{"id":124044,"date":"2024-01-10T00:00:00","date_gmt":"2024-01-10T00:00:00","guid":{"rendered":"https:\/\/wikimemoires.net\/?p=124044"},"modified":"2024-01-11T14:35:55","modified_gmt":"2024-01-11T14:35:55","slug":"maitriser-lautomatisation-transformer-la-production-avec-efficacite-et-innovation","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/wikimemoires.net\/2024\/01\/maitriser-lautomatisation-transformer-la-production-avec-efficacite-et-innovation\/","title":{"rendered":"D\u00e9cryptage de l’automatisation: cl\u00e9 de la production moderne et efficace"},"content":{"rendered":"

I.2. AUTOMATISME<\/h3>\n

L’automatisation de la production consiste \u00e0 transf\u00e9rer tout ou une partie des t\u00e2ches de coordination, auparavant ex\u00e9cut\u00e9es par des op\u00e9rateurs humains, dans un ensemble d’objets techniques appel\u00e9 partie commande.<\/p>\n

La partie commande m\u00e9morise le savoir-faire des op\u00e9rateurs pour obtenir la suite des actions \u00e0 effectuer sur les mati\u00e8res d\u2019\u0153uvre afin d’\u00e9laborer la valeur ajout\u00e9e.<\/p>\n

Elle exploite un ensemble d’informations pr\u00e9lev\u00e9es sur la partie op\u00e9rative pour \u00e9laborer la succession des ordres n\u00e9cessaires pour obtenir les actions souhait\u00e9es.<\/p>\n

De ce fait, d\u2019une mani\u00e8re g\u00e9n\u00e9rale, tout syst\u00e8me automatis\u00e9 comportera :<\/p>\n

Une partie op\u00e9rative (P.O.) proc\u00e9dant au traitement des mati\u00e8res d\u2019\u0153uvre afin d’\u00e9laborer la valeur ajout\u00e9e,<\/p>\n

Une partie commande (P.C.) coordonnant la succession des actions sur la partie op\u00e9rative avec la finalit\u00e9 d’obtenir cette valeur ajout\u00e9e.<\/p>\n

I.2.1. PARTIE OPERATIVE<\/strong><\/p>\n

La partie op\u00e9rative d\u2019un syst\u00e8me d\u2019automatisme est compos\u00e9e des pr\u00e9sactionneurs, des actionneurs et des effecteurs.<\/p>\n

Un pr\u00e9 actionneur est un organe qui re\u00e7oit les ordres \u00e9manant de la partie<\/p>\n

commande et qui les transmet \u00e0 l\u2019actionneur. Il r\u00e9alise la commande de ce dernier en lui distribuant un courant \u00e9lectrique fort pendant que lui-m\u00eame est travers\u00e9 par un courant faible provenant des organes de commande.<\/p>\n

Il est int\u00e9gr\u00e9 \u00e0 la partie op\u00e9rative ou \u00e0 l\u2019interface de commande et est dimensionn\u00e9 en fonction de l\u2019\u00e9nergie demand\u00e9e par l\u2019actionneur.<\/p>\n

Ex : relai, contacteur, transistor, etc.<\/p>\n

Un actionneur est un \u00e9quipement qui, suivant les ordres re\u00e7us de la partie commande via le pr\u00e9 actionneur, engendre un ph\u00e9nom\u00e8ne physique \u00e0 partir de l\u2019\u00e9nergie qu\u2019il re\u00e7oit.<\/p>\n

Les actionneurs utilis\u00e9s pour notre cas sont des moteurs asynchrones<\/p>\n

triphas\u00e9s qui permettent d\u2019entrainer les pompes (effecteurs) d\u2019exhaure de la mine souterraine.<\/p>\n

I.2.1.1. MOTEUR ASYNCHRONE<\/p>\n

Le moteur asynchrone est le plus utilis\u00e9 dans les applications industrielles<\/p>\n

ou domestiques de l\u2019\u00e9lectricit\u00e9, du fait de sa facilit\u00e9 d\u2019installation, de son bon rendement et de son excellente fiabilit\u00e9.<\/p>\n

I.2.1.2. VARIATION DE LA VITESSE<\/p>\n

Les entrainements \u00e0 vitesse variable sont b\u00e9n\u00e9fiques dans les installations<\/p>\n

industrielles car ils permettent de passer d\u2019une exploitation \u00e0 une autre sans inconv\u00e9nients majeurs en ce sens qu\u2019il n\u2019exige au syst\u00e8me que la puissance n\u00e9cessaire \u00e0 son entrainement. De ce fait une r\u00e9duction significative de la consommation \u00e9nerg\u00e9tique est observ\u00e9e et cela explique la forte demande de ce type d\u2019entrainement.<\/p>\n

N\u00e9anmoins, il faut signaler que l\u2019utilisation de ces dispositifs engendre des couts colossaux \u00e0 l\u2019investissement mais les r\u00e9sultats qui viennent apr\u00e8s restent toujours int\u00e9ressants.<\/p>\n

Historiquement ; les variations de vitesse ont \u00e9t\u00e9 satisfaites de trois mani\u00e8res :<\/p>\n

Jadis par des syst\u00e8mes m\u00e9canique ou hydraulique de transmission \u00e0 rapport de r\u00e9duction variable<\/p>\n

Par des machines AC sp\u00e9cialement con\u00e7ues pour la variation de vitesse (commutation des p\u00f4les, double bobinages, etc.)<\/p>\n

Aujourd\u2019hui par des solutions purement \u00e9lectriques sachant que le r\u00e9seau est purement alternatif; variation de fr\u00e9quence pour les entrainements AC ; et redressement puis variation de tension continue pour les entrainements DC.<\/p>\n

La derni\u00e8re solution est rendue possible \u00e0 nos jours par l\u2019\u00e9lectronique de puissance notamment par des composants discrets (thyristor, transistor MOSFET ou IGBT) capables de commuter tr\u00e8s rapidement des puissances consid\u00e9rables. Cette derni\u00e8re solution est la plus \u00e9conomique. Elle est compos\u00e9e d\u2019un convertisseur de fr\u00e9quence et est de ce fait la solution retenu pour ce travail.<\/p>\n

\uf0b7 REGLAGE PAR <\/strong>VARIATION DE LA FREQUENCE<\/strong><\/p>\n

La solution qui para\u00eet, \u00e0 priori, la plus simple pour faire varier la vitesse d\u2019un moteur asynchrone est celle qui consiste \u00e0 faire varier la fr\u00e9quence de sa source d\u2019alimentation.<\/p>\n

La mise en \u0153uvre de ce principe pour des applications industrielles utilise un convertisseur triphas\u00e9 qui transforme le syst\u00e8me industriel de tensions triphas\u00e9 de fr\u00e9quence et d\u2019amplitude fixes, aux l\u00e9g\u00e8res fluctuations normales pr\u00e8s, en un syst\u00e8me triphas\u00e9 de tensions ou de courants de fr\u00e9quence et d\u2019amplitude ma\u00eetris\u00e9es.<\/p>\n

