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Analyse approfondie des résultats sur la biographie d’Amin Maalouf

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🏫 Université Batna 2 - Faculté des Lettres et des Langues Étrangères - Département de Langue et Littérature Françaises
📅 Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de Master - 2016-2017
🎓 Auteur·trice·s
Mebarki Houssem Eddine
Mebarki Houssem Eddine

La biographie d’Amin Maalouf révèle des facettes inattendues de son parcours, mêlant exil et succès littéraire. Comment son expérience personnelle façonne-t-elle son œuvre, notamment dans ‘Les désorientés’ ? Cette étude promet d’éclairer des enjeux cruciaux de l’autofiction contemporaine.


Chapitre I :

Amin Maalouf : Approche biographique

Introduction :

Avant de s’attaquer a l’essentiel de notre étude, dans ce premier chapitre nous présenterons en premier lieu l’écrivain Amin Maalouf, le créateur du roman pour lequel on a opté. Nous évoquerons les principales périodes de sa vie, son enfance, sa jeunesse, etc. Son itinéraire professionnel à l’instar du journalisme et de l’écriture en mode littéraire, ainsi que son exil en France, ses consécrations et son élection à l’académie française. Nous clôturons ce chapitre par le résumé de l’œuvre qui nous intéresse, qui est « Les désorientés », et qui fait l’objet même de notre recherche.

.1. Amin Maalouf vie et parcours :

Né le 25 février 1949 à Beyrouth, d’un père anglophone et protestant et d’une mère francophone et catholique – maronite. Il passe les premières années de son enfance en Egypte, patrie d’adoption de son grand-père maternel.

« A ceux qui me posent la question, j’explique donc, patiemment, que je suis né au Liban, que j’y ai vécu jusqu’à l’âge de vingt-sept ans. » 4

« Je suis né le 25 février 1949, à Beyrouth, même si ma carte d’identité mentionne un autre lieu de naissance, Machrah, le village familial. (…) , au Liban on est toujours inscrit sur les registres de son lieu d’origine … 5 »

Libanais, arabophone, français, francophone et anglophone, citadin et villageois écrivain, historien … moult appartenances et multiples métiers qui tissent la même et unique « identité » d’un écrivain d’une plume coulante et gracieuse.

« L’arabe est ma langue maternelle, que c’est d’abord en traduction arabe que j’ai découvert Dumas et Dickens et Les Voyages de Gulliver, et que c’est dans mon village de la montagne, le village de mes ancêtres, que j’ai connu mes premières joies d’enfant et entendu certaines histoires dont j’allais m’inspirer plus tard dans mes romans. »6

4 MAALOUF Amin , Les Identités meurtrières, Paris, Grasset, 1998, p. 07.

5 EGI Volterrani, Amin Maalouf, Autobiographie à deux voix, URL : http://www.aminmaalouf.net/fr/sur-amin/autobiographie-a-deux-voix/ consulté le (07 février 2017)

6 MAALOUF Amin , Les Identités meurtrières, op. cit, 1998, p. 08.

« Je n’ai pas plusieurs identités, j’en ai une seule, faite de tous les éléments qui l’ont façonnée, selon un « dosage » particulier qui n’est jamais le même d’une personne à l’autre. »7

Amin Maalouf est d’une famille qui s’affirme à la fois arabe et chrétienne d’où, malgré leur privilège apparent, leur sentiment de gêne, de malaise et d’exclusion. Ils se sentent triplement minoritaires : des chrétiens dans un monde à majorité musulmane ; minoritaire religieusement dans un Liban bourré de communautés religieuses et enfin minoritaire linguistiquement quand ils émigrent dans des pays chrétiens mais qui parlent d’autres langues que l’arabe.

