine.172p

Figure n°51 : Distribution des souches productrices d’enzymes polysaccharolytiques par zones humides.174p

Figure 52: le taux en % des deux familles bactériennes aquatiques les plus actives dans la dégradation des 3 polysaccharides parmi les familles isolées.178p

Annexe n°02 :Tableaux et Figures

Figure n° 01 :(Annexe) Mode opératoire de la galerie Api 20E.224p Figure n°02: (Annexe) Fiche de résultat du système Api 20E.228p

Figure n°03 : (Annexe) Dispositif de filtration sous vide et mise en culture.228p

Liste des Photos page

Photo n°01 : Vue sur la zone humide lac de Télamine wilaya Oran. 96p

Photo n°02 : Vue horizontale et verticale du site de prélèvements au niveau de la Zone humide la Macta wilaya d’Oran. 97p

Photo n°03 : Vue horizontale et verticale du site de prélèvements au niveau de la Zone humide barrage de Djorf torba Wilaya de Bechar.98p

Photo n°04 : Un thermomètre de terrain. 99p

Photo 05 : Aspect macroscopique(1) et microscopique(2) du genre Vibrio.sp. 151p Photo 06 : Aspect macroscopique(1) et microscopique(2) d’Escherichia. Coli. 151p Photo 07 : Aspect macroscopique(1) et microscopique(2) du genre Salmonella.sp. 151p

Photo 08: Aspect macroscopique(1) et microscopique(2) du genre Streptococcus.sp. 152p Photo09 : Aspect macroscopique(1) et microscopique(2) de Pseudomonas.fluorescent.

152p

Photo 10: Aspect macroscopique(1) et microscopique(2) du genre Bacillus.sp. 152p Photo 11: Aspect macroscopique(1) et microscopique(2) du genre Staphylococcus.sp. 152p

Photo 12 : Les caractères biochimiques de l’espèce Bacillus. Cereus sur Galerie system Api E20 souches (A12) et (M12). 153p

Photo 13 : Caractères biochimiques de l’espèce Bacillus cereus sur galerie system Api E20 de la souche T12. 153p

Photo 14 : Caractères biochimiques de l’espèce Escherichia.Coli sur galerie system Api E20 de la souche A9 et M9. 154p

Photo 15 : Les bactéries de forte activité amylolytiques Vue recto. 166p Photo 16: Les bactéries de forte activité cellulolytique Vue recto. 168p Photo 17: Les bactéries de fortes activités pectinolytique Vue recto. 170p

Photo 18 : Production d’enzymes polysaccharolytiques par fermentation liquide en erlenmeyers (1) et dans les tubes (2) pour les genres bactériens présentant une forte activité enzymatique issue des 3 zones humides (Macta, Télamine, Djorf torba). 175p Photo 19 : Activité cellulolytique bactérienne totale par technique des puits sur milieu à base de cellulose (1) et activité cellulolytique de quelques genres bactériens (2) présentant une forte activité dans l’hydrolyse de la cellulose. 175p

Photo 20 : Activité Amylolytique (1) et pectinolytique (2) par technique des puits sur milieu minimum à base d’amidon et de pectine pour quelques genres bactériens issues des 3 zones humides (Télamine, Djorf torba, Macta). 176p

Photo 21: Antibiogramme des bactéries A7, A8, A9 de la famille des Enterobactereaceae

isolées de la zone humide de Djorf torba. 179p

Photo 22 : Antibiogramme des bactéries M7, M8, M9 de la famille des

Enterobactereaceae isolées de la zone humide Macta. 179p

Photo 23 : Antibiogramme des bactéries T7, T8 de la famille des Enterobactereaceae

isolées de la zone humide Télamine. 180p

Photo 24 : Antibiogramme des bactéries A1, M1, A12, M12, T12 appartenant à la famille des Bacillaceae des trois zones humides. 180p

Photo 25 : Antibiogramme des Bactéries A3, M3, T3 appartenant à la famille des

Pseudomonaceae des trois zones humides. 181p

Photo 26 : le profil plasmidique de quelques bactéries présentant une activité enzymatique polysaccharidique importante isolées à partir de trois zones humides (Djorf torba, Macta, Télamine) appartenant à la famille des Enterobactereaceae. 185p Photo27: le profil plasmidique de quelques bactéries présentant une activité enzymatique polysaccharidique importante isolées à partir de trois zones humides

(Djorf torba, Macta, Télamine) appartenant à la famille des Bacillaceae et

Pseudomonaceae. 186p

Annexe diaporamas et images :

Diaporama 01, 02, 03, 04, 05 : Paysage de quelques types de zones humides continentales et littorales.(239,240,241,242,243)p

Diaporama 06: Vue aérienne prise par Google earth du site de prélèvement lagune Macta Wilaya d’Oran.244p

Diaporama 07: Vue aérienne prise par Google earth du site de prélèvement Lac Télamine Wilaya d’Oran.245p

Diaporama 08: Vue aérienne prise par Google earth du site de prélèvement Barrage de Djorf Ettorba Wilaya de Bechar.246p

Liste des tableaux page

Tableau n°01 : Les principales zones humides classées en convention de Ramsar en Algérie.36p

Tableau n°02 : Classification des coques gram(-) et(+).41p Tableau n°03: Classification des bacilles gram(-).42p Tableau n°04 : Classification des bacilles gram(+).43p

Tableau 05 : Qualité bactériologique requise pour les eaux de baignade.47p

Tableau 06: Qualité bactériologique requise pour les eaux douces superficielles utilisées pour la production d’eau livrée à la consommation.47p

Tableau n°07 : Teneur en amylose et amylopectine des amidons de différentes sources botaniques.65p

Tableau n°08 : Degré de polymérisation de l’amylose et de l’amylopectine dans différents amidons.67p

Tableau n°09 : Fabricants d’amidon et de produits à base d’amidon.68p Tableau n°10 : Propriétés général des enzymes amylolytique.69p