Les principaux types de convertisseurs employ\u00e9s pour les moteurs asynchrones sont des convertisseurs indirects de fr\u00e9quence, c\u2019est-\u00e0-dire qui utilisent un \u00e9tage interm\u00e9diaire \u00e0 fr\u00e9quence nulle (tension ou courant continu) par l\u2019association d\u2019un convertisseur alternatif-continu (redresseur) et d\u2019un convertisseur continu-alternatif (onduleur). Plusieurs technologies de convertisseurs reposent sur ce principe, selon que l\u2019\u00e9tage \u00e0 fr\u00e9quence nulle est constitu\u00e9 d\u2019une source de tension ou d\u2019une source de courant et selon les formes d\u2019ondes produites par l\u2019onduleur.<\/p>\n

Des convertisseurs directs de fr\u00e9quence, d\u00e9nomm\u00e9s cyclo convertisseurs, qui r\u00e9alisent la conversion de fr\u00e9quence sans recourir \u00e0 un \u00e9tage interm\u00e9diaire \u00e0 fr\u00e9quence nulle, sont aussi utilis\u00e9s pour des cas particuliers d\u2019entra\u00eenements par moteurs asynchrones de forte puissance (quelques m\u00e9gawatts).<\/p>\n

Redresseur-onduleur de tension \u00e0 modulation de largeur d\u2019impulsions (MLI)<\/p>\n

Le sch\u00e9ma de principe de ce convertisseur de fr\u00e9quence est pr\u00e9sent\u00e9 sur la figure 19. Il comporte :<\/p>\n

un redresseur triphas\u00e9 \u00e0 diodes qui d\u00e9livre une tension continue d\u2019amplitude pratiquement constante (pour une tension alternative d\u2019alimentation<\/p>\n

constante);<\/p>\n

un \u00e9tage de filtrage, comportant principalement un condensateur de forte capacit\u00e9;<\/p>\n

un onduleur de tension d\u00e9livrant des impulsions de tension d\u2019amplitude fixe mais de largeur variable, qui, en moyenne, restituent un syst\u00e8me de tensions d\u2019amplitude et de fr\u00e9quence variables ; en g\u00e9n\u00e9ral, la tension fondamentale est d\u2019amplitude proportionnelle \u00e0 la fr\u00e9quence de fa\u00e7on \u00e0 maintenir un flux magn\u00e9tique (rapport U\/f) constant dans le moteur sur toute la plage de vitesse.<\/p>\n\n\n\n\n\n
3<\/p>\n

2<\/p>\n

1<\/p>\n

+<\/p>\n

L<\/p>\n

1<\/p>\n

IGBT<\/p>\n

3<\/p>\n

2<\/p>\n

1<\/p>\n

+<\/p>\n

L<\/p>\n

1<\/p>\n

IGBT<\/td>\n<\/tr>\n

L2<\/td>\n4<\/p>\n

M<\/p>\n

3<\/p>\n

pha<\/p>\n

N<\/p>\n

4<\/p>\n

M<\/p>\n

3<\/p>\n

pha<\/p>\n

N<\/td>\n<\/tr>\n

L3<\/td>\n<\/td>\n<\/tr>\n<\/tbody>\n<\/table>\n

Figure.13 – Sch\u00e9ma de principe<\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

0<\/p>\n

Tension moyenne<\/p>\n

Tension instantan\u00e9e<\/p>\n

0<\/p>\n

U<\/p>\n

+<\/p>\n

E<\/p>\n

–<\/p>\n

E<\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

0<\/p>\n

Tension moyenne<\/p>\n

Tension instantan\u00e9e<\/p>\n

0<\/p>\n

U<\/p>\n

+<\/p>\n

E<\/p>\n

–<\/p>\n

E<\/p>\n

Figure.14 – Allure de la tension entre phases du moteur<\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

I.2.2. PARTIE COMMANDE<\/strong><\/p>\n

I.2.2.1. DISPOSITIF DE COMMANDE<\/p>\n

Ils regroupent tous les composants de bases raccord\u00e9s entre eux de fa\u00e7on \u00e0 assurer le contr\u00f4le du moteur. Leurs grandeurs et caract\u00e9ristiques peuvent varier selon la dimension du moteur, mais leur principe de fonctionnement reste le m\u00eame.<\/p>\n

\uf0b7 SIMOCODE (Rel<\/em>ais multifonctions) <\/em><\/p>\n

Est un syst\u00e8me de gestion de moteur, flexible et modulaire qui se raccorde simplement et directement aux syst\u00e8mes d\u2019automatisation centralis\u00e9s via PROFIBUS et permet la protection et le contr\u00f4le de moteur, il d\u00e9termine les donn\u00e9es de fonctionnement, de diagnostic et statistiques et organise la communication entre l’automate et le d\u00e9part moteur.<\/p>\n

En outre, ceci rencontre toutes les exigences d’une gestion d’\u00e9nergie par\u00e9e<\/p>\n

pour l’avenir.<\/p>\n

Ses fonctionnalit\u00e9s couvrent tous les besoins entre le d\u00e9part moteur et le<\/p>\n

syst\u00e8me d\u2019automatisation. L\u2019ensemble des fonctions de protection, surveillance et commande n\u00e9cessaires pour chaque d\u00e9part moteur est regroup\u00e9e dans un syst\u00e8me compact unique.<\/p>\n

La qualit\u00e9 de la conduite de processus s\u2019en trouve am\u00e9lior\u00e9e et parall\u00e8lement, les co\u00fbts diminuent depuis l\u2019\u00e9tude jusqu\u2019\u00e0 l\u2019exploitation ou la maintenance de l\u2019installation, en passant par le montage.<\/p>\n

SIMOCODE pro<\/strong> est r\u00e9parti en deux s\u00e9ries d’appareils disposant de<\/p>\n

diff\u00e9rents niveaux de fonctions :<\/p>\n

SIMOCODE pro C<\/strong> (Compact) Syst\u00e8me de gestion de moteur compact pour d\u00e9parts-moteurs directs et d\u00e9parts-moteurs inverseurs.<\/p>\n

SIMOCODE<\/strong> pro V<\/strong> (Variable) Syst\u00e8me de gestion de moteur variable offrant une plus grande richesse fonctionnelle, y compris la surveillance de tension et de puissance. Le syst\u00e8me comprend aussi les outils logiciels n\u00e9cessaires \u00e0 la configuration de l’installation, au param\u00e9trage des appareils, au diagnostic et \u00e0 la documentation de l’installation.<\/strong><\/p>\n

Des fonctions compl\u00e8tes sont int\u00e9gr\u00e9es dans cette nouvelle g\u00e9n\u00e9ration qui mise clairement sur les exigences actuelles et futures :<\/p>\n

\uf0b7 Protection totale du moteur, \u00e9lectronique, multifonctionnelle et autonome vis\u00e0-vis du syst\u00e8me d\u2019automatisation.<\/p>\n

Fonctions de commande int\u00e9gr\u00e9es<\/p>\n

Donn\u00e9es de fonctionnement, maintenance et diagnostic d\u00e9taill\u00e9es<\/p>\n