« J’ai toujours eu de l’aversion à la fois pour les riches et pour les pauvres. Ma patrie sociale c’est l’entre-deux. Ni les possédants, ni les revendicateurs. J’appartiens à cette frange médiane qui, n’ayant ni la myopie des nantis ni l’aveuglement des affamés, peut se permettre de poser sur le monde un regard lucide. »8

« Pour moi, l’une des premières frustrations est venue dans le domaine politique (…) j’avais eu dans ma jeunesse le désir de m’engager dans cette voie. (…) une personne appartenant à un groupe très minoritaire tel que le mien était condamnée à ne jouer sur cette scène qu’un rôle très mineur. »9

Sa grand-mère maternelle est d’origine turque, ce qui explique surtout son attachement à la ville d’Istanbul qui est une source d’inspirations dans tous ses écrits romanesques.

« Pour moi Istanbul, ou Constantinople comme je m’obstine à l’appeler, est une de mes patries originelles, et j’ai toujours voulu la garder à l’écart du monde réel. »10

Âgé d’à peine un mois, il suit sa maman au Caire, en Égypte, où il passe une bonne partie de sa petite et tendre enfance. Puis, après le décès de son grand-père maternel en 1951 et suite à une période d’instabilité politique (le réveil nationaliste et l’indépendance de l’Égypte), il revient avec toute sa famille au Liban. À Circa, Amin est inscrit à l’école des jésuites de Beyrouth où il recevra un enseignement en français.

« Si je fus inscrit à l’école française, celle des pères jésuites, c’est parce que ma mère

, résolument catholique, tenait à me soustraire à l’influence protestante qui prévalait alors

7 Ibid. p. 08.

8 MAALOUF Amin, Les désorientés, Paris, Grasset, 2012, p. 175.

9 EGI Volterrani, Amin Maalouf, Autobiographie à deux voix, op. cit.

10 EGI Volterrani, Amin Maalouf, Autobiographie à deux voix, op. cit.

dans ma famille paternelle où l’on dirigeait traditionnellement les enfants vers les écoles américaines ou anglaises. »11

En 1965, Amin Maalouf étudie les sciences économiques et la sociologie à l’école supérieure des lettres de Beyrouth.12

Jeune et étant né dans une famille de journalistes pour qui la politique était omniprésente, il avait le désir de s’engager dans cette voie mais son statut de minoritaire l’a empêché de jouer un grand rôle dans la scène politique. Ce sentiment de minoritaire va influencer largement sa carrière scripturale et va moduler sa conception de l’identité et le regard qu’il pose sur le monde.

« Dans un pays comme le Liban, où les communautés les plus puissantes se sont longuement battues pour leur territoire et pour leur part de pouvoir, les membres des communautés très minoritaires comme la mienne ont rarement pris les armes. »13

« Le pays dont l’absence m’attriste et m’obsède, ce n’est pas celui que j’ai connu dans ma jeunesse, c’est celui dont j’ai rêvé, et qui n’a jamais pu voir le jour. »14

Né dans une famille où le travail veut dire directement écrire ou enseigner, son histoire avec l’écriture remonte à l’âge de six ans quand il avait écrit son premier article, en arabe, dans lequel se manifeste déjà son obsession des passerelles à bâtir entre les cultures mais, malheureusement pour lui, il n’a jamais été publié.

« Je viens d’une famille originaire du sud arabique, implantée dans la montagne libanaise depuis des siècles, (…) elle s’enorgueillit d’avoir toujours été à la fois arabe et chrétienne, probablement depuis le II ou le III siècle, c’est-à-dire bien avant l’émergence de l’islam et avant même que l’occident ne se soit converti au christianisme. »15

A cause de la guerre civile libanaise (1976), qui avait éclaté le 13 avril, sous la fenêtre même des Maalouf et qui en subissent les premiers bouleversements, il a dû quitter le Liban pour s’établir en France. Le 16 juin 1976, étant incapable moralement de s’engager dans la guerre, il a pris le premier bateau pour l’île de Chypre, et de là, trois jours plus tard, il s’est

11 MAALOUF Amin, Les Identités meurtrières, op. cit, 1998, p. 26.

12 STEPHANIE Lazure, Amin Maalouf, écrire au confluent des appartenances.

13 MAALOUF Amin, Les Identités meurtrières, op. cit, 1998, p. 25.

14 MAALOUF Amin, Les désorientés, op. cit, 2012, p. 69.

15 MAALOUF Amin, Les Identités meurtrières, Paris, Grasset, 1998, p. 23.

envol vers la France. Sa femme et ses trois enfants le rejoindront en septembre. Entre-temps, il se fait engager comme reporter et rédacteur en chef chez Jeune Afrique.

