Instaurer un management environnemental en entreprise

Pour citer ce mémoire et accéder à toutes ses pages
🏫 INSTITUT SUPÉRIEUR DE FORMATION HSE CONCEPT – YYOURS FORMATION
📅 Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de MASTER I - 2021-2022
🎓 Auteur·trice·s

Le management environnemental en entreprise est essentiel pour intégrer des procédures de Qualité et de Santé & Sécurité au Travail. Cet article explore les stratégies déployées par les responsables QSE pour établir un système de management intégré, tout en tenant compte des normes juridiques et de l’économie circulaire.


CHAPITRE III.

CONSTRUCTION D’UN SYSTÈME DE MANAGEMENT ENVIRONNEMENTAL

[11_img_1]

Source : https://www6.paca.inrae.fr/ueri/Dispositif-experimental/SME

SECTION I : LE MANAGEMENT ENVIRONNEMENTAL DÉTAILLÉ

§ 1. DÉPLOIEMENT D’UNE STRATÉGIE

La prise en compte de l’impact environnemental des activités économiques d’une entreprise avoir pour motivation l’obtention ou le maintien d’une certification qualité environnementale (ISO 14001, EMAS, MASE…)

[11_img_2]

On peut distinguer plusieurs motivations :

  • les entreprises « Conformes » adoptant un système de management environnemental (SME) simplement pour être en conformité avec le cadre légal
  • les entreprises « Responsables » recherchant un avantage compétitif sur leur marché actuel en termes d’image et de rentabilité court et moyen terme
  • les entreprises « Sensibles » recherchant à transformer les standards de leur industrie et à se positionner comme modèle et précurseur des marchés de demain

Le Système de Management Environnemental (SME) est un outil à disposition des entreprises et des institutions, qui a pour objectif d’améliorer la gestion et les performances environnementales ; sur une démarche volontaire et motivée d’une direction.

Le SME favorise l’intégration de l’environnement dans la gestion de l’entreprise.

Axes de développement du SME :

  • identifier, évaluer et prévenir les risques environnementaux
  • repérer les lacunes dans les processus de production ou de management
  • définir les options possibles qui permettront d’améliorer les performances environnementales

Mettre en place un Système de Management de l’Environnement, c’est repenser l’ensemble de l’organisation de l’entreprise en intégrant la question environnementale à tous les postes et services.

Source : https://books.openedition.org/pum/10680?lang=fr – La gestion environnementale

§ 2. AVANTAGES DU SME

Les principaux objectifs d’un SME sont de :

  • Respecter la réglementation (et l’anticiper)
  • Mieux connaître les impacts environnementaux générés par les activités de l’organisme
  • Maîtriser les risques sur l’environnement
  • Réduire les consommations d’énergie, d’eau, de matières premières
  • Maîtriser les coûts d’assurance
  • Améliorer la performance du système de gestion global
  • Se différencier par rapport à la concurrence.
  • Valoriser l’image de l’entreprise.
  • Communiquer de manière transparente vis-à-vis des clients, du personnel, des actionnaires…
  • Personnel sensibilisé, consulté, motivé et fier

Le SME formalise l’engagement d’amélioration environnementale de l’entreprise dans la durée en lui permettant de se perfectionner continuellement, selon le principe de l’amélioration continue.

Il sera déroulé via la gestion de l’environnement, le processus de production, la communication interne et externe ; et inclut la structure organisationnelle, les activités de planification, responsabilités, pratiques, procédures, procédés et ressources ; afin d’élaborer et pérenniser une politique environnementale.

[11_img_4]

En 2016, en France, (selon un rapport de l’INSEE) un quart des entreprises reconnaissent spontanément que leur activité a un impact fort ou très fort sur l’environnement.

Il s’agit le plus souvent d’impacts sur la production de déchets, le changement climatique, la pollution de l’air ou les nuisances sonores.

Les comportements varient beaucoup selon la taille des entreprises.

Les plus grandes d’entre elles sont les plus sensibilisées à une utilisation plus efficace des ressources (énergie ou autres).