Communication ouverte via PROFIBUS,<\/strong> le standard parmi les bus de terrains.<\/p>\n

Les principaux composants g\u00e9n\u00e9ralement employ\u00e9s pour la r\u00e9alisation des<\/p>\n

diff\u00e9rents circuits sont :<\/p>\n

Sectionneurs<\/em> ;<\/em><\/p>\n

Disjoncteurs<\/em> manuels<\/em> ;<\/em><\/p>\n

Bouton-<\/em>poussoir<\/em> ;<\/em><\/p>\n

Relais<\/em> de <\/em>commande<\/em> ;<\/em><\/p>\n

Relais<\/em> thermiques<\/em> ;<\/em><\/p>\n

Contac<\/em>teurs<\/em> ;<\/em><\/p>\n

Lampes t\u00e9moins ; <\/em>\uf0b7 Interrupteurs sp\u00e9ciaux ; <\/em>\uf0b7 D\u00e9tecteurs de proximit\u00e9.<\/em><\/p>\n

Ce sont des dispositifs scell\u00e9s qui peuvent d\u00e9tecter des objets sans les toucher. Leur dur\u00e9e de vie est ind\u00e9pendante du nombre d’op\u00e9rations qu’ils effectuent.<\/p>\n

I.2.2.2. DIAGRAMMES DE COMMANDE<\/p>\n

Les diagrammes de commande montrent les divers organes \u00e0 l’\u00e9tat de<\/p>\n

repos, c’est-\u00e0-dire lorsqu’ils ne sont pas aliment\u00e9s (\u00e9lectriquement) ou actionn\u00e9s (m\u00e9caniquement). Dans cet \u00e9tat, certains contacts sont ouverts alors que d’autres sont ferm\u00e9s. On les appelle, respectivement, contacts normalement ouverts (NO) et contacts normalement ferm\u00e9s (NF). Ils sont d\u00e9sign\u00e9s par les symboles suivants :<\/p>\n

Contact normalement ferm\u00e9 ;<\/p>\n

Contact normalement ouvert.<\/p>\n

Ordinairement, on dessine les contacts de puissance avec des traits gras<\/p>\n

et les contacts de commande avec des traits fins.<\/p>\n

Il existe 4 sortes de diagrammes :<\/p>\n

Le diagramme synoptique<\/p>\n

Il est constitu\u00e9 par un groupe de rectangles repr\u00e9sentant chacun un dispositif de commande et comprenant une courte description de sa fonction. On r\u00e9unit les rectangles par des fl\u00e8ches pour indiquer la direction de la puissance \u00e9lectrique.<\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

Relais thermique<\/p>\n

Moteur a cage<\/p>\n

d<\/p>\n

\u00e9cureuil<\/p>\n

Secteur avec<\/p>\n

fusible<\/p>\n

Bouton<\/p>\n

–<\/p>\n

poussoir marche<\/p>\n

–<\/p>\n

arr\u00eat<\/p>\n

Lampe t\u00e9moin<\/p>\n

(<\/p>\n

moteur en<\/p>\n

marche<\/p>\n

)<\/p>\n

Contacteur<\/p>\n

magn\u00e9tique<\/p>\n

600<\/p>\n

v<\/p>\n

3<\/p>\n

phas<\/p>\n

es<\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

Relais thermique<\/p>\n

Moteur a cage<\/p>\n

d<\/p>\n

\u00e9cureuil<\/p>\n

Secteur avec<\/p>\n

fusible<\/p>\n

Bouton<\/p>\n

–<\/p>\n

poussoir marche<\/p>\n

–<\/p>\n

arr\u00eat<\/p>\n

Lampe t\u00e9moin<\/p>\n

(<\/p>\n

moteur en<\/p>\n

marche<\/p>\n

)<\/p>\n

Contacteur<\/p>\n

magn\u00e9tique<\/p>\n

600<\/p>\n

v<\/p>\n

3<\/p>\n

phas<\/p>\n

es<\/p>\n

Figure.15 – Diagramme synoptique<\/p>\n

Le diagramme unifilaire<\/p>\n

Il est semblable au diagramme synoptique sauf que les composants sont repr\u00e9sent\u00e9s par leur symbole plut\u00f4t que par des rectangles. Les symboles donnent une id\u00e9e de la nature des composants, de sorte que le diagramme unifilaire r\u00e9v\u00e8le plus d\u2019information.<\/p>\n

Une seule ligne relie les divers composants, quel que soit le nombre de<\/p>\n

conducteurs r\u00e9ellement utilis\u00e9s.<\/p>\n

M<\/p>\n

A<\/p>\n

L<\/p>\n

T<\/p>\n

T<\/p>\n

Sectionneur<\/p>\n

A<\/p>\n

A<\/p>\n

PB<\/p>\n

1<\/p>\n

PB<\/p>\n

2<\/p>\n

Bobine de<\/p>\n

maintenance<\/p>\n

Relais thermique de<\/p>\n

surcharge<\/p>\n

Bouton<\/p>\n

poussoir<\/p>\n

Fusible<\/p>\n

600<\/p>\n

V<\/p>\n

3<\/p>\n

Phases<\/p>\n

Contact NO<\/p>\n

M<\/p>\n

A<\/p>\n

L<\/p>\n

T<\/p>\n

T<\/p>\n

Sectionneur<\/p>\n

A<\/p>\n

A<\/p>\n

PB<\/p>\n

1<\/p>\n

PB<\/p>\n

2<\/p>\n

Bobine de<\/p>\n

maintenance<\/p>\n

Relais thermique de<\/p>\n

surcharge<\/p>\n

Bouton<\/p>\n

poussoir<\/p>\n

Fusible<\/p>\n

600<\/p>\n

V<\/p>\n

3<\/p>\n

Phases<\/p>\n

Contact NO<\/p>\n

 <\/p>\n

Figure.16 – Diagramme Unifilaire<\/p>\n

Le diagramme sch\u00e9matique<\/p>\n

Le diagramme sch\u00e9matique montre toutes les connexions \u00e9lectriques existant entre les divers composants tout en ne respectant ni leurs positions respectives, ni la disposition de leurs bornes. Ce genre de diagramme est indispensable quand on doit localiser un d\u00e9faut dans un circuit de commande, ou quand il faut conna\u00eetre son fonctionnement en d\u00e9tail. Afin de distinguer le circuit de puissance du circuit de commande.<\/p>\n


\n\"\"
\n<\/a>S<\/p>\n

T<\/p>\n

Figure.17 – Diagramme sch\u00e9matique; D\u00e9marrage direct<\/p>\n

Le diagramme des connexions<\/p>\n

Il montre les connexions entre les composants tout en tenant compte de la disposition physique des bornes, et parfois de la couleur des fils. On utilise ces diagrammes lors de l’installation ou quand il faut identifier les fils pour localiser une panne.<\/p>\n