« (…) ; C’est à cause de ce conflit que je me retrouve francophone, c’est en conséquence de cela que je suis venu m’installer, pendant la guerre du Liban, à Paris plutôt qu’à New York, à Vancouver ou à Londres, et que je me suis mis à écrire en français. »16

« Les membres des communautés très minoritaires comme la mienne ont rarement pris les armes, et ils ont été les premiers à s’exiler. J’ai, quant à moi, toujours refusé de m’impliquer dans cette guerre que je jugeais absurde et suicidaire. »17

« Pour avoir vécu dans un pays en guerre, dans un quartier soumis à un bombardement en provenance du quartier voisin, pour avoir passé une nuit ou deux dans un sous-sol transformé en abri, avec ma jeune femme enceinte et mon fils en bas âge, les bruits des explosions au-dehors, et au-dedans mille rumeurs sur l’imminence d’une attaque ainsi que mille racontars sur des familles égorgées. »18

En 1979, il occupe les fonctions de directeur du bureau parisien du journal libanais An-Nahar et il y restera jusqu’en 1982. Dans le cadre de ses fonctions journalistiques, il se rend à Téhéran pour documenter la proclamation de la république islamique, ce qui lui donnera par la suite l’idée d’écrire son deuxième roman « Samarcande »19, publié en 1988.

Au printemps 1981, il a signé avec l’éditeur Jean-Claude Lattes son premier contrat d’édition, pour un livre intitulé provisoirement « Les croisades vues par les Arabes »20, un titre qu’il a gardé par la suite publié en 1983, et qui explique d’emblée sa passion pour l’Histoire.

L’année 1986 est marquée par la publication de « Léon l’Africain »21, un roman qui a obtenu un succès presque immédiat et qui s’inspire du personnage historique du même nom qui relate la chute de Grenade, la prise de l’Égypte par les Ottomans ainsi que le sac de Rome, mais toujours d’un point de vue arabe.

16 MAALOUF Amin, Les Identités meurtrières, op. cit, 1998, p. 26.

17 Ibid., 1998, p. 25.

18 Ibid., 1998, p. 35.

19 MAALOUF Amin, Samarcande, Paris, Grasset, 1988.

20 MAALOUF Amin, Les Croisades vues par les Arabes, Paris, JC Lattes, 1983.

21 MAALOUF Amin, Léon l’Africain, Paris, JC Lattes, 1986.

« Tout dans l’Histoire, s’exprime par des symboles. La grandeur et l’abaissement, la victoire et la défaite, le bonheur, la prospérité, la misère. Et plus que tous, l’identité. »22

« Il est vrai que j’ai, depuis l’enfance, l’habitude de faire raconter aux gens leurs histoires sans leur dire grand-chose en retour. C’est là un défaut que je reconnais d’autant plus volontiers qu’il procède d’une qualité : j’ai plaisir à écouter les autres, à m’embarquer par la pensée dans leurs récits, à épouser leurs dilemmes. Mais l’écoute, qui est une attitude de générosité, peut devenir une attitude prédatrice si l’on se nourrit de l’expérience des autres et qu’on les prive de la science ».23

Après le succès de son roman Léon l’Africain, il publie un nouveau roman « Samarcande »24 en 1988 aux éditions Jean-Claude Lattès, c’est une biographie romancée d’Omar El Khayyam, grand philosophe perse du XIème siècle, très célèbre pour les quatrains qu’il a écrits tout au long de sa vie. Ce roman a reçu le prix Maison de la Presse l’année de sa publication.