Elles sont également beaucoup plus nombreuses, en proportion, à recourir à des certifications ou labellisations par des tiers, que ce soit sur les procédés de production ou sur les produits.

Les entreprises ayant reconnu lors de l’enquête le plus d’impacts sont souvent celles qui prennent le plus de mesures de protection de l’environnement.

Source : https://www.insee.fr/fr/statistiques?collection=116

Les motivations d’une entreprise peuvent donc être de plusieurs types : respecter les réglementations, améliorer l’image de l’entreprise, améliorer les relations avec les riverains (pour les entreprises polluantes), faire des économies, obtenir une certification environnementale réclamée par les clients de l’entreprise ou un écolabel.

Le système de management environnemental a de nombreux bénéfices sur les plans commercial, financier, gestion, juridique, relationnel externe, et social.

Il peut avoir plusieurs finalités, parmi lesquelles :

  • la maîtrise et la réduction des rejets dans les milieux naturels,
  • l’amélioration de l’insertion paysagère
  • meilleure préparation aux situations d’urgence
  • l’utilisation rationnelle de l’énergie
  • la maîtrise et la réduction de la consommation de matières premières
  • la réduction à la source puis le tri sélectif des déchets(avec valorisation et leur traitement)
  • la protection des sols et des nappes phréatiques
  • certifier ses actions environnementales, afin que celles-ci soient connues et reconnues

La question des impacts de l’activité de l’entreprise sur l’environnement revient à inscrire cette activité sur une perspective de long terme, ce qui souligne l’équilibre des rapports entre l’économie et l’écologie

L’ensemble des activités économiques dépend de la bonne gestion des ressources naturelles et de l’environnement ainsi que de la biodiversité et du bon fonctionnement des écosystèmes, des besoins en énergie et des impacts du dérèglement climatique.

S’occuper d’environnement dans l’activité de son entreprise et tout au long de la chaîne de valeur, c’est l’assurance pour un dirigeant de gérer la performance globale de son entité, et ainsi donc sa pérennité.

Quant aux labels et certifications, ils peuvent orienter l’achat des consommateurs, car l’attribut de qualité environnementale d’un produit crée un rapport de confiance.

SECTION II : COMMENT METTRE EN PLACE UN SME PERFORMANT ?

§ 1. MISE EN ŒUVRE DU SME

On entend par SME, une démarche certifiable (ISO 14001, EMAS…), mais l’établissement peut choisir de développer son propre SME, via un label.

Par exemple l’Ecolabel Européen comprend des critères de management environnemental : respect de la règlementation, politique environnementale, plan d’action, formation des salariés.

Le SME ne se substitue pas à la législation en matière d’environnement, mais il la complète : il engage un organisme dans une démarche de progrès continu de ses performances environnementales et lui permet de rester conforme à la réglementation environnementale.

Si l’entité choisit la norme ISO 14001 en référence de management SME, elle peut aussi avoir la triple certification qualité-sécurité-environnement (ISO 9001, ISO 14001 et ISO 45001) qui permet aux entreprises d’avoir une politique globale de management des risques.

  1. Le 1er principe du SME repose sur le processus d’amélioration continue de la roue de Deming (PDCA), (comme pour le SMSST et le SMQ) pour assurer à l’organisme de maîtriser les impacts environnementaux de son activité.
  2. Le 2ème sur le respect des exigences réglementaires et législatives, afin de réduire les déchets et émissions
  3. Le 3ème sur la maîtrise et prévention des risques, pour limiter leur impact et gravité

[11_img_5]

Source : http://les.cahiers-developpement-durable.be/outils/systemes-de-management-environnemental/

Plusieurs étapes clés constituent la mise en place d’un système de management de l’environnement :

  • analyse environnementale : à partir de l’ensemble des postes et services de l’établissement
  • définir les impacts sur l’environnement et les hiérarchiser
  • lister l’ensemble de la règlementation nationale et locale (région, département, communale) qui s’applique et faire l’état des lieux de l’établissement
  • rédiger une politique environnementale comportant un engagement d’amélioration continue et de conformité à la réglementation environnementale
  • définir une équipe « environnementale » précisant les rôles et responsabilités de chaque salarié
  • construire un plan d’action, notamment à partir des non-conformités de l’établissement, à la règlementation, des impacts les plus importants identifiés…
  • mettre en place un suivi des actions, et des non-conformités
  • informer les clients et parties prenantes
  • former les salariés

§ 2. OUTILS DU SME

Afin de construire un SME, le responsable RSE doit s’appuyer sur un diagnostic complet des risques auxquels peut être confronté le personnel et des impacts de son entreprise sur l’environnement.