600V 3Phases<\/p>\n

SECTIONNEUR<\/strong><\/p>\n

L<\/p>\n

1<\/p>\n

L<\/p>\n

3<\/p>\n

L<\/p>\n

2<\/p>\n

B<\/p>\n

1<\/p>\n

B<\/p>\n

2<\/p>\n

B<\/p>\n

3<\/p>\n

L<\/p>\n

2<\/p>\n

L<\/p>\n

3<\/p>\n

1<\/p>\n

2<\/p>\n

B<\/p>\n

C<\/p>\n

A<\/p>\n

T<\/p>\n

1<\/p>\n

T<\/p>\n

2<\/p>\n

T<\/p>\n

3<\/p>\n

6<\/p>\n

7<\/p>\n

8<\/p>\n

Bouton<\/p>\n

–<\/p>\n

poussoir<\/p>\n

MOTEUR<\/strong><\/p>\n

L<\/p>\n

1<\/p>\n

m<\/strong><\/p>\n

a<\/p>\n

D\u00e9marreur<\/p>\n

SECTIONNEUR<\/strong><\/p>\n

L<\/p>\n

1<\/p>\n

L<\/p>\n

3<\/p>\n

L<\/p>\n

2<\/p>\n

B<\/p>\n

1<\/p>\n

B<\/p>\n

2<\/p>\n

B<\/p>\n

3<\/p>\n

L<\/p>\n

2<\/p>\n

L<\/p>\n

3<\/p>\n

1<\/p>\n

2<\/p>\n

B<\/p>\n

C<\/p>\n

A<\/p>\n

T<\/p>\n

1<\/p>\n

T<\/p>\n

2<\/p>\n

T<\/p>\n

3<\/p>\n

6<\/p>\n

7<\/p>\n

8<\/p>\n

Bouton<\/p>\n

–<\/p>\n

poussoir<\/p>\n

MOTEUR<\/strong><\/p>\n

L<\/p>\n

1<\/p>\n

m<\/strong><\/p>\n

a<\/p>\n

D\u00e9marreur<\/p>\n

Figure.18 – Diagramme des connexions<\/p>\n

I.2.2.3. PROCEDES DE DEMARRAGE<\/p>\n

Comme proc\u00e9d\u00e9 de d\u00e9marrage des moteurs asynchrones \u00e0 cage nous<\/p>\n

avons :<\/p>\n

Le d\u00e9marrage Direct.<\/p>\n

Le d\u00e9marrage par R\u00e9sistances.<\/p>\n

le d\u00e9marrage par Autotransformateur.<\/p>\n

le d\u00e9marrage Etoile-Triangle.<\/p>\n

Le choix de la m\u00e9thode de d\u00e9marrage d\u00e9pend des caract\u00e9ristiques du r\u00e9seau d’alimentation et de la nature de la charge entra\u00een\u00e9e par le moteur.<\/p>\n

I.2.3. LES POMPES CENTRIFUGES <\/strong><\/p>\n

Les pompes centrifuges sont des turbomachines r\u00e9ceptrices dont la rotation de la roue, appel\u00e9e aussi impulseur, produit un r\u00e9gime de pression et de vitesse qui d\u00e9termine la circulation d\u2019un liquide dans circuit. Son but est d\u2019augmenter l\u2019\u00e9nergie d\u2019un liquide sous forme d\u2019accroissement d\u2019\u00e9nergie de pression.<\/p>\n

NB : Les pompes centrifuges sont utilis\u00e9es pour des grandes hauteurs et des faibles d\u00e9bits.<\/p>\n

I.2.3.<\/em>1.Classification<\/em> des pompes centrifuges <\/em><\/p>\n

Il existe deux types des pompes centrifuges \u00e0 savoir :<\/p>\n

\uf076 La pompe centrifuge a une roue et, \uf076 La pompe centrifuge multicellulaire.<\/p>\n

I.2.3.2. Fonctionnement de pompes centrifuges<\/p>\n

Une pompe centrifuge est constitu\u00e9e par:<\/p>\n

Une roue \u00e0 aubes tournant autour de son axe<\/p>\n

Un distributeur dans l’axe de la roue<\/p>\n

Un collecteur de section croissante, en forme de spirale appel\u00e9e volute.<\/p>\n

Le liquide arrive dans l’axe de l’appareil par le distributeur et la force centrifuge le projette vers l’ext\u00e9rieur de la turbine. Il acquiert une grande \u00e9nergie Cin\u00e9tique qui se transforme en \u00e9nergie de pression dans le collecteur o\u00f9 la section est croissante.<\/p>\n

L’utilisation d’un diffuseur (roue \u00e0 aubes fixe) \u00e0 la p\u00e9riph\u00e9rie de la roue<\/p>\n

mobile permet une diminution de la perte d’\u00e9nergie.<\/p>\n

Amor\u00e7age<\/strong><\/p>\n

Les pompes centrifuges ne peuvent s’amorcer seules. L’air contenu n\u00e9cessite d’\u00eatre pr\u00e9alablement chass\u00e9. On peut utiliser un r\u00e9servoir annexe plac\u00e9 en charge sur la pompe pour r\u00e9aliser cet amor\u00e7age par gravit\u00e9.<\/p>\n

Pour \u00e9viter de d\u00e9samorcer la pompe \u00e0 chaque red\u00e9marrage il peut \u00eatre<\/p>\n

int\u00e9ressant d’utiliser un clapet anti-retour au pied de la canalisation d’aspiration.<\/p>\n

I.2.3.2.1. Installation de la pompe. <\/em><\/p>\n

Dans ce paragraphe nous allons voir comment monter une pompe dans les installations de pompage.<\/p>\n

Structure d\u2019une installation de pompage; l\u2019installation hydraulique de pompage comprend :<\/p>\n

La pompe elle-m\u00eame;<\/p>\n

La conduite d\u2019aspiration;<\/p>\n

La conduite de refoulement;<\/p>\n

Les caract\u00e9ristiques g\u00e9om\u00e9triques du milieu.<\/p>\n

Les caract\u00e9ristiques g\u00e9om\u00e9triques du milieu : \uf0d8 Hauteur manom\u00e9trique; \uf0d8 Hauteur g\u00e9om\u00e9trique.<\/p>\n

I.2.3.2.2. Montage de la <\/em>pompe<\/em><\/p>\n

Apr\u00e8s avoir fait le choix de la pompe \u00e0 monter dans les installations, on devra l\u2019essayer pour voir si r\u00e9ellement celle-ci respecte la hauteur manom\u00e9trique et la plage dans lequel son point de fonctionnement est atteint.<\/p>\n

La pompe \u00e0 tester est raccord\u00e9 sur l\u2019installation entre la conduite d\u2019aspiration et de refoulement ;<\/p>\n

Sur la tuyauterie, on place les accessoires de mesures suivantes : un indicateur de vide, un manom\u00e8tre, une vanne avec un d\u00e9bitm\u00e8tre ; sur la ligne \u00e9lectrique on place un wattm\u00e8tre ; en plus on dispose d\u2019un tachym\u00e8tre qui permet de pr\u00e9lever la vitesse de rotation de la pompe ;<\/p>\n

Pour une position donn\u00e9e de la vanne de refoulement, on mesure :<\/p>\n

Le d\u00e9bit (Q) au moyen du d\u00e9bitm\u00e8tre<\/p>\n

La pression (P) qui est la somme des lectures au manom\u00e8tre et \u00e0 l\u2019indicateur \u00e0 vide.<\/p>\n