En 1991, il publie « Les jardins de lumière. »25 une biographie romancée d’un Prophète nommé Mani.

En 1992, il fait paraître « Le premier siècle après Béatrice »26, « un roman d’anticipation qui aborde les conséquences engendrées par des manipulations génétiques. »27

L’année après, en 1993, Amin Maalouf décroche le fameux prix Goncourt pour son roman « Le rocher de Tanios »28, qui traite la question de l’exil et qui revisite, narrativement, et dépeint son Liban natal.

En 1994, et après une longue période d’absence, Amin Maalouf revient à son pays d’origine où il a été reçu comme un vrai roi. Un accueil mérité puisqu’il a honoré mondialement son pays et sa littérature.

Deux ans plus tard, en 1996, il a publié « Les échelles du levant »29, dans lequel est racontée l’histoire d’Ossyane, de la Seconde Guerre mondiale et du conflit israélo-arabe.

22 MAALOUF Amin, Les Identités meurtrières, op. cit, 1998, p. 85.

23 MAALOUF Amin, Les désorientés, op. cit, 2012, p. 443.

24 MAALOUF Amin, Samarcande, Paris, JC Lattes, 1988.

25 MAALOUF Amin, Les Jardins de lumières, Paris, JC Lattes, 1991.

26 MAALOUF Amin, Le premier siècle après Béatrice, Paris, Grasset, 1992.

27 STEPHANIE Lazure, Amin Maalouf, écrire au confluent des appartenances, op. cit.

28 MAALOUF Amin, Le rocher de Tanios, Paris, Grasset, 1993.

29 MAALOUF Amin, Les échelles du levant, Paris, Grasset, 1996.

« Ma vie a commencé, (…), un demi-siècle avant ma naissance, dans une chambre que je n’ai jamais visitée, sur les rives du Bosphore. Un drame s’est produit, un cri a retenti, une onde de folie s’est propagée, qui ne devait plus s’interrompre. Si bien qu’à ma venue au monde, ma vie était déjà largement entamée. »30

En 1998, il publie un essai sous le titre de « Les identités meurtrières »31, un essai qui a connu une grande réussite et qui représente la conception et la philosophie de l’écrivain de la question et du concept de l’identité.

« Une vie d’écriture m’a appris à me méfier des mots. Ceux qui paraissent les plus limpides sont souvent les plus traîtres. L’un de ces faux amis est justement « identité ». Nous croyons tous savoir ce que ce mot veut dire, et nous continuons à lui faire confiance même quand, insidieusement, il se met à dire le contraire. »32

En 2000, académicien, il publie un nouveau roman « Le Périple de Baldassare »33. Ce prestigieux roman a reçu le prix des romancières.

En 2004, il publie un nouvel essai intitulé « Origines »34, un essai qui décrit le parcours et la vie de son grand-père et de son grand-oncle. Ce livre a obtenu le prix Méditerranée 200435.

« Je suis d’une tribu qui nomadise depuis toujours dans un désert aux dimensions du monde. Nos pays sont des oasis que nous quittons quand la source s’assèche, nos maisons sont des tentes en costume de pierre, nos nationalités sont affaire de dates ou de bateaux. Seul nous relie les uns aux autres, par-delà les générations, par-delà les mers, par-delà le Babel des langues, le bruissement d’un nom… »36

En 2006, l’auteur s’aventure dans une autre voie, celle de l’écriture des livrets d’opéra. Il publie « Adriana Mater »37, les quatre personnages, la mère, sa sœur, le fils et le père, sont accompagnés et soutenus par un chœur qui apporte, par ses interventions, le souffle de la tragédie antique. L’opéra a été composé par Kaija Saariaho et a été créé à la Bastille le 30 mars 2006 dans une mise en scène de Peter Sellars. Il a également fait l’objet d’une adaptation au théâtre sous le nom de “Cette nuit-là”.