Cet état des lieux va lui permettre :

  • de se fixer des priorités d’action
  • d’établir un programme de prévention pour limiter et/ou supprimer les risques identifiés
  • de sensibiliser le personnel
  • de définir les indicateurs clés de sa démarche

1. L’ANALYSE ENVIRONNEMENTALE INITIALE :

L’AEI est un état des lieux de la situation environnementale de l’entreprise.

Elle permet d’identifier les impacts significatifs liés aux activités de l’entreprise, et comment se conformer à la réglementation en matière d’environnement.

L’Analyse Environnementale Initiale est une des premières étapes clés dans la mise en place d’un SME, et c’est une exigence de la norme ISO 14001 qui en définit les principes à suivre.

Elle nécessite de raisonner impacts eau, air, sol, milieu, et requiert un travail d’équipe complet et structuré.

[11_img_6]

[11_img_7]

Tableau : Comparaison des menus et émissions de GES
Nom des menusMenu 1
Composition du menuEmission de GES pour 1 portion, en kg eq CO2-eq
EntréeSalade tomate hors saison France0.35
Plat 1Chili con carne3.93
Plat 2Gratin dauphinois0.65
DessertMousse au chocolat0.35
BoissonVerre d’eau du robinet0.00
TOTAL5.28
Menu 2
Composition du menuEmission de GES pour 1 portion, en kg eq CO2-eq
Salade verte (avec sauce)0.08
Hachis parmentier6.15
0
Île flottante0.27
Bouteille de bière (25cl)0.67
TOTAL7.17
Menu 3
Composition du menuEmission de GES pour 1 portion, en kg eq CO2-eq
Salade verte (avec sauce)0.08
Lasagnes (végétarienne)1.15
0
Tarte tatin0.48
Verre d’eau du robinet0.00
TOTAL1.71

2. LE BILAN ÉNERGÉTIQUE :

Le bilan énergétique permet de réaliser une étude chiffrée des consommations totales d’énergie d’une entreprise, et surtout d’identifier les actions à mener pour les réduire.

Depuis la loi Grenelle 2, il est obligatoire pour une catégorie précise : les entreprises de plus de 250 salariés ou d’un chiffre d’affaires de plus de 50 millions d’€. (ainsi que celles dont le bilan annuel est supérieur à 43 millions d’€ deux années consécutives).

Par ailleurs, la maîtrise de l’énergie peut aussi être mise en place à travers une certification ISO 50001 (éditée en 2011) : « Système de management de l’énergie : exigences et recommandations de mises en œuvre).

Le diagnostic de ce bilan porte sur les énergies primaires (fuel, gaz, électricité), ainsi que les autres apports d’énergie (vapeur, air comprimé, eau) ; il permet de faire rimer environnement et rentabilité, en identifiant les économies possibles. (il faut réaliser une étude en été et une en hiver).

L’utilisation de cet outil fait écho à l’exigence de l’ISO 14031 concernant l’évaluation de performance environnementale et ses indicateurs clés :

[11_img_8]

  • les indicateurs de performance de management (IPM) , qui fournissent des informations sur les efforts, les décisions et les actions de la direction pour améliorer la performance environnementale des opérations de l’organisme. (la formation, les exigences légales, l’utilisation efficace des ressources, la gestion des coûts environnementaux, les achats…)
  • les indicateurs de performance opérationnelle (IPO) , qui fournissent à la direction des informations sur la performance environnementale des opérations de l’organisme (les entrants et leur approvisionnement, la conception, l’installation et l’exploitation et les sortants et leur livraison.

