Programmes e-learning européens: plan global « eEurope »

Programmes e-learning européens: plan global « eEurope »

1.2. Programmes e-learning: plan global « eEurope »

1.2.1. Programme pluriannuel e-learning phase1 : 2001-2004

Sur le plan européen1, l’initiative des chefs d’Etats et de gouvernements de Mars 2000 dont l’objectif pour l’Union Européenne est de devenir « l’économie de la connaissance » a été un tournant marquant du développement du e-learning.

Dans le plan global « eEurope », la première phase du plan « eLearning » lancé pour la période 2001-2004 a pour but de pallier un retard important constaté dans l’utilisation des TIC en matière de formation et d’éducation.

L’initiative « eLearning » de la Commission européenne vise à mobiliser les communautés éducatives et culturelles, ainsi que les acteurs économiques et sociaux en Europe, afin d’accélérer l’adaptation des systèmes d’éducation et de formation dans une société basée sur la connaissance.

Ce plan s’oriente autour de 4 axes, dont le premier porte sur l’infrastructure et l’équipement dans le but de mener une observation des usages, de mettre en réseau les laboratoires de recherche dans le domaine du e-learning.

Le deuxième axe porte sur la formation des acteurs aux nouvelles compétences liées aux TIC.

Le troisième quant à lui concerne le développement des contenus et services européens de qualité et enfin le quatrième vise à assurer le renforcement de la coopération européenne et la construction des réseaux.

Cette première phase est le point de départ de la politique européenne en matière de e-learning axée sur l’enseignement et l’éducation.

La deuxième phase tire les leçons des dysfonctionnements constatés dans la première phase et tient compte de manière plus directe des pratiques e-learning sur le lieu du travail.

1.2.2. Programme pluriannuel e-learning phase 2 : 2004-2006

Après une évaluation et une analyse des fonctionnements et dysfonctionnement de la première phase du «plan eLearning», en Janvier 2003, la Communauté européenne a remis une proposition de décision du Parlement européen et du Conseil.

Cette proposition arrête le 5 décembre 2003 un programme pluriannuel (du 1er Janvier 2004-31 Décembre 2006) pour «l’intégration efficace des TIC dans le système d’éducation et de formation en Europe » (programme e-learning) sur le champ de la formation professionnelle et plus particulièrement celui de l’apprentissage sur le lieu de travail2.

Il s’appuie sur les conclusions du rapport qui précise que le « e-learning présente notamment l’avantage de tenir les informations et le contenu des cours à jour, compte tenu de la variation rapide des besoins commerciaux, environnementaux et réglementaires ».

L’accent est notamment porté sur l’orientation des employeurs vers l’auto apprentissage de leurs salariés.

L’échec de plusieurs tentatives e-learning dans le passé est attribué à la méconnaissance et la non prise en compte des besoins des apprenants. L’absence d’interaction et l’isolement de l’apprenant ont accentué les problèmes rencontrés.

La perspective de combiner la formation à distance et la formation en face à face et surtout l’utilisation des outils technologiques pour créer des interactions sont des alternatives à développer (la formation mixte ou blended learning, outils technologiques d’interaction).

Quatre domaines d’interventions dans le « programme e-learning » pluriannuel ont pour but de permettre dans un premier temps la promotion de la culture numérique qui assure la contribution des TIC à l’école et dans le cadre de l’apprentissage tout au long de la vie pour des personnes dont l’accès à la technologie est limité.

Ensuite la création de campus virtuels européens qui permettent l’intégration des dimensions virtuelles dans le supérieur.

La dimension d’apprentissage en ligne est intégrée aux outils opérationnels existants (ECTS) et se fonde sur le cadre des coopérations européennes existantes (programme Erasmus, Processus de Bologne).

Troisièmement, les jumelages électroniques d’établissements scolaires en Europe et la promotion des formations destinées aux enseignants.

Les actions de ce domaine portent sur le développement de partenariats et de coopération pédagogiques transnationaux et multidisciplinaires. Enfin, la réalisation d’actions transversales qui visent à encourager l’apprentissage en ligne.

Des programmes de recherche et d’autres programmes européens liés au e-Learning3 ont été mis en place.

1.3. Programme d’action spécifique dans le domaine de l’éducation et de la formation tout au long de la vie

Depuis le 15 novembre 2006, le programme d’action de l’éducation et de la formation tout au long de la vie constitue le principal programme européen dans le domaine de l’éducation et de la formation.

Il couvre les possibilités de formation à tout âge (préscolaire, scolaire, enseignement supérieur, enseignement professionnel, enseignement pour adultes) durant la période 2007-2013.

