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Les compétences nécessaires pour la réussite dans l’exercice libéral de la profession d’expert-comptable

L’analyse présente les compétences essentielles pour réussir dans l’exercice libéral de l’expertise comptable. Elle identifie trois types de compétences interdépendantes : comportementales, techniques et en gestion des risques. Les compétences comportementales sont considérées comme un vecteur de réussite globale et un facteur d’excellence. La recherche souligne que les qualités humaines et comportementales priment souvent sur les diplômes dans la réussite professionnelle.

Université de Sfax
Faculté des Sciences Economiques et de Gestion
Commission d’Expertise Comptable
Mémoire en vue de l’obtention du diplôme d’expertise comptable
Sujet :
Les compétences nécessaires pour la réussite dans l’exercice libéral de la profession d’expert-comptable
Préparé par :
Ramzi Borgi
Mémorialiste en expertise comptable
Dirigé par :
Abderraouf Yaïch
Membre de l’Ordre des Experts Comptables de Tunisie
Année Universitaire
2006-2007

385 Yaïch (N.) & Ben Abdelhamid (M.), « Le seuil critique d’intelligence comportementale des collaborateurs des cabinets d’expertise comptables », mémoire de fin d’études, Ecole Supérieure de Commerce de Sfax, 2004-2005, page 1.
A N N E X E : E N Q U E T E
I. Presentation generale de
L’ENQUETE
Le champ de l’ enquête et caractéristiques
de l’échantillon
L’enquête, menée à l’aide d’un questionnaire, a été établie auprès des experts- comptables membres de l’Ordre des Experts Comptables de Tunisie.
Le questionnaire a été remis à 291 experts-comptables (parmi les 479 experts- comptables inscrits au tableau de l’ordre), soit un taux de 60.7%386.
Le questionnaire a été, soit déposé dans les cabinets (22 experts-comptables), soit envoyé par e-mail (268 experts-comptables387), ou par fax (1 expert-comptable).
Malgré les contacts préalables et les relances effectuées, la majorité des experts- comptables n’ont pas donné suite à notre questionnaire.
Le nombre total de réponses s’élève à 22388 détaillé comme suit :
• 10 envoyés et reçus par e-mail (dont 2 experts-comptables installés à Sfax) ;
• 8 envoyés par e-mail et reçus par remise directe389 (dont 4 experts-comptables installés à Tunis) ;
• 6 envoyés390 et reçus par remise directe (experts-comptables installés à Sfax). La taille de l’échantillon s’élève à 5% alors que le taux des réponses est de 8.2%. Plusieurs causes expliquent ces taux faibles, dont :
• L’absence d’un contact direct avec les experts-comptables, particulièrement, ceux installés à Tunis ;
• La remise du questionnaire pendant une période critique (établissement des états financiers ainsi que des déclarations annuelles des entreprises) ;
• Le nombre élevé des questionnaires remis, au cours de la même période, par les candidats au diplôme national d’expert-comptable.
386 Le nombre des experts-comptables inscrits au tableau de l’OECT, lors de la distribution du questionnaire, s’élevait à 479.
387 Le questionnaire a été envoyé à 297 experts-comptables dont 29 ayant des adresses e-mail (telle que figurant sur la liste, mise à jour, des experts-comptables publiée sur le site officiel de l’OECT, visité au mois de février 2007) inopérantes.
388 12 experts comptables installés à Sfax (50%) et 12 experts-comptables installés à Tunis (50%).
389 Dont 2 reçus par voie postale.
390 Dont 1 envoyé par Fax.
Présentation détaillée du contenu du questionnaire
Le questionnaire comporte 3 parties :
• La première partie traite des facteurs de réussite dans l’exercice libéral de la profession d’expert-comptable.La deuxième partie est axée sur les compétences nécessaires pour développer une clientèle fructueuse.La troisième partie est consacrée des compétences nécessaires pour la gestion interne du cabinet.
• La première partie traite des facteurs de réussite dans l’exercice libéral de la profession d’expert-comptable.
• La deuxième partie est axée sur les compétences nécessaires pour développer une clientèle fructueuse.
• La troisième partie est consacrée des compétences nécessaires pour la gestion interne du cabinet.
Le questionnaire propose les modes suivants pour répondre aux questions qui y sont incluses :
• Pour certaines questions, la personne interrogée est appelée à classer une série de réponses-types (ex. de 1 à 4…). Dans la plupart des cas, le questionnaire offre au répondant la faculté de choisir une autre réponse et la possibilité d’insérer un commentaire sur la question.Pour les autres questions, la personne interrogée est appelée à choisir une ou plusieurs réponses parmi une série de réponses prédéfinies.
• Pour certaines questions, la personne interrogée est appelée à classer une série de réponses-types (ex. de 1 à 4…). Dans la plupart des cas, le questionnaire offre au répondant la faculté de choisir une autre réponse et la possibilité d’insérer un commentaire sur la question.
• Pour les autres questions, la personne interrogée est appelée à choisir une ou plusieurs réponses parmi une série de réponses prédéfinies.
Première partie du questionnaire : Facteurs de la réussite dans l’exercice libéral de la profession d’expert-comptable
Cette partie propose en question unique de classer selon l’ordre de l’importance les trois facteurs de réussite suivants :
• Les compétences comportementales ;
• Les compétences techniques ; et
• La gestion des risques professionnels.
Deuxième partie du questionnaire : Compétences nécessaires pour le développement d’une clientèle fructueuse
Cette partie est composée de 33 questions traitant des compétences nécessaires pour constituer et développer une clientèle fructueuse. Elle est composée de trois sections :
• La première section, composée de 14 questions, traite des compétences
comportementales ;
• La deuxième section, composée de 12 questions, est consacrée aux compétences techniques ;
• La troisième section, composée de 7 questions, est relative à la gestion des risques professionnels.
Troisième partie du questionnaire : Compétences nécessaires pour la gestion interne du cabinet
Cette partie est composée de 23 questions traitant des compétences de management du cabinet. Elle est composée des trois sections suivantes :
• La première section, composée de 10 questions, traite des compétences
comportementales de management du cabinet ;
• La deuxième section, composée de 7 questions, est consacrée aux compétences techniques de conduite des missions ;
• La troisième section, composée de 6 questions, est relative à la communication sur les risques professionnels.
Contenu du questionnaire
Le contenu détaillé du questionnaire remis aux experts-comptables, dans le cadre de la préparation du présent mémoire, se présente comme suit :
GENERALITES
Facteurs de la réussite dans l’exercice libéral de la profession d’expert-comptable
Q1
Classez les facteurs de réussite selon l’ordre d’importance
• Les compétences comportementales
• Les compétences techniques
• La gestion des risques
Classez ces facteurs du plus important vers le moins important (1,2,3.)
LES COMPETENCES COMPORTEMENTALES NECESSAIRES AU DEVELOPPEMENT D’UNE CLIENTELE FRUCTUEUSE
Choix des règles de conduite dans la recherche d’une clientèle cible
Q2
Les compétences critiques de base et spécifiques
Les compétences critiques correspondent aux compétences comportementales exigées pour l’exercice de la profession comptable. Ces compétences peuvent être de base ou spécifique par métier (Assistance, certification et consulting).
Classer les compétences suivantes selon leurs types :
De baseSpécifiqueMétier ?Compétence critiqueFiabilitéConscience professionnelleConfidentialitéL’exigence de la perfectionLa passion du serviceLa gestion des attentes
De baseSpécifiqueMétier ?Compétence critiqueLe sens de la collaboration et de la coopérationL’indépendance d’esprit et l’objectivitéLa communicationL’écoute activeLa confiance en soiLe travail d’équipeL’empathieLa souplesseLa motivation
Q3
• L’influence du diagnostic personnel des forces et faiblesses comportementales critiques sur le choix des domaines d’intervention du professionnel comptable est :
• L’influence du diagnostic personnel des forces et faiblesses comportementales critiques sur le choix des domaines d’intervention du professionnel comptable est :
• Totale
• Partielle
• Aucune influenceEst-il fondamental de définir des valeurs et exigences applicables dans le choix de la clientèle ?
• Est-il fondamental de définir des valeurs et exigences applicables dans le choix de la clientèle ?
• Oui.
• Non.Doit-on formaliser les valeurs et exigences définies ?
• Doit-on formaliser les valeurs et exigences définies ?
• Oui
• Non, on peut se limiter au code des devoirs professionnels
• NonDoit-on établir, systématiquement, une lettre de mission pour chaque mission contractuelle ?
• Doit-on établir, systématiquement, une lettre de mission pour chaque mission contractuelle ?
• Oui, pour toutes les missions
• Tout dépend du client
• NonLes honoraires doivent être déterminés, principalement, :
• Les honoraires doivent être déterminés, principalement, :
• Selon le tarif réel (en fonction du taux horaire)
• Tout dépend du client.
• Forfaitairement
Le développement d’un réseau relationnel
Q4
• Comment juger-vous l’importance des réseaux relationnels dans les professions libérales ?
• Comment juger-vous l’importance des réseaux relationnels dans les professions libérales ?
• Très importants
• Importants.
• Aucune importance
• Oui
(Dans le cas du choix de l’une des deux premières propositions)
• Doit-on faire du développement de ces réseaux une réflexion stratégique (action à long terme) ?Pas tellement.Non De quel(s) type(s) de compétences a-t-on besoin pour développer les réseaux relationnels ?Compétences comportementales intra-personnelles (conscience de soi, maîtrise de soi et motivation).Compétences comportementales inter-personnelles (Empathie, reconnaissance et gratitude et compétences sociales).Compétences techniques
• Doit-on faire du développement de ces réseaux une réflexion stratégique (action à long terme) ?Pas tellement.Non
• Pas tellement.
• Non
• De quel(s) type(s) de compétences a-t-on besoin pour développer les réseaux relationnels ?Compétences comportementales intra-personnelles (conscience de soi, maîtrise de soi et motivation).Compétences comportementales inter-personnelles (Empathie, reconnaissance et gratitude et compétences sociales).Compétences techniques
• Compétences comportementales intra-personnelles (conscience de soi, maîtrise de soi et motivation).