Tableau n°11: Les principaux genres bactériens producteurs de pectinases.77p Tableau n°12 : Description de l’échantillonnage.95p

Tableau n°13 : Mesures des paramètres physico-chimiques du premier prélèvement.99p Tableau n°14 : Mesures des paramètres physico-chimiques du second prélèvement.100p Tableau 15 : Mesures des paramètres physico-chimiques du troisième prélèvement.100p Tableau16 :Mesures des paramètres physico-chimiques du Quatrième prélèvement.100p Tableau17 :Mesures des MES matières en suspension durant les quatre prélèvements.101p

Tableau18 :Les principaux antibiotiques utilisés pour la famille des

Enterobactériaceae.129p

Tableau 19 : Les principaux antibiotiques utilisés pour la famille des Bacillaceae.129p Tableau 20 : Les principaux antibiotiques utilisés pour la famille des Pseudomonaceae.129p

Tableau 21 : Déduction des tailles des fragments d’ADN plasmidiques à travers le graphe Log (taille)= F(D).133p

Tableau 22: Les valeurs du PH de chaque zone humide au cours des 4 prélèvements.136p

Tableau 23: Les valeurs de la T°(°c) de chaque zone humide au cours des 4 prélèvements.138p

Tableau 24: Les valeurs de la conductivité (us /cm) de chaque zones humides au cours des 4 prélèvements.139p

Tableau 25:Les valeurs du MES (mg/l) de chaque zones humides au cours des 4 prélèvements.141p

Tableau 26 : Résultats de l’analyse bactériologique au niveau de la zone humide Djorf torba.143p

Tableau 27 : Résultats de l’analyse bactériologique au niveau de la zone humide Macta.143p

Tableau 28 : Résultats de l’analyse bactériologique au niveau de la zone humide Télamine.143p

Tableau 29 : Qualités d’eaux superficielles destinées à la procédure d’eau alimentaire.146p.

Tableau 30: Caractérisation (identification) préliminaire des souches bactériennes isolées à partir de la zone humide Djorf torba.148p.

Tableau 31 : Caractérisation (identification) préliminaire des souches bactériennes

isolées à partir de la zone humide Macta.149p.

Tableau 32 : Caractérisation (identification) préliminaire des souches bactériennes isolées à partir de la zone humide Télamine.150p

Tableau 33: Le profil d’identification numérique de 5 souches aquatiques par system de galerie biochimique Api 20 E.153p

Tableau 34 : Classification des souches isolées de la zone humide Djorf torba par famille.158p

Tableau 35 : Classification des souches isolées de la zone humide du Macta par famille.159p

Tableau 36 : Classification des souches isolées de la zone humide de Télamine par famille.160p

Tableau 37 : Les activités spécifiques amylolytique de différentes souches isolées à partir des trois zones humides (Djorf torba, Télamine, Macta).163p

Tableau 38 : Les activités spécifiques Cellulolytique de différentes souches isolées à partir des trois zones humides (Djorf torba, Télamine, Macta).164p

Tableau 39 : Les activités spécifiques Pectinolytiques de différentes souches isolées à partir des trois zones humides (Djorf torba, Télamine, Macta).165p

Tableau 40 : Quelques bactéries du premier groupe de forte activité amylolytique.167p Tableau 41 : Quelques bactéries du premier groupe de forte activité cellulolytique.169p Tableau 42 : Distribution des souches productrices d’enzymes polysaccharolytiques par zones d’études.174p

Tableau 43 : activité enzymatique polysaccharolytique des souches aquatique les plus performants obtenus par fermentation liquide et technique des puits.176p

Tableau 44 : Caractères enzymatiques de resistance aux ATB et plasmidique des souches aquatiques appartenant à la famille des Enterobactereaceae après mis en électrophorèse.185p

Tableau 45 : Caractères enzymatiques et de resistance aux ATB et plasmidique des souches aquatiques appartenant à la famille des Bacillaceae et Pseudomonaceae après mis en électrophorèse.186p

Tableau 46 : Evaluation des tailles d’ADN plasmidique des bactéries aquatiques appartenant à la famille des EnterobacteraceaeBacillaceae et Pseudomonaceae par approche comparative.187p

Annexe n°02 :Tableaux et Figures

Tableau n°01 :(annexe) : Table de référence pour la détermination du nombre le plus probable (N.P.P) de bactéries par 100 ml d’échantillon (Monod, 1989).222p

Tableau n°02 : (annexe) : Identification des Bacillus avec la Galerie Api20E (Guy et Jean -Noel, 1990). 223p

Tableau n°03 : (annexe) : Liste des antibiotiques utilisés pour l’antibiogramme des Entérobactéries (Jean et Guy, 1988).225p

Tableau n°04 : (annexe) : Tableau de lecture de la galerie API 20 E.226p

Tableau n°05 : (annexe): Description de la qualité de l’eau des trois zones humides vue à l’œil nue lors des échantillonnages. 229p

Tableau n°06 : (annexe) : Résultat de dénombrement des Germes totaux (CFU/100ml) durant les 4 prélèvements d’eau établie à partir de différentes zones humides étudiées. 229p

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Annexe N° 01 : Milieux de culture utilisés et réactifs avec solutions

1. Les milieux de cultures :

M1 : Gélose tryptone-glucose –extrait de levure (T.G.E.A) :

Tryptone 6g Extrait de levure 3g

Agar 15g

Eau distillée 1000ml

PH: 7±0,2 autoclavage 20 min à 120°C

M2 : Bouillon Lactosé au bromocrésol pourpre simple concentration (B.C.P.L S/C) :

Peptone 5g Extrait de levure 2g

Lactose 5g

Pourpre de bromocrésol 0,025g

Eau distillée 1000ml

PH: 6,9±0,2 autoclavage 20 min à 115°C

M3 : Bouillon Lactosé au bromocrésol pourpre double concentration (B.C.P.L D/C) :

Peptone 10g Extrait de viande 4g

Lactose 10g

Pourpre de bromocrésol 0,05g

Eau distillée 1000ml

PH: 6,9±0,2 autoclavage 20 min à 115°C

M4: Milieu de Schubert (milieu indole-mannitol) :