La puissance (P) au moyen du wattm\u00e8tre. (cette puissance est multipli\u00e9e par le rendement du moteur \u00e9lectrique pour obtenir la puissance absorb\u00e9e par la pompe).<\/p>\n

La vitesse de rotation (N) au moyen du tachym\u00e8tre. De ce fait on obtient :<\/p>\n

Q : en m3<\/sup>\/s<\/p>\n

P : en N\/m\u00b2<\/p>\n

P : (Puissance) en W<\/p>\n

Consid\u00e9rons une pompe install\u00e9e et en fonctionnement (figure 21). Avec :<\/p>\n

P1 et P2 : pression d\u2019entr\u00e9e et de sortie ;<\/p>\n

N1 et N2 : les vitesses \u00e0 l\u2019entr\u00e9e et \u00e0 la sortie ; \uf0b7 H1<\/sub> et H2 <\/sub>: hauteur g\u00e9om\u00e9trique.<\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n


\n\"\"
\n<\/a>

\n\"\"
\n<\/a>

\n\"\"
\n<\/a>

\n\"\"
\n<\/a>

\n\"\"
\n<\/a>

\n\"\"
\n<\/a>

\n\"\"
\n<\/a><\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

Figure.19 – Montage d\u2019une pompe<\/p>\n

I.2.4. COUPLAGE DES POMPES <\/strong>Dans l\u2019exploitation, il peut se faire qu\u2019on a une s\u00e9rie des pompes disponibles et que la demande ou le besoin exige une pompe de capacit\u00e9 sup\u00e9rieure \u00e0 celle des pompes disponibles. On est dans ce cas, appel\u00e9 \u00e0 faire un groupement ou couplage des pompes.<\/p>\n

I.2.4.1 Couplage des pompes en parall\u00e8les<\/p>\n

L\u2019on effectue g\u00e9n\u00e9ralement ce type de couplage pour augmenter le d\u00e9bit sans toucher \u00e0 la hauteur d\u2019\u00e9l\u00e9vation.<\/p>\n

a. <\/strong>Avantage<\/strong><\/p>\n

 <\/p>\n

Offre des d\u00e9bits croissants selon le nombre de pompe mise en parall\u00e8le.<\/p>\n

Limitation pratique des couts de b\u00e9lier \u00e0 l\u2019arr\u00eat et au d\u00e9marrage.<\/p>\n

Consid\u00e9rons deux pompes coupl\u00e9es en parall\u00e8les, dont les courbes \ud835\udc3b\ud835\udc5d = \ud835\udc53 (\ud835\udc44) sont respectivement (1) et (2) on obtient la courbe r\u00e9sultante en additionnant les abscisses des courbes Hp. Ainsi le point de fonctionnement sera l\u2019intersection de la courbe r\u00e9sultante avec la courbe Hc (de pertes de charge, caract\u00e9ristiques du r\u00e9seau ou de l\u2019installation).<\/p>\n

Ce couplage s\u2019obtient tr\u00e8s souvent en connectant les refoulements des<\/p>\n

pompes \u00e0 un m\u00eame tuyau de refoulement.<\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n


\n\"\"
\n<\/a><\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

Figure.20 – Couplages de pompes en parall\u00e8les<\/p>\n

I.2.4.2. Couplage des pompes en s\u00e9rie <\/em>Ce couplage vise beaucoup plus l\u2019augmentation de la hauteur sans changer <\/strong><\/p>\n

le d\u00e9bit.<\/p>\n

Dans ce cas, on a la courbe r\u00e9sultante en additionnant les ordonn\u00e9es des courbes Hp correspondant \u00e0 chacune des pompes.<\/p>\n

Le point de fonctionnement est aussi, dans ce cas, trouv\u00e9 en faisait<\/p>\n

l\u2019intersection de la courbe Hp r\u00e9sultante et la courbe Hc (caract\u00e9ristique de l\u2019installation).<\/p>\n

Le couplage pr\u00e9sente un peu des difficult\u00e9s ; c\u2019est pourquoi en g\u00e9n\u00e9rale on utilise mieux les pompes multicellulaires. On obtient en connectant la sortie (refoulement) de la premi\u00e8re \u00e0 pompe \u00e0 l\u2019entr\u00e9e (aspiration de la seconde).<\/p>\n

 <\/p>\n

Caract\u00e9ristique de la<\/p>\n

pompe en s\u00e9rie<\/p>\n


\n\"\"
\n<\/a>

\n\"\"
\n<\/a>

\n\"\"
\n<\/a>

\n\"\"
\n<\/a>

\n\"\"
\n<\/a>

\n\"\"
\n<\/a>

\n\"\"
\n<\/a>

\n\"\"
\n<\/a><\/p>\n

 <\/p>\n

Caract\u00e9ristique de la<\/p>\n

pompe en s\u00e9rie<\/p>\n

Figure.21 – Couplage des pompes en s\u00e9rie<\/p>\n

I.2.4.3. r\u00e9glage des pompes centrifuges<\/p>\n

a. <\/em>R\u00e9glage du d\u00e9bit<\/em><\/p>\n

Le d\u00e9bit d\u2019une pompe peut \u00eatre r\u00e9gl\u00e9 de diverses mani\u00e8res :<\/p>\n

Variation de la vitesse de rotation de la pompe par un dispositif \u00e9lectronique ;<\/p>\n

Vanne de r\u00e9glage situ\u00e9e sur la canalisation de refoulement de la pompe pour \u00e9viter le risque de cavitation: suivant son degr\u00e9 d’ouverture, la perte de charge du r\u00e9seau va augmenter ou diminuer ce qui va entra\u00eener la variation du point de fonctionnement ;<\/p>\n

R\u00e9glage en «canard» avec renvoi \u00e0 l’aspiration d’une partie du d\u00e9bit.<\/p>\n

I.2.5. PHENOMENES TRANSITOIRES D\u2019UNE POMPE <\/strong>I.2.5.1. <\/em>La cavitation <\/em><\/strong><\/strong><\/p>\n

Introduction <\/em><\/p>\n

La cavitation c\u2019est un ph\u00e9nom\u00e8ne qui surgie quand, \u00e0 une vitesse de rotation constante, on ferme progressivement la vanne sur la conduite d\u2019aspiration d\u2019une pompe qui s\u2019accompagne d\u2019une diminution rapide du d\u00e9bit et d la hauteur engendr\u00e9e, du fait qu\u2019\u00e0 certains endroits de l\u2019installation il y a production de la vapeur avec mise en libert\u00e9 de l\u2019air dissous.<\/p>\n

Ainsi la vapeur produite et l\u2019air vont constituer un \u00e9tranglement dans la veine liquide qui peut aller jusqu\u2019\u00e0 r\u00e9duire le d\u00e9bit \u00e0 z\u00e9ro. Par cons\u00e9quent, il se produit des rentr\u00e9es d\u2019air dues au manque d\u2019\u00e9tanch\u00e9it\u00e9 au joint d\u2019entr\u00e9e.<\/p>\n