Il succède au programme Socrates, Leornardo et eLearning (« apprendre en ligne »). Il est la structure de base sur laquelle ces anciens programmes continuent de se développer.

Les projets Socrates et Leonardo présenté dans les lignes suivantes ont permis de réaliser des actions au niveau européen dans le domaine de l’éducation et de l’enseignement et précisément en ce qui concerne le e-learning.

Compte tenu de son importance avérée dans ce domaine, la qualité a clairement été définie, notamment dans le cadre du projet Leonardo comme un objectif majeur pour les programmes e-learning au sein de la Communauté.

1.3.1. Le projet Socrates

Le programme Socrates est constitué de trois actions autour des projets Comenius, Erasmus et Grundtvig. Le premier projet Comenius est l’action 1 du programme Socrates du 24 Janvier 2000.

Ce projet a pour but de répondre aux besoins en matière d’enseignement et d’apprentissage de tous les participants à l’enseignement préscolaire et scolaire jusqu’à la fin du deuxième cycle de l’enseignement secondaire et des établissements et organisations dispensant cet enseignement.

Le projet Erasmus est l’action 2 du programme Socrates et son objectif est de répondre aux besoins d’enseignement et d’apprentissage dans l’enseignement supérieur. Les stages étudiants en entreprises ainsi que les établissements de l’enseignement supérieur sont également pris en compte.

Le projet Grundtvig est l’action 3 du programme Socrates. Ce projet vise d’une part à améliorer l’éducation des adultes au sens le plus large du terme et à promouvoir l’amélioration des possibilités d’éducation offertes à ceux qui quittent l’école sans qualifications de base.

D’autre part, il encourage l’innovation en matière de parcours éducatifs alternatifs. Ces trois actions du programme Socrates couvrent l’enseignement à tous les niveaux, préscolaire, scolaire, secondaire et supérieur.

1.3.2. Le programme Leonardo Da Vinci

Le 6 décembre 1994, sur décision du conseil des ministres de l’Union Européenne, le programme Leonardo da Vinci a été adopté dans le cadre de la mise en œuvre d’une politique de formation professionnelle de la Communauté Européenne.

Promu par la stratégie de Lisbonne et le processus de Copenhague, il vise à renforcer les aptitudes et les compétences des personnes qui suivent une première formation professionnelle, à améliorer la qualité de la formation professionnelle continue et l’accès à celle-ci.

Son but est d’encourager l’acquisition d’aptitudes et de compétences tout au long de la vie.

A la suite de la première phase couvrant la période du 1er Janvier 1995 au 31 Décembre 1999, une deuxième phase a été mise en œuvre pour la période du 1er Janvier 2000 au 31 Décembre 2006.

Les trois principaux objectifs de cette deuxième phase portent premièrement le renforcement des aptitudes et compétences des individus.

Deuxièmement l’amélioration de la qualité et l’accès à la formation professionnelle continue et de l’acquisition d’aptitude et de compétences tout au long de la vie et enfin la promotion et le renforcement de la contribution de la formation professionnelle au processus d’innovation.

Ces objectifs sont construits autour de deux grands axes projets de mobilité transnationale et de formation transnationale.

Programmes e-learning européens: plan global « eEurope »L’amélioration de la qualité apparaît comme un objectif majeur promu par la Communauté Européenne.

Pour atteindre cet objectif, plusieurs projets ont été réalisés dans le cadre du programme Leonardo Da Vinci.

Parmi ces projets, le projet SEVAQ (self-evaluation and quality in e-learning) s’insère dans l’axe e-learning et son intérêt porte sur la création d’un outil commun d’évaluation des dispositifs de e-learning pour la formation professionnelle continue.

Le SEVAQ est soutenu par la Commission Européenne et s’étend du 1er Octobre 2005 au 30 Septembre 2007. Il rassemble des partenaires de sept pays européens (Norvège, Lithuanie, Grande Bretagne, Espagne, Portugal, France et Belgique).

Il est coordonné par le réseau EFODL et regroupe neuf partenaires: BE-ODL, BLA, CESI, ISQ, NADE, PREAU, VDU, VIDEOSCOP.

Il vise à améliorer de façon continue la qualité des programmes de formation professionnelle utilisant les TIC. L’objectif du projet est de fournir à termes un questionnaire d’évaluation multifonction des dispositifs de formation en ligne.

Ce questionnaire rassemble l’ensemble des préoccupations qualité définies par les acteurs en e-learning. Il offre l’avantage d’être modulable et peut s’ajuster aux différents types de dispositifs de formation en ligne.