Tryptophane 0,2g Acide glutamique 0,2g

Sulfate de magnésium 0,7g

Citrate de sodium 0,5g

Sulfate d’ammonium 0,4g

Chlorure de sodium 2g

Peptone 10g

Mannitol 7,5g

Phosphate disodique 4g

Phosphate monopotassique 0,6g

Eau distillée 1000ml

PH: 7,6 autoclavage 10 min à 115°C M5 : Milieu de Rothe S/C : Peptone 20g

Glucose 5g

Chlorure de sodium 5g

Monohydrogénophsphate de potassium(K2HPO4) 2,7g

Dihydrogénophsphate de potassium (KH2 PO4) 2,7g

Azide de sodium(NaN3) 0,2g

Eau distillée 1000ml

PH: 6,8±2 autoclavage 20 min à 120°C M6 : Milieu de Rothe D/C : Peptone 40g

Glucose 10g

Chlorure de sodium 10g

Monohydrogénophsphate de potassium(K2HPO4) 5,4g

Dihydrogénophsphate de potassium (KH2 PO4) 5,4g

Azide de sodium(NaN3) 0,4g

Eau distillée 1000ml

PH: 6,8±2 autoclavage 20 min à 120°C

M7 : Milieu de Litsky /bouillon à l’éthyle violet et l’azide de sodium (E.V.A) :

Peptone 20g Glucose 5g

Chlorure de sodium 5g

Monohydrogénophsphate de potassium(K2HPO4)…. 2,7g Dihydrogénophsphate de potassium (KH2 PO4) 2, 7g

Azide de sodium(NaN3) 0,3g

Solution d’éthyl violet 5ml

Eau distillée 1000ml

PH: 6,8 autoclavage 20 min à 120°C

M8 : Gélose viande-foie (V.F) :

*gélose de base :

Base viande-foie 30g

Glucose… 2g

Amidon… 2g

Agar… 11g

Eau distillée 1000ml

PH: 7,6 autoclavage 10 min à 120°C

*gélose complète :

Même formule que le milieu de base auquel sont ajoutés : Sulfite de sodium à 5% 50ml

Alun de fer ammoniacal à 5% 10ml

PH: 7,2±0,2

M9 : Bouillon nitraté :

Extrait de viande 3g

Peptone 5g

Nitrate de potassium (KNO3) 1g

Eau distillée 1000ml

PH: 7,2±0,2 autoclavage 15 min à 121°C

M10: Bouillon au sélénite /bouillon de Leifson (S.F.B) :

Peptone 5g Lactose 4g

Phosphate disodique 10g

Sélénite acide de sodium 4g

Eau distillée 1000ml

PH: 7,2±0,2 chauffage au maximum à 60°C pendant 10 min

M11: Gélose Salmonella-Shigella (S-S):

Extrait de viande de bœuf… 5g Bio-polytone 5g

Sels biliaires 8,5g

Lactose 10g

Citrate de sodium 8,5g

Thiosulfate de sodium 8,5g

Citrate ferrique 1g

Vert brillant 0,00033g

Rouge neutre 0, 025g

Agar 13, 5g

Eau distillée 1000ml

PH: 7 stérilisations 30 min à 100°C M12: Eau peptonée alcaline (E.P.A) : Peptone 30g

Chlorure de sodium 30g

Eau distillée 1000ml

PH: 8,6 autoclavage 20 min à 121°C

M13: Gélose nutritive (G.N) :

Peptone pepsique de viande 5g

Extrait de viande 1g

Extrait de levure 2g

Chlorure de sodium 5g

Agar 15g

Eau distillée 1000ml

PH: 7,4±0,2 autoclavage 15 min à 121°C M14: Milieu de Chapman : Peptone 10g

Extrait de viande 1g

Chlorure de sodium 75g

Mannitol 10g

Rouge de phénol 0,025g

Agar 15g

Eau distillée 1000ml

PH: 7,6 autoclavage 20 min à 121°C

M15: Milieu de Mueller-Hinton (M.H) :

Infusion de viande de bœuf 300g

Hydrolysat acide de caséine 17,5g

Amidon de maïs 1,5g

Agar 17g

Eau distillée 1000ml

PH: 7,3±0,1 autoclavage 15 min à 121°C

M16: Milieu de King A : (King et al, 1954)

Peptone trypsique de gélatine (peptone A) 20g

Glycérol 10ml

Sulfate de potassium anhydre 10g

Chlorure de magnésium anhydre 1,4g

Agar 15g

Eau distillée 1000ml

PH: 7,2 autoclavage 20 min à 121°C

Forme commerciale : le milieu est sous forme de poudre mélanger avec l’agar et pour préparer 100ml de milieu de culture on prend 4,41g la faire dissoudre dans 99ml d’eau distillée avec un 1 ml de glycérol.

M17 : Milieu de King B : (King et al, 1954)

Polypeptone (peptone B) 20g Glycérol… 10ml

Phosphate bipotassique anhydre 1,5g

Sulfate de magnésium 1,5g

Agar 15g

Eau distillée 1000ml

PH: 7,2 autoclavage 20 min à 121°C

Forme commerciale : le milieu est sous forme de poudre mélanger avec l’agar et pour préparer 100ml de milieu de culture on prend 3,33g la faire dissoudre dans 99ml d’eau distillée avec un 1 ml de glycérol.

M18: Milieu GNAB

Peptone… 20g Poudre de l’extrait de bœuf 05g

NaCl… 05g

Sel de bille de bovine 2,5g

L’Agar agar 15g

Eau distillé… 1000ml

PH=8,3_8,5 autoclavage 15 min à 121°C

M19: Milieu Tergitol TTC

Extrait de viande… 05 g

Peptone 10 g

Extrait de levure… 06 g

Lactose 20 g

Bleu de bromothymol 0,05 g

Agar 12,75 g

Eau distillée 1000ml

PH final = 7,2

M20 : Milieu LB (Lauria et Bertani, 1951)

Extrait de levure… 5g Tryptone… 10g

NaCl… 10g

Eau distillée 100ml

Le milieu LB liquide est ajusté à PH=7, stérilisé par autoclavage pendant 20 à 121C°.