Cons\u00e9quence<\/em> indices de la cavitation <\/em><\/p>\n

Le ph\u00e9nom\u00e8ne de cavitation a toujours \u00e9t\u00e9 accompagn\u00e9 d\u2019un bruit caract\u00e9risant son intensit\u00e9. Dans les premiers instants. On a un faible cr\u00e9pitement, ensuite on a un cr\u00e9pitement intense et pendant ce temps on sent des vibrations de la machine.<\/p>\n

La cavitation cause \u00e0 l\u2019endroit o\u00f9 elle se produit, une intense rapide \u00e9rosion, du m\u00e9tal, elle diminue la courbe de hauteur, d\u00e9bit et celle de rendement.<\/p>\n

Modes de pr\u00e9vention de la cavitation <\/em><\/p>\n

Nous pouvons r\u00e9unir les moyens de pr\u00e9vention de la cavitation en trois sous-groupes principaux :<\/p>\n

Moyens constructifs ;<\/p>\n

Indication d\u2019installation et de fonctionnement ; \uf0b7 Utilisation des mat\u00e9riaux appropri\u00e9s.<\/p>\n

Parmi ces trois moyens, le premier et le troisi\u00e8me d\u00e9pendent<\/p>\n

essentiellement du constructeur ou fabriquant de pompes, et l\u2019utilisateur ne peut s\u2019int\u00e9resser qu\u2019au deuxi\u00e8me.<\/p>\n

Nous devons assurer une charge d\u2019aspiration convenable dans les pompes ;<\/p>\n

Nous devons assurer les conditions normales de fonctionnement correspondant au rendement maximal de la pompe.<\/p>\n

I.2.5.2. Le coup de b\u00e9lier<\/p>\n

Contrairement au probl\u00e8me de cavitation, le coup de b\u00e9lier<\/strong> se produit en pr\u00e9sence d\u2019un \u00e9largissement, la vitesse diminue brusquement, tandis que la pression augmente, ce qui facilite la dissolution des gaz et la condensation de la vapeur d\u2019eau. L\u2019augmentation brusque de la pression apr\u00e8s la cavit\u00e9 est appel\u00e9e \u00ab le coup de b\u00e9lier \u00bb. Ce ph\u00e9nom\u00e8ne s\u2019accompagne de beaucoup de destructions.<\/p>\n

I.2.4. PROCESSUS D\u2019AUTOMATISATION PAR LE BIAIS D\u2019UN AUTOMATE <\/strong><\/p>\n

PROGRAMMABLE INDUSTRIEL (API) <\/strong><\/p>\n

Lors de sa cr\u00e9ation, les capacit\u00e9s de l’API se limitaient au remplacement des relais de commande industriels. \u00c9videmment, il offrait d\u00e9j\u00e0 des avantages aux utilisateurs. Il prenait moins de place que les armoires de commandes conventionnelles et consommait moins d\u2019\u00e9nergie. Il \u00e9tait programmable et \u00e9tait muni d’indicateurs d’\u00e9tat, facilitant la v\u00e9rification de son bon fonctionnement et l’identification des probl\u00e8mes.<\/p>\n

De nos jours, tout en continuant \u00e0 remplacer les relais de commande, l’API peut effectuer des op\u00e9rations math\u00e9matiques, contr\u00f4ler et r\u00e9gulariser des proc\u00e9d\u00e9s industriels, commander la vitesse et le positionnement des moteurs et la plupart des caract\u00e9ristiques essentielles li\u00e9s aux \u00e9quipements industriels.<\/p>\n

I.2.4.1. ARCHITECTURE D\u2019UN AUTOMATE PROGRAMMABLE<\/p>\n

Imaginons une \u00abbo\u00eete noire\u00bb \u00e0 l’int\u00e9rieur de laquelle on peut r\u00e9aliser diverses liaisons entre, d’une part, les dispositifs de commande (boutons poussoirs, contacts auxiliaires) et d’autre part, les dispositifs command\u00e9s (bobines de contacteurs, lampes t\u00e9moins).<\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

A<\/p>\n

B<\/p>\n

F<\/p>\n

R<\/p>\n

Ax<\/p>\n

2<\/p>\n

L<\/p>\n

Ax<\/p>\n

1<\/p>\n

Bx<\/p>\n

2<\/p>\n

Bx<\/p>\n

1<\/p>\n

Marche<\/p>\n

Arr\u00eat<\/p>\n

B<\/p>\n

A<\/p>\n

Boite de connexion<\/p>\n

Borne d<\/p>\n

entr\u00e9e<\/p>\n

Borne de sortie<\/p>\n

Dispositifs de commande<\/p>\n

Dispositifs de commande<\/p>\n

 <\/p>\n

A<\/p>\n

B<\/p>\n

F<\/p>\n

R<\/p>\n

Ax<\/p>\n

2<\/p>\n

L<\/p>\n

Ax<\/p>\n

1<\/p>\n

Bx<\/p>\n

2<\/p>\n

Bx<\/p>\n

1<\/p>\n

Marche<\/p>\n

Arr\u00eat<\/p>\n

B<\/p>\n

A<\/p>\n

Boite de connexion<\/p>\n

Borne d<\/p>\n

entr\u00e9e<\/p>\n

Borne de sortie<\/p>\n

Dispositifs de commande<\/p>\n

Dispositifs de commande<\/p>\n

 <\/p>\n

Figure.22 – Connexions des dispositifs d’un API<\/p>\n

Les dispositifs de commande sont raccord\u00e9s aux bornes d’entr\u00e9e de la bo\u00eete des connexions.<\/p>\n

De m\u00eame, les dispositifs command\u00e9s (bobines de maintien A et B) sont branch\u00e9s aux bornes de sortie.<\/p>\n

En consid\u00e9rant que la bo\u00eete de connexions est un ordinateur ; Ses capacit\u00e9s \u00e0 simuler les connexions requises, de m\u00eame que l’action des contacts et des bobines de relais ; ouvre la possibilit\u00e9 de cr\u00e9er des milliers de contacts et de bobines, dans la mesure o\u00f9 la m\u00e9moire de l’ordinateur est suffisante.<\/p>\n

Le syst\u00e8me de commande peut donc prendre 5 parties, qui sont<\/p>\n

repr\u00e9sent\u00e9es de la mani\u00e8re suivante :<\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

UCT unit\u00e9<\/p>\n

centrale de<\/p>\n

traitement<\/p>\n

Module<\/p>\n

de sortie<\/p>\n

Dispositifs d<\/p>\n

entr\u00e9e<\/p>\n

Module<\/p>\n

d<\/p>\n

entr\u00e9e<\/p>\n

Unit\u00e9 de<\/p>\n

programmation<\/p>\n

Dispositifs de sortie<\/p>\n

Bloc d<\/p>\n

alimentation<\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

 <\/p>\n

UCT unit\u00e9<\/p>\n

centrale de<\/p>\n

traitement<\/p>\n

Module<\/p>\n

de sortie<\/p>\n

Dispositifs d<\/p>\n

entr\u00e9e<\/p>\n

Module<\/p>\n

d<\/p>\n

entr\u00e9e<\/p>\n

Unit\u00e9 de<\/p>\n

programmation<\/p>\n

Dispositifs de sortie<\/p>\n

Bloc d<\/p>\n

alimentation<\/p>\n

Figure.23 – Constitution d’un API<\/p>\n

L\u2019automate programmable sert \u00e0 r\u00e9guler les processus, par rapport aux donn\u00e9es fournies par le capteur \u00e0 la carte d\u2019entr\u00e9e et la r\u00e9action de la machine selon une commande transmise par la CPU par l\u2019interm\u00e9diaire de la carte de sortie.<\/p>\n