• Compétences comportementales inter-personnelles (Empathie, reconnaissance et gratitude et compétences sociales).
• Compétences techniques
Classez , éventuellement, les compétences choisies de la plus importante vers la moins importante (1,2,3)
Le marketing professionnel
Q5
Quels sont les moyens de marketing professionnel que vous utilisez ?
• L’animation de séminaires de formation, l’enseignement.La publication d’articles, recherches, ouvrages…La création d’un site web pour le cabinetAutres
• L’animation de séminaires de formation, l’enseignement.La publication d’articles, recherches, ouvrages…La création d’un site web pour le cabinetAutres
• L’animation de séminaires de formation, l’enseignement.
• La publication d’articles, recherches, ouvrages…
• La création d’un site web pour le cabinet
• Autres
Classez du plus important vers le moins important (1,2,3)
La gestion des attentes des clients
Q6
• Le professionnel comptable, crée-t-il, par ses dires et comportements, des attentes chez ses clients ?Oui.Non.Si oui, est-il tenu de gérer ces attentes (Ne promettre que ce qu’il est capable de tenir et répondre aux attentes qu’il a promises) ?Oui.Non.Comment jugez-vous l’influence de la gestion des attentes sur la satisfaction des clients ?Importante.MoyenneAucune influence.Quelles est la stratégie de réponse aux attentes des clients qui vous semble la plus appropriée ?Choisir les missions pour lesquelles le professionnel développe les compétences nécessaires.Accepter toutes les missions et répondre à toutes les attentes et exigences des clients
• Le professionnel comptable, crée-t-il, par ses dires et comportements, des attentes chez ses clients ?Oui.Non.
• Oui.
• Non.
• Si oui, est-il tenu de gérer ces attentes (Ne promettre que ce qu’il est capable de tenir et répondre aux attentes qu’il a promises) ?Oui.Non.
• Oui.
• Non.
• Comment jugez-vous l’influence de la gestion des attentes sur la satisfaction des clients ?Importante.MoyenneAucune influence.
• Importante.
• Moyenne
• Aucune influence.
• Quelles est la stratégie de réponse aux attentes des clients qui vous semble la plus appropriée ?Choisir les missions pour lesquelles le professionnel développe les compétences nécessaires.Accepter toutes les missions et répondre à toutes les attentes et exigences des clients
• Choisir les missions pour lesquelles le professionnel développe les compétences nécessaires.
• Accepter toutes les missions et répondre à toutes les attentes et exigences des clients
LES COMPETENCES TECHNIQUES NECESSAIRES AU DEVELOPPEMENT D’UNE CLIENTELE FRUCTUEUSE
Maîtrise des missions et des démarches qu’elles impliquent
Q7
• Pensez-vous que chaque type de mission implique une démarche spécifique ?OuiNon, la démarche est la même pour toutes les missions.Si oui, doit-on formaliser les démarches impliquées par les missions ?OuiNonSi oui, comment formalisez-vous ces démarches ?Par l’établissement d’un manuelPar l’établissement de programmes de travail standardPar l’établissement de programmes de travail par mission
• Pensez-vous que chaque type de mission implique une démarche spécifique ?OuiNon, la démarche est la même pour toutes les missions.
• Oui
• Non, la démarche est la même pour toutes les missions.
• Si oui, doit-on formaliser les démarches impliquées par les missions ?OuiNon
• Oui
• Non
• Si oui, comment formalisez-vous ces démarches ?Par l’établissement d’un manuelPar l’établissement de programmes de travail standardPar l’établissement de programmes de travail par mission
• Par l’établissement d’un manuel
• Par l’établissement de programmes de travail standard
• Par l’établissement de programmes de travail par mission
Le professionnalisme
Selon A. Yaich (2003) « le professionnalisme consiste à faire le nécessaire selon une démarche pertinente et avec compétence ».
Q8
• Pensez-vous que la qualité de la prestation du service, rendue par le professionnel, ne dépend pas uniquement du respect de la démarche impliquée par chacune des missions mais aussi du degré de professionnalisme avec lequel ces démarches sont mises en œuvre ?Oui.Pas tellementNon. Comment jugez-vous l’impact du professionnalisme sur la réussite professionnelle ?Important.Moyen.Faible. Les diplômes universitaires, garantissent-ils la compétence nécessaire au professionnalisme?OuiIls garantissent une partie de cette compétence.Non.
• Pensez-vous que la qualité de la prestation du service, rendue par le professionnel, ne dépend pas uniquement du respect de la démarche impliquée par chacune des missions mais aussi du degré de professionnalisme avec lequel ces démarches sont mises en œuvre ?Oui.Pas tellementNon.
• Oui.
• Pas tellement
• Non.
• Comment jugez-vous l’impact du professionnalisme sur la réussite professionnelle ?Important.Moyen.Faible.
• Important.
• Moyen.
• Faible.
• Les diplômes universitaires, garantissent-ils la compétence nécessaire au professionnalisme?OuiIls garantissent une partie de cette compétence.Non.
• Oui
• Ils garantissent une partie de cette compétence.
• Non.
Dans la cas de choix de la deuxième ou de la troisième proposition :
• Quels sont les savoirs qui nécessitent une amélioration du système éducatif ?Le savoir-connaissancesLe savoir-faire.Le savoir-être Classer, par ordre d’importance, les moyens d’amélioration de la compétence que vous adoptez au sein de votre cabinet ?Les séminaires de formationL’encadrement.Autres
• Quels sont les savoirs qui nécessitent une amélioration du système éducatif ?Le savoir-connaissancesLe savoir-faire.Le savoir-être
• Le savoir-connaissances
• Le savoir-faire.
• Le savoir-être
• Classer, par ordre d’importance, les moyens d’amélioration de la compétence que vous adoptez au sein de votre cabinet ?Les séminaires de formationL’encadrement.Autres
• Les séminaires de formation
• L’encadrement.
• Autres
Classez ces moyens du plus important vers le moins important (1,2,3)
• Quel modèle adoptez-vous dans l’acceptation des missions ?Le modèle du client (Dans ce modèle, la qualité est dictée par le client)Le modèle de responsabilité (Dans ce modèle, la qualité, c’est ce qui satisfait le client sans compromettre le professionnel et engager sa responsabilité).Le modèle de professionnalisme
• Quel modèle adoptez-vous dans l’acceptation des missions ?Le modèle du client (Dans ce modèle, la qualité est dictée par le client)Le modèle de responsabilité (Dans ce modèle, la qualité, c’est ce qui satisfait le client sans compromettre le professionnel et engager sa responsabilité).Le modèle de professionnalisme
• Le modèle du client (Dans ce modèle, la qualité est dictée par le client)
• Le modèle de responsabilité (Dans ce modèle, la qualité, c’est ce qui satisfait le client sans compromettre le professionnel et engager sa responsabilité).
• Le modèle de professionnalisme
Le jugement professionnel
Q9
• Quelle place occupe le jugement professionnel dans les activités de l’expert-comptable ?ImportanteMoyenne.Faible.
• Quelle place occupe le jugement professionnel dans les activités de l’expert-comptable ?ImportanteMoyenne.Faible.
• Importante
• Moyenne.
• Faible.
Dans le cas du choix de la première proposition :
• A quoi est due cette importance ?Le caractère général des normes comptablesLes normes comptables sont sujettes d’interprétation.La complexité des situations et la non adaptation des normes.Autres
• A quoi est due cette importance ?Le caractère général des normes comptablesLes normes comptables sont sujettes d’interprétation.La complexité des situations et la non adaptation des normes.Autres
• Le caractère général des normes comptables
• Les normes comptables sont sujettes d’interprétation.
• La complexité des situations et la non adaptation des normes.
• Autres
Classez ces causes de la plus importante vers la moins importante (1,2,3.)
• Un bon jugement professionnel est exigeant en terme de :De choix des règles de conduite (règles déontologiques et éthiques)Des compétences techniquesDes qualités comportementales du professionnel (professionnalisme, confidentialité, anticipation …).
• Un bon jugement professionnel est exigeant en terme de :De choix des règles de conduite (règles déontologiques et éthiques)Des compétences techniquesDes qualités comportementales du professionnel (professionnalisme, confidentialité, anticipation …).
• De choix des règles de conduite (règles déontologiques et éthiques)
• Des compétences techniques
• Des qualités comportementales du professionnel (professionnalisme, confidentialité, anticipation …).
Classez ces propositions de la plus importante vers la moins importante (1,2,3.)
LA GESTION DES RISQUES LIES AUX MISSIONS
Les risques professionnels
Q10
• Quelle est l’ampleur des risques professionnels dans la profession comptable ?Très importanteImportante.Moyenne.Peu faible.A quoi ces risques sont dus ?La nature de la demande prédominante du marché.L’instabilité des interprétations des lois et normes.L’importance des jugements professionnelsLa méconnaissance des difficultés de l’exercice de la profession par corps institutionnels.
• Quelle est l’ampleur des risques professionnels dans la profession comptable ?Très importanteImportante.Moyenne.Peu faible.
• Très importante
• Importante.
• Moyenne.
• Peu faible.
• A quoi ces risques sont dus ?La nature de la demande prédominante du marché.L’instabilité des interprétations des lois et normes.L’importance des jugements professionnelsLa méconnaissance des difficultés de l’exercice de la profession par corps institutionnels.
• La nature de la demande prédominante du marché.
• L’instabilité des interprétations des lois et normes.
• L’importance des jugements professionnels
• La méconnaissance des difficultés de l’exercice de la profession par corps institutionnels.
Classez ces causes de la plus importante vers la moins importante (1,2,3,….)
La gestion des risques professionnels
Q11
• La gestion des risques influence-t-elle l’acceptation des missions ?Oui.Pas tellement.Non.La gestion des risques permet de :savoir dire non …réduire l’effet des risques.saisir les opportunitéséviter les risques et saisir les opportunitésLa gestion des risques liés aux missions est-elle formalisée au sein de votre cabinet ?Oui.NonAttribuez une note sur une échelle de 0 à 10 pour chaque nature de mission, selon les risque qu’elle génère :
• La gestion des risques influence-t-elle l’acceptation des missions ?Oui.Pas tellement.Non.
