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🏫 UNIVERSITE DU CEPROMADUNIC - FACULTE DE MANAGEMENT ET SCIENCES ECONOMIQUES
📅 Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de Diplôme d’Etudes Approfondies - Novembre 2023
🎓 Auteur·trice·s
Bertin MUDIMU TSHISEKEDI
Bertin MUDIMU TSHISEKEDI

SCTP et performance en RDC sont au cœur de cette étude qui analyse comment la qualité influence l’efficacité des entreprises de transport, en mettant l’accent sur la Société Commerciale des Transports et des Ports. L’objectif est de promouvoir l’excellence managériale dans ce secteur crucial.


CHAPITRE DEUXIEME : CADRE DE RECHERCHE

2.0. Contenu Global

Ce chapitre a pour objectif de présenter le cadre empirique de notre recherche. Il s’agit de l’entreprise dénommée Société Commerciale des Transports et des Ports, SCTP SA en sigle.

2.1. La Présentation de la Société Commerciale des Transports et des Ports (SCTP)

Cette section aborde une brève présentation de la Société Commerciale des Transports et des Ports (SCTP), autrefois appelée « Office national des transports (ONATRA) ». La SCTP SA est une Société anonyme unipersonnelle de la République démocratique du Congo, active essentiellement à l’Ouest, au Centre et au Nord du pays pour assurer le désenclavement, l’approvisionnement de l’industrie locale et la mobilité des biens et des personnes.

Basée à Kinshasa, elle est spécialisée dans l’exploitation ferroviaire, fluviale et portuaire (maritime et fluviale) telle l’épine dorsale de l’économie Congolaise.

2.1.1. Historique de l’ONATRA.

L’histoire de l’Office National des Transports remonte aux arrêtés de 19 Février et 20 Avril 1935. Cette année se situe à la fin de la période dite de la grande crise mondiale des années 1930 qui secoua plus gravement le Congo Belge.

A cette époque, toutes les entreprises privées, qui assuraient la mobilité des biens et des personnes ainsi que la couverture des pays, enregistraient d’importants déficits d’exploitation de la colonie au titre des subventions de financements.

Face à cette faillite des organismes privés, la colonie, confrontée à la reprise des activités économiques et au problème de la prise en charge, directement ou indirectement, des déficits internes, décida, en vue de doter le pays des moyens de communication susceptibles de promouvoir sa prospérité, de fusionner toutes les entreprises à charte du secteur de transport.

Ainsi, naquit le 20 Avril 1935 l’Office d’exploitation des Transports Coloniaux « OTRACO ». L’OTRACO apparait ainsi dès son origine comme une institution de salut public destinée à promouvoir la reconstruction économique entreprise à la fin de la grande crise et à orienter cette reconstruction au sens de l’intérêt national.

La mise en place de cette nouvelle Société s’est faite de manière progressive en reprenant les transporteurs publics constitues à l’époque en société privées comme suit :

  • La concession du port de Boma et de la Régie de chemin de fer du Mayumbe (17Juillet 1935); «la compagnie du chemin de fer du Congo (Matadi-Kinshasa) (1er juin 1936) ; L’Union Nationale des Transports fluviaux UNATRA sur les biefs Kinshasa-Kisangani et Kinshasa-Ilebo (1er Septembre 1936) ;
  • La Société pour la manutention dans les ports du Congo MANUCQ – port de Matadi (15 Octobre 1937) ;
  • Le port public de Kinshasa (1er Juillet 1946) ;
  • Le réseau Ferroviaire du Kivu avec la Société des chemins de fer au Kivu CEFAKI (24 Juillet 1946) ;
  • L’exploitation du bief 31(*) maritime et du port BANANA (1er Janvier 1955) et
  • Enfin le port « CITAS » (2 Juin 1956).

L’OTRACO devait assurer l’exploitation pour le compte de la colonie seule, de tous les transports publics dans le bas et le moyen Congo. Toutefois, la gestion de cet organisme devait s’inspirer des principes prévalant dans les sociétés privées, notamment l’obtention, aux moindres frais d’un rendement optimum.