Ce bilan doit être complété par le BEGES (Bilan des émissions de gaz à effet de serre) (voir annexe n°

3. LA CHARTE ENVIRONNEMENTALE :

L’engagement de la direction et des managers est le moteur principal de la démarche environnementale ou RSE d’une entreprise.

Toutefois, afin de la faire vivre et d’aider chaque collaborateur à en comprendre l’intérêt ; il faut diffuser les enjeux et objectifs à atteindre.

Tout comme la politique Qualité ou la politique SST, la politique environnementale exprime les orientations données par une direction, et fait figure de référence pour les discours et actions du responsable QSE.

[11_img_9]

Trois critères essentiels : portée par le leadership, cohérente avec son contexte, génératrice d’actions

La charte environnementale décrit la mise en œuvre de cette politique environnementale et aide à l’intégrer pleinement dans toutes ses pratiques. Elle doit être accessible de tous et brève de contenu.

Elle démontre aux clients et à d’autres parties prenantes l’engagement de l’organisme à gérer ses impacts sur l’environnement d’une façon responsable, et améliore les informations destinées aux employés au sujet de leurs rôles et responsabilités en matière environnementale.

La politique inscrite dans la charte n’a pas à exister de façon isolée.

En effet, il peut s’avérer utile d’étendre le champ d’application de la politique afin de couvrir les responsabilités sociétales de l’entreprise et le développement durable ; car une politique étendue reconnaît le fait que différents groupes de personnes peuvent se fier ou s’identifier à l’entreprise.

Cette charte doit être personnelle à la société, et ainsi refléter les activités, priorités et préoccupations qui lui sont les plus pertinentes.

CONCLUSION GENERALE

1. A QUI S’ADRESSE LE SMI ?

2. LE RÔLE PIVOT DU RESPONSABLE QSE

[11_img_10]

Source : Image Google

1. A QUI S’ADRESSE LE SMI ?

La mise en place d’un système de management intégré qualité sécurité environnement (SMI QSE) est une démarche volontaire qui regroupe, au sein d’un même système, les managements de la qualité, de la sécurité et de l’environnement.

Elle permet d’améliorer et d’instaurer une méthodologie efficace ; en apportant à chaque organisation, quel que soit son secteur d’activité, un procédé pour simplifier et optimiser les ressources internes.

Le SMI structure son approche dans un référentiel unique et intègre des modes de fonctionnement similaires pour chaque thématique abordée, permettant une homogénéisation des pratiques et un gain de temps.

Il articule tous les domaines stratégiques dans lesquels l’entreprise souhaiter performer ; et a pour moteur principal de faire progresser l’organisation et de se démarquer de la concurrence.

En effet, ce mode de fonctionnement radical et rapide, incite à être proactif et agile.

Il s’articule autour de 3 axes :

  1. La Qualité pour répondre aux exigences, augmenter la confiance, la fidélisation et la performance.
  2. La Sécurité en réduisant les risques professionnels afin de protéger les salariés et intervenants extérieurs.
  3. L’Environnement pour protéger la collectivité et réduire les impacts sur la planète.

Une démarche SMI peut servir de guide référentiel qualitatif avant une démarche de certification, ou tout simplement orienter une politique interne et améliorer les processus.

Le SMI est recommandé aux directions souhaitant :

  • adopter une démarche de progrès
  • déceler les opportunités
  • écarter les menaces
  • mesurer les niveaux de performance
  • optimiser les ressources
  • réduire les risques professionnels
  • manager via le principe de cohérence

Le principe de cohérence est le concept fédérateur d’intégration et améliore la vision d’ensemble d’une stratégie d’entreprise ; facilitant ainsi pour le personnel l’évolution du mode de management et la nécessité de leur implication quotidienne.

Le raisonnement par approche globale du SMI prend en considération tous les domaines d’activités et assure une synergie entre les services, générant ainsi des économies de temps, d’efforts et d’argent.

Grâce au SMI, la satisfaction client sera pérennisée via une qualité totale de services/produits ; les parties prenantes seront rassurées par l’amélioration des performances environnementales ; et les salarié(e)s fidélisé(e)s par la préservation de leur cadre de travail.