M21 : Milieu gélose Mosel

Peptone… 10g Extrait de viande… 01g

Mannitol 10g

Jaune d’œuf………………………………………à 20% ou 10% Sulfate de polymyxine B 0, 01g

Rouge de phénol 0, 025g

NaCl… 10g

Agar 14g

Eau distillé… 1000ml

PH=7,2 autoclavage 15 min à 121°C

M22 : Milieu M17

Tryptone… 5g Peptone de soja… 5g

Infusion de viande… 5g

Extrait de levure… 2,5g

Glycerohydrogénophosphate de sodium 19g

Lactose 5g

Acide ascorbique… 0,5g

Sulfate de magnésium 0,25g

Agar 11g

Eau distillé… 950ml

PH=6,9 autoclavage 15 min à 121°C

M23 : Gélose M.R.S :

Peptone bactériologique 10g.

Extrait de Viande 8g.

Extrait de levure. 4g.

Acétate de sodium 5g.

Phosphate bipotassique 2g.

Citrate d’ammonium 2g.

Sulfate de magnésium 7 H2O 0,2g.

Sulfate de manganese 4 H2O 0,05g.

Glucose. 20g.

Tween 80. 1 ml.

Agar 10g.

Eau distillée 1000ml

PH : 6,2 (environ)

M24 : Milieu minimum à base de polysaccharide

Extrait de levure 0,5g Eau distillé… 205ml

Nacl… 0,025g

Polysaccharide 5g

  1. .Les réactifs :
    1. Réactif de la recherche de l’oxydase :

Disques imprégnés d’une solution à 1% de chlorhydrate de tetraméthylparaphénylènediamine.

    1. Solution de l’eau oxygénée à10% :

Eau oxygénée à 110 V… 0, 5 ml

Eau distillée 14, 5 ml

    1. Disques d’antibiotiques :

SANOFI DIAGNOSTICS PASTEUR

Bio Mérieux sa. BIO-RAD

  1. .Les solutions :
    1. Eau physiologique :

NaCl… 9g H2Odistillée… 1000ml

    1. Lugol:

I2… 1g KI 2g

H2O distillée… 100ml

    1. Les solutions et tampons de biologie moléculaire :
      1. Tampon SET : Contenant 20% de saccharose, 50Mm Tris (0,601g) et 50 Mm EDTA (1,625g) pour une préparation de 100 ml
      2. Solution du mélange lytique : doit être préparé fraichement par le mélange de 0,2N NaOH et SDS de 1%
      3. Tampon TE : Tris 50 Mm et10MmEDTA
      4. Tampon TBE(x10) : préparer par adition de 108g de Tris et 55g acide borique à 500ml d’eau distillée .mélanger bien jusqu’à dissolution ensuite ajout de 40ml EDTA 0,5M, PH=8, puis porter à un volume final de 1 litre avec de l’eau distillée.
      5. Bromure d’éthidium (10mg/ml) :

On prend 10mg du bromure d’éthidium la faire dissoudre dans 1 ml d’eau distillée et conserver ce produit au frigo à une basse T° de 4C°.

Annexe N° 02: Tableaux et figures

Tableau 1 : Table de référence pour la détermination du nombre le plus probable (N.P.P) de bactéries par 100 ml d’échantillon (Monod, 1989)

Nombre de tubes donnant une réaction positive surNPP

dans 100

ml

Limites de confiance à 95%
3

tubes de 10

ml

3

tubes de 1 ml

3

tubes de 0,1

ml

Limite inférieureLimite supérieure
0013< 0,59
0103< 0,513
1004< 0,520
1017121
1107123
11111336
12011336
2009136
20114337
21015344
21120789
22021447
2212810149
300234120
301397130
3026415379
310437210
3117514230
31212030380
3209315380
32115030440
32221035470
330240361300
331460712400
33211001504800
3331400//

Identification des Bacillus :

[32_img_4]Tableau 2 : Identification des Bacillus avec la Galerie Api20E (Leyrel Guy et Joffin Jean -Noel, 1990).

O N

P G

A D HL D CO D CC I TH 2 SU R ET D AI N DV PG E LG L UM A NI N OS O RR H AS A CM E LA M YA R AO XN I TM O BLAR

µm

B.Cereusv+v+++v?++1,4
B .Mycoidesvvvv+++v?vv1,3
B.Thurengensis(1)+++++v?++1,4
B.Cereus (emetic)+++++?++1,4
B.anthracis+v++?+1,3
B. Firmusvv+++++?v+0,8
B. Lentus+vvv++vv+?v+0,8
B .Laterosporusv++++?v+0,9
B .alvelvv++++V?v+0,8
B. Carotarunv+v+vvv?v+v1,1
B. brevisvvvv+?++0,9
B. pesteuril+?++0,7
B. Sphaericusvv?++1,0
B. Subtilus+++++++++?++++0,8
B. amyloiquefaciensv+++++v++?+v++0,8
B. Licheniformis+++v++++v+++?++++0,8
B .Punifus++++++v+?+++0,7
B. megatherium(2)+++++++v+?+++1,5
B. Circulans+vv++vv+?++v+0,8
B. macerans+vv++vv++?++V+0,7
B .polymyxa+++++v+?++++0,9
B. thiaminolyticus+++++v++++?+v+0,7
B. pentotnenticusvvV++vvv++?+v+0,6
B. Coagulansv+v+vvvv+?vv+0,8
B.Stearothermophilus(1)v+++vvv+?vv+0,8
B.Stearothermophilus(2)++++v++?+vv0,7
B.Stearothermophilus(3)+++++?0,9
  1. Inclusions cristallines
  2. Corps périsporaux
  3. Variables

[32_img_5][32_img_6]

Incubé pendant 18 à 24h à 37°C

Figure 1 : Mode opératoire de la galerie Api 20E (Fiche technique pour système API 20 E). .

