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L’organisation de la diplomatie camerounaise et le rôle du président

Cet article explore l’organisation de la diplomatie camerounaise, mettant en lumière les enjeux et le rôle prépondérant du président dans les instances multilatérales africaines. L’auteur explore le rôle essentiel du président de la République dans la diplomatie camerounaise, en tant que concepteur, régulateur et représentant de l’État à l’international.

Chapitre I :

Organisation et enjeux du déploiement de la diplomatie camerounaise dans les instances multilatérales africaines

Le Cameroun a connu une triple expérience coloniale. Il a fallu attendre l’accession de la partie orientale ou française à l’indépendance le 1er janvier 1960 pour que le pays devienne par la suite un acteur des relations internationales.

Autrement dit, c’est à partir de cette périodicité que le Cameroun a commencé à se mouvoir sur la scène diplomatique internationale.

Rejoint le 1er octobre 1961 par le Cameroun occidental ou britannique pour former une entité fédérale, la diplomatie camerounaise ou alors la politique extérieure de celui-ci de manière plus large s’est organisée de manière spécifique, avec pour point d’orgue plusieurs enjeux gravitant autour de son déploiement.

Dans le cadre de ce premier chapitre, nous allons nous s’appesantir exclusivement sur l’organisation de la diplomatie camerounaise à savoir les principaux protagonistes chargés de la conduite de celle-ci, et les enjeux qui sous-tendent la projection du Cameroun dans les instances multilatérales africaines.

Organisation de la diplomatie camerounaise

Aborder la question de l’organisation de la diplomatie camerounaise, c’est présenter du point de vue institutionnel ou logistique les organes en charge de la définition, de la gestion et de la mise en application de cette politique diplomatique.

L’organigramme de cette dernière est jusqu’ici sous la forme triangulaire depuis son accession à l’autonomie internationale.

1. La prépondérance institutionnelle de la présidence de la République

1.1. La logique présidentialiste du chef de l’Etat en matière diplomatique

Le professeur Gicquel au sujet du régime politique camerounais, parla de ‘’présidentialisme autoritaire’’ pour montrer qu’en matière de diplomatie ou alors de politique étrangère, le chef de l’Etat en est le maître absolu.

Au Cameroun, le référentiel en matière de déclinaison de la politique étrangère est donc construit, et défini par le président de la République.

En effet, le régime politique y est de type présidentiel, avec un chef de l’Etat détenteur de pratiquement tous les pouvoirs. Cette situation a été qualifiée par certains auteurs de ‘’prééminence institutionnelle’’, de ‘’primauté du président’’, de ‘’maître d’œuvre’’, ‘’d’hégémonie présidentielle’’ pour indiquer la mainmise du chef de l’Etat dans le secteur public de la politique extérieure. Celui-ci apparait nettement comme un véritable hégémon diplomatique pour reprendre les propos d’Yves Alexandre Chouala.

Le président de la république dispose des pouvoirs très renforcés dans le domaine de la politique extérieure. En vertu de l’article 5 de la constitution, il dispose de la compétence de déterminer la politique extérieure qui constitue, dans la perspective définitionnelle de Marcel Merle, une partie à part entière de la politique de la nation.

Le chef de l’Etat est donc le principal métronome de la politique extérieure, domaine dans lequel ‘’sa fonction (…) émerge dans sa primauté et sa préséance’’.

Pleinement investi de la compétence de la détermination, de l’élaboration, de l’orientation et de l’impulsion de la politique extérieure, la logique présidentialiste en matière diplomatique s’affirme donc comme un véritable démiurge au sens platonicien en matière de politique étrangère. En vertu de l’article 8 alinéa quatre (4) de la constitution, le chef de l’Etat ‘’accrédite les ambassadeurs et envoyés extraordinaires auprès des puissances étrangères.

