Comment les pratiques enseignantes façonnent le concept d’espace urbain en Côte d’Ivoire ?

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Armand Emmanuel Bohoussou
Armand Emmanuel Bohoussou

Le concept d’espace urbain en Côte d’Ivoire révèle les tensions entre les pratiques pédagogiques et les instructions officielles en géographie. Découvrez comment cette analyse met en lumière l’importance de l’abstraction pour enrichir l’enseignement et mieux comprendre la complexité du monde contemporain.


Chapitre 1 : Epistémologie de la géographie et savoirs sur l’espace

urbain

Notre recherche porte sur les pratiques enseignantes dans la construction du concept d’espace urbain. Pour Caroline Leininger-Frézal (2019), l’analyse des pratiques enseignantes, doit prendre en compte le questionnement lié au fondement épistémologique de la science de référence. Ce sont sur ces fondements que sont construits les instructions officielles à l’endroit des enseignants.

Le concept d’espace urbain s’est construit au fil de l’évolution de la géographie. Ce concept s’est inscrit progressivement à travers l’histoire de la géographie ainsi que des grands courants de la géographie. Pour comprendre ce concept, il faut étudier l’épistémologie de la géographie. L’épistémologie est l’étude critique d’une science, de ses théories, de ces concepts fondamentaux, de ses objets d’étude et de ses méthodes (Bailly et al., 2018).

Ce chapitre vise à montrer l’émergence du concept d’espace urbain dans la géographie française à travers son histoire et les paradigmes, puis son influence sur la géographie ivoirienne ainsi que son enseignement.

Ce chapitre est fort utile pour notre recherche qui porte sur la place des concepts dans la géographie scolaire ivoirienne, car il permettra de comprendre le positionnement épistémologique de la géographie urbaine ivoirienne et de comprendre les concepts qui fondent son enseignement. Il est utile de préciser que des liens forts existent entre la géographie française et la géographie ivoirienne. Cette dernière est héritière de la géographie française. Ce sont ces paradigmes hérités de la géographie française qui influencent en partie la construction de la géographie scolaire ivoirienne. Ainsi, il s’agira d’analyser d’abord la construction de la géographie urbaine française et ensuite son influence sur la construction de la géographie urbaine ivoirienne.

La géographie urbaine française

1.1- La géographie classique et la naissance de la géographie urbaine

Le précurseur de cette géographie est Vidal de La Blache. Il s’inspire des travaux des géographes allemands5 pour construire une géographie française moderne (Scheibling, 2011). S’interrogeant sur les rapports entre l’homme et le milieu, « Il conclut que l’interaction entre l’homme et le milieu conduisent à une adaptation des sociétés propres à chaque type de milieu » (Ciattoni & Veyret-Medkjian, 2018, p. 19). Ce rapport de l’adaptation des espèces au milieu est appelé le possibilisme. Les sociétés développent des « genres vie » en fonction des milieux où elles vivent. Les concepts fondamentaux de cette géographie classique sont le milieu et le genre de vie.

Cette géographie fait des lieux des singularités qu’il faut étudier. Vidal de La Blache dresse alors lui et ses héritiers des monographies des régions de la France. L’outil d’analyse est le paysage. L’analyse des paysages permet de mettre en avant et d’expliquer les particularités d’une région. C’est une discipline idiographique qui accumule les connaissances sur le monde.

Pour Vidal, la géographie est une science humaine, car elle étudie par essence l’homme (Robic, 1976) dans ces rapports avec son milieu. Cette géographie va s’intéresser à la ville et au fait urbain (Clerc, 2012a). Selon Marie Claire Robic(2003), l’étude de la ville et de l’urbain remonte à la fin du XIXe siècle, contrairement aux idées avancées par certains géographes, notamment Paul Claval (1970), Jean-Bernard Racine et Antoine Bailly qui soutiennent une naissance tardive de la géographie urbaine à la fin de la deuxième guerre mondiale. Anne Hertzog et Alexis Sierra (2010) souscrivent au point de vue de ces derniers. En effet, pour eux, l’espace étant dominé, avant 1950, par des paysages ruraux, les géographes français ont fait le choix épistémologique d’étudier les paysages ruraux et de campagne. Pour Allemand et al.(2005), il ne pouvait en être autrement, d’autant plus que l’école française de géographie s’est constituée au moment où la France était en majorité rurale, à la fin du XIXe siècle avec Vidal de la Blache.

La ville est restée donc un objet d’étude secondaire pour les géographes avant les années 1950 et le paradigme géographique des relations homme milieu ne facilitait pas une étude de la ville. Ainsi, les nouvelles orientations de la géographie étrangère dans les années 1930, notamment les approches statistiques, les approches spatialistes et modélisatrices de l’école de Chicago, intéressent les géographes français bien plus tard autour des années 1960 dans l’étude de la ville6 (Hertzog & Sierra, 2010).

Cependant, la ville n’est pas totalement absente des travaux des géographes classiques. Et Vidal de la Blache le confirme en affirmant son intérêt pour cet objet : « un géographe a toujours considéré comme une des questions les plus capitales de la science qu’il cultive l’étude des villes ; et cela avec raison, car ce sont les villes qui ont été les foyers de civilisation, les points de départ de nos organisations politiques, historiques (…). » Vidal de la Blache, cité par Robic (2003, p. 109). Dans le sillage de Vidal, de nombreux géographes vont s’intéresser à la ville. De nombreux ouvrages et articles ainsi que des conférences de géographie sont publiées à ce sujet : « Reclus, 1895, The Evolution of Cities ; Brunhes, 1900, le boulevard comme fait de géographie urbaine ; Vacher, 1904, Montluçon. Essai de géographie urbaine ; Clerget, 1910, L’urbanisme. Étude historique, géographique et économique » (Ciattoni & Veyret-Medkjian, 2018, p. 76). Cette géographie urbaine évolue en même que l’urbanisme et se consacre aux monographies des villes, à souligner leur rôle essentiel dans l’organisation des régions et le progrès des sociétés.

Toutefois, l’étude de la ville n’est pas l’apanage des géographes. La ville intéresse de nombreux chercheurs dans différents domaines : « les historiens-géographes (Pasquet, 1899, le développement de Londres), mais aussi les statisticiens (Levasseur et Meuriot, 1897, Des agglomérations urbaines dans l’Europe contemporaine. Essai sur les causes, les conditions, les conséquences de leur développement), l’urbanisme (Pierre Lavedan, la Géographie des villes publiée en 1936), les sociologues (Maunier, 1910, L’origine et la fonction économique des villes en 1910) et même les biologistes-urbanistes (Geddes, 1904, City Development) » (Ciattoni & Veyret-Medkjian, 2018, p. 76). C’est à la fin du XIXe siècle que les géographes revendiquent l’interdisciplinarité de la géographie et l’étude de la ville comme objet de la géographie. Ainsi, c’est sous la plume de Brunhes qu’apparait pour la première fois l’expression géographie urbaine (Robic, 2003). Il étaye sa position lors de sa communication au congrès de l’Association pour l’avancement des sciences, en 1900 : « Les villes sont de plus en plus étudiées comme des faits géographiques : parmi les phénomènes qui affectent la surface du sol, ne sont-ils pas des plus caractéristiques et aussi des plus variés ? » (Robic, 2003, p. 110). Cette géographie urbaine précède la sociologie urbaine apparue en 1930 et la géographie rurale apparue dans les 1960 (Ciattoni & Veyret- Medkjian, 2018). Pour Claval, l’étude de la ville menée par Brunhes se limite au tracé des routes et au mode d’occupation improductive du sol et à la description du Bâti.

Il oppose cette géographie qu’il qualifie d’appauvrie à une analyse urbaine plus riche de Blanchard. Raoul Blanchard étudie la ville sous le prisme de deux concepts clés : le site et la situation. Il explicite et donne l’importance de ces deux concepts :

« Pour comprendre la ville, il convient de prendre de la hauteur et de la saisir dans ses rapports avec le voisinage. La démarche se fait en deux temps. La première fait découvrir le site, les traits topographiques singuliers, un méandre, le rebord d’une terrasse fluviale, une butte isolée et facile à défendre, une anse profonde et bien abritée au bord de la mer, qui ont fixé la ville ici plutôt qu’un peu plus loin.

Vue de plus haut, c’est la situation du centre urbain, l’ensemble des relations qu’il entretient avec le monde extérieur que l’on découvre, les routes qui convergent vers lui, les cols qu’il commande, les cours d’eau qui portent ses nefs loin en amont ou en aval, et les vaisseaux qui lient le port à d’autres rivages.

» (Claval, 2017, p. 37).

En ce sens, le site désigne la position absolue de la ville dans un espace donné. Les géographes s’attellent à décrire les propriétés physiques qui ont conduit à l’implantation de la ville dans ce lieu. La situation désigne plutôt sa position relative dans un espace donné. La démarche privilégie la description des relations que la ville entretient avec les autres territoires, soient un carrefour, soit une situation de frontière, soit une situation de centralité géométrique (Nédélec, 2018).

Cette analyse, bien qu’importante, n’analyse pas leur impact sur les villes. En outre, Chabot va proposer une typologie des villes et des fonctions urbaines. Il n’étudie guère le fonctionnement des villes (Claval, 2017). Cette géographie classique a, tout de même, le mérite d’aborder la question urbaine et d’en revendiquer l’étude. Elle essaie également de se forger un vocabulaire spécifique (Hoyaux, 2010).

Ainsi, l’usage du terme urbanisme est remplacé par « fait urbain » et après par « l’urbanisation ». Le fait urbain est défini comme une concentration humaine dans les groupes urbains et l’urbanisme comme la transformation de la physionomie des villes sur le plan de l’art et de l’hygiène (Ciattoni & Veyret-Medkjian, 2018).

Le paradigme dominant des relations homme milieu a entrainé une étude assez faible de la ville par les géographes classiques. La ville est étudiée par la géographie classique de manière empirique. Une approche par l’observation puis la description qui se termine par une classification des villes en fonctions de leur rôle.

Les concepts mis en avant, sont relatifs aux paysages urbains. Cette approche montre le manque d’outils adéquats pour les géographes classiques pour aborder la question de la ville. Ce qui domine, c’est une analyse morphologique de la ville à travers les monographies des villes et du bâti au lieu d’une analyse socio-spatiale de la ville (Bouchut, 2003).

Cela est illustré par « l’approche écologique et monographique de Raoul Blanchard ; l’approche par la morphologie et les paysages de Jean Bruhnes qui utilise une abondante iconographie ; ou encore l’approche régionale et plutôt économiste, avec la description des fonctions urbaines et des relations ville/campagne, dès Vidal de la Blache et plus fortement chez ses successeurs dans les années trente.

» (Hertzog & Sierra, 2010, p. 3).

1.2- La nouvelle géographie et le fait urbain

La nouvelle géographie est née aux États-Unis dans les années 1960 avant de toucher la France dans les années 1970 (Ciattoni & Veyret-Medkjian, 2018). La géographie rompt avec le paradigme vidalien des sciences naturelles. Pour Allemand et al. (2005), l’objectif de la nouvelle géographie n’est plus de décrire le monde mais plutôt de « déchiffrer le monde »7 c’est-à-dire de rechercher des lois et des régularités dans l’organisation de l’espace. La géographie devient une science sociale (Scheibling, 2011) et a pour concept central l’espace. L’espace n’est plus envisagé comme support des activités humaines, mais il en devient la matérialisation (Ciattoni & Veyret-Medkjian, 2018).

Les géographes s’appuient sur des outils mathématiques et des modèles de l’économie spatiale en vue de donner un statut scientifique à leur discipline. Les précurseurs de cette géographie en France sont Pinchemel, P. Claval, A. Bailly… C’est une géographie quantitative qui cherche à établir des lois d’organisations de l’espace. C’est une science nomothétique.

Elle fonde son analyse sur des modèles théoriques : théories des lieux centraux, théorie de Von Thünen sur les marchés, le modèle gravitaire… À l’opposé de la géographie classique qui est inductive, la nouvelle géographie s’appuie sur une démarche hypothético-déductive. Cette nouvelle géographie s’apparente à un renouvellement théorique de la géographie, mais elle est fortement critiquée par P. Georges et Ph. Pinchemel qui dénoncent un déterminisme des mathématiques dans l’explication des phénomènes humains ou sociaux (Scheibling, 2011). La nouvelle géographie s’intéresse à la ville également. Elle s’appuie sur l’analyse spatiale pour expliquer l’organisation des villes. Pour Denise Pumain, l’analyse spatiale permet de comprendre les régularités et les ruptures dans l’espace.

La géographie urbaine a mis l’accent sur « la hiérarchie urbaine, les réseaux urbains et les systèmes des villes, les rapports entre polarisation et régionalisation, laissant à la sociologie l’étude du fonctionnement interne des villes » (Scheibling, 2011, p. 103). Pour Claval, les logiques d’agglomérations sont liées aux besoins d’interaction sociale.

Il définit, à cet effet, la ville comme « une organisation destinée à maximiser l’interaction sociale » Claval cité par Scheibling (2011, p. 103). La ville est un espace structuré, c’est un carrefour dominé par un centre attractif et des réseaux pour faciliter les interactions sociales (Claval, 2017). Ainsi, Claval s’oppose à une approche monographique de la ville et tente d’expliquer les logiques en œuvre dans le développement des villes.

Avec la nouvelle géographie, on rentre dans une approche systémique de la ville, les villes ne sont plus étudiées de manière singulière comme dans la géographie classique, mais de manière globale en recherchant à construire des théories pour expliquer l’organisation de l’espace. Les géographes expliquent l’organisation de l’espace urbain à travers les concepts de distance, de polarisation, de centralité, d’interaction spatiale… (Hoyaux, 2010). Toutefois,

Cette approche reste encore limitée pour appréhender le fait urbain, car elle occulte les représentations des citadins et d’autres acteurs dans la construction et dans la production de l’espace.

1.3- La géographie contemporaine centrée sur les modes d’habiter

Cette géographie contemporaine a pour concept principal le territoire. Elle analyse les mobilités et les temporalités de l’espace vécu, perçu et conçu par les sociétés. Elle cherche à comprendre comment les sociétés produisent l’espace, se l’approprient et se le représentent. Paul Claval est plus explicite sur le tournant culturel qu’aborde la géographie avec ce nouveau paradigme.

Car la géographie urbaine « s’attache désormais au citadin, à la manière dont il s’insère dans l’environnement urbain, vit la ville, s’y fait une place, s’y aménage une niche qu’il aimerait durable et donne, individuellement ou collectivement, un sens à l’existence qu’il y mène. Pour remplir un tel programme, force est de se tourner vers les individus, de les observer, de les interroger et de prendre en compte les imaginaires qui pèsent sur leur choix » (Claval, 2017, p. 58). Ainsi, cette géographie postule pour une approche pluridisciplinaire de l’espace urbain (Allemand et al., 2005). Pour M. Lussault, c’est cette géographie qui s’intéresse à l’invisible des représentations sociales, des idéologies et des sentiments à l’œuvre dans un espace donné. Elle prend en compte l’invisible et le visible. Elle s’intéresse aux modes d’habiter, à l’espace approprié par des individus et des sociétés.

Le concept urbain, à partir de 1970, remplace la notion de ville chez les géographes en raison de l’urbanisation généralisée et accélérée (Lussault, 2017b). Une distinction s’opère entre l’urbain et la ville. Pour Henri Lefebvre cité par Ciattoni et Veyret (2018) « L’urbain désigne un mode de vie et non la forme spatiale de la ville » p.187.

L’espace urbain est alors une construction et une production sociale avec divers acteurs, aux intentionnalités variées.

Ces trois paradigmes de la géographie correspondent aux trois manières de penser le monde et de concevoir la géographie de Retaillé.

Tableau 1 : les trois manières de pensée le monde selon Retaillé.

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Source : (Hertig, 2012)

Ces trois manières de penser le monde ne sont pas contradictoires, mais se complètent pour enrichir la science géographique. Selon Thémines (2006), elles permettent également d’analyser le discours géographique des professeurs. En effet, pour Jacques Levy cité par Allemand et al. (2005, p. 42), il importe de comprendre que « chaque science sociale est à la fois globale dans son champ et partielle dans son objet.

Chaque science sociale s’intéresse à tous les phénomènes, mais selon un angle particulier. En géographie, cet angle, c’est l’espace, car la géographie est la science de la dimension spatiale des sociétés ». Hertig abonde dans le même sens et souligne l’importance de ne pas réduire ou simplifier le savoir géographique à des données factuelles.

Il affirme à ce propos : « les innombrables interactions qui régissent les relations entre les sociétés humaines et l’espace ou à travers l’espace, font de la géographie une science du complexe » (Hertig, 2012, p. 80). C’est à cette conception du monde de la géographie que nous souscrivons dans le cadre de notre recherche.

Le concept d’espace urbain tel que le conçoit la géographie contemporaine, est celui que nous adoptons dans cette recherche, car il répond à notre conception épistémologique de la géographie. Ce concept s’inscrit dans le paradigme herméneutique de la géographie des processus. C’est cette géographie qui est à même de donner du sens aux savoirs géographiques et de permettre aux élèves de « penser la complexité » (Morin, 2014, p. 97). C’est-à-dire une manière de penser qui refuse le cloisonnement disciplinaire, mais qui se situe aux frontières des disciplines et qui amène à une pensée systémique (Cunha & Matthey, 2007). La géographie contemporaine répond aux exigences de la pensée complexe (Hertig, 2018), car elle est « une invitation récurrente à une pensée complexe et apparait résolument polyscopique dans le sens où il s’y agit de décentrer en permanence son point de vue.

Ainsi, la géographie se pose comme une discipline non pas de carrefour, mais de frontières, déjouant constamment les cloisonnements disciplinaires établis » (Cunha & Matthey, 2007, p. 11). Pour Edgar Morin (2014), Cette pensée complexe repose sur les concepts qui sont des instruments permettant de relier les connaissances. Le concept d’espace urbain est un concept fondamental et un outil de pensée (Hertig, 2012).

Il s’intègre aisément dans le modèle pédagogique présenté dans cette recherche qui permet de conceptualiser.

Notre recherche porte sur la géographie scolaire ivoirienne. En raison des liens qui existent entre géographie française et la géographie ivoirienne, nous sommes tentés de nous demander comment la géographie scientifique ivoirienne aborde la question de l’espace urbain ?


Questions Fréquemment Posées

Quel est le concept d’espace urbain en Côte d’Ivoire?

Le concept d’espace urbain s’est construit au fil de l’évolution de la géographie et s’inscrit progressivement à travers l’histoire de la géographie ainsi que des grands courants de la géographie.

Comment les pratiques enseignantes influencent-elles la géographie scolaire en Côte d’Ivoire?

Les pratiques pédagogiques des enseignants, souvent centrées sur un modèle transmissif, créent des tensions entre les instructions officielles et l’enseignement de la géographie.

Pourquoi l’abstraction est-elle importante dans l’enseignement de la géographie?

L’abstraction est essentielle pour mieux appréhender la complexité du monde contemporain dans l’enseignement de la géographie.

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