En vertu des pouvoirs qui lui avaient été confères par les arrêtés royaux Belges des 20 Avril et 17 Juillet 1935 et ceux des 19 mai et 13 juillet 1936, l’OTRACO avait pour objet l’exploitation de tous services des transports, de manutention et de tous services connexes et accessoires qui lui étaient confères par l’Etat.

Sa mission principale consistait, en effet, à réaliser une coordination efficace de moyens de transport entre la cuvette de Congo et les ports maritimes de l’Atlantique.

De 1935 à 1939, l’OTRACO entreprit des efforts considérables de rééquipement. Les années de guerre (1935 – 1945) posèrent de nombreux problèmes d’approvisionnement et des finances à cette jeune société.

L’après – guerre (1946 – 1948), grâce à l’essor économique considérable, occasionna un gonflement des courants de transports.

Mais l’équipement de l’OTRACO ne répondit plus à cette demande de transport. Un plan de rééquipement et de modernisation à outrance fut élaboré et réalise entre 1949 et 1959. Durant cette période, l’OTRACO réalisa de bonnes affaires et atteignit parfois le stade d’autofinancement.

De 1960 à 1965, pour des raisons connues de tous, le Congo accusa une désorganisation complète de la production et de tous les circuits économiques et cet office enregistra une chute brutale du trafic jusque vers la fin de 1965. Grace à la paix et la sécurité restaurées par le nouveau pouvoir, le trafic fut progressivement rétabli sur toute l’étendue des réseaux de l’OTRACO.

L’année 1968 fut incontestablement la meilleure de toutes celles qui devaient suivre l’accession du Congo à l’Indépendance.

Le trafic s’établit, cette année-là à 69% de celui de 1969 qui fut considérée par la suite comme une année record. Sous le vent de la politique du recours à l’authenticité, l’Office d’exploitation des Transports Coloniaux devint, en 1971, l’Office National des Transports (ONATRA).

Stimulé par la proclamation de l’année 1973 « année du secteur du transport », l’ONATRA devient une poule aux œufs d’or. Mais ce n’était que l’espace de vie d’une rosée, car quelque temps plus tard, des problèmes de toutes sortes vont précipiter l’Office dans la plus grande débâcle qu’il n’ait connue. Le « grand parastatal mourant » échappa de justesse à la démolition.

Signalons toutefois que le 2 Décembre 1974, à la suite de la création par l’Ordonnance présidentielle de la Société Nationale des Chemins de fer du Zaïre, en sigle «SNCZ», L’ONATRA céda à la SNCZ son réseau ferroviaire du Kivu et du Shaba (Katanga) mais il devait garder provisoirement la gestion du chemin de fer Matadi – Kinshasa (CFMK) et du chemin de fer Mayumbe (CFM).

A cette occasion, il fut assigne à l’ONATRA un autre objectif de base : Retourner aux réseaux de communication toutes leurs possibilités afin d’offrir aux usagers un outil de transport moderne, rapide et adéquat, une qualité de service et des transports normaux. Pour mieux traduire ces nobles recommandations dans la réalité, les autorités de l’Office initièrent un certain nombre des plans d’investissement. Le premier de la série fut le plan quinquennal, mis au point en 1979 et réactualise chaque année.

Grace à cette politique de nationalisation et de l’antihasard, l’ONATRA s’attacha résolument à concilier la nécessite d’une saine gestion avec la satisfaction à donner à la clientèle par la modernisation, l’extension et l’amélioration de la qualité de ses services.

2.1.2. Evolution Structurelle : Différentes Reformes

Depuis sa création, la SCTP SA a connu plusieurs réformes dont les plus importantes ont eu lieu successivement en 1952, 1971, 1991, 1995 et 2009.

2.1.2.1. Reformes de 1952

Étant donne qu’à l’origine, l’OTRACO n’était qu’un organe de gestion ne disposant pas d’un patrimoine en propre, les besoins de rééquipement de cet établissement public, après la seconde guerre mondiale, commencèrent à peser lourdement sur le budget de la colonie. C’est ainsi qu’afin de lui permettre de contracter librement des emprunts nécessaires d’investissements, il lui fut accordé par l’Arrêté royal du 30 décembre 1952, une personnalité juridique autonome.