• Oui.
• Pas tellement.
• Non.
• La gestion des risques permet de :savoir dire non …réduire l’effet des risques.saisir les opportunitéséviter les risques et saisir les opportunités
• savoir dire non …
• réduire l’effet des risques.
• saisir les opportunités
• éviter les risques et saisir les opportunités
• La gestion des risques liés aux missions est-elle formalisée au sein de votre cabinet ?Oui.Non
• Oui.
• Non
• Attribuez une note sur une échelle de 0 à 10 pour chaque nature de mission, selon les risque qu’elle génère :
Assistance
Certification (Audit légal & contractuel et expertise judiciaire) Consulting
• Quelle appétence pour le risque que doit adopter le professionnel comptable ? (L’appétence pour le risque est le niveau de risque global qu’une entité accepte dans la poursuite de ses activités en cohérence avec ses objectifs de création de valeur).ElevéeMoyenneFaible
• Quelle appétence pour le risque que doit adopter le professionnel comptable ? (L’appétence pour le risque est le niveau de risque global qu’une entité accepte dans la poursuite de ses activités en cohérence avec ses objectifs de création de valeur).ElevéeMoyenneFaible
• Elevée
• Moyenne
• Faible
LES COMPETENCES COMPORTEMENTALES DE MANAGEMENT DU CABINET
Le modèle comportemental de l’expert-comptable
Q12
• Quelle est, selon vous, l’importance des comportements sur la performance du cabinet ?Importante.Moyenne.Faible.Quel type de professionnel est le mieux adapté à la profession comptable ?Le professionnel entraîneurLe professionnel autoritaireAutres Les comportements du chef du cabinet on-t-ils une influence sur ceux des collaborateurs ?Oui.Pas tellement.Non.Pensez-vous qu’on peut grandir de taille sans développer, au préalable, un modèle comportemental adéquat au sein du cabinet ?Oui.Pas tellement.Non.
• Quelle est, selon vous, l’importance des comportements sur la performance du cabinet ?Importante.Moyenne.Faible.
• Importante.
• Moyenne.
• Faible.
• Quel type de professionnel est le mieux adapté à la profession comptable ?Le professionnel entraîneurLe professionnel autoritaireAutres
• Le professionnel entraîneur
• Le professionnel autoritaire
• Autres
• Les comportements du chef du cabinet on-t-ils une influence sur ceux des collaborateurs ?Oui.Pas tellement.Non.
• Oui.
• Pas tellement.
• Non.
• Pensez-vous qu’on peut grandir de taille sans développer, au préalable, un modèle comportemental adéquat au sein du cabinet ?Oui.Pas tellement.Non.
• Oui.
• Pas tellement.
• Non.
Le contrôle des comportements des collaborateurs
Q13
• Est-il nécessaire d’intégrer les compétences comportementales dans les critères de recrutement ?Oui.Non.Arrive-t-il qu’on se trompe dans les qualités comportementales des candidats ?OuiRarementNonClasser les moyens permettant de réduire le risque des recrutements- erreur :La détermination du coefficient comportemental du poste.Le test psycho-technique.Maîtriser la logique des comportements
• Est-il nécessaire d’intégrer les compétences comportementales dans les critères de recrutement ?Oui.Non.
• Oui.
• Non.
• Arrive-t-il qu’on se trompe dans les qualités comportementales des candidats ?OuiRarementNon
• Oui
• Rarement
• Non
• Classer les moyens permettant de réduire le risque des recrutements- erreur :La détermination du coefficient comportemental du poste.Le test psycho-technique.Maîtriser la logique des comportements
• La détermination du coefficient comportemental du poste.
• Le test psycho-technique.
• Maîtriser la logique des comportements
Classer ces moyens du plus important vers le moins important (1, 2, 3)
• Doit-on veiller à l’amélioration des compétences comportementales des collaborateurs ?Oui.Il s’agit plutôt d’une option.Non, on ne peut pas changer les comportements d’une personne
• Doit-on veiller à l’amélioration des compétences comportementales des collaborateurs ?Oui.Il s’agit plutôt d’une option.Non, on ne peut pas changer les comportements d’une personne
• Oui.
• Il s’agit plutôt d’une option.
• Non, on ne peut pas changer les comportements d’une personne
Le travail en équipe
Q14
• Comment jugez-vous l’importance du travail en équipe sur la performance du cabinet ?Très importantImportantImportance moyenneAucune importanceLe travail en équipe dépend-il des qualités personnelles de tous les membres du cabinet ?OuiPas tellementNon
• Comment jugez-vous l’importance du travail en équipe sur la performance du cabinet ?Très importantImportantImportance moyenneAucune importance
• Très important
• Important
• Importance moyenne
• Aucune importance
• Le travail en équipe dépend-il des qualités personnelles de tous les membres du cabinet ?OuiPas tellementNon
• Oui
• Pas tellement
• Non
LES COMPETENCES TECHNIQUES DE CONDUITE DES MISSIONS
Les méthodes de travail
Q15
• OuiNonLes méthodes de travail sont-elles formalisées au sein de votre cabinet ?Quelle importance accordez-vous à la qualité avec laquelle les dossiers de travail sont préparés ?ElevéeMoyenneFaible
• OuiNon
• Oui
• Non
• Les méthodes de travail sont-elles formalisées au sein de votre cabinet ?
• Quelle importance accordez-vous à la qualité avec laquelle les dossiers de travail sont préparés ?ElevéeMoyenneFaible
• Elevée
• Moyenne
• Faible
L’encadrement des collaborateurs
Q16
• OuiNonOuiNonL’affectation des missions dépend-elle des compétences techniques des collaborateurs ?Procédez-vous à l’évaluation des performances de vos collaborateurs ?
• OuiNonOuiNon
• Oui
• Non
• Oui
• Non
• L’affectation des missions dépend-elle des compétences techniques des collaborateurs ?
• Procédez-vous à l’évaluation des performances de vos collaborateurs ?
• Oui
• NonLa procédure d’évaluation est-elle formalisée au sein de votre cabinet ?
• La procédure d’évaluation est-elle formalisée au sein de votre cabinet ?
Le contrôle qualité
Q17
• Classez les outils de revue de qualité, selon l’ordre d’importance au sein de votre cabinet
• Classez les outils de revue de qualité, selon l’ordre d’importance au sein de votre cabinet
• La supervision directe
• La revue indépendante
• L’audit à blanc
• La prise en compte du feed-back externe (clients, divers contrôles, …)
• Autres
Classer ces outils du plus important vers le moins important (1, 2, 3,…)
• La formulation des critiques contribue-t-elle à l’amélioration de la qualité des prestations rendues ?
• La formulation des critiques contribue-t-elle à l’amélioration de la qualité des prestations rendues ?
• Toujours
• Oui, si elle obéit à une démarche bien déterminée
• Non
LA COMMUNICATION SUR LES RISQUES
Le développement d’une culture du risque
Q18
• Les nouveaux diplômés sont-ils bien informés sur les risques ?
• Les nouveaux diplômés sont-ils bien informés sur les risques ?
• Oui
• NonLes collaborateurs doivent-ils être intégrés dans le processus de gestion des risques ?
• Les collaborateurs doivent-ils être intégrés dans le processus de gestion des risques ?
• Oui
• Non, le gestion des risques est la responsabilité du chef du cabinet uniquementVos collaborateurs sont-ils informés de la politique de gestion des risques du cabinet
• Vos collaborateurs sont-ils informés de la politique de gestion des risques du cabinet
• Oui
• Certains collaborateurs uniquement
• Non
Les outils de communication sur les risques
Q19
Quels sont les moyens de communication sur les risques que vous utilisez au sein de votre cabinet ?
• La documentation (Manuels de politique, notes internes, …)
• La communication directe
• Autres
Les outils de contrôle du processus de gestion des risques
Q20
Dans le cas où une procédure de gestion des risques est mise en place au sein de votre cabinet :
Quels sont les outils de contrôle de la bonne mise en œuvre de la politique de gestion des risques que vous utilisez ?
• Les contrôles préventifs
• Les contrôles détectifs
Le pilotage du processus de gestion des risques
Q21
Dans le cas où une procédure de gestion des risques est mise en place au sein de votre cabinet :
Procédez-vous à la mise à jour continue du processus de gestion des risques (identification et information sur les nouveaux risques, la mise à jour des procédures de contrôle,…) ?
• Oui
• Non
II. Analyse des reponses reçues
Synthèse générale des résultats de l’ enquête
Traitant des compétences nécessaires pour la réussite dans l’exercice libéral de la profession d’expert-comptable, les résultats de l’enquête confirment, en grande partie, les idées développées dans le présent mémoire.
D’abord, la première partie, traitant des facteurs de réussite, à été marquée par une méconnaissance, de la part de la majorité des participants, de l’importance des comportements dans la carrière professionnelle.
Ce constat se trouve confirmé par l’analyse de la deuxième et de la troisième partie du questionnaire. En effet, la totalité des experts-comptables n’arrivent, par exemple, à distinguer entre les notions de compétences critiques de base et compétences spécifiques.
Les difficultés éprouvées dans les questions traitant des comportements sont surmontées dans les questions traitant des autres volets des compétences comportementales à l’instar des règles éthiques, de la gestion des attentes des clients, du modèle comportemental de l’expert-comptable, de la gestion des comportements des collaborateurs, etc.
Quant aux parties traitant des compétences techniques, l’enquête montre que les experts-comptables interrogés confirment, parfaitement, les idées développées dans le présent mémoire.
Il ressort de l’analyse du questionnaire, que les participants ont des connaissances techniques beaucoup plus développées qu’en matière comportementale ou de gestion des risques.
La gestion des risques professionnels semble, quant à elle, être non mise en œuvre convenablement par les participants à l’enquête. En effet, le processus de gestion des risques ne paraît être mis en place d’une façon parfaite que par une minorité d’experts- comptables, appartenant à des cabinets de grande taille.
Peut-on conclure que la mise en place des processus de gestion des risques, dans les cabinets petite et moyenne taille, souffre de quelques insuffisances affectant ainsi la qualité avec laquelle les professionnels gèrent leurs risques.