Les ambassadeurs et les envoyés extraordinaires des puissances étrangères sont accrédités auprès de lui’’. L’article 43 de la même constitution stipule que le président de la République ‘’négocie et ratifie les traités et accords internationaux’’, même si ceux des traités qui relèvent du domaine de la loi ‘’sont soumis, avant ratification, à l’approbation en forme législative par le parlement’’. Il coiffe par-là la politique juridictionnelle externe de l’Etat.

Il est indéniable que le constitutionnalisme présidentiel a une fonction de localisation du pouvoir. Il détache le président de la République par rapport aux autres organes de l’Etat. Il l’isole pour bien montrer qu’il est le cœur du pouvoir, le siège de tous les pouvoirs en matière de politique étrangère.

De ce qui précède, au terme de la constitution du 2 Juin 1972, le chef de l’Etat veille au respect de la loi fondamentale, assure la conduite des affaires de la République et l’unité de l’Etat, qu’il représente dans tous les actes de la vie politique. La révision constitutionnelle du 23 Avril 1991 renforça une fois de plus ce monopole exclusif du chef de l’Etat en matière diplomatique.

Le paradigme de la magnificence de ce champ diplomatique alloué au chef de l’Etat fut perceptible sur le plan pratique par l’affaire William Aurélien Eteki-Mboumoua. Exerçant comme ministre des affaires étrangères du Cameroun depuis le 7 Juillet 1984, deux ans après sa nomination, plus précisément en Janvier 1987, il est démis de ses fonctions pour ‘’faute grave’’. Ladite faute est le fait d’avoir établi des relations diplomatiques avec la Hongrie sans l’accord préalable du président de la République, chef par excellence de la diplomatie. Consécutivement à ce limogeage, le président Paul Biya avait souligné lors d’une interview télévisée :

Dans tous les Etats modernes, il y’a des secteurs qui sont considérés comme appartenant à ce qu’on peut appeler le domaine réservé du président de la République : ce sont la défense, la diplomatie, la sécurité intérieure (…) j’ai certes demandé aux ministres de prendre des responsabilités.

Mais attention, il y’a des limites, il y’a certaines responsabilités qu’on ne peut pas prendre dans l’exercice de ses fonctions surtout dans les trois domaines que j’ai cité. On ne peut pas par exemple établir des relations diplomatiques avec un autre pays sans avoir l’accord formel du président de la République.

Ce rappel à l’ordre fut une illustration parfaite de l’hyper-centrisme de la diplomatie aux mains d’un seul individu et a marqué jusqu’aujourd’hui de manière indélébile la politique étrangère du Cameroun.

Par ailleurs, au terme de la constitution du 18 Janvier 1996, les fonctions diplomatiques du président de la République ont été réajustées. Du point de vue institutionnel et factuel, il s’agit d’une omnipotence présidentielle en matière de politique extérieure.

Les attributions diplomatiques du chef de l’Etat illustrent sa suprématie ou plutôt sa prédominance constitutionnelle sur le terrain de la politique extérieure. Celui-ci exerce aux plans juridiques et protocolaires les fonctions diplomatiques les plus hautes et les plus solennelles.

De ce qui suit, le président de la République exerce la fonction de concepteur, d’architecte et de régulateur de l’activité diplomatique. Il fixe les objectifs diplomatiques, en détermine les modalités de mise en œuvre et en alloue les ressources matérielles et humaines. De même, il arrête la programmation et la planification de l’action diplomatique dans le cadre global de la valorisation de ses compétences constitutionnelles. Il est, au demeurant, le premier diplomate de l’Etat ou encore le ‘’porte-parole’’ légitime de la nation à l’extérieur. Le président de la République exerce également la prestigieuse fonction de représentation et d’incarnation officielle de l’Etat.

Il est, à ce titre, destinataire des hommages adressés à la nation par les Etats amis. Il s’agit là de la conséquence protocolaire de son statut constitutionnel de ‘’garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire, de la permanence et de la continuité de l’Etat, du respect des traités et des accords internationaux’’.