Le système de management intégré est un outil de pilotage qui répond avec pertinence aux attentes de dirigeants conscients des enjeux, avertis des exigences, et responsables de leurs employé(e)s.

Cette opportunité de gagner en efficacité et de monter en performance, est accompagnée par une hausse de la productivité et de la qualité de vie au travail.

2. LE RÔLE PIVOT DU RESPONSABLE QSE

Le responsable QSE est animateur des démarches Qualité Santé Sécurité au Travail et Environnementales d’une entreprise, et joue un rôle essentiel de transmission entre la Direction et les salarié(e)s à cet effet.

Souvent nommé « leader du voyage vers l’excellence », le responsable QSE est le principal acteur d’un développement durable et acceptable pour l’organisme.

Son rôle pivot l’amène à devoir tenir une position d’équilibriste pour remonter les préoccupations ou problèmes à la direction ; et traduire la stratégie adoptée au personnel, le tout en gardant le bon sens comme leitmotiv.

Pédagogue et bon communicant, le responsable QSE sensibilise et mobilise l’ensemble des salariés autour des enjeux de développement durable et de respect de l’environnement.

Ses missions sont :

  • Veiller à la mise en place et à l’actualisation de la réglementation en matière de sécurité, des conditions de travail, de l’environnement…
  • Diagnostiquer et mettre en œuvre les améliorations en lien avec la satisfaction client, la sécurité et l’environnement
  • Conduire des audits internes
  • Contribuer à l’obtention ou au maintien des agréments, labellisations et certifications des entreprises, collectivités…
  • Développer les économies d’énergies et la limiter les nuisances pour l’environnement et le personnel
  • Piloter des projets d’amélioration et d’évolution

Gérer les risques et limiter les impacts environnementaux peut d’abord avoir un sens économique pour beaucoup d’entreprises.

Il incombe au Responsable QSE d’œuvrer en amont pour réduire ces impacts et ces coûts à l’aide de méthodologies, d’indicateurs et de procédures de communication, d’engagement des salariés, de mesures, et d’ajustements en continu.

Cela peut se faire dès le niveau de la R&D : on parle alors d’éco-conception.

Pour aller plus loin dans la démarche éco-responsable, le Responsable QSE peut aussi promouvoir des projets de performance énergétique, de réduction des émissions de polluants, des projets de recyclage, d’éco-conception, ou encore le réemploi et la valorisation de certains déchets pour de nouvelles sous-activités dans une logique d’économie circulaire.

Pour une entreprise certifiée ou pour une entreprise développant un système de management, les normes font office de directives absolues, cad de guide permanent.

Il revient au responsable QSE de traduire en termes simples les exigences desdites normes et d’établir une veille règlementaire, afin d’adapter la stratégie d’entreprise à une législation mouvante.

Nous noterons quelques outils indispensables pour le pilotage d’une démarche SMI optimale :

  • Une gestion documentaire électronique (procédures, instructions, enregistrements, non-conformités), avec des alertes pour les révisions
  • Un document unique (EVRP) mis à jour avec les managers terrain et prolongé par un plan d’action de prévention des risques annuel
  • Des animations SSE pour faire vivre au quotidien la démarche (petits-déjeuners, séminaires, flash-info, stand-up meetings.
  • Un tableau de bord SSE démontrant la mise en œuvre du PDCA, lors du bilan en revue de Direction
  • Une déclaration de performance Extra-Financière (anciennement rapport RSE), obligatoire à toutes les entreprises depuis Grenelle 2

Enfin, le rôle du responsable QSE est aussi d’identifier des solutions d’amélioration pour atteindre pleinement ses objectifs.

Pour cela il doit s’appuyer sur les philosophies propres à la QSE telles que KAIZEN pour l’épanouissement du personnel et le LEAN MANAGEMENT pour la chasse aux gaspillages.

Vous l’aurez compris, le poste de Responsable QSE est au cœur des enjeux environnementaux actuels, et requiert une multitude de compétences d’excellence opérationnelle pour répondre à sa mission.

Rechercher
Télécharger ce mémoire en ligne PDF (gratuit)

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Scroll to Top