Grace à cette disposition, l’OTRACO bénéficia de nouveaux crédits financiers, constitua un fonds de réserve et de provision pour son autofinancement et s’acquitta régulièrement du remboursement des capitaux investis.

C’est en cette période que l’Office se plaça au premier rang des organismes publics Congolais et en troisième position parmi les entreprises existant après la PLZ (actuellement MARSAVCO) et l’Union Minière du Haut Katanga (actuellement Gecamines).

2.1.2.2. Reformes de 1971

A l’issue des études menées par le BIRD en 1968 sur l’état du transport au Zaïre, ii fut décidé la réforme du 26 janvier 1971 dont l’objectif était l’assainissement des finances susceptibles de recréer les équilibres financiers nécessaires et la confiance des fournisseurs ainsi que des bailleurs de fonds.

II convient de signaler que c’est à la suite de cette réforme que l’ONATRA céda le réseau ferroviaire du Kivu au CFL et le chemin de fer Matadi – Kinshasa à la SNCZ.

2.1.2.3. Reformes de 1991

Compte tenu des inadéquations connues vers les années 1980, il fut commande une étude auprès d’un consultant étranger, CEGOS. Cette étude finalisée en 1987 préconisa une décentralisation des structures de base, entendez les départements opérationnels. Les différentes fonctions centralisées au niveau du siège devraient être progressivement reparties aux entités.

Considérant les conclusions de cette étude, le Gouvernement entreprit la restructuration de 1991 sanctionnée par une série d’Ordonnance – loi n° 91 – 044, n° 91 – 045 et n° 91 46 portant création du groupe QIMATRA constitue d’un Holding et de deux filiales opérationnelles : L’office des transports et des ports « OTP » et l’office des chantiers Navals « OCN ». La Holding ONATRA reprenait les services auxiliaires composes de l’exploitation Forestière de Yuki, du Médicai, de l’Imprimerie, de la Régie des travaux, de l’économat et des affaires sociales.

2.1.2.4. Réforme de 1995

Suite à l’échec de la réforme de 1991 qui n’a pas atteint les résultats escomptés à cause des pesanteurs de divers ordres (non proportionnalités des activités des filiales, poids des services auxiliaires et de l’OCN au budget de l’OTP, non séparation des comptabilités, conflit de compétence, déficit de leadership, contre – performances des filiales, …), il fut mis fin, le 07 Novembre 1995, par décret n° 0051 du Premier Ministre, à l’expérience tentaculaire de filialisation et toutes les activités furent réunifiées pour être gérées par une seule société. C’est sous ce nouveau statut qu’a évolué cette entreprise aux dimensions presque nationales.

2.1.2.5. Réforme de 2009

En 2009, sur la mise en application du décret-loi numéro 011/11 du 24/04/2009 portant mesure transitoire relative à la transformation des entreprises publiques de la RDC en Sociétés commerciales, l’ONATRA devient et fonctionne encore sous son ancienne structure organique composée de 11 départements dont 5 opérationnels et 6 non opérationnels. A ce jour devenue, la SCTP SA en 2019.

2.1.3. Localisation

La Société Commerciale des Transports et des Ports, en sigle SCTP SA, ex-ONATRA a son siège social situe géographiquement sur le Boulevard du 30 Juin n° 177 en face de l’immeuble ex-SOZACOM dans la commune de la Gombe à Kinshasa, la capitale de la République Démocratique du Congo.

2.1.4. Missions et attributions de la SCTP SA

Dans son rôle de catalyseur de l’économie congolaise et au regard de l’éparpillement de l’étendue nationale qui nécessite une intégration régionale, la Société Commerciale des Transports et des Ports, SCTP SA en sigle, se charge des activités lui confiées par l’Etat Congolais, propriétaire unique, liées à son objet social :

  • Le transport ferroviaire et fluvial des personnes et des biens ;
  • Les opérations maritimes et fluviales ;
  • La réparation et la construction navale ;
  • Ainsi que les activités connexes qui sont actuellement ouvertes au public.