Tableau 3 : Liste des antibiotiques utilisés pour l’antibiogramme des Entérobactéries (Joffin Jean et LeyrelGuy, 1988)

AntibiotiquesClasseCharge du disqueSigle
Famille des – lactamines
Pénicilline GPénicillines G06gP
AmpicillineAminopénicillines10gAM
AmoxicillineAminopénicillines25gAMX
Amoxicilline + acide

clavulanique

Aminopénicillines20g +10gAMC
OxacillinePénicillines M5gOX
CéftazidimeCéphalosporines 3ème

génération

30gCAZ
CéfoxitineCéphalosporines30gFOX
CéfalexineCéphalosporines orales30gCN
PipéracilllineAciluréidopénicillines75gPIP
TicarcillineCarboxypénicilline75gTIC
Famille des Aminosides
KanamycineAminosides30UIK
NetilmicineAminosides30gNET
GentamicineAminosides10UIGM
Famille des Tétracyclines
TétracyclineTetracyclines30UITE
MinocyclineTetracyclines30UIMNO
Famille des polypeptides
ColistinePolypeptides50gCS
Famille des sulfamides
SulfamidesSulfamides200gSSS
Triméthoprime +

Sulfamides

Sulfamides1,25g + 23,75gSXT
Famille des Nitro-furanes
FuranesFuranes300gFT
Famille des Quinolones
Acide nalidixiqueQuinolones30gNA
Divers
FosfomycineFosfomycine50gFOS
VancomycineVancomycine30gVA
NitroxolineNitroxoline20gNI

Tableau 4 : Tableau de lecture de la galerie API 20 E (Manuel de la galerie)

TestsSubstratsRéactions/enzymesRésultats
NégatifPositif
ONPGOrtho-nitro-phenyl-

-D-

galactopyranoside

Bêta- galactosidaseIncoloreJaune (1)
ADHArginineArginine dihydrolaseJauneRouge/orangé (2)
LDCLysineLysine décarboxylaseJauneOrangé
ODCOrnithineOrnithine décarboxylaseJauneRouge/orangé (2)
CITCitrate de sodiumutilisation du citrateVert pâle/jauneBleu-vert/bleu (3)
H2SThiosulfate de

sodium

Production d’H2SIncolore/grisâtreDépôt noir
UREUréeUréaseJauneRouge/orangé
TDATryptophaneTryptophane désaminaseTDA immédiat

Jaune Marron foncé

INDTryptophaneProduction d’indoleJAMES/immédiat ou IND/2 min

JAMES JAMES

Incolore rose

Vert pâle/jaune

IND IND

Jaune Anneau

rouge

VPPyruvate de sodiumProduction d’acétoïneVP1 +VP2/ 10 min (5)

Incolore rose/rouge

GELGélatine KohnGélatinaseNon diffusionDiffusion du pigment

noir

GLUGlucoseFermentation/oxydation (4)Bleu/bleu vertJaune/jaune gris
MANMannitolFermentation/oxydation (4)Bleu/bleu vertJaune/jaune gris
INOInositolFermentation/oxydation (4)Bleu/bleu vertJaune/jaune gris
SORSorbitolFermentation/oxydation (4)Bleu/bleu vertJaune/jaune gris
RHARhamnoseFermentation/oxydation (4)Bleu/bleu vertJaune/jaune gris
SACSaccharoseFermentation/oxydation (4)Bleu/bleu vertJaune/jaune gris
MELMelibioseFermentation/oxydation (4)Bleu/bleu vertJaune/jaune gris
AMYAmygdalineFermentation/oxydation (4)Bleu/bleu vertJaune/jaune gris
ARAArabinoseFermentation/oxydation (4)Bleu/bleu vertJaune/jaune gris
OXSur papier filtreCytochrome-oxydaseOX/1-2 min

Incolore violet

NO3-NO2Tube GluProduction de NO2 Réduction au stade N2NIT1+NIT2/2-3MIN

Jaune rouge

Zn/5min

Rouge jaune

MOBAPI M Medium ou

microscope

MobilitéImmobileMobile
McCMilieu de Mac

conkey

CultureAbsencePrésence
OF-F OF-OGlucose (API OF

médium )

Fermentation : sous huile

Oxydation : à l’air

Vert

Vert

Jaune

jaune

  • Préparation des galeries : (Joffin et Leyral, 1990)
  • Réunir fond et couvercle d’une boite d’incubation et répartir environ 5ml d’eau distillée dans les alvéoles pour créer une atmosphère humide.
  • Inscrire la référence de la bactérie sur la languette latérale de la boite.
  • Placer la galerie dans la boite d’incubation.
  • Préparation de l’inoculum : (Joffin et Leyral, 1990)
  • Ouvrir une ampoule de suspension Medium (5ml) et réaliser une suspension homogène avec la colonie isolée sur milieu gélosé.
  • Inoculation de la galerie : (Joffin et Leyral, 1990)
  • Remplir tubes et cupules des tests : CIT, VP et GEL.
  • Remplir uniquement les tubes des autres tests.
  • Créer une atmosphère anaérobie dans les tests : ADH, LDC, ODC, H2S et URE en remplissant leur cupule d’huile de paraffine.
  • Refermer la boite d’incubation et incuber à 37°C pendant 18-24h.
  • Interprétation :
    • Détermination du profil numérique :

Sur la fiche de résultats, les tests sont séparés par groupe de trois et une valeur 1, 2 ou 4 est indiquée pour chacun. En additionnant à l’intérieur de chaque groupe les valeurs correspondant à des réactions positives, on obtient 7 chiffres ; la réaction de l’oxydase qui constitue le 21eme test est affectée de la valeur 4 lorsqu’elle est positive.

    • Identification : elle est réalisée à partir de la base de données à l’aide du catalogue analytique.
    • La figure 2 montre la fiche de résultat du système Api 20E.