Le signal transmis par le capteur est un signal \u00e9lectrique le plus souvent en<\/p>\n

24 V. lorsque la distance s\u00e9parant le capteur de l\u2019automate est consid\u00e9rable, la tension du signal varie de 110 \u00e0 220 V.<\/p>\n

La carte d\u2019entr\u00e9e ne sert pas seulement \u00e0 transmettre les informations des capteurs mais \u00e9galement \u00e0 actionner les dispositifs de commande.<\/p>\n

\uf076 Un automate programmable est <\/strong>compos\u00e9<\/strong> :<\/p>\n

D\u2019une alimentation<\/p>\n

Elle fournit la puissance requise par la CPU, par l’unit\u00e9 de programmation et par les cartes d’entr\u00e9e et de sortie.<\/p>\n

D\u2019une CPU (unit\u00e9 centrale de traitement)<\/p>\n

Une unit\u00e9 centrale de traitement (UCT), soit un ordinateur pouvant simuler les contacts et les bobines de relais requis, ainsi que les interconnexions.<\/p>\n

D\u2019une console de programmation<\/p>\n

C\u2019est un ordinateur sur lequel on installe le logiciel correspondant \u00e0 l\u2019automate. Ce logiciel est utilis\u00e9 pour programmer la CPU.<\/p>\n

Cela permet de choisir les diff\u00e9rents types de relais et de contacts que la CPU doit simuler, ainsi que la fa\u00e7on de relier ces composants.<\/p>\n

Des <\/strong>cartes<\/strong> d\u2019entr\u00e9es<\/strong><\/p>\n

Elles servent d’interface entre les dispositifs de commande et l’unit\u00e9 centrale de traitement<\/p>\n

Des <\/strong>cartes<\/strong> de sorties<\/strong><\/p>\n

Elles servent d’interface entre les dispositifs command\u00e9s et l’unit\u00e9 centrale de traitement.<\/p>\n

 <\/p>\n

Ceci constituent les composantes principales mais selon le besoins on peut ajouter d\u2019autres cartes: cartes de communication, carte r\u00e9seau, etc.<\/p>\n

I.2.4.2. CATEGORIE DES SIGNAUX EN AUTOMATISME<\/p>\n

Les signaux \u00e9lectriques se trouvant aux entr\u00e9es et sorties des automates peuvent \u00eatre fondamentalement divis\u00e9s en deux groupes distincts :<\/p>\n

a. Signaux binaires<\/em><\/p>\n

Les signaux binaires peuvent seulement prendre deux \u00e9tats.<\/p>\n

Il s\u2019agit de :<\/p>\n

Etat de signal 1 = Tension disponible = par ex. Interrupteur ferm\u00e9 ;<\/p>\n

Etat de signal 0 = Tension indisponible = par ex. Interrupteur ouvert.<\/p>\n

En technique de commande, on utilisera souvent une tension continue de 24V<\/strong> comme tension de commande. Un niveau de tension de + 24V<\/strong> sur une borne d\u2019entr\u00e9e correspond ainsi \u00e0 l\u2019\u00e9tat de signal 1 pour cette entr\u00e9e. De la m\u00eame mani\u00e8re, 0V correspond \u00e0 l\u2019\u00e9tat du signal 0.<\/p>\n

\uf0a7 Cases <\/strong>binaires<\/strong> :<\/p>\n

Un signal binaire peut donc prendre seulement les deux valeurs (\u00e9tats de signal) 0 ou 1. Un tel signal est aussi d\u00e9sign\u00e9 sous le nom de binaire num\u00e9rique et prend le nom de \u00ab bit \u00bb en langage technique.<\/p>\n

Plusieurs signaux binaires regroup\u00e9s engendrent un signal num\u00e9rique suivant un ordre d\u00e9fini, alors qu\u2019un signal binaire permet seulement la prise en compte d\u2019une grandeur \u00e0 deux valeurs, et l\u2019on peut, par la repr\u00e9sentation de cases binaires, construire par exemple un nombre ou un chiffre comme information num\u00e9rique. Notons que le regroupement de n cases binaires permet la repr\u00e9sentation de 2n combinaisons diff\u00e9rentes.<\/p>\n

b. Signaux analogiques<\/em><\/p>\n

Contrairement \u00e0 un signal binaire, qui peut seulement prendre les deux \u00e9tats de signal Tension disponible +24V et Tension indisponible 0V les signaux analogiques peuvent prendre de nombreuses valeurs \u00e0 l\u2019int\u00e9rieur d\u2019un domaine donn\u00e9.<\/p>\n

Exemples de grandeurs analogiques en technique des r\u00e9gulations :<\/p>\n

Temp\u00e9rature -50 … +150\u00b0C<\/p>\n

D\u00e9bit 0 … 200l\/min<\/p>\n

Nombre de tours 500 … 1500 U\/min<\/p>\n

etc.<\/p>\n

Ces caract\u00e9ristiques physiques sont converties en tensions \u00e9lectriques,<\/p>\n

courants ou r\u00e9sistances \u00e0 l\u2019aide d\u2019un convertisseur de mesure. Si l\u2019on doit d\u00e9terminer par exemple un nombre de tours, on peut convertir un domaine de nombre de tours de 500 \u00e0 1500 tours\/min dans un domaine de tension de 0 a +10V par un convertisseur de mesure. Si l\u2019on mesure un nombre de tours de 865 tours\/min, le convertisseur de mesure nous donne ainsi une tension de + 3,65 V. Si des donn\u00e9es analogiques sont trait\u00e9es par un API, la valeur de tension\/courant\/imp\u00e9dance lue doit \u00eatre convertie en une information num\u00e9rique. Cette conversion est connue sous le nom de conversion analogique\/num\u00e9rique (CAN (A\/D)). Ceci signifie qu\u2019une valeur de tension valant par exemple 3,65V doit \u00eatre traduite dans une s\u00e9rie de chiffres binaires comme information. Plus on utilise de chiffres binaires pour la repr\u00e9sentation num\u00e9rique, meilleure est la r\u00e9solution. Si on avait par exemple un seul bit \u00e0 disposition pour le domaine de tension 0 … +10V, on pourrait seulement dire que la tension mesur\u00e9e se trouve dans le domaine 0 … +5V ou dans +5V … +10V.<\/p>\n