Résultats détaillés de l’ enquête
Cette partie expose les résultats détaillés de l’enquête :
• Pour les questions qui requièrent un classement de réponses préétablies, on présentera des statistiques relatives à chaque niveau de classement de réponse.Pour les questions à choix unique, on exposera pour chaque question un seul tableau récapitulant les statistiques des réponses des personnes interrogées.
• Pour les questions qui requièrent un classement de réponses préétablies, on présentera des statistiques relatives à chaque niveau de classement de réponse.
• Pour les questions à choix unique, on exposera pour chaque question un seul tableau récapitulant les statistiques des réponses des personnes interrogées.
Lors du dépouillement des réponses, on a noté que certaines réponses n’ont pas scrupuleusement obéi à cette logique :
• Certaines personnes interrogées n’ont pas classé des réponses types ou donné le même classement à une même réponse.D’autres ont procédé au classement de réponses à choix unique.Certaines questions n’ont pas fait l’objet de réponses.
• Certaines personnes interrogées n’ont pas classé des réponses types ou donné le même classement à une même réponse.
• D’autres ont procédé au classement de réponses à choix unique.
• Certaines questions n’ont pas fait l’objet de réponses.
Pour ces raisons, la somme des pourcentages pour une même réponse-type peut être différente de 100%.
Enfin, cette présentation s’est efforcée d’exposer, pour chaque question, une analyse des principaux enseignements des réponses formulées.
Résultats de la première partie : Question générale
Q1. Classement des facteurs de la réussite dans l’exercice libéral de la profession d’expert-comptable
123Les compétences comportementales50%33%17%Les compétences techniques46%38%16%La gestion des risques professionnels4%29%67%
Analyse :
Il ressort des réponses une prise de conscience de l’importance de l’intelligence comportementale par la majorité des experts-comptables. En effet, 50% des personnes
interrogés classent ces compétences en premier rang, alors que 33% les classent en second lieu dont 29% après les compétences techniques.
Ces résultats montrent que la notion de comportements professionnels commence à être reconnues dans la pratique professionnelle comptable.
Résultats de la deuxième partie : Les compétences nécessaires pour
le développement d’une clientèle fructueuse.
Les compétences comportementales
§1. Choix des règles de conduite dans la recherche d’une clientèle cible
Q2. Les compétences critiques de base et spécifiques
La majorité écrasante des experts-comptables interrogés n’ont pas su répondre à cette question. En effet, sur les 24 réponses recueillies, une seule a classé convenablement les compétences critiques comptables, soit un taux de 4%. Les autres interrogés ont, soit donné de fausses réponses, soit classé les compétences proposées soit, enfin, se sont abstenus de répondre.
Analyse :
Malgré l’importance cruciale, démontrée par les diverses recherches, des compétences critiques comptables dans l’explication des cas de réussite, ces dernières demeurent des compétences tacites dans la pratique professionnelle comptable tunisienne. En effet, aucune personne ne nie l’importance de la fiabilité, de la confidentialité ou encore de la conscience professionnelle dans l’exercice de la profession comptable, toutefois on ne les reconnaît pas en tant que compétences critiques. D’ailleurs, la notion de compétence critique semble être méconnue.
Ce constat peut être expliqué par la faible intégration de l’intelligence comportementale dans les programmes universitaires.
Q.3
Q3.1. Le diagnostic personnel des forces et faiblesses comportementales
TotalePartielleAucuneL’influence du diagnostic personnel des forces et faiblessescomportementales critiques sur le choix des domaines d’intervention de l’expert-comptable est :37%63%0%
Analyse :
L’analyse des réponses montre que la majorité des experts-comptables interrogés ne donne qu’une importance partielle à l’influence de la maîtrise des compétences comportementales critiques spécifiques sur la délimitation du champ de leur intervention. Ceci prouve, une autre fois, la méconnaissance du fait que la maîtrise des
compétences comportementales critiques spécifiques conditionne la bonne exécution des missions. Aussi, peut-on dire que peu d’experts-comptables tiennent compte de la compétence comportementale de leur cabinet dans l’acceptation des missions, ce qui les expose au risque de décevoir.
• Définition des valeurs et exigences applicables dans le choix de la clientèle
• Définition des valeurs et exigences applicables dans le choix de la clientèle
OuiNonEst-il fondamental de définir des valeurs et exigences applicables dans le choix de la clientèle ?100%0%
• Formalisation des valeurs et exigences
• Formalisation des valeurs et exigences
OuiNon, on peut se limiter au code des devoirs professionnelsNonDoit-on formaliser les valeurs et exigences définies ?71%29%0%
Analyse :
Il ressort des réponses recueillies, qu’à l’inverse des compétences comportementales, la totalité des experts-comptables (100%) accordent une importance particulière à la définition des valeurs et exigences applicables dans le choix de la clientèle. Malgré le fait que ces valeurs sont, principalement, définies par le code d’éthique et le code des devoirs professionnels, la majorité des interrogés soutiennent l’obligation de les formaliser et de ne pas se fier uniquement aux codes sus-indiqués.
• La lettre de mission
• La lettre de mission
OuiTout dépend du clientNonDoit-on établir, systématiquement, une lettre de missionpour chaque mission contractuelle ?71%29%0%
Analyse :
La revue approfondie des réponses montre que les experts-comptables qui soutiennent l’obligation de formaliser les valeurs et exigences applicables dans le choix de la clientèle, rejoignent l’obligation d’établir, systématiquement, une lettre de mission pour chaque mission contractuelle, prévue par l’article 7 du CDP de l’OECT.
Il est souligner que la convention écrite doit être établie avant l’entrée en vigueur de la mission. A défaut, l’expert-comptable est tenu d’envisager son établissement dès qu’il l’estime nécessaire. Il peut même mettre fin à la mission en cas de refus du client de signer une lettre de mission.
Quant aux missions de certification légale, l’expert-comptable est dans la possibilité de faire signer son client une lettre de représentation en vue d’obtenir de celui-ci les affirmations se rapportant à la confirmation des éléments probants nécessaires à la
formulation de l’opinion. Aussi, est-il temps de rendre obligatoire la signature d’une lettre de mission à l’instar du droit français.
• La détermination des honoraires
• La détermination des honoraires
Selon le tarif réelTout dépend du clientForfaitairementLes honoraires doivent être déterminés, principalement,33%54%4%
Analyse :
Il ressort des réponses que la règle de facturation des honoraires a été renversée en pratique. En effet, le principe de la facturation selon le temps passé est convertit en exception, la facturation forfaitaire est la règle.
Ce constat peut être expliqué par la nature de la demande prédominante sur un marché de service caractérisé par une offre de services abondante, d’une part et la méconnaissance des avantages de la facturation selon le temps passé, d’autre part.
§2. Le développement d’un réseau relationnel
Q4.
• L’importance des réseaux relationnels
• L’importance des réseaux relationnels
Très importantsImportantsAucune importanceComment juger-vous l’importance des réseauxrelationnels dans les professions libérales ?63%33%4%
• La réflexion stratégique
• La réflexion stratégique
OuiPas tellementNonDoit-on faire du développement de ces réseaux uneréflexion stratégique (action à long terme) ?70%30%0%
Analyse :
La quasi-totalité des experts-comptables interrogés (96%) croient que les réseaux relationnels sont importants pour l’exercice libéral de la profession d’expert-comptable.
Ce taux confirme les idées soutenues dans le présent mémoire concernant l’utilité de développer des réseaux relationnels professionnels. En effet, ces réseaux constituent le capital relationnel de l’expert-comptable, lui permettant de se faire connaître et d’avoir des opportunités de conclure des affaires intéressantes.
Les experts-comptables, qui accordent une importance particulière aux réseaux relationnels, trouvent utile de développer une réflexion stratégique sur leur réseau relationnel.
• Classement des compétences nécessaires pour le développement des réseaux relationnels
• Classement des compétences nécessaires pour le développement des réseaux relationnels
123Compétences comportementales intrapersonnelles(conscience de soi, maîtrise de soi et motivation).34%33%16%Compétences comportementales interpersonnelles(Empathie, reconnaissance et gratitude et compétences sociales).24%38%21%Compétences techniques25%12%46%
Analyse :
La distinction entre les différentes composantes de l’intelligence comportementales (Compétences intrapersonnelles et compétences interpersonnelles) est méconnue par les professionnels. 14 experts-comptables, des 20 ayant répondu, soit 70%, classent les compétences comportementales en premier rang (dont 59% qui privilégient les compétences intrapersonnelles et 41% pour les compétences interpersonnelles).
Ces résultats rejoignent les idées développées dans le présent mémoire, qui considèrent que les compétences comportementales sont fondamentales pour le développement des réseaux relationnels.
§3. Le marketing professionnel
Q5. Les outils de marketing professionnel
123L’animation de séminaires de formation, l’enseignement46%17%0%La publication d’articles, recherches, ouvrages…25%17%12.5%La création d’un site web pour le cabinet4%4%0%Autres …………17%8%0%
Analyse :
Les moyens de marketing professionnel utilisés par les experts-comptables interrogés sont, principalement, l’animation des séminaires de formation, l’enseignement (63%) ainsi que la publication d’articles, recherches et ouvrages (54%).
Les opportunités offertes par les NTCI ne sont pas encore, suffisamment, exploités par les experts-comptables : Six experts-comptables (soit un taux de 25%) disposent d’un site Web.
25% des interrogés n’accordent aucune importance au marketing professionnel.
§4. La gestion des attentes des clients
Q6.