[32_img_7]

Figure 2 : Fiche de résultat du système Api 20E (Fiche technique pour système API 20 E).

  • Technique de filtration sur membrane :

[32_img_8][32_img_9]

Echantillon liquide

Entonnoir

Membrane filtrante

Support de verre

Pince

Vide

Base

Bouchon en

caoutchouc

Figure 03 : Dispositif de filtration sous vide et mise en culture (Jerome et al,2004).

Tableau 5: Description de la qualité de l’eau des trois zones humides vue à l’œil nue lors des échantillonnages

Zone humideCouleur de l’eauOdeur de l’eauType de végétationObservation
Djorf torbaVert clairsoufreHerbes halophiles

Algues Roseaux

Aucune
MactaVert noir foncéDécomposition organiqueHerbes Algues

plantules

Présence de matière organique et déchets
TélamineTransparent tends vers le gris dans des endroitsAucunHerbes Culture maraichère OliviersPollution huileuse sous forme d’un noircissement et des taches

à la surface

Tableau 6 : Résultat de dénombrement des Germes totaux (CFU/100ml) durant les 4 prélèvements d’eau établie à partir de différentes zones humides étudiées.

PrélèvementDjorf

torba

TélamineMacta
15 .105444 .10567 .105
273 .105331 .10598 .105
323 .105587 .10554 .105
412 .105892.10575 .105

Annexe N° 03 : documents

Fiche descriptive sur les zones humides Ramsar (FDR)- version 2009-2014

(Les 4 premières pages)

Peut être téléchargée de : http://www.ramsar.org/doc/ris/key_ris_f.docet http://www.ramsar.org/pdf/ris/key_ris_f.pdf

Catégories approuvées dans la Recommandation 4.7(1990) modifiée par la Résolution VIII.13 de la 8e Session de la Conférence des Parties contractantes (2002) et par les Résolutions IX.1 Annexe B, IX.21 et IX.22 de la 9e Session de la Conférence des Parties contractantes (2005)

Notes aux rédacteurs :

  1. La FDR doit être remplie conformément à la Note explicative et mode d’emploi pour remplir la Fiche d’information sur les zones humides Ramsar ci-jointe. Les rédacteurs sont vivement invités à lire le mode d’emploi avant de remplir la FDR.
  2. D’autres informations et orientations à l’appui de l’inscription de sites Ramsar figurent dans le Cadre stratégique et lignes directrices pour orienter l’évolution de la Liste des zones humides d’importance internationale (Manuel Ramsar 14, 4e édition).
  3. La FDR remplie (et la ou les carte(s) qui l’accompagne(nt)) doit être remise au Secrétariat Ramsar. Les rédacteurs devraient fournir une copie électronique (MS Word) de la FDR et, si possible, des copies numériques de toutes les cartes.
  4. Nom et adresse du rédacteur de la FDR :
  5. Date à laquelle la FDR a été remplie ou mise à jour :

Usage interne seulement

J M A

Date d’inscription Numéro de référence du site

  1. Pays :
  2. Nom du site Ramsar :

Le nom exact du site inscrit dans une des trois langues officielles (français, anglais ou espagnol) de la Convention. Tout autre nom, par exemple dans une langue locale (ou plusieurs) doit figurer entre parenthèses après le nom exact.

  1. Inscription d’un nouveau site Ramsar ou mise à jour d’un site déjà inscrit :

Cette FDR concerne (veuillez ne cocher qu’une seule case)

    1. l’inscription d’un nouveau site Ramsar  ou
    2. des informations mises à jour sur un site Ramsar déjà inscrit 
  1. Pour les mises à jour de FDR seulement : changements apportés au site depuis son inscription ou depuis la dernière mise à jour :
    1. Limites et superficie du site

Les limites et la superficie du site Ramsar sont inchangées 

ou

Si les limites du site ont changé :

      1. les limites ont été marquées plus précisément  ; ou
      2. les limites ont été agrandies  ; ou
      3. les limites ont été réduites** 

et/ou

Si la superficie du site a changé :

  1. la superficie a été mesurée avec plus de précision  ; ou
  2. la superficie a été agrandie  ; ou
  3. la superficie a été réduite** 

** Note importante : si les limites et/ou la superficie du site inscrit sont réduites, la Partie contractante doit avoir suivi les procédures établies par la Conférence des Parties contractantes dans l’annexe à la Résolution IX.6 de la COP9 et avoir fourni un rapport, conformément au paragraphe 28 de cette annexe, avant de soumettre une FDR à jour.

    1. Décrire brièvement tout changement majeur intervenu dans les caractéristiques écologiques du site Ramsar, y compris dans l’application des Critères depuis la FDR précédente :
  1. Carte du site :

Voir annexe III de la Note explicative et mode d’emploi pour des orientations précises sur la fourniture de cartes appropriées, y compris de cartes numériques.

    1. Une carte du site, avec des limites clairement marquées est incluse sous la forme suivante :
      1. une copie imprimée (nécessaire pour inscription du site sur la Liste de Ramsar) : 
      2. une carte électronique (c.-à-d. JPG ou image ArcView) : 
      3. un fichier SIG avec des vecteurs géoréférencés des limites du site et des tableaux des attributs 
    2. Décrire brièvement le type de délimitation appliqué :

P. ex. les limites sont celles d’une aire protégée existante (réserve naturelle, parc national, etc.) ou correspondent aux limites d’un bassin versant ; ou suivent des limites géopolitiques (p. ex. une juridiction locale) ou des limites physiques telles que des routes ou les berges d’un plan d’eau, etc.

  1. Coordonnées géographiques (latitude/longitude, en degrés et minutes) :

Fournir les coordonnées du centre approximatif du site et/ou les limites du site. Si le site se compose de plusieurs zones séparées, fournir les coordonnées de chacune des zones.

  1. Localisation générale :

Indiquer dans quelle partie du pays et dans quelle(s) grande(s) région(s) administrative(s) le site se trouve, ainsi que la localisation de la grande ville la plus proche.