Avec 2 bits, on pourrait d\u00e9j\u00e0 diviser le domaine en 4 sous domaines individuels, soit 0 … 2,5 \/ 2,5 … 5 \/ 5 … 7,5 \/ 7,5 … 10V. Les convertisseurs A\/N (A\/D) usuels convertissent avec 8 ou 11 bits en technique des r\u00e9gulations.<\/p>\n

Les convertisseurs 8 bits ont 256 domaines \u00e9l\u00e9mentaires et les 11 bits<\/p>\n

une r\u00e9solution de 2048 domaines \u00e9l\u00e9mentaires.<\/p>\n

I.2.4.3. LES AUTOMATES PROGRAMMABLES INDUSTRIELS SIMATIC S7<\/em>. <\/em><\/strong><\/strong><\/p>\n

Il existe plusieurs firmes qui fabriquent les automates programmables : Siemens, ABB, etc.<\/p>\n

Les caract\u00e9ristiques des automates varient selon l\u2019\u00e9volution de la technologie et poss\u00e8dent donc des caract\u00e9ristiques diff\u00e9rentes les uns des autres.<\/p>\n

Dans notre travail, nous utilisons les automates SIMATIC S7.<\/p>\n

SIMATIC est une d\u00e9signation des produits de l\u2019entreprise SIEMENS qui signifie SIEMENS AUTOMATIC et s\u2019applique pour la s\u00e9rie actuelle des automates \u00e0 m\u00e9moire programmable.<\/p>\n

Les anciens automates SIMATIC portaient la d\u00e9signation S5. Actuellement,<\/p>\n

ils ont \u00e9volu\u00e9s jusqu\u2019\u00e0 atteindre la d\u00e9signation S7<\/p>\n

Les automates SIMATIC S7 sont cat\u00e9goris\u00e9s en plusieurs familles, \u00e0 savoir<\/p>\n

:<\/p>\n

La famille S7-200 est constitu\u00e9e de micro-automates programmables utilisables dans des applications d\u2019automatisation vari\u00e9es. Sa forme compacte, son faible prix et son important jeu d\u2019op\u00e9rations en font une solution id\u00e9ale pour la commande de petites applications.<\/p>\n

Les familles S7-300, S7-400 : leur champ d\u2019action est beaucoup plus grand et ils peuvent contr\u00f4ler un tr\u00e8s grand nombre d\u2019\u00e9quipement.<\/p>\n

STEP 7 est le progiciel de base pour la configuration et la programmation de syst\u00e8mes d’automatisation SIMATIC. Il fait partie de l’industrie logicielle SIMATIC. Le progiciel de base<\/p>\n

STEP 7 existe en plusieurs versions :<\/p>\n

STEP 7-Micro\/DOS et STEP 7-Micro\/Win pour des applications autonomes simples sur SIMATIC S7 – 200.<\/p>\n

STEP 7 pour des applications sur SIMATIC S7-300\/400, et SIMATIC C7 pr\u00e9sentant des fonctionnalit\u00e9s suppl\u00e9mentaires :<\/p>\n

Possibilit\u00e9 d’extension gr\u00e2ce aux applications propos\u00e9es par l’industrie logicielle SIMATIC (voir aussi Possibilit\u00e9s d’extension du logiciel de base STEP 7)<\/p>\n

Possibilit\u00e9 de param\u00e9trage de modules fonctionnels et de modules de communication<\/p>\n

For\u00e7age et fonctionnement multiprocesseur<\/p>\n

Communication par donn\u00e9es globales<\/p>\n

Transfert de donn\u00e9es command\u00e9 par \u00e9v\u00e9nement \u00e0 l’aide de blocs de communication et de blocs fonctionnels \uf0b7 Configuration de liaisons.<\/p>\n

 <\/p>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":"

I.2. AUTOMATISME L’automatisation de la production consiste \u00e0 transf\u00e9rer tout ou une partie des t\u00e2ches de coordination, auparavant ex\u00e9cut\u00e9es par des op\u00e9rateurs humains, dans un ensemble d’objets techniques appel\u00e9 partie commande. La partie commande m\u00e9morise le savoir-faire des op\u00e9rateurs pour obtenir la suite des actions \u00e0 effectuer sur les mati\u00e8res […]<\/p>\n","protected":false},"author":1,"featured_media":0,"comment_status":"open","ping_status":"closed","sticky":false,"template":"","format":"standard","meta":{"_acf_changed":false,"_uag_custom_page_level_css":"","site-sidebar-layout":"default","site-content-layout":"","ast-site-content-layout":"default","site-content-style":"default","site-sidebar-style":"default","ast-global-header-display":"","ast-banner-title-visibility":"","ast-main-header-display":"","ast-hfb-above-header-display":"","ast-hfb-below-header-display":"","ast-hfb-mobile-header-display":"","site-post-title":"","ast-breadcrumbs-content":"","ast-featured-img":"","footer-sml-layout":"","theme-transparent-header-meta":"default","adv-header-id-meta":"","stick-header-meta":"default","header-above-stick-meta":"","header-main-stick-meta":"","header-below-stick-meta":"","astra-migrate-meta-layouts":"set","ast-page-background-enabled":"default","ast-page-background-meta":{"desktop":{"background-color":"var(--ast-global-color-4)","background-image":"","background-repeat":"repeat","background-position":"center center","background-size":"auto","background-attachment":"scroll","background-type":"","background-media":"","overlay-type":"","overlay-color":"","overlay-gradient":""},"tablet":{"background-color":"","background-image":"","background-repeat":"repeat","background-position":"center center","background-size":"auto","background-attachment":"scroll","background-type":"","background-media":"","overlay-type":"","overlay-color":"","overlay-gradient":""},"mobile":{"background-color":"","background-image":"","background-repeat":"repeat","background-position":"center center","background-size":"auto","background-attachment":"scroll","background-type":"","background-media":"","overlay-type":"","overlay-color":"","overlay-gradient":""}},"ast-content-background-meta":{"desktop":{"background-color":"var(--ast-global-color-5)","background-image":"","background-repeat":"repeat","background-position":"center center","background-size":"auto","background-attachment":"scroll","background-type":"","background-media":"","overlay-type":"","overlay-color":"","overlay-gradient":""},"tablet":{"background-color":"var(--ast-global-color-5)","background-image":"","background-repeat":"repeat","background-position":"center center","background-size":"auto","background-attachment":"scroll","background-type":"","background-media":"","overlay-type":"","overlay-color":"","overlay-gradient":""},"mobile":{"background-color":"var(--ast-global-color-5)","background-image":"","background-repeat":"repeat","background-position":"center center","background-size":"auto","background-attachment":"scroll","background-type":"","background-media":"","overlay-type":"","overlay-color":"","overlay-gradient":""}},"footnotes":""},"categories":[363],"tags":[1129],"acf":[],"uagb_featured_image_src":{"full":false,"thumbnail":false,"medium":false,"medium_large":false,"large":false,"1536x1536":false,"2048x2048":false},"uagb_author_info":{"display_name":"WikiMemoires","author_link":"https:\/\/wikimemoires.net\/author\/wikieradmin\/"},"uagb_comment_info":0,"uagb_excerpt":"I.2. 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