• Génération des attentes chez les clients
• Génération des attentes chez les clients
OuiNonLe professionnel comptable, crée-t-il, par ses dires et comportements, des attentes chez ses clients ?92%8%
• La gestion des attentes des clients
• La gestion des attentes des clients
OuiNonSi oui, est-il tenu de gérer ces attentes (Ne promettre que ce qu’il est capable de tenir et répondre aux attentes qu’ila promises) ?96%4%
• L’influence de la gestion des attentes sur la satisfaction des clients
• L’influence de la gestion des attentes sur la satisfaction des clients
ImportantMoyenFaibleComment jugez-vous l’influence de la gestion desattentes sur la satisfaction des clients ?80%13%7%
• La stratégie de gestion des attentes à adopter
• La stratégie de gestion des attentes à adopter
Choisir les missions pour lesquelles le professionnel développe les compétencesnécessaires.Accepter toutes les missions et répondre à toutes les attentes etexigences des clientsQuelles est la stratégie de réponse aux attentes desclients qui vous semble la plus appropriée ?79%21%
Analyse :
Les réponses à ces questions confirment parfaitement les idées développées dans le présent mémoire. En effet, la majorité des interrogés (92%, soit 22 experts-comptables) constatent que l’expert-comptable crée, par ses dires et comportements, des attentes chez ses clients qu’il est tenu de gérer les signaux qu’il envoie (95%, soit 21 experts- comptables), en raison de leur influence sur la satisfaction des clients (92%, soit 22 experts-comptables).
La majorité des interrogés (79%, soit 19 experts-comptables) confirment que la meilleure stratégie est celle de choisir les missions pour lesquelles le professionnel développe les compétences nécessaires.
Il est à souligner, aussi, que les experts-comptables qui ne croient pas dans la gestion des attentes des clients (2 experts-comptables), soutiennent la stratégie qui consiste à accepter toutes les missions puis répondre à toutes les attentes et exigences des clients.
Les compétences techniques
§1. Maîtrise des missions et des démarches qu’elles impliquent
Q7.
• Les démarches impliquées par les missions
• Les démarches impliquées par les missions
OuiNonPensez-vous que chaque type de mission implique unedémarche spécifique ?100%0%
• Formalisation des démarches
• Formalisation des démarches
OuiNonSi oui, doit-on formaliser les démarches impliquées par les missions ?100%0%
• Outils de formalisation des démarches
• Outils de formalisation des démarches
Parl’établissement d’un manuelPar l’établissementde programmes de travail standardPar l’établissementde programmes de travail par missionSi oui, comment formalisez-vous ces démarches ?37%25%58%
Analyse :
Il ressort des réponses que tous les interrogés confirment que chaque type de mission implique une démarche spécifique devant être formalisée. Quant aux outils de la formalisation, on remarque que la somme des taux dépassent 100%. Ceci s’explique par le fait que 5 experts-comptables, utilisent deux outils (3 experts-comptables utilisent les manuels et les programmes de travail par mission alors que les deux autres utilisent les programmes de travail standard et ceux par mission).
On constate, aussi, que l’outil le plus utilisé consiste à établir des programmes de travail par mission. Ceci s’explique par le fait que la majorité des interrogés (75%) gère des cabinets de petite taille (dont 42% ont moins de 5 ans d’expérience).
§2. Le professionnalisme
Q8.
• Impact du professionnalisme sur la qualité des prestations
• Impact du professionnalisme sur la qualité des prestations
OuiPas tellementNonPensez-vous que la qualité de la prestation de service, rendue par le professionnel, ne dépend pas uniquement du respect de la démarche impliquée par chacune des missions, mais aussi du degré de professionnalisme avec lequel ces démarches sont misesen œuvre ?100%0%0%
• Impact du professionnalisme sur la réussite professionnelle
• Impact du professionnalisme sur la réussite professionnelle
ImportantMoyenneFaibleComment jugez-vous l’impact du professionnalisme sur laréussite professionnelle ?96%4%0%
Analyse :
L’analyse des résultats montre que les experts-comptables interrogés constatent que la qualité des services rendues est influencée par le degré du professionnalisme avec lequel les démarches impliquées par les missions sont mises en œuvre.
• La contribution des diplômes universitaires sur le professionnalisme
• La contribution des diplômes universitaires sur le professionnalisme
OuiIls garantissent une partie de cettecompétenceNonLes diplômes universitaires, garantissent-ils lacompétence nécessaire au professionnalisme?0%88%12%
• Les savoirs à améliorer
• Les savoirs à améliorer
Le savoir-connaissanceLe savoir-faireLe savoir-êtreQuels sont les savoirs qui nécessitent une amélioration du système éducatif ?71%75%79%
• Les d’amélioration des savoirs
• Les d’amélioration des savoirs
123Les séminaires de formation33%63%4%L’encadrement71%25%4%Autres0%8%8%
Analyse :
Les réponses montrent que les experts-comptables interrogés confirment ce qui a été développé dans le présent mémoire, en ce qui concerne la contribution des études universitaires dans le développement du professionnalisme des nouveaux diplômés. 21 experts-comptables (soit un taux de 88%) confirment que les diplômes ne garantissent qu’une partie de cette compétence et que les savoirs acquis lors du cursus universitaire doivent être développés, principalement, par l’encadrement lors de l’exécution des missions.
Le développement du professionnalisme par l’encadrement doit être soutenu par des actions de formation.
• Le modèle d’exercice professionnel
• Le modèle d’exercice professionnel
Le modèle du clientLe modèle de responsabilitéLe modèle de professionnalismeQuel modèle adoptez-vous dans l’acceptationdes missions ?0%42%58%
Analyse :
Les positions des experts-comptables, quant au modèle d’exercice professionnel à adopter, sont partagées entre le modèle de responsabilité (dans ce modèle, la qualité, c’est ce qui satisfait le client sans compromettre le professionnel et engager sa responsabilité) et le modèle du professionnalisme. Ceci peut s’expliquer, probablement, par une confusion entre les modèles.
De même, l’analyse des taux, montre un consensus quant à la non adoption du modèle du client.
§3. Le jugement professionnel
Q9.
• La place du jugement professionnel dans les activités de l’expert- comptable
• La place du jugement professionnel dans les activités de l’expert- comptable
ImportanteMoyenneFaibleQuelle place occupe le jugement professionnel dans les activitésde l’expert-comptable ?71%29%0%
• A quoi est due cette importance ?
• A quoi est due cette importance ?
123Le caractère général des normes comptables25%56%6%Les normes comptables sont sujettes d’interprétation12%37%31%La complexité des situations et la non adaptation des normes75%7%12%
Analyse :
Les réponses montrent que les experts-comptables accordent une grande importance aux aptitudes à formuler des jugements professionnels de qualité en raison de la complexité des situations.
• Les exigences d’un bon jugement professionnel
• Les exigences d’un bon jugement professionnel
123Le choix des règles de conduite (règles déontologiques et éthiques)27%59%14%Les compétences techniques36%32%32%Les qualités comportementales du professionnel (professionnalisme,confidentialité, anticipation …)37%9%54%
Analyse :
Il ressort de l’analyse des réponses, l’absence d’une convergence sur un classement déterminé des exigences proposées.
La gestion des risques
§1. Les risques professionnels
Q10.
• L’ampleur des risques professionnels sur la profession comptable
• L’ampleur des risques professionnels sur la profession comptable
Très importanteImportanteMoyenneFaibleQuelle est l’ampleur des risques professionnels dans la profession comptable ?75%15%10%0%
• Les origines de cette ampleur
• Les origines de cette ampleur
1234La nature de la demande prédominante du marché17%12%12%42%L’instabilité des interprétations des lois et normes33%17%21%12%L’importance des jugements professionnels12%33%30%8%La méconnaissance des difficultés de l’exercice de la profession par les corps institutionnels21%21%20%21%
Analyse :
Les experts-comptables interrogés affirment la grande ampleur des risques dans la profession comptable (18 réponses des 20 acceptée soit un taux de 90%, dont 75% octroyant une ampleur très importante et 15% une ampleur importante).
Néanmoins, on constate l’absence d’un classement claire des origines de cette ampleur importante des risques professionnels.
On remarque, aussi, une sous-estimation de l’importance des risques générés par la nature de la demande prédominante du marché.
§2. La gestion des risques professionnels
Q11.
• L’impact de la gestion des risques sur l’acceptation des missions
• L’impact de la gestion des risques sur l’acceptation des missions
OuiPas tellementNonLa gestion des risques influence-t-elle l’acceptation des missions ?92%8%0%
Analyse :
Les statistiques montrent que les experts-comptables (92%) tiennent compte des risques professionnels, lors de l’acceptation des missions.
• Les avantages de la gestion des risques
• Les avantages de la gestion des risques
savoir dire nonréduire l’effet des risquessaisir les opportunitéséviter lesrisques et saisir les opportunitésLa gestion des risques permet de :63%17%0%67%
Analyse :
Il ressort des réponses que la majorité des experts-comptables confirment que la gestion des risques permet de savoir dire non, lorsque les circonstances l’imposent (63%) d’une part, et d’éviter les risques et saisir les opportunités (67%), d’autre part.
• La formalisation du processus de gestion des risques
• La formalisation du processus de gestion des risques
OuiNonLa gestion des risques liés aux missions est-elle formaliséeau sein de votre cabinet ?12%88%
Analyse :
L’étude des statistiques montre que la majorité des experts-comptables ne disposent pas d’un processus de gestion des risques formalisé, et ce malgré leur conscience de l’importance de la gestion des risques.
Une analyse plus approfondie montre que les experts-comptables disposant d’un processus formalisé de gestion des risques appartiennent à des cabinets de grande taille.
• Les risques professionnels par missions
• Les risques professionnels par missions
De 0 à 4De 5 à 7De 8 à 10Les missions d’assistance45%50%5%Les missions de certification5%40%55%Les missions de consulting60%35%5%
Analyse :
Les statistiques montrent, clairement, que les missions de certification génèrent beaucoup plus de risques que les autres missions. 95% des experts-comptables affirment que ces missions génèrent des risques élevés, voire même, très élevés (notons que 6 experts-comptables ont attribué la note de 10/10).
L’étude de la composition des portefeuilles clients des répondants montre que pour 57% d’eux, les missions de certification se placent en premier rang avec plus de 50%.
Ce constat est-il dû à la nature de la demande ou bien au niveau de l’appétence pour le risque accepté par ces experts-comptables.
On constate aussi que les missions d’assistance et de consulting génèrent, selon les réponses, des risques, principalement, moyens.
Notons que deux experts-comptables croient que les risques générés ne dépendent pas de la nature de la mission uniquement, mais aussi de son contexte.