2.1.4.1. Transport ferroviaire

Voie principale d’approvisionnement et d’évacuation de masse des produits et autres marchandises, le chemin de fer relie Kinshasa à Matadi sur une distance de 366 km, ajoutés aux 287 km des raccordements. Partenaire privilégie des opérateurs économiques, le chemin de fer offre des atouts non négligeables avec un tarif flexible, hors concurrence. En termes de diversification de service, le chemin de fer Kinshasa – Matadi offre les possibilités telles que :

  • L’évacuation, par rail, des marchandises et produits à l’importation, à l’exportation et la consommation locale ;
  • Le transport sécurise et confortable des passagers sur la ligne Kinshasa – Matadi et sur trafic urbain de Kinshasa ;
  • La livraison des envois ou cargo via les raccordements ;

➢ Le convoyage sécurisé des marchandises.

2.1.4.2. Les opérations portuaires maritimes et fluviales

Située à la porte d’entrée et de sortie en République Démocratique du Congo, la SCTP SA, à travers ses Ports Maritimes, offre aux navires et aux marchandises des services de manutention, d’entreposage et de gardiennage.

Elle dispose, pour ce faire, de trois (3) ports Maritimes dont celui de Matadi, de Borna et de Banana pour le traitement des navires. Tandis que pour mieux assurer sa multi modalité, le port de Kinshasa est installé à cheval entre les services de transport ferroviaire et fluvial. Il se charge des opérations portuaires fluviales.

De part cette configuration, le port de Matadi et celui de Kinshasa constituent les deux grands terminaux du trafic ferroviaire et fluvial.

2.1.4.3. Réparation et construction navale

Dotée d’un important charroi fluvial et ferroviaire, la SCTP SA dispose de trois Chantiers Navals installes respectivement à Kinshasa- Ndolo, à Boma et à Mbandaka et qui ont la charge de :

  • la réparation et la fabrication des unités flottantes (bateaux, remorqueurs, barges, pontons, baleinières métalliques, … ;
  • la fabrication et la réparation des pièces de rechange via ses ateliers (Mécanique, Menuiserie, Diesel et Chaudronnerie Métallique) ;
  • l’usine à gaz pour la production de l’oxygène et l’acétylène et ➢ l’exploitation forestière et agricole de Yuki.

2.1.4.4. Activités connexes

Depuis plusieurs années, la SCTP SA a opté d’ouvrir ses activités auxiliaires au grand public afin de lui permettre de bénéficier d’une longue expérience acquise dans divers domaines pour le bien être de celui-ci. Il s’agit des services ci-après :

➢ la Mise en location des espaces non bâtis et bâtis ;

  • Les Centres Médicaux
  • L’Imprimerie ;
  • L’Exploitation Agricole et forestière de Yuki et
  • le Gardiennage.
2.1.4.5. Objet économique

Il s’agit d’ :

  • Assurer la circulation des biens et des services ; – Soutenir l’industrie par les flux économiques ;
  • Servir d’appui à la politique économique de l’Etat ;

– Rendre, au nom de l’Etat, des services dans les centres urbains et ruraux à de prix sociaux.

2.1.4.6. Objet Politico – Stratégique

Il est question de :

  • Assurer l’intégration socio – économique par le désenclavement du territoire national et le développement du milieu rural ;
  • Garantir l’indépendance nationale en privilégiant la voie nationale ;
  • Favoriser le brassage des cultures

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21.5.7. Organisation structurelle de la SCTP SA

Le Conseil d’administration assure la responsabilité de conduire la politique générale de la SCTP SA. Il est préside par un Président du Conseil d’Administration (PCA). Il est secondé par les Administrateurs, les commissaires au compte et les représentants de deux Ministères de tutelle notamment le Ministère de Transport et de Communication et le Ministère du Portefeuille.

La Direction Générale a la charge de la gestion quotidienne de l’entreprise. Elle est composée du Directeur général et du Directeur Général Adjoint.