30 MAALOUF Amin, Les échelles du levant, Paris, Grasset, 1996, p. 23.

31 MAALOUF Amin, Les Identités meurtrières, Paris, Grasset, 1998.

32 MAALOUF Amin, les Identités meurtrières, op. cit, 1998, p. 15.

33 MAALOUF Amin, Le Périple de Baldassare, Paris, Grasset, 2000.

34 MAALOUF Amin, Origines, Paris, Grasset, 2004.

35 http://www.livredepoche.com/origines-amin-maalouf. (consulté le 26 février 2017)

36 MAALOUF Amin, Origines, op. cit, 2004, p. 485, https://books.google.dz/books/about/Origines.html.

37 MAALOUF Amin, Adriana Mater, Paris, Grasset, 2006.

En 2009, il publie « Le dérèglement du monde »38, un essai qui reflète la préoccupation ou les préoccupations de l’écrivain des différents dérèglements intellectuels, économiques et financiers, climatiques… de ce XXIe siècle et il y propose un diagnostic inquiétant mais qui débouche sur un espoir prometteur.

En 2012, il publie un nouveau roman « Les désorientés »39 sur lequel notre travail portera, ce roman retrace et relate un groupe d’amis qui étaient inséparables dans leur jeunesse, puis ils s’étaient dispersés, brouillés, perdus de vue. Ils se trouvent à l’occasion de la mort de l’un d’eux. Les uns n’ont jamais voulu quitter leur natal.

« Dans Les désorientés, je m’inspire très librement de ma propre jeunesse. Je l’ai passée avec des amis qui croyaient en un monde meilleur. Et même si aucun des personnages de ce livre ne correspond à une personne réelle, aucun n’est entièrement imaginaire. J’ai puisé dans mes rêves, dans mes fantasmes, dans mes remords, autant que dans mes souvenirs. »40

En 2016, il publie un nouveau roman « Un fauteuil sur la Seine »41, ce livre retrace la vie et les aventures des dix-huit personnages qui se sont succédé au 29e fauteuil de l’académie française depuis 1634 de son premier occupant jusqu’au dernier, où il dresse un panorama de quatre siècles d’histoire de France à travers le destin des illustres personnages qui l’ont précédé dans cette institution au fauteuil 29 de l’académie française.

Romans, essais et livrets d’opéra, plusieurs publications, mondialement reconnu et honoré partout dans le monde, et que son œuvre est traduite dans plus de quarante langues, à l’instar de l’arabe, anglais et espagnol.

Dote d’une personnalité timide et discrète, complètement différente de celle du personnage volubile et loquace qu’en lisant dans son œuvre, le romancier aime raconter l’histoire de son amour, à 17 ans, jeune et adolescent sans pouvoir jamais l’embrasser. L’amoureux transit explique :

« Dans la vie, je n’ai pas pu faire autrement, alors je me suis rattrapé dans le roman »42

38 MAALOUF Amin, Le dérèglement du monde, Paris, Grasset, 2009.

39 MAALOUF Amin, Les désorientés, op. cit, 2012.

40 MAALOUF Amin, Les désorientés, 2012, quatrième de couverture.

41 MAALOUF Amin, Un Fauteuil sur la Seine, Paris, Grasset, 2016.

42 http://www.rfi.fr/hebdo/20160311-amin-maalouf-roman-academie-francaise-liban-france-litterature-francophonie (consulté le 20 février 2017)

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4 MAALOUF Amin , Les Identités meurtrières, Paris, Grasset, 1998, p. 07.