Considéré comme ‘’point focal du processus de représentation’’, comme ‘’dépositaire de la souveraineté nationale’’, le président de la République reçoit ainsi, en vertu de cette posture prééminente et ce, au nom de la nation tout entière, les messages de toute nature adressés à l’Etat par les puissances étrangères.

Elu de la nation tout entière et garant de la souveraineté de l’Etat, le président de la République reçoit les vœux du Corps diplomatique à l’occasion de chaque nouvelle année. Ce moment important constitue pour celui-ci l’occasion idoine pour étaler la vision et la position du Cameroun sur les grands sujets nationaux et internationaux. La transcendance protocolaire du chef de l’Etat dans le domaine diplomatique lui permet de présider les cérémonies protocolaires nationales organisées en l’honneur des chefs d’Etat étrangers.

Le chef de l’Etat reçoit également les lettres de créance des ambassadeurs étrangers, de même qu’il délivre celles accréditant les plénipotentiaires de la nation auprès d’autres Etats souverains. Il en est ainsi parce que l’ambassadeur est le représentant officiel de l’Etat, celui personnel du chef de l’Etat, de l’ensemble du gouvernement et de chacun des ministres.

Dans l’exercice de ses fonctions diplomatiques, le président de la République est assisté d’une équipe de collaborateurs et d’une structure administrative logée dans les services présidentiels et dotée d’une spécialisation fonctionnelle axée sur la veille, le suivi et la supervision de l’action extérieure de l’Etat : c’est le cas spécifiquement de la division des affaires diplomatiques ou cellule diplomatique.

Située au sein du secrétariat général de la présidence de la République, cette cellule constitue la charpente opérationnelle dont dispose le chef de l’Etat en matière de politique extérieure. Elle est coiffée par un Conseiller technique qui fait office de ‘’Conseiller diplomatique’’ du chef de l’Etat.

Au vu de cette première analyse statuée sur l’organisation de la diplomatie camerounaise, nous pouvons affirmer que le centralisme à outrance du président de la République en matière de diplomatie a tendance à mettre aux oubliettes la fonction cardinale du Ministère des Relations extérieures et celle auxiliaire du parlement.

 

SOURCES ET REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

I) SOURCES ARCHIVISTIQUES

1) Archives du Ministère des Relations extérieures (Direction des affaires d’Afrique (D1)

– MINREX, Archives de la direction des affaires d’Afrique (D1), discours du président Ahmadou Ahidjo au 6ème sommet de l’OUA à Addis-Abeba du 6-9 septembre 1969.

– MINREX, Archives de la direction des affaires d’Afrique (D1), discours du président Ahmadou Ahidjo à l’occasion du 9ème anniversaire de la journée consacrée à la libération de l’Afrique du 25 mai 1972.

– MINREX, Archives de la direction des affaires d’Afrique (D1), aide-mémoire du Cameroun sur les sommets de l’OUA.

– MINREX, Archives de la direction des affaires d’Afrique (D1), OUA : l’An dix ‘’Liberté dans l’unité’’, contribution du Cameroun, éditée par le ministère de la communication et celui de la culture, Yaoundé, 1973.

– MINREX, Archives de la direction des affaires d’Afrique (D1), discours du président Ahmadou Ahidjo à l’occasion de la célébration du 10ème anniversaire de l’organisation de l’unité africaine à Addis-Abeba, 25 mai 1973.

– MINREX, Archives de la direction des affaires d’Afrique (D1), allocution du président Ahmadou Ahidjo à l’occasion de la 23ème session d’ouverture du comité de coordination pour la libération de l’Afrique, Yaoundé, 13 mai 1974.

– MINREX, Archives de la direction des affaires d’Afrique (D1), communication d’Ahmadou Ahidjo aux membres de l’Assemblée nationale, Yaoundé, 10 juin 1976.