• L’appétence pour le risque
• L’appétence pour le risque
ElevéeMoyenneFaibleQuelle appétence pour le risque que doit adopter le professionnel comptable ?30%57%13%
Analyse :
L’appétence pour le risque acceptée par les experts-comptables interrogés explique, en partie, la prédominance des missions de certification dans la composition de leurs portefeuilles clients. En effet, 87% des répondants acceptent un niveau de risques moyen, voire même, élevé (30%), alors que 13%, uniquement, n’acceptent qu’un niveau faible de risques.
Peut-on expliquer ces résultats par le fait que les experts-comptables :
• Ne sont pas, vraiment, conscients des risques générés par la profession, et/ou
• Ne gèrent pas, réellement, les risques professionnels, et/ou
• Acceptent le risque, et/ou
• Subissent les défaillances du marché.
Résultats de la Troisième partie : Les compétences nécessaires pour gestion interne du cabinet.
Les compétences comportementales de management du cabinet
§1. Le modèle comportemental de l’expert-comptable
Q12.
• L’impact des comportements sur la performance du cabinet
• L’impact des comportements sur la performance du cabinet
ElevéeMoyenneFaibleQuelle est, selon vous, l’importance descomportements sur la performance du cabinet ?88%12%0%
• L’impact des comportements de l’expert-comptable sur ceux de ces collaborateurs
• L’impact des comportements de l’expert-comptable sur ceux de ces collaborateurs
OuiPas tellementNonLes comportements du chef du cabinet on-t-ils une influence sur ceux des collaborateurs ?100%0%0%
• Le modèle de l’expert-comptable
• Le modèle de l’expert-comptable
L’entraîneurL’autoritaireAutresQuel type de professionnel est le mieux adapté à la profession comptable ?79%21%0%
Analyse :
Il ressort des réponses que les experts-comptables interrogés confirment l’impact élevé des comportements des membres du cabinet (déjà énoncé dans le présent mémoire) sur la performance globale, ainsi que l’effet contagieux des comportements de l’expert- comptable sur ces collaborateurs.
De même, les réponses montrent que le meilleur modèle du professionnel adapté à la profession d’expert-comptable est celui de l’entraîneur.
• La nécessité de développer un modèle comportemental au sein du cabinet
• La nécessité de développer un modèle comportemental au sein du cabinet
OuiPas tellementNonPensez-vous qu’on peut grandir de taille sans développer, au préalable, un modèlecomportemental adéquat au sein du cabinet ?29%21%50%
Analyse :
L’analyse des réponses montre une divergence partielle par rapport à celles des questions précédentes. En effet, malgré l’unanimité des réponses sur l’impact des comportements des collaborateurs sur la performance du cabinet (100%), les avis des experts-comptables interrogés sont partagés, entre la nécessité de développer un modèle comportemental au sein du cabinet, comme préalable pour grandir (50%), et la possibilité de grandir sans développer un tel modèle (29% + 21%).
§2. Le contrôle des comportements des collaborateurs
Q13.
• L’intégration des comportements dans les critères de recrutement
• L’intégration des comportements dans les critères de recrutement
OuiNonEst-il nécessaire d’intégrer les compétences comportementales dans les critères de recrutement ?92%8%
• Les recrutements-erreurs
• Les recrutements-erreurs
OuiRarementNonArrive-t-il qu’on se trompe sur les qualités comportementales des candidats ?67%33%0%
• Les outils permettant d’éviter les recrutements-erreurs
• Les outils permettant d’éviter les recrutements-erreurs
123La détermination du coefficient comportemental du poste18%27%55%Le test psycho-technique23%54%23%Maîtriser la logique des comportements59%19%22%
Analyse :
L’intégration des compétences comportementales dans les critères de recrutement est nécessaire selon, presque la totalité des répondants (92%), en raison de l’importance des comportements sur la performance du cabinet et dans la mesure où, il arrive qu’on peut se tromper sur les qualités comportementales des recrues (67%).
Eviter le risque des recrutements-erreurs implique, d’abord, la maîtrise de la logique des comportements, ensuite la soumission des candidats à un test psychotechnique permettant de comparer leur compétence comportementale au coefficient comportemental du poste.
• Le développement des comportements des collaborateurs
• Le développement des comportements des collaborateurs
OuiPas tellementNonDoit-on veiller à l’amélioration des compétencescomportementales des collaborateurs ?96%0%4%
Analyse :
Les réponses convergent avec l’idée générale stipulant que les comportements des individus peuvent s’améliorés. D’où l’obligation de veiller au développement des comportements des collaborateurs (96%).
§3. Le travail en équipe
Q14.
• L’importance du travail en équipe
• L’importance du travail en équipe
Très importantImportantImportance moyenneAucune importanceComment jugez-vous l’importance du travail enéquipe sur la performance du cabinet ?50%50%0%0%
• L’impact des comportements sur le travail en équipe
• L’impact des comportements sur le travail en équipe
OuiPas tellementNonLe travail en équipe dépend-il des qualités personnelles de tous les membres du cabinet ?92%8%0%
Analyse :
Les experts-comptables confirment l’importance du travail en équipe pour la performance du cabinet. En effet, notre époque est caractérisée par l’augmentation du volume et de la complexité des connaissances nécessaires pour l’accomplissement des missions ainsi que par le changement du type d’intelligence passant de l’intelligence individuelle à l’intelligence collective.
Toutefois, le travail en équipe est exigeant en termes de qualités personnelles (comportementales), dans la mesure où il implique la maîtrise des compétences permettant de travailler avec les autres.
Les compétences techniques de conduite des missions
§1. Les méthodes de travail
Q15.
• Formalisation des méthodes de travail
• Formalisation des méthodes de travail
OuiNonLes méthodes de travail sont-elles formalisées ausein de votre cabinet ?63%37%
• L’importance accordée à la qualité des prestations rendues
• L’importance accordée à la qualité des prestations rendues
ElevéeMoyenneFaibleQuelle importance accordez-vous à la qualité aveclaquelle les dossiers de travail sont préparés ?100%0%0%
Analyse :
On constate que la majorité des experts-comptables interrogés disposent de méthodes de travail formalisées.
§2. L’encadrement des collaborateurs
Q16.
• L’affectation des missions
• L’affectation des missions
OuiNonL’affectation des missions dépend-elle des compétences techniques des collaborateurs ?100%0%
• L’évaluation des performances
• L’évaluation des performances
OuiNonProcédez-vous à l’évaluation des performances de vos collaborateurs ?100%0%
• Procédures d’évaluation
• Procédures d’évaluation
OuiNonLa procédure d’évaluation est-elle formalisée au sein de votre cabinet ?41%59%
Analyse :
On remarque que la totalité des répondants tiennent compte des compétences techniques des collaborateurs ainsi que des exigences des tâches lors de l’affectation des travaux aux membres du cabinet, d’une part et contrôlent et évaluent les performances afin de détecter les défaillances et apporter les actions correctrices au bon moment, d’autre part.
Toutefois, on remarque que la formalisation des procédures d’évaluation des performances n’est pas encore généralisée par tous les cabinets d’expertise-comptable.
§2. Le contrôle qualité
Q17.
• Les outils de revue de la qualité
• Les outils de revue de la qualité
1234La supervision directe67%17%0%0%La revue indépendante17%42%12%0%L’audit qualité0%0%30%30%La prise en compte du feed-back externe (clients, divers contrôles, etc…)0%12%25%25%
Analyse :
On remarque que les outils de revue de la qualité les plus utilisés au sein des cabinets d’expertise-comptable sont constitués de la supervision directe ainsi que de la revue indépendante des travaux.
• La critique constructive
• La critique constructive
ToujoursOui, si elle obéit à une démarche bien déterminéeNonLa formulation des critiques contribue-t-elle à l’amélioration de la qualité des prestations rendues ?37%63%0%
Analyse :
Il ressort de l’analyse des réponses que les experts-comptables interrogés accordent une importance particulière à la contribution de la critique constructive dans l’amélioration de la qualité des prestations rendues. Toutefois, une partie des interrogés (37%) méconnaissent l’importance de suivre une démarche logique dans la formulation des critiques afin d’atteindre les objectifs souhaités.
La communication sur les risques
§1. Le développement d’une culture du risque
Q18.
• Les savoirs des nouveaux diplômés
• Les savoirs des nouveaux diplômés
OuiNonLes nouveaux diplômés sont-ils bien informés surles risques ?17%83%
Analyse :
L’analyse des réponses montre que la majorité des répondants (83%) affirme que les nouveaux diplômés ne sont pas bien informés sur les risques professionnels. Ce manque d’information est dû, principalement, à l’absence de l’intégration de la gestion des risques professionnels dans les programmes universitaires.
• L’intégration des collaborateurs dans le processus de gestion des risques
• L’intégration des collaborateurs dans le processus de gestion des risques
OuiNon, la gestion des risquesest la responsabilité du chef du cabinet uniquementLes collaborateurs doivent-ils être intégrés dans leprocessus de gestion des risques ?71%25%
Analyse :
La gestion des risques est un processus itératif qui s’intègre à tous les niveaux hiérarchiques ainsi qu’à toutes les activités du cabinet.
• L’information des collaborateurs sur la politique de gestion des risques
• L’information des collaborateurs sur la politique de gestion des risques
OuiCertains collaborateurs uniquementNonVos collaborateurs sont-ils informés de la politique de gestion des risques du cabinet38%50%8%
Analyse :
Malgré l’importance de l’intégration des collaborateurs aux processus de gestion des risques, on remarque que la moitié des experts-comptables interrogés ne font participer que certains de leurs collaborateurs aux activités de gestion des risques.
§2. Les outils de communication sur les risques
Q19. Les moyens de communication sur les risques utilisés
La documentationLacommunication directeQuels sont les moyens de communication sur lesrisques que vous utilisez au sein de votre cabinet ?12%80%
Analyse :
L’outil de communication sur les risques le plus utilisé par les experts-comptables interrogés (80%) est constitué de la communication directe. En effet, la documentation n’est utilisée que par trois cabinets, dont deux cabinets sont de grande taille.