5 EGI Volterrani, Amin Maalouf, Autobiographie à deux voix, URL : http://www.aminmaalouf.net/fr/sur-amin/autobiographie-a-deux-voix/ consulté le (07 février 2017)

6 MAALOUF Amin , Les Identités meurtrières, op. cit, 1998, p. 08.

7 Ibid. p. 08.

8 MAALOUF Amin, Les désorientés, Paris, Grasset, 2012, p. 175.

9 EGI Volterrani, Amin Maalouf, Autobiographie à deux voix, op. cit.

10 EGI Volterrani, Amin Maalouf, Autobiographie à deux voix, op. cit.

11 MAALOUF Amin, Les Identités meurtrières, op. cit, 1998, p. 26.

12 STEPHANIE Lazure, Amin Maalouf, écrire au confluent des appartenances.

13 MAALOUF Amin, Les Identités meurtrières, op. cit, 1998, p. 25.

14 MAALOUF Amin, Les désorientés, op. cit, 2012, p. 69.

15 MAALOUF Amin, Les Identités meurtrières, Paris, Grasset, 1998, p. 23.

16 MAALOUF Amin, Les Identités meurtrières, op. cit, 1998, p. 26.

17 Ibid., 1998, p. 25.

18 Ibid., 1998, p. 35.

19 MAALOUF Amin, Samarcande, Paris, Grasset, 1988.

20 MAALOUF Amin, Les Croisades vues par les Arabes, Paris, JC Lattes, 1983.

21 MAALOUF Amin, Léon l’Africain, Paris, JC Lattes, 1986.

22 MAALOUF Amin, Les Identités meurtrières, op. cit, 1998, p. 85.

23 MAALOUF Amin, Les désorientés, op. cit, 2012, p. 443.

24 MAALOUF Amin, Samarcande, Paris, JC Lattes, 1988.

25 MAALOUF Amin, Les Jardins de lumières, Paris, JC Lattes, 1991.

26 MAALOUF Amin, Le premier siècle après Béatrice, Paris, Grasset, 1992.

27 STEPHANIE Lazure, Amin Maalouf, écrire au confluent des appartenances, op. cit.

28 MAALOUF Amin, Le rocher de Tanios, Paris, Grasset, 1993.

29 MAALOUF Amin, Les échelles du levant, Paris, Grasset, 1996.

30 MAALOUF Amin, Les échelles du levant, Paris, Grasset, 1996, p. 23.

31 MAALOUF Amin, Les Identités meurtrières, Paris, Grasset, 1998.

32 MAALOUF Amin, les Identités meurtrières, op. cit, 1998, p. 15.

33 MAALOUF Amin, Le Périple de Baldassare, Paris, Grasset, 2000.

34 MAALOUF Amin, Origines, Paris, Grasset, 2004.

35 http://www.livredepoche.com/origines-amin-maalouf. (consulté le 26 février 2017)

36 MAALOUF Amin, Origines, op. cit, 2004, p. 485, https://books.google.dz/books/about/Origines.html.

37 MAALOUF Amin, Adriana Mater, Paris, Grasset, 2006.

38 MAALOUF Amin, Le dérèglement du monde, Paris, Grasset, 2009.

39 MAALOUF Amin, Les désorientés, op. cit, 2012.

40 MAALOUF Amin, Les désorientés, 2012, quatrième de couverture.

41 MAALOUF Amin, Un Fauteuil sur la Seine, Paris, Grasset, 2016.

42 http://www.rfi.fr/hebdo/20160311-amin-maalouf-roman-academie-francaise-liban-france-litterature-francophonie (consulté le 20 février 2017)


Questions Fréquemment Posées

Qui est Amin Maalouf et quelle est son origine?

Amin Maalouf est né le 25 février 1949 à Beyrouth, d’un père anglophone et protestant et d’une mère francophone et catholique – maronite.

Comment Amin Maalouf décrit-il son identité?

Amin Maalouf affirme qu’il n’a pas plusieurs identités, mais une seule, faite de tous les éléments qui l’ont façonnée, selon un « dosage » particulier qui n’est jamais le même d’une personne à l’autre.

Quelle est l’importance d’Istanbul dans l’œuvre d’Amin Maalouf?

Pour Amin Maalouf, Istanbul, ou Constantinople, est une de ses patries originelles, et il a toujours voulu la garder à l’écart du monde réel.

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