– MINREX, Archives de la direction des affaires d’Afrique (D1), 4G100, compte rendu du discours du président Ahmadou Ahidjo à la 2ème conférence des Ambassadeurs du 22-24 mars 1977.

– MINREX, Archives de la direction des affaires d’Afrique (D1), extrait des lettres du secrétariat général de la présidence de la République du 3 juin 1981 et du 18 décembre 1982 au peuple tchadien.

– MINREX, Archives de la direction des affaires d’Afrique (D1), discours du président Paul Biya à l’occasion de la prestation de serment le 06 novembre 1982 à Yaoundé, in ‘’Le message du renouveau’’.

– MINREX, Archives de la direction des affaires d’Afrique (D1), conférence des ambassadeurs, « recommandations relatives aux principes et objectifs de la politique étrangère du Cameroun », Yaoundé, 27-30 mars 1985.

– MINREX, Archives de la direction des affaires d’Afrique (D1), ‘’communiqué de presse’’ rendu public par le département A/S de la situation en Afrique du Sud, Yaoundé, le 03 août 1985.

– MINREX, Archives de la direction des affaires d’Afrique (D1), extrait de l’interview du ministre des Relations extérieures Augustin Kontchou Kouomegni au journal L’Action, n°184 du 25 juillet 2000.

– MINREX, Archives de la direction des affaires d’Afrique (D1), rapport faisant état des fonctionnaires camerounais à l’Union africaine, 21 novembre 2003.

2) Autres documents d’archives

– Archives parlementaires, Recueil des discours présidentiels (1968-1973), Assemblée nationale du Cameroun, Yaoundé, 1973.

– Archives du Ministère des Arts et de la culture, extrait d’entretien du président de la République Paul Biya à la télévision nationale camerounaise, tiré d’une brochure de la direction de l’information et de la presse, Yaoundé, 1987.

– Archives du ministère de l’économie, de la planification et de l’aménagement du territoire, République du Cameroun, « Cameroun : vision 2035 », Yaoundé, juin 2009.

3) Décrets, lois et textes officiels

– Règlement intérieur de la conférence des chefs d’Etat et de gouvernement (RICCEG) de l’OUA, résolution AHG/3-1 du 17-21 juillet 1964.

– Convention des Nations-Unies sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale du 21 décembre 1965.

– Décret n°72-270 du 02 juin 1972 portant promulgation de la constitution de la République unie du Cameroun.

– Décret n°73/671 du 27 octobre 1973 portant création d’un comité interministériel de coordination des relations internationales.

– Convention des Nations-Unies sur l’élimination et la répression du crime d’Apartheid du 18 juillet 1976.

– Décret n°94/199 du 07 octobre 1994 portant statut général de la fonction publique de l’Etat camerounais, modifié et complété par le décret n°2000/287 du 12 octobre 2000.

– Loi n°96/06 du 18 janvier 1996 portant révision de la constitution du 02 juin 1972.

– Note de service n°002/CAB/PR du 28 avril 2003 portant réaménagement des divisions techniques au sein du secrétariat général de la présidence et fixant leurs attributions.

– Décision n°227/DIPL/CAB du 12 avril 2011 portant création, organisation et fonctionnement du groupe de travail chargé de l’identification et de la valorisation des attributs d’image du Cameroun.

– Décret n°2013/112 du 22 avril 2013 portant organisation du ministère des Relations extérieures.

– Cabinet civil/cellule de communication, dossier de presse sur la visite officielle au Cameroun de Monsieur Moussa Faki Mahamat, président de commission de l’Union africaine, Yaoundé 12-13 juillet 2018.

II) OUVRAGES

1) Ouvrages généraux

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2) Ouvrages spécialisés

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3) Ouvrages méthodologiques et dictionnaires

A) Ouvrages méthodologiques

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– Blanchet A. & all, Les techniques d’enquête en sciences sociales, Paris, Dunod, 2005, 197p.

– Combessie J.C., La méthode en sociologie 4ème édition, Paris, La Découverte, 2003, 128p.

– Grawitz M., Méthodes des sciences sociales, Paris, Dalloz, 2001, 1019p.

– Kalika M., Le mémoire de master 3ème édition, Paris, Dunod, 2012, 210p.

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– Nkoum B.A., Initiation à la recherche : une nécessité professionnelle, Yaoundé, Presses de l’UCAC, 2005, 179p.

– Quivy R. & all, Manuel de recherche en sciences sociales, Paris, Dunod, 1995, 272p.

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B) Dictionnaires

– Battistella D., Dictionnaire des relations internationales 3ème édition, Paris, Dalloz, 2012, 565p.

– Bavoux J.J. & Chapelon L., Dictionnaire d’analyse spatiale, Paris, Armand Colin, 2014, 608p.

– Bayerre J.Y., Dictionnaire critique de l’action sociale, Paris, Armand Colin, 1998, 637p.

– Boniface P., Dictionnaire des relations internationales, Paris, Hatier, 1996, 168p.

– Dictionnaire de l’Académie française 8ème édition, 1932-1935, 1022p.

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– Lexique de Science Politique., Vie et institutions 2ème édition, Paris, Dalloz, 2011, 599p.

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III) ARTICLES ET JOURNAUX

1) Articles

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– Meyolo J.N., ‘’Deux instruments au service de la diplomatie camerounaise : diplomatie parlementaire et paradiplomatie’’, in, Hanse Gilbert Mbeng Dang et Al, Le Cameroun dans le système monde : regards pluriels sur la dynamique internationale d’un Etat tiers-mondiste, Paris, L’Harmattan, 2020, pp.243-258.

– Nebeu D., ‘’Le parlement, acteur diplomatique pour le rayonnement du Cameroun à l’OIF’’, in, Revue internationale des francophonies, cinquante ans de francophonie institutionnelle, 08/06/2020, 31p.

– Ntuda Ebodé J.V., ‘’De la politique étrangère des Etats africains : ruptures et continuités d’une diplomatie contestée’’, in, African Journal of International Affairs, Vol2, n°1, 1999, pp.62-96.

– Poirmeur Y & Rosenberg D., ‘’La doctrine constitutionnelle et le constitutionnalisme français’’, in, Les usages sociaux du droit, Paris, PUF, 1989, 22p.

-Restier-Melleray C., ‘’Femme (s) de… jouer en couple politique : des mises en récit sans importance ?’’, disponible sur http://www.ques2com.Fr/pdf, consulté le 11 décembre 2020, pp.87-104.

– Sindjoun L., ‘’L’action internationale de l’Assemblée nationale du Cameroun : éléments d’analyse politiste’’, in, Institut Québécois des Hautes Etudes Internationales, 1993, 33p.

– Sindjoun L., ‘’Le président de la République au Cameroun (1982-1996), les acteurs et leur rôle dans le jeu politique’’, in, travaux et document du CEAN, n°50, 1996, 45p.

– Smolowe J., ‘’Cameroon the Lake of Death’’, in, Time, vol.128, n°10, 8 septembre 1996, 36p.

– Zerbo Y., ‘’La problématique de l’union africaine (1958-1963)’’, in, Guerres Mondiales et Conflits Contemporains, n°212, 2003/4, pp.113-127.

2) Journaux

– Cameroon-Tribune 6 juin 1975.

– Cameroon-Tribune n°3883 du 27 juillet 1980.

– Caneroon-Tribune n°2865 du 29 décembre 1983.

– Caneroon-Tribune n°2995 du 11 juin 1984.

– Caneroon-Tribune n°3130 du 19 novembre 1984.

– Caneroon-Tribune n°3804 du 20 février 1987.

– Cameroon-Tribune n°4199 des 15-16 août 1988.

– Cameroon-Tribune n°4323, 4324, 4325 des 8, 9, et 10 février 1989.

– Cameroon-Tribune n°4643 du 23 mai 1990.

– Cameroon-Tribune n°6115 du 10 juin 1996.

– Cameroon-Tribune n°2429 du lundi 15 juillet 1996.

– Cameroon-Tribune n°11636/7835, Thursday, 12 July 2018.

– Echo-Magazine livraison du 14 juin 1978.

– Jeune-Afrique n°685 du 23 février 1974.

– Jeune-Afrique n°1019 du 16 juillet 1980.

– Jeune-Afrique n°1101 du 18-22 mars 1982.

– Jeune-Afrique n°1188 du 12 octobre 1983.

– Jeune-Afrique n°1249 du 12 décembre 1984.

– Jeune-Afrique n°1299 du 27 novembre 1985.

– Jeune-Afrique économie « Cameroun, cap sur l’an 2000 », Hors-série.

– Jeune-Afrique, 50 ans : une histoire de l’Afrique, Paris, Editions de la Martinière, 2013.

– Journal-Africa n°52 du 26 décembre 1975.

– Le Messager n°395 du 31 octobre 1994.

– Le Messager n°413 du 30 janvier 1995.

– Le Monde « Entretien avec le président Ahmadou Ahidjo », 25-26 janvier 1970.

– Le Monde-Diplomatique livraison du mois d’août 1976.

– Le Monde-Diplomatique n°442 du 14 juin 1982.

– Le Monde-Diplomatique n°442, janvier 1991, article de Thierry Michalon et d’Alain Moyrand : « Le Tchad malade de l’Etat-nation ».

-La Presse du Cameroun n°6613 du jeudi 22 juin 1972.

IV) THESES, MEMOIRES ET RAPPORTS DE STAGE

1) Thèses

– Ambromo C., ‘’Analyse d’un discours présidentiel : étude léxicométrique Paul Biya du Cameroun (1982-2002)’’, ph/D en Linguistique, Université de Franche-Comté, 2013, 672p.

– Batenguene R.A., ‘’Les pays de l’Europe communautaire dans la politique étrangère du Cameroun 1960-2002’’, ph/D en Histoire, Université de Yaoundé I, 2009, 448p.

– Biloa Tang A.T., ‘’La politique étrangère du Cameroun à l’ère de la transition vers le nouvel ordre mondial (1990-2001), une analyse à travers le prisme des politiques publiques’’, ph/D en Relations Internationales, Université de Yaoundé II, IRIC, 2002, 204p.

– Etoa Oyono G.P., ‘’Diplomates et personnels administratifs dans les représentations diplomatiques : cas de l’ambassade du Cameroun à Paris 1960-1982 (approche historique)’’, Thèse de ph/D en Histoire, Université de Yaoundé I, septembre 2014, 432p.

– Firmin Mba R., ‘’Ahmed Sékou Toure et Ahmadou Ahidjo face à la question de l’unité africaine (1958-1982)’’, ph/D en Histoire, Université de Yaoundé I, 2015, 360p.

– Moudourou F.H., ‘’Le Cameroun et l’organisation de l’unité africaine (1963-1990)’’, ph/D en Relations Internationales, Université de Yaoundé II, IRIC, 1992, 374p.

– Ngamondi K.Y., ‘’La politique étrangère du Cameroun en Afrique centrale : constances et fluctuations’’, ph/D cycle en Science politique, Université de Yaoundé II, 2011, 547p.

– Nguimbog L.R., ‘’Le statut international du Cameroun à travers ses traités’’, ph/D en Histoire, Université de Paris I, 1978, 308p.

– Oyono D., ‘’La politique africaine du Cameroun de 1960 à 1985’’, ph/D en Science politique, Université de Paris I, 1988, 428p.

– Sinou D., ‘’Le phénomène de groupes à l’OUA : fondements, dynamique et incidence (1963-1983)’’, ph/D en Relations Internationales, Université de Yaoundé II, IRIC, décembre 1987, 267p.