Aussi, peut-on expliquer la prédominance de la communication directe par :
• Le coût de la documentation, et/ou
• L’absence d’une véritable communication sur les risques ; et/ou
• L’intégration récente de la gestion des risques dans la stratégie des experts- comptables.
§3. Les outils de contrôle du processus de gestion des risques
Q20. Les outils de contrôle du processus de gestion des risques utilisés
Les contrôles préventifsLes contrôles détectifsDans le cas où une procédure de gestion des risques est mise en place au sein de votre cabinet :Quels sont les outils de contrôle de la bonne mise en œuvre de la politique de gestion des risques que vous utilisez ?54%16%
Analyse :
L’analyse des réponses montre que :
• 30% des experts-comptables interrogés ne disposent pas d’un processus de gestion des risques mis en place au sein du cabinet ;
• 62% des experts-comptables n’utilisent qu’un seul type de contrôles, particulièrement, les contrôles préventifs (46%) ; et
• 8% des experts-comptables (soit deux experts-comptables appartenant à des cabinets de grande taille) utilisent les deux types de contrôle.
§4. Le pilotage du processus de gestion des risques
Q21. L’actualisation des activités de gestion des risques
OuiNonDans le cas où une procédure de gestion des risques est mise en place au sein de votre cabinet :Procédez-vous à la mise à jour continue du processus de gestiondes risques (identification et information sur les nouveaux risques, la mise à jour des procédures de contrôle, etc…) ?41%59%
Analyse :
L’analyse des réponses montre que plus que la moitié des répondants disposant d’un processus de gestion des risques mis en place au sein de leurs cabinets ne procède pas à la mise à jour de ses activités.
S O M M A I R E G E N E R A L
Dédicaces Erreur ! Signet non défini.
Remerciements Erreur ! Signet non défini.
Sommaire général 1
Abréviations 4
Introduction 5
Première Partie : Compétences Pour Développer Une Clientèle Fructueuse 11
Chapitre 1 – Compétences relationnelles et comportementales 13
Section 1 : Choix des règles de conduite dans la recherche d’une clientèle cible 14
Sous-section 1 : Définir le champ d’intervention du cabinet (définir les missions) 16
Sous-section 2 : Définir les valeurs et exigences du cabinet 21
Sous-section 3 : La sélection et les rapports avec les clients 24
Section 2 : Développer un réseau relationnel efficace et se doter des compétences de
marketing professionnel 26
Sous-section 1 : Importance des réseaux relationnels 27
Sous-section 2 : Les compétences nécessaires pour développer un réseau relationnel 30
Sous-section 3 : Le marketing professionnel 34
Section 3 : Gestion des attentes des clients 36
Sous-section 1 : Intégration de la satisfaction des clients dans la politique générale du
cabinet 37
Sous-section 2 : Identifier les attentes des clients 38
Sous-section 3 : Répondre aux attentes des clients 41
Chapitre 2 : Compétences techniques 42
Section 1 : Maîtrise des missions et des démarches qu’elles impliquent 42
Sous-section 1 : Les missions d’assistance 43
Sous-section 2 : Les missions de certification 45
Sous-section 3 : Les missions de consulting 47
Section 2 : Le professionnalisme 50
Sous-section 1 : Définition et importance du professionnalisme 50
Sous-section 2 : Les exigences du professionnalisme 52
Sous-section 3 : Intégration du professionnalisme dans la culture du cabinet 55
Section 3 : Le développement des aptitudes au jugement professionnel 57
Sous-section 1 : L’importance du jugement pour la profession comptable 58
Sous-section 2 : Les qualités caractéristiques du jugement professionnel 59
Sous-section 3 : La démarche nécessaire pour la formulation d’un jugement professionnel
de qualité 62
Chapitre 3 : Gestion des risques liés aux missions 65
Section 1 : Généralités sur la gestion des risques 66
Sous-section 1 : Notions clés et concepts fondamentaux de la gestion des risques 66
Sous-section 2 : Les éléments du dispositif de gestion des risques 69
Sous-section 3 : L’impératif d’imprégner de façon raisonnable les activités du cabinet par
les exigences de la maîtrise et de la gestion des risques 71
Section 2 : Les risques professionnels 74
Sous-section 1 : La responsabilité de l’expert-comptable 74
Sous-section 1 : Les risques liés au marché 77
Sous-section 3 : Les risques liés à l’appréciation des travaux accomplis par l’expert-
comptable 79
Section 3 : La réponse aux risques identifiés 81
Sous-section 1 : L’évaluation des risques identifiés. 82
Sous-section 2 : L’appétence pour le risque 84
Sous-section 3 : La réponse aux risques 86
Deuxième Partie : Compétences De Gestion Interne 90
Chapitre 1 – Compétences comportementales de management du cabinet 91
Section 1 : Le modèle comportemental de l’expert-comptable 92
Sous-section 1. L’intégration des comportements dans la politique générale du cabinet 93
Sous-section 2. Le seuil critique de compétences comportementales 95
Sous-section 3. Le modèle de résonance de l’expert-comptable 98
Section 2 : Gestion des comportements des collaborateurs 100
Sous-section 1. Définition et communication de la politique, des valeurs et exigences 101
Sous-section 2. Contrôle des comportements des collaborateurs et gestion des conflits comportementaux 104
Sous-section 3. La formation aux compétences comportementales 105
Section 3 : Le travail en équipe et l’intelligence collective 108
Sous-section 1. L’importance du travail en équipe et de l’intelligence collective 109
Sous-section 2. Les caractères distinctifs d’une équipe efficace 110
Sous-section 3. Les exigences comportementales du travail en équipe 113
Chapitre 2 –Compétences Techniques Pour La Conduite Des Missions 114
Section 1 : Les méthodes de travail 115
Sous-section 1. Définition des méthodes de travail par type de mission 115
Sous-section 2. Documentation des travaux 118
Sous-section 3. Contrôle de la bonne application des méthodes de travail 120
Section 2 : L’encadrement des collaborateurs 122
Sous-section 1. Planifier et gérer les missions 122
Sous-section 2. Les qualifications techniques 124
Sous-section 3. Evaluation des performances 126
Section 3 : Le contrôle qualité 129
Sous-section 1. La supervision des travaux et la revue de la qualité. 130
Sous-section 2. Prise en compte du feed-back externe 131
Sous-section 3. La critique constructive 133
Chapitre 3 – Communication Sur Les Risques 136
Section 1 : Le développement d’une culture de gestion des risques 137
Sous-section 1 : Information des collaborateurs sur l’importance de la gestion des risques 138
Sous-section 2 : L’intégration du personnel dans le processus de gestion des risques 140
Sous-section 3 : Information sur la politique choisie pour gérer les risques 142
Section 2 : Les outils de communication sur la de gestion des risques 145
Sous-section 1 : La documentation 145
Sous-section 2 : Concertation et ouverture de canaux d’accès aux plus hauts responsables 148
Sous-section 3 : La tenue de réunions régulières 150
Section 3 : Contrôle et Pilotage du processus de gestion des risques 152
Sous-section 1 : Généralités sur les activités de contrôle 153
Sous-section 2 : Les politiques et procédures de contrôle 155
Sous-section 3 : Les activités de pilotage 156
Conclusion. 159
Annexe : Enquête 164
• Présentation générale de l’enquête 164Le champ de l’enquête et caractéristiques de l’échantillon 164Présentation détaillée du contenu du questionnaire 165
• Le champ de l’enquête et caractéristiques de l’échantillon 164
• Présentation détaillée du contenu du questionnaire 165
Première partie du questionnaire : Facteurs de la réussite dans l’exercice libéral de la
profession d’expert-comptable 165
Deuxième partie du questionnaire : Compétences nécessaires pour le développement
d’une clientèle fructueuse 165
Troisième partie du questionnaire : Compétences nécessaires pour la gestion interne du
cabinet 166
Contenu du questionnaire 166
• Analyse des reponses reçues 174Synthèse générale des résultats de l’enquête 174Résultats détaillés de l’enquête 175
• Synthèse générale des résultats de l’enquête 174
• Résultats détaillés de l’enquête 175
Résultats de la première partie : Question générale 175
Résultats de la deuxième partie : Les compétences nécessaires pour le développement
d’une clientèle fructueuse. 176
Bibliographie 192
A B R E V I A T I O N S
CDP ——————— Code des Devoirs Professionnels de l’Ordre des Experts Comptables de Tunisie
CDPF Code des Droits et Procédures Fiscaux
COC Code des Obligations et des Contrats
COSO ——————- Commitee of Sponsoring Organizations of the Treadway Commission
COSO II —————- Cadre de référence de la gestion des risques du COSO (COSO II)
CSC Code des Sociétés Commerciales
OECT Ordre des Experts Comptables de Tunisie
NTCI Nouvelles Technologie de l’Information et de la Communication
ICCA L’institut Canadien des Comptables Agréés
IFAC The International Federation of Accountants
ICAEW The institute of Chartered Accountants in England and Wales.