  1. Élévation : (en mètres : moyenne et/ou maximale & minimale)
  2. Superficie : (en hectares)
  3. Description générale du site :

Bref paragraphe résumant les principales caractéristiques écologiques et l’importance de la zone humide.

  1. Critères Ramsar :

Cochez la case située sous chaque critère justifiant l’inscription de ce site Ramsar. Voir annexe II de la Note explicative et mode d’emploi pour les critères et les orientations concernant leur application (adoptés dans la Résolution VII.11). Tous les critères applicables doivent être cochés.

1 • 2 • 3 • 4 • 5 • 6 • 7 • 8 • 9

        

  1. Justification des Critères mentionnés dans la rubrique 13 ci-dessus :

Justifier chaque critère l’un après l’autre, en indiquant clairement à quel critère s’applique la justification (voir annexe II pour des orientations sur les formes acceptables de justification).

  1. Biogéographie (information requise lorsque le Critère 1 et/ou le Critère 3 et/ou certains points du Critère 2 s’appliquent

au site à inscrire) :

Nommer la région biogéographique où se trouve le site Ramsar et indiquer le système de régionalisation biogéographique appliqué.

    1. région biogéographique :
    2. système de régionalisation biogéographique (citer la référence) :
  1. Caractéristiques physiques du site :

Décrire, le cas échéant, la géologie, la géomorphologie ; les origines – naturelles ou artificielles ; l’hydrologie ; le type de sol ; la qualité de l’eau ; la profondeur et la permanence de l’eau ; les fluctuations du niveau de l’eau ; les variations dues aux marées ; la zone en aval ; le climat général ; etc.

  1. Caractéristiques physiques du bassin versant :

Décrire la superficie, les caractéristiques géologiques et géomorphologiques générales, les types de sols principaux et le climat (y compris le type climatique).

  1. Valeurs hydrologiques :

Décrire les fonctions et valeurs de la zone humide du point de vue de la recharge de l’eau souterraine, de la maîtrise des crues, du

captage des sédiments, de la stabilisation des rives, etc.

  1. Types de zones humides :
    1. présence :

Encercler ou souligner les codes correspondant aux types de zones humides du « Système de classification des types de zones humides » Ramsar présents dans le site Ramsar. Les descriptions des codes correspondants aux types de zones humides figurent dans l’annexe I à la Note explicative et mode d’emploi.

Marine/côtière : A • B • C • D • E • F • G • H • I • J • K • Zk(a)

Continentale : L • M • N • O • P • Q • R • Sp • Ss • Tp Ts • U • Va

  • Vt • W • Xf • Xp • Y • Zg• Zk(b)

Artificielle : 1 • 2 • 3 • 4 • 5 • 6 • 7 • 8 • 9 • Zk(c)

    1. dominance :

Énumérer les types de zones humides identifiés sous a) ci-dessus par ordre de dominance (en superficie) dans le site Ramsar, en commençant par le type de zone humide qui a la plus grande superficie.

  1. Caractéristiques écologiques générales :

Préciser la description, s’il y a lieu, des principaux habitats, types de végétation, communautés végétales et animales présents dans le site Ramsar, ainsi que les services écosystémiques du site et les avantages qui en sont issus.

  1. Flore remarquable :

Fournir des informations supplémentaires sur des espèces particulières et les raisons pour lesquelles elles sont remarquables (en

complétant si nécessaire l’information fournie à la rubrique 14. Justifier l’application des critères en indiquant, par exemple, les

Annexe N° 04 : Glossaire

  1. Définitions de quelques zones humides : (Source wikipidia)

Fleuve : en hydrographie francophone, un fleuve est un cours d’eau qui se jette dans une mer, dans l’océan. Il se distingue d’une rivière, qui se jette dans un autre cours d’eau ; les fleuves ayant leur cours proche de la côte maritime sont appelés fleuves côtiers.

Cariçaie : peuplement de grands carex , dans les cage marécages de bord de lac non immergés.

Rivière : en hydrographie, une rivière est un cours d’eau au débit moyen à modéré (supérieur à 2 m3/s) qui s’écoule sous l’effet de la gravité, se jette dans une autre rivière ou un fleuve, qui lui se jette dans une mer ou un océan ; en français courant, une rivière est un cours d’eau d’une certaine importance, inférieure subjectivement à celle d’un fleuve, sans autre égard à son débouché.

Aulnaie : terrain de plantation des aulnes dans les forets alluviale dont le sol est émerger périodiquement.

Estuaire : un estuaire est la portion de l’embouchure d’un fleuve où l’effet de la mer ou de l’océan dans lequel il se jette est perceptible ; pour certains, il correspond à toute la portion du fleuve où l’eau est salée ou saumâtre, pour d’autres, c’est la présence de l’effet dynamique de la marée sur les eaux fluviales qui le définit ; par convention, on ne parle pas d’estuaires pour les fleuves qui se jettent dans des mers fermées qui n’ont pas de marée.

Vasière : une vasière est un habitat littoral , estuarien ou sous-marin ou d’eaux douces constituées de matériaux sédimentés fins non sableux ; en tant qu’habitat naturel, une vasière corresponde à une zone de sédimentation naturelle.

Ripisylves : la forêt riveraine, rivulaire ou ripisylves (étymologiquement du latin ripa,

« rive » et sylva, « forêt ») est l’ensemble des formations boisées, buissonnantes et herbacées présentes sur les rives d’un cours d’eau.

Ruisseau : le ruisseau est un petit cours d’eau peu profond, au débit modéré (jusqu’à 2 m3/s) alimenté par des sources d’eaux naturelles ou drainant un bassin versant,

souvent affluent d’un étang, d’un lac ou d’une rivière, il peut se tarir en cas de sécheresse car sa source est altérable par les conditions climatiques.

Ile : une étendue de terre entièrement entourée d’eau, dans un océan, une mer, un lac ou un cours d’eau.

Un îlot : ou un ilot est une île de petite superficie ; il peut se trouver en pleine mer comme à proximité d’une île plus grande.