– Tabi P.E., ‘’Les financements de l’organisation de l’unité africaine’’, ph/D en Relations Internationales, Université de Yaoundé II, IRIC, 1985, 297p.

– Tonye A.M., ‘’Les commissions mixtes dans la diplomatie camerounaise : contribution à la connaissance de la diplomatie et de la politique étrangère du Cameroun’’, ph/D en Relations Internationales, Université de Yaoundé II, IRIC, 1989, 213p.

2) Mémoires

– Akibou N., ‘’Le secrétaire général de l’OUA’’, Mémoire de Master professionnel, Université de Yaoundé II, IRIC, option Diplomatie, juin 1986, 109p.

– Bilibi Nti L.M., ‘’Les problèmes politiques et institutionnels du Cameroun de 1960-1990’’, Mémoire de didactique d’histoire présenté et soutenu en vue de l’obtention du diplôme de professeur de l’enseignement secondaire 2ème grade (DIPES II), Université de Yaoundé I, Ecole Normale Supérieure, Année académique 1996-1997, 94p.

– Biloa Tang A.T., ‘’Le ministère des relations extérieures dans la politique étrangère du Cameroun : une analyse à la lumière des politiques publiques’’, Mémoire de Master en Relations Internationales, Université de Yaoundé II, IRIC, 2000, 128p.

– Ebengue Ngalle M., ‘’Le profil de carrière de la femme diplomate camerounaise : essai d’analyse du genre et des parcours dans la diplomatie camerounaise’’, Mémoire de Master professionnel, Université de Yaoundé II, IRIC, option Diplomatie, 2017, 114p.

– Messina M., ‘’Le ministère des affaires étrangères du Cameroun depuis 1960’’, Mémoire de DEA en Relations Internationales, Université de Paris I, 1986, 143p.

– Nana Mbakop G.L., ‘’Timbre-poste et évolution politique et diplomatique du Cameroun de 1960 à 2004’’, Mémoire de Master en Histoire, Université de Yaoundé I, 2016, 178p.

– Nchare Nom T.M., ‘’Initiatives diplomatiques et occupation de l’espace africain : le cas du golfe de Guinée (2001-2008), une approche des usages géostratégiques de la diplomatie’’, DEA en Science politique, Université de Yaoundé II, 2009, 155p.

– Ngagoum E.F., ‘’Jean Keutcha, vie et parcours d’un grand commis de l’Etat camerounais (1923-2012)’’, Mémoire de Master en Histoire, Université de Douala, 2015, 124p.

– Ngo Mbenga J.L.M., ‘’Contribution à l’histoire diplomatique du Cameroun : institut des relations internationales du Cameroun (1971-2005)’’, Mémoire de DESS, Université de Yaoundé II, IRIC, juin 2006, 94p.

– Nguefouet Modio A.P., ‘’L’axe diplomatique Washington-Yaoundé (1960-1990) : fondements, enjeux et perspectives historiques’’, Mémoire de Master en Histoire, Université de Yaoundé I, 2013, 148p.

– Ntamack M.II.B., ‘’La diplomatie camerounaise face aux contraintes de la crise économique (1987-2006)’’, Mémoire de Master en Histoire, Université de Douala, 2016, 108p.

– Wakam S., ‘’La diplomatie camerounaise face aux défis de l’émergence’’, Mémoire de Master professionnel, Université de Yaoundé I, IRIC, option Diplomatie, 2014, 134p.

3) Rapports de stage

– Bang A.E., ‘’Rapport de stage académico-professionnel effectué au MINREX’’, Université de Yaoundé II, IRIC, option Intégration Régionale et Management des Institutions Communautaires, Année académique 2019-2020, 36p.

– Bekono Nkoudou H., ‘’La contribution du Cameroun au fonctionnement de l’Union africaine’’, Rapport de stage effectué au MINREX, Université de Yaoundé II, IRIC, option Diplomatie, 2012, 38p.