La sélection des questions dépend de l’objectif et de la priorité qualité. Il est réalisable en ligne, et est paramétré pour donner des résultats instantanés. A travers un guide pratique fourni, les résultats de ces évaluations peuvent être implémentés dans les nouvelles offres.

Le rapport du SEVAQ rendu le 8 mars 2006 ainsi que la conférence du 25 Septembre 2007 sur ce sujet ont permis d’avoir un aperçu des résultats de l’application du questionnaire au sein de l’Union Européenne ainsi que de découvrir les fonctionnalités et l’usage de l’outil du SEVAQ.

Le processus d’élaboration de l’outil suit un enchaînement qui va des parties prenantes à l’évaluation de l’apprenant. Le schéma ci-après retrace cet enchaînement.

Figure 3 : Processus d’élaboration de l’outil d’auto évaluation de l’apprenant

Adapté de “Working process of the SEVAQ tool” rapport SEVAQ 6 mars 2006

Processus d’élaboration de l’outil d’auto évaluation de l’apprenant

L’outil d’évaluation proposé est personnalisable et peut s’adapter aux souhaits de l’utilisateur.

Il a été conçu sur la base des principes d’évaluation de Kirkpatrick (1959) et selon le modèle qualité EFQM (European Foundation for Quality Management; Genève 1999).

Il peut intéresser les différentes parties prenantes au e-learning (apprenant, formateur, concepteur, chef de projet e-learning, management de e-apprenants, responsable de formation, prestataire de solutions logicielles ou de contenus en ligne, financeurs, agence qualité ou public consommateur au sens large ) qui souhaitent améliorer les prestations.

Selon le SEVAQ, l’évaluation de la qualité s’effectue sur quatre niveaux : le contenu, l’ergonomie d’utilisation et de mise à disposition, les spécifications techniques, l’organisation. Plusieurs sous-critères composent ces différentes dimensions liées au e-learning.

Une enquête a été effectuée auprès de différentes organisations pour recueillir et évaluer à travers la grille de critères retenus les questionnaires utilisés par ces organisations.

9170 mails ont été envoyés avec un taux de réponse de 1,97% correspondant à 78 organisations et 152 questionnaires reçus.

Les résultats de cette évaluation de questionnaires sont synthétisés dans le tableau suivant :

Tableau 2 : Résultats de l’évaluation des questionnaires qualité utilisés par les organisations en e-learning

Critères qualitéThèmes abordésCommentaires
Le contenuAdéquation des résultats aux objectifsLe premier et le dernier thème ont obtenu les meilleurs scores sur ce critère de qualité. Le rythme de cours est un thème moins souvent évalué.
Niveau d’apprentissage
Connaissances antérieures de l’apprenant
Niveau de difficulté des cours e-learning
Rythme de cours e-learning
Disponibilité et qualité des sessions, tests etexercices
L’ergonomie d’utilisation et de mise à dispositionNavigationIl n’y a pas eu de question concernant le tutorat en Belgique, pourtant la France et la Norvège ont des questions sur cet aspect du e-learning. Cela pourrait s’expliquer par la définition du tutorat qui n’est pas identique dans ces différents pays
Communication intégrée
Tutorat
Capacité de l’environnement, des e-cours à êtremotivant, stimulant ou encourageant
Feedback des anciens apprenants sur leurprogrès et scores
Les spécifications techniquesInstallation de l’environnement e-learningUne attention faible est accordée aux aspects techniques du système de management de l’apprentissage et des e-cours les questions liées aux aspects techniques restent encore très générales
Démarrage de sessions, performance etchargement de pages
Indépendance du navigateur dansl’environnement d’apprentissage
Disponibilité et stabilité du système
Installations d’assistance et d’aide
L’organisatio nAccueil en début de coursL’intérêt aux questions d’organisation est mineur. D’autres questions liées au lieu d’accès à Internet et la possibilité d’utiliser une connexion Internet ont été soulignées
Enregistrement aux cours, calendrierprogramme de formation, paiement, et autres informations offertes par l’organisation de l’apprentissage

Cet outil a l’avantage de recenser pour chaque partie prenante les préoccupations en matière de qualité. Il est modulable et peut répondre aux objectifs différents de plusieurs dispositifs de e-learning.

Les préoccupations en matière de qualité sont très vastes et si l’outil SEVAQ permet à l’apprenant d’effectuer une évaluation en fonction des champs d’intérêt de la partie prenante choisie, il ne propