Le dépistage des escarres pédiatriques est crucial pour améliorer les interventions infirmières dans la prévention des escarres chez les enfants hospitalisés. Cette étude révèle des lacunes dans les mesures préventives et souligne l’importance d’un dépistage précoce pour réduire les risques.
CHAPITRE TROISIEME :
PRESENTATIONS, INTERPRETATIONS ET ANALYSE DES DONNEES
3.1 PRESENTATIONS ET INTERPRETATIONS DES DONNEES.
3.1.1 Identification des infirmiers
N° | SEXE | F.O | % |
---|---|---|---|
01 | M | 5 | 25 |
02 | F | 15 | 75 |
TOTAL | 20 | 100 |
Tableau n° 1 : Répartitions des enquêtés selon le sexe
Les résultats consignés dans le tableau 1, nous remarquons que le sexe féminin est plus représentatifs de nos enquêtés avec 75 % où 25% de sexe masculin
N° | Statut matrimonial | F.O | % |
---|---|---|---|
01 | Marié | 8 | 40 |
2 | Célibataire | 5 | 25 |
3 | Union libre | 4 | 20 |
4 | 2 | 10 | |
5 | Séparé | 1 | 5 |
TOTAL | 20 | 100 |
Tableau n° 2 : Répartitions des enquêtés selon le statut matrimonial
Il ressort de ce tableau 2, 40 % des infirmiers sont mariés, suivi de 25 % qui sont célibataire, 20 % des infirmiers qui sont en union libre, 10 % divorcé et 5 % qui sont séparé.
N° | Niveau d’étude | F.O | % |
---|---|---|---|
01 | Infirmier A3 | 1 | 5 |
02 | Infirmier A2 | 8 | 40 |
03 | Infirmier A1 | 8 | 40 |
04 | Infirmier L2 | 3 | 15 |
Total | 20 | 100 |
Tableau n° 3 : Répartition des enquêtés selon le niveau d’étude
Dans ce tableau, la majorité des infirmiers sont A2 et A1 soit 40 %, suivi de 15 % de infirmiers L2 et 5 % des infirmiers A3
N° | Anciennetés | F.O | % |
---|---|---|---|
01 | 30 à 40 ans | 8 | 40 |
02 | 40 à 50 ans | 6 | 30 |
03 | 50 ans plus | 6 | 30 |
Total | 20 | 100 |
Tableau n° 4 : Répartition des enquêtés selon leur anciennetés
Le résultat consigné dans ce tableau 4, montre que 40 % des infirmiers ont de l’anciennetés de 30 à 40 ans suivi de 30 % soit 6 infirmiers qui ont 40 à 50 ans et de 50 ans plus
N° | Les intervention de dépistage | F.A | F.O | % |
---|---|---|---|---|
1 | Etat générale | 20 | 6 | 30 |
2 | Présence d’une masse | 20 | 4 | 20 |
3 | Modification de la peau | 20 | 3 | 15 |
4 | Incontinence | 20 | 3 | 15 |
5 | Présence de maladie chronique | 20 | 1 | 5 |
6 | Réduction de la mobilité | 20 | 4 | 20 |
7 | Problème de soins personnels | 20 | 3 | 15 |
8 | Mauvaise état nutritionnel | 20 | 8 | 40 |
9 | Trouble de la sensibilité | 20 | 2 | 10 |
Total | Moyenne | 180 | 37 | 20 |
Tableau N° 5 : Répartition des enquêtés selon les interventions de dépistage
Il faut noter que dans ce tableau nous avons trouvé les résultats suivant 8 infirmiers soit 40 % ont dépister un mauvais état nutritionnel, suivi de 6 soit 30 % des infirmiers qui ont dépister l’état général, suivi de 4 infirmiers soit 20 % Qui ont dépister la présence d’une masse et réduction de la mobilité, suivi de 3 infirmiers soit 15 % qui ont observer la modification de la peau et incontinence et le problème de soins personnels, suivi de 2 soit 10 % des infirmiers qui ont observer le trouble de la sensibilités et afin 1 soit 5 % qui ont dépister la présence de la maladie chronique les moyennes est de 20 %
N° | Prévention locale | F.A | F.O | % |
---|---|---|---|---|
1 | Changer position / 3h | 20 | 6 | 30 |
2 | Position confortable | 20 | 8 | 40 |
3 | Enlever le corps étranger sur le lit | 20 | 8 | 40 |
4 | Réfectionner les lits | 20 | 7 | 35 |
5 | Talquer les lits | 20 | 4 | 20 |
6 | Hygiène corporelle et vestimentaire | 20 | 5 | 25 |
Total | 120 | 316 |
Tableau n° 6 : Intervention infirmière dans la prévention locale des escarres.
Dans ce tableau nous montre que 40 % des infirmiers donne une position confortable du malade et d’autre enlever le corps étranger sur le lit, suivi de 35 % des infirmiers qui réfectionne le lit, 30 % qui change la position de malade chaque 3h, 25 % des infirmiers qui font l’hygiène corporelle et vestimentaire et afin 20 % des infirmiers qui talque les lits
N° | Prévention | F.A | F.O | % |
---|---|---|---|---|
01 | Donner à boire | 20 | 7 | 35 |
02 | Alimentation équilibré et variée | 20 | 5 | 25 |
03 | Enlever débris alimentaire | 2O | 3 | 15 |
Total | 60 | 15 | 75 |
Tableau n° 7 : Intervention infirmière dans la prévention générale des escarres
Il ressort dans ce tableau, 37 % des infirmiers donnent à boire au malade, suivi de 25 % qui donne alimentation équilibrée et variée et enfin 15 % des infirmiers qui enlève les débris alimentaire au lits.
DISCOURS DES RESULTATS
3.2.1. Profil des enquêtés
Les résultats consignés dans ce tableau 1, nous remarquons que le sexe féminin est représentatif de nos enquêtés avec 75% et 25% de sexe masculin, en parlant de leur statut martiale 40% des infirmiers sont mariés, suivi 25% qui sont célibataires, 20% des infirmiers qui sont en union libre, 10 % divorcé et 5% qui se sont séparé.
En parlant de leur niveau d’étude, la majorité des infirmiers sont A2 et A1 soit 40%, suivi de 15% des infirmiers L2 et 5% des infirmiers A1. Pour leur ancienneté, parmi les enquîtes, 40% sont des enquêtés ayant une ancienneté entre 30 à 40 ans, 30% de 40 à 50 ans plus.
3.2.2. Intervention infirmière dans la prévention locale des escarres.
Selon NPUAP – ESPUAP (2009), recommande les éléments suivants :
Changer les pontions du malade chaque 3heure, enlever les corps étranger sur le lit, réfectionner le lit, talque les malades, administre les médicaments, hygiène corporelle et vestimentaire après dépouillement et traitements des données.
Les résultats de notre recherche sont conforment aux recommandations de ci-haut, car le changement des positions et l’Administration de médicaments ont été exécutés à 30 à 100% suivi la réfection du lit, enlèvement des corps étranger sur le lit ainsi que le talque du malade 80% et enfin l’hygiène corporelle 25%. Avec moyenne globale de 31,6%.
La présentation est primordiale pour réduire l’incidence des escarres elle est l’objet de rédaction recommandations des Etats-Unis depuis 19992 (AHCPR 1993) et plus récemment en Europe (EPUAP, 1999 RCNNICE 2001).
3.2.3. Interventions infirmières dans ce dépistage et la prévention générale et des Escarres
Crosvenon et Douling (2018). De par la possibilité de prévenir l’apparition d’une escarre, cette augmentation des coûts pour les hôpitaux et les familles n’est pas inéluctable, même que AHCPR (1993) et EPUAP (1999), et RCN/NICE (2001) préconisent des mesures d’application obligatoire dans ce contexte de beaucoup à boire aux malades, alimentations équilibrée et variée, enlever les débris alimentaires sur le lit, éviter le pli de drap, soins réguliers des escarres prélever les signes vitaux nous nous trouvés les résultats suivant 6% soit 3% ont dépisté sur l’état général, suivi de 4 sujet soit 20% présence d’une masse, suivi de 3 soit 15% modification de la peau et incontinence, suivi de 1sujet soit 5% la présence de maladie chronique, suivi de 4 soit 20% dans la réduction de la mobilité, suivi de 3 sujets soit 15% avec les problèmes de soins personnels, suivi de sujets soit 40% avec mauvais état nutritionnel, suivi 2 soit 10% avec les troubles de la sensibilité ceci nous donne une moyenne globale de 20% inférieure au critère d’acceptabilité pour ce qui concerne le dépistage. De ce fait nous nous jugé une valeur de modification des infirmiers dans le dépistage des escarres chez maladie.
3.2.4. Le mesures d’ordre nutritionnel AHC PR (A992 et EPUAP (1993) et NICE (2001).
Demandent aux personnes de surveiller l’alimentation des maladies ainsi que leur poids pour éviter le sur poids tandis que parmi nos enquêtés les infirmiers qui intervient enfin assume une alimentation équilibrée soit d’ordre 5 soit 25% et ceux qui donne beaucoup d’eau ceux malades sont 7 sujets soit 35% ce qui justifie le manque de dispositif pour une meilleur pris en charge.
Le personnel cible de formation et d’information pérennisée les membres SFFPC (2001). L’information et l’éducation du patient et de sa famille donnée ou l’équipe soignante, vivent à favoriser leur participation à la prévention et au traitement de l’escarre, en en particulier dans le cadre d’un retour à domicile.
La stratégie d’information et d’éducation du patient et de sa famille doit être adaptée au caractère temporaire ou permanent du risque d’escarre et aux capacités individuelles de chaque patient.
L’information du patient et de sa famille concerne les patients à mobilité temporairement réduite et pour lequel le risque d’escarre est limité dans le temps, elle a pour objectif d’éclairer la personne sur son état de santé, de lui décrire la nature et le déroulement des soins et lui fournir les connaissances de cause.
L’éducation du patient et de sa famille et systématiquement envisagée pour tous les patients à mobilité réduite permanent, y compris les personnes âgées dépendante, et pour lesquels le risque d’escarre est constant.
Il ressort de ces tableaux que les infirmiers interviennent d’une manière suffisante dans le processus de pérennisation de mesure présentative générale car les résultats de recherches révèlent que 100% des infirmiers prélever les signes vitaux, suivi de 25% qui donnent une alimentation équilibrée et variées d’autre enlève les débris alimentaire au lit 15% contre 75% le font pas, 35% des infirmiers qui donne beaucoup d’eau à boire aux malades contre 65% qui ne se fait pas, 75% des infirmiers le soins réguliers des escarres contre 25% et enfin 40% donne une position confortable aux malades contre 60% qui le peut pas avec moyenne globale de 31, 6%.
CONCLUSION
Toutes les populations sont à risque de développer une escarre lors d’une hospitalisation, les examens sont des plaies ayant des conséquences à la fois physiques, psychologiques et économiques. Ce travail traite des examens touchant la population pédiatrique et plus spécifiquement les enfants hospitalisés à l’hôpital général de référence de Kinkole dans la ville Province de Kinshasa.
Avec comme question de recherche de savoir : quel est le niveau des interventions infirmières dans la prévention des examens à l’hôpital générale de référence de Kinkole ?
Le but poursuivi dans cette étude est d’évaluer le niveau des interventions infirmières dans la prévention des examens précisément à l’hôpital général de référence de Kinkole. Quatre objectifs spécifiques ont été fixés : à savoir : dresser le profil des infirmiers prestataires, observer les infirmières, évaluer le niveau de prévention infirmière d’examen en pédiatrie et proposer les pistes de solution.
Notre étude est du type quantitatif et prospectif et de méthode d’enquêtes prospectives basées sur la technique d’observation participante et une grille d’observation comme un instrument de collecte des données, avec un échantillon de 20 sujets.
A l’issue des analyses nous avons constaté que 75% sont de sexe féminin et 40% sont mariés, 40% sont des infirmiers A2 et A1. Ont de l’ancienneté de 30 à 40 ans soit 40%. Quant aux interventions infirmières des préventions des examens, les infirmières dépistent les examens à 40% et préventions locale à 40% et général à 35%supérieur à notre critère d’acceptabilité.
Ce résultat nous permet à informer notre hypothèse selon laquelle le niveau de prévention des examens par les infirmiers à l’hôpital général de référence de Kinkole est faible.
Suggestions
- Utiliser la notion de la lecture.
- Poursuivre les études pour avoir un niveau élevé.
- Eviter la discrimination lors des soins.
- Un dépistage précoce de patients à risque.
Aux chercheurs
- Ceux-ci doivent à ce que d’entre études soient mené à la formation médicale de la ville Province de Kinshasa afin de permettre une étude comparative séminaire pour le professionnel de santé en générale et en particulier les infirmiers confondus.
Aux autorités
- Organiser le recyclage des infirmiers sur le dépistage.