– Bend P., ‘’De l’organisation de l’Unité africaine à l’union africaine : les étapes et les enjeux d’une mutation’’, Rapport de stage effectué au MINREX, Université de Yaoundé II, IRIC, option Diplomatie, Année académique 2000-2001, 25p.

– Etoundi Ayissi J.C., ‘’La participation du Cameroun au 36ème sommet de l’OUA (10-12 juillet 2000), Lomé-Togo’’, Rapport de stage effectué au MINREX, Université de Yaoundé II, IRIC, option Diplomatie, octobre 2000, 34p.

– Ondoa Mbazoa T.D., ‘’Les fonctionnaires camerounais de l’Union africaine’’, Rapport de stage effectué au MINREX, Université de Yaoundé II, IRIC, option Diplomatie, octobre 2003, 41p.

– Sidi El M., ‘’Rapport de stage académico-professionnel effectué au MINREX’’, Rapport, Université de Yaoundé II, IRIC, option Paix et Développement, Année académique 2019-2020, 31p.

V) SITES INTERNET ET SOURCES NUMERIQUES

1) Sites d’internet

– Base des données OUA/UA., CM/Rés.350 (XXIII) de la 23ème session ordinaire du conseil des ministres, Mogadiscio (Somalie), 11 juin 1974, consulté le 11 mai 2021.

– Base des données OUA/UA., CM/Rés.392 (XXIV) de la 24ème session ordinaire du conseil des ministres, Addis-Abeba, 21 février 1975, consulté le 11 mai 2021.

– Base des données OUA/UA., CM/Rés.543 (XXVIII), 28ème session ordinaire du conseil des ministres, Lomé (Togo), 28 février 1977, consulté le 11 mai 2021.

– Base des données OUA/UA., Décision Assembly/AU/Dec.33 (II), consulté le 23 mai 2021.

– Base des données OUA/UA., Doc. AD/FIN/1/2/87 (XLVI), consulté le 23 mai 2021.

– Bertolt B., Cameroun-cinquantenaire de l’UA : l’héritage d’Ahmadou Ahidjo en fumée in http://www.camer.be/index1.php?art=26708rub=6 :1, consulté le 23 mars 2021.

– Jeune-Afrique, ‘’CMR : Ahmadou Ahidjo ou l’Etat incarné’’, in Jeune-Afrique.com, 28 novembre 2014, consulté le 14 juillet 2021.

– Gonidec P.F., ‘’Un régime domine par la stature du président Ahidjo’’, in Le Monde-Diplomatique, 1er août 1976, consulté le 18 mai 2021.

– http://www.cemac.net, consulté le 02/03/2021.

– Keutcha J., ‘’L’originalité de la politique extérieure du Cameroun’’, in Le Monde-Diplomatique, 1er août 1976, consulté le 12 juin 2021.

– L’organisation de l’unité africaine, http://fr.wikipedia.org/wiki/organisation-de-1/27unit.C3.A9-africaine, consulté le 11 février 2021.

– L’originalité de la politique extérieure du Cameroun, http://www.Monde-Diplomatique.fr/1976/08/Keutcha/33872, consulté le 23 décembre 2020.

– L’Union africaine., http://fr.wikipedia.org/wiki/union africaine. consulté le 13 mars 2021.

– L’Union africaine, L’OUA, quarante ans d’histoire…, http://www.rfi.fr/actufr/articles 15289.asp, consulté le 13 mars 2021.

-Le Monde, ‘’Présidentielle au Cameroun : et à la fin, c’est encore Biya qui gagne’’, in Le Monde.fr, 22 octobre 2018, consulté le 2 juillet 2021.

– WWW.Campboiro.org/bibliotheque/Andre-Lewin/Destin-tragique/tmd.html, consulté le 18 novembre 2020.

2) Sources numériques

– ‘’La guerre du Biafra’’, Encarta 2009. 1967-1970, Microsoft corporation, consulté le 26 mars 2021.

VI) SOURCES ORALES

 

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