Bois marécageux : un reboisement, une plantation ou le sol est imperméable en formant une zone humide.

Foret alluviale : une forêt alluviale est une forêt qui se développe dans les alluvions le long d’un cours d’eau ; à la différence de la végétation ripisylve, la forêt alluviale se développe sur des dizaines de mètres.

Rizière : une rizière est une parcelle ou un ensemble de parcelles réservée à la culture du riz, et dans laquelle on inonde la culture.

Roselière : une roselière ou phragmitaie est une zone en bordure de lacs, d’étangs, de marais ou de bras morts de rivière où poussent principalement des roseaux ; en régression, de même que les zones humides depuis plusieurs siècles.

Une saulaie : est un endroit humide où poussent des saules du genre Salix car cette arbre préfère les sols humides au bord des cours d’eau.

Tourbière : une tourbière est une zone humide caractérisée par l’accumulation progressive de la tourbe, un sol caractérisé par sa très forte teneur en matière organique, peu ou pas décomposée, d’origine végétale ; c’est un écosystème particulier et fragile dont les caractéristiques en font, malgré des émissions de méthane, un puits de carbone, car il y a plus de synthèse de matière organique que de dégradation.

Baie : une baie est une étendue de mer presque entièrement entourée de terres ; c’est l’inverse d’une presqu’île ou d’une péninsule.

Crique : une très petite baie.

Golfe : Un golfe est une partie de mer ou de lac avancée dans les terres, plus grande qu’une baie ou qu’une rade.

Dune littorale : un relief et un compilée de sable sur le littorale.

Lande : La lande (parfois appelée « Dorne » ou « Les dornes » dans le nord de la France) est une association de plantes qui dépassent rarement le stade d’arbustes et poussant sur des milieux pauvres, souvent acides et oligotrophes.

Falaise : une falaise est un escarpement rocheux en pente forte, non couvert par de la végétation, créé par l’érosion le long d’une côte.

Marrai : un marais est un type de formation paysagère au relief peu accidenté où le sol est recouvert en permanence ou par intermittence d’une couche d’eau stagnante, en général peu profonde, et couverte de végétations.

Marécage : désigne une zone recouverte de marais.

Salant : des zones émerger d’eau saumâtre d’où en extrait du sel.

Mangrove : La mangrove est un écosystème de marais maritime incluant un groupement de végétaux principalement ligneux spécifique, ne se développant que dans la zone de balancement des marées appelée estran des côtes basses des régions tropicales, on trouve aussi des marais à mangroves à l’embouchure de certains fleuves.

Récifs coralliens : un récif corallien est une structure naturelle bioconstruite dont les coraux sont essentiellement à l’origine, il résulte de la construction d’un substrat minéral durable (formé de carbonate de calcium) secrété par des êtres vivants, principalement des coraux.

Une panne dunaire est un écosystème humide en milieu , il s’agit de dépressions creusées par le vent dans les dunes jusqu’au niveau de la nappe phréatique, un éléments en creux des paysages dunaires, les pannes présentent des physionomies et des tailles variables selon les conditions hydrologiques et la salinité.

Lido : une formation géologique sableuse et très allongée qui sépare l’eau d’une lagune de l’eau de mer.

Tombolo : un tombolo est un cordon littoral de sédiments reliant deux étendues terrestres.

Vallée : une vallée est une dépression géographique généralement de forme allongée et façonnée dans le relief par un cours d’eau.

Mouillère : une petite étendue d’eau qui se résulte du drainage agricole d’une durée de vie variable selon son apport d’alimentation extérieur.

  1. Définitions de quelques zones humides dans la langue locale Algérienne: Sebkha : un lac salé continentale saisonnier ou permanent.

Chott : un lac salé continentale saisonnier.

Gueltates : une mare ou une étang d’eau.

Dayat : un ensemble d’étangs de lagunes ou de mares.

  1. Terminologie :

Allochtone : par opposition à autochtone, qui n’est pas issu du milieu ou il se trouve.

Autochtone : qui est issu du milieu même ou il se trouve, où il vit

Souche : en microbiologie (bactériologie) une bactérie issue d’un isolat purifié après plusieurs repiquages successifs dont le genre est déjà confirmé alors qu’en génétique une espèce bactérienne qui se diffère de la même espèce par des caractères suite à une mutation ou une modification génétique.

Isolat : en bactériologie une bactérie isolée ou colonie bactérienne dont le genre pas encore confirmé et sa pureté et encore douté.

Annexe N°05 : Diaporamas et images (Observatoire des zones humides et google image) Diaporama 01 : Paysage de quelques types de zones humides continentales et littorales.

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Falaise

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Baie

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Aulnaie

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Bras mort

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Cariçaie

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Crique

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Rizière

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Golfe

Diaporama 02 : Paysage de quelques types de zones humides continentales et littorales.

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Vasière

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Tourbière

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Roselière

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Salants

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Ripisylve

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Récif corallien

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Plage de galets

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Panne dunaire

Diaporama 03 : Paysage de quelques types de zones humides continentales et littorales.

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Carrière inondée

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Barrage hydro électrique

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Etang

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Mare

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Lagune

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Saulaie

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Lande

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Mangrove

Diaporama 04 : Paysage de quelques types de zones humides continentales et littorales.

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Fleuve

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Gravière

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Ilot

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Lac

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Méandres

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Rivière

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Ruisseau

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Ile

Diaporama 05 : Paysage de quelques types de zones humides continentales et littorales.

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Marrai

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Dune littorale

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Estuaire

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Schorre ou Slikke

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Mouillère

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Tombolo

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Lido

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Vallée

Diaporama 06: Vue satélitaire prise par Google earth du site de prélèvement lagune Macta Wilaya d’Oran

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Diaporama 07: Vue satélitaire prise par Google earth du site de prélèvement Lac

Télamine Wilaya d’Oran

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Diaporama 08: Vue satélitaire prise par Google earth du site de prélèvement Barrage

de Djorf Ettorba Wilaya de Bechar

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