La SCTP SA par sa gestion interne fonctionne avec 12 départements, dont 6 sont dits opérationnels et six autres fonctionnels servant d’appui.

Cependant, en dehors des départements, il y a d’autres directions en staff rattachées à la direction générale.

    1. Les Départements opérationnels

Ce sont les départements ci-après :

  • Le département des ports Maritimes s’occupe de la manutention aux ports de Matadi, Boma et Banana ainsi que de la navigation sur le bief maritime et de l’aménagement de ces ports ;
  • Le département de port de Kinshasa s’occupe de l’aménagement et la manutention au port de Kinshasa qui est te point de rupture des charges entre les départements des ports et transports fluviaux et celui de chemin de fer ;
  • Le Département, de Chemin de fer : s’occupe des unités ferroviaires, il exploite la ligne Kinshasa – Matadi et assure le transport urbain dans la ville province de Kinshasa
  • Le Département des ports et transports Fluviaux : s’occupe de transport sur le fleuve Congo (Kinshasa – Kisangani), sur la rivière Kasaï (Kinshasa – Ilebo), sur les affluents ainsi que l’exploitation de la traversée inter-rives (Kinshasa – Brazzaville) ;
  • Le département des chantiers Navals : s’occupe du carénage, construction et réparation des unités flottantes ;
  • Le département des Services Généraux : s’occupe des activités suivantes : la régie des travaux, le garage central, le service médical, les affaires sociales et l’exploitation forestière.

Les Départements Fonctionnels

Ce sont les départements ci-après :

  • Le Département Financier : tient la comptabilité, élabore les états financiers, budgets et le prix de revient des prestations et gère les avoirs financiers de la société ;
  • Le Département des Ressources Humaines : s’occupe de la gestion prévisionnelle et la formation du personnel ;
  • Le Département des Marchés et Approvisionnement : s’occupe de la prospection des marchés intérieurs comme extérieur du pays pour la société ;
  • Le Département de l’Organisation et Etudes générales : s’occupe du fonctionnement de service Informatique, approvisionnement, planification et investissement ;
  • Le Département de l’audit interne : s’occupe de l’audit interne de la société ;
  • Le Département Technique : s’occupe du contrôle de la maintenance et du renouvellement du matériel, des équipements et infrastructures dans l’ensemble de la société.

Conclusion Partielle

A l’issue de ce chapitre consacre à la présentation de l’entreprise cadre de notre recherche, il convient de noter que la Société Commerciale des transports et des ports en sigle SCTP SA ex-ONATRA, est une entreprise publique de la République Démocratique du Congo évoluant dans le secteur de transport. Elle fut créée en 1935 et son siège social est situé géographiquement sur le Boulevard du 30 Juin n° 177 en face de l’immeuble ex-SOZACOM dans la commune de la Gombe à Kinshasa, la capitale de la République Démocratique du Congo.

Dans son parcours, la SCTP SA a connu plusieurs réformes depuis sa création dont sa toute dernière date de 2009 sous le décret-loi numéro 011/11 du 24/04/2009 portant mesure transitoire relative à la transformation des entreprises publiques de la RDC en sociétés commerciales.

Dans son rôle par la mission lui confiée par l’Etat Congolais, la SCTP SA a la charge d’organiser le transport ferroviaire et fluvial des personnes et des biens, les opérations maritimes et fluviales, la réparation et construction navale, ainsi que les activités connexes qui sont actuellement ouvertes au public.

Et enfin, sur le plan organisationnel, la SCTP SA fonctionne sur les structures ci-après : Conseil d’administration, Direction Police et pompiers, Direction de contrôle de gestion centrale et la Sous-direction des relations publiques. La SCTP SA par sa gestion interne fonctionne avec 12 départements, dont 6 sont dits opérationnels et six autres fonctionnels servant d’appui.

Le chapitre se clôture par la présentation de l’approche méthodologique utilisée en s’appuyant sur les sources et collectes des données, la nature des données et enfin sur les méthodes et techniques mobilisées.

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