ISA International Standard on Auditing
ISO International Organization of standardization
RCF Revue Comptable et Financière
TFP Taxe de Formation Professionnelle
B I B L I O G R A P H I E
• Ouvrages Barthelemy (B.), « Gestion des risques : méthode d’optimisation globale », Editions d’organisation, 2000.Bourion (C.), « La logique émotionnelle, Editions ESKA, 2001.Brunel (M-L) & Cynthia, les conceptions de l’empathie avant, pendant et après Rogers, Carrierologie,.De Mareschal (G.), « La cartographie des risques », AFNOR, 2003.Dujardin (Ph.), « Du groupe au réseau », CNRS, 2001.Falise (M.), Regnier (J.), « Repères pour une éthique d’entreprise », Centre d’éthique contemporaine, 1992.Goleman (D.), « L’intelligence émotionnelle », Editions J’ai lu, 1997.Goleman (D.), « L’intelligence émotionnelle –2 », Editions J’ai lu, 2000.Goleman (D.), BOYATZIS (R.) & McKee (A.), « L’intelligence émotionnelle au travail », Village Mondial, 2005.IFACI, PriceWaterhouseCoopers & Landwell & associés, « Le management des risques, cadre de référence – Techniques d’application, COSO II Report », Editions d’organisation, 2005.Lefébure (R.) & Venturi (G.), « La gestion de la relation client », Groupe Eyrolles, 2004.Maddoli-Restoux (A-C), « Responsabilité de l’expert-comptable Risques judiciaires et préventions », Editions LITEC, 1998.Madinier (H.), « Documentation de projet et gestion des connaissances : les liens », le centre de compétences HEG, 2006.Marcon (C.) & Moinet (N.), « Développer et activer vos réseaux relationnels », Les éditions DUNOD, 2004.McGrawhill (C.), « L’analyse du risque : une approche conceptuelle et systémique », Dubois, 1996.MIKOL (A.), « Principes d’éthique professionnelle des auditeurs », Les cahiers de recherche ESCP, 1993.Morin (E.), « La méthode. La nature de la nature », Le seuil.Moussé (J.), « Fondements d’une éthique professionnelle », Les éditions d’organisation, 1989.Pierson (M-L.), « L’intelligence relationnelle », Editions Organisation, 2004.Rey (A.), « Dictionnaire historique de la langue française », Tome 3, Le Robert.Rolland (G.), Où sont les leaders ? Editions d’organisation, 2004.Yaïch (A.), « Normes, pratiques et procédures de contrôle interne », 1996.Yaïch (A.), « Ethique et compétences comptables », Editions Raouf YAÏCH, 2003.Yaïch (A.), « L’intelligence comportementale comptable », Les éditions Raouf Yaïch, 2005.Yaïch (A.), « L’impôt sur les sociétés 2007 », Les éditions Raouf Yaïch, 2007.
• Barthelemy (B.), « Gestion des risques : méthode d’optimisation globale », Editions d’organisation, 2000.
• Bourion (C.), « La logique émotionnelle, Editions ESKA, 2001.
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• De Mareschal (G.), « La cartographie des risques », AFNOR, 2003.
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• IFACI, PriceWaterhouseCoopers & Landwell & associés, « Le management des risques, cadre de référence – Techniques d’application, COSO II Report », Editions d’organisation, 2005.
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• Lois, Arretes, Codes, Normes Loi n° 88-108 du 18 août 1988, portant refonte de la législation relative à la profession d’expert-comptable.Loi n°88-145 du 31/12/1988 portant loi de finances pour la gestion 1989 telle que modifiée par la loi n° 90-111 du 31/12/1990 et la loi n° 93-125 du 27/12/1993.Arrêté des ministres des finances et du tourisme, du commerce et de l’artisanat du 28 février 2003, portant homologation du barème des honoraires des auditeurs des comptes des entreprises de Tunisie tel que modifié par l’arrêté des ministres des finances et du tourisme, du commerce et de l’artisanat du 24 septembre 2003.Cadre conceptuel de la comptabilité financière.Code des Obligations et des Contrats.Code pénalCode des Droits et Procédures Fiscaux.Code des Sociétés Commerciales.CDP de l’OECT.Code d’éthique de l’OECT.Code d’éthique de l’IFAC.CDP de France.Charte déontologique de création de site Internet par les experts comptables de France.Norme ISA 200 « Objectifs et principes généraux en matière d’audit des états financiers » ;Norme ISA 300 « Planification d’une mission d’audit financier » ;Norme ISA 315 « Connaissance de l’entité et de son environnement et évaluation du risque d’anomalies significatives » ;Norme ISA 500 « Eléments probants » ;Norme ISA 700 « Rapport de l’auditeur (indépendant) sur un jeu complet d’états financiers à caractère général ».
• Loi n° 88-108 du 18 août 1988, portant refonte de la législation relative à la profession d’expert-comptable.
• Loi n°88-145 du 31/12/1988 portant loi de finances pour la gestion 1989 telle que modifiée par la loi n° 90-111 du 31/12/1990 et la loi n° 93-125 du 27/12/1993.
• Arrêté des ministres des finances et du tourisme, du commerce et de l’artisanat du 28 février 2003, portant homologation du barème des honoraires des auditeurs des comptes des entreprises de Tunisie tel que modifié par l’arrêté des ministres des finances et du tourisme, du commerce et de l’artisanat du 24 septembre 2003.
• Cadre conceptuel de la comptabilité financière.
• Code des Obligations et des Contrats.
• Code pénal
• Code des Droits et Procédures Fiscaux.
• Code des Sociétés Commerciales.
• CDP de l’OECT.
• Code d’éthique de l’OECT.
• Code d’éthique de l’IFAC.
• CDP de France.
• Charte déontologique de création de site Internet par les experts comptables de France.
• Norme ISA 200 « Objectifs et principes généraux en matière d’audit des états financiers » ;
• Norme ISA 300 « Planification d’une mission d’audit financier » ;
• Norme ISA 315 « Connaissance de l’entité et de son environnement et évaluation du risque d’anomalies significatives » ;
• Norme ISA 500 « Eléments probants » ;
• Norme ISA 700 « Rapport de l’auditeur (indépendant) sur un jeu complet d’états financiers à caractère général ».
• Theses et MemoiresHerrbach (O.), « Le comportement au travail des collaborateurs de cabinets d’audit financier : une approche par le contrat psychologique », thèse de doctorat en Sciences de Gestion, université des sciences sociales, Toulouse 1, 2000.Rigaud (E.), « Définition et opérationnalisation d’une organisation virtuelle à base
• Herrbach (O.), « Le comportement au travail des collaborateurs de cabinets d’audit financier : une approche par le contrat psychologique », thèse de doctorat en Sciences de Gestion, université des sciences sociales, Toulouse 1, 2000.
• Rigaud (E.), « Définition et opérationnalisation d’une organisation virtuelle à base
d’agents pour contribuer à de meilleures pratiques de gestion des risques dans les PME-PMI », Thèse de doctorat, L’école des Mines, Paris, 2003.
• Amous (K.), « Le jugement professionnel de l’expert-comptable dans les missions
• Amous (K.), « Le jugement professionnel de l’expert-comptable dans les missions
liées aux états financiers », Mémoire pour de l’obtention du diplôme d’expertise comptable, Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de Sfax, 2002-2003.
• Ammous (Kh.), « La formation au jugement professionnel dans l’enseignement de la
• Ammous (Kh.), « La formation au jugement professionnel dans l’enseignement de la
comptabilité : approche théorique et application au cas tunisien », Mémoire de mastère en comptabilité, Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de Sfax, 2003-2004.
• Choyakh (F.), « La gestion du contrôle fiscal et le rôle de l’expert-comptable »,
• Choyakh (F.), « La gestion du contrôle fiscal et le rôle de l’expert-comptable »,
Mémoire pour de l’obtention du diplôme d’expertise comptable, Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de Sfax, 2005-2006.
• Kammoun (J.), « Gestion et cartographie des risques », mémoire de fin d’études,
• Kammoun (J.), « Gestion et cartographie des risques », mémoire de fin d’études,
Ecole Supérieure de Commerce de Sfax, 2005-2006.
• Yaïch (N.) & Ben Abdelhamid (M.), « Le seuil critique d’intelligence comportementale des collaborateurs des cabinets d’expertise comptables », mémoire de fin d’études, Ecole Supérieure de Commerce de Sfax, 2004-2005.
• Yaïch (N.) & Ben Abdelhamid (M.), « Le seuil critique d’intelligence comportementale des collaborateurs des cabinets d’expertise comptables », mémoire de fin d’études, Ecole Supérieure de Commerce de Sfax, 2004-2005.
• RevuesAudit Committee News, n° 9, KPMG’S Audit Commitee Institute, 2005.La Revue IFEC, n° 228, Institut des Experts-Comptables et des Commissaires Aux Comptes, 2004.RCF n° 60, La Revue Comptable et Financière, Deuxième trimestre 2003.RCF n° 64, La Revue Comptable et Financière, Deuxième trimestre 2004.RCF n° 66, La Revue Comptable et Financière, Quatrième trimestre 2004.RCF n° 74, La Revue Comptable et Financière, Quatrième trimestre 2006.
• Audit Committee News, n° 9, KPMG’S Audit Commitee Institute, 2005.
• La Revue IFEC, n° 228, Institut des Experts-Comptables et des Commissaires Aux Comptes, 2004.
• RCF n° 60, La Revue Comptable et Financière, Deuxième trimestre 2003.
• RCF n° 64, La Revue Comptable et Financière, Deuxième trimestre 2004.
• RCF n° 66, La Revue Comptable et Financière, Quatrième trimestre 2004.
• RCF n° 74, La Revue Comptable et Financière, Quatrième trimestre 2006.
• ArticlesLazorthes (G.), « Connais-toi toi-même », Actualités de l’injonction de SOCRATE.Beaurain (P.), Frotiee (P.) & Towhill (B.), « Nouvelles perspectives pour les entreprises », www.lesechos.fr, visité en mars 2005.Boutellier (R.) & Kalia (V.), « La gestion des risque à la croisée des chemins », Audit Committee News, n° 9, 2005.Lindsay (H.), « Les 20 questions que les administrateurs doivent se poser sur les risques de l’entreprise », ICCA, 2003.Mayer (N.) & Humbert (J-P.), « La gestion des risques pour les systèmes d’information », www.cases.public.lu, visité en janvier 2007.Voirol (C.), « Les compétences professionnelles globales », www.psynergie.ch, visité en avril 2006.Audétat (M-C) & Voirol (C.), « Description et évaluation du poste », www.psynergie.ch, visité en avril 2006.Heyworth (F.), « Les concepts de qualité », www.ecml.at, visité en juin 2006.Santé Canada, « Principes fondamentaux en gestion du risque », http://www.hc- sc.gc.ca, visité en janvier 2007.Yaïch (A.), « Culture d’entreprise », La RCF n° 60, 2003.Yaïch (A.), « Les éléments de la compétence comptable », La lettre comptable n° 4, 2005.Yaïch (A.), « La perception du risque », La lettre comptable, n° 6, 2006.Yaïch (A.), et Abid (O.), « La revue sommaire indépendante des états financiers dans les missions de tenue et d’assistance comptable », La revue comptable et financière n° 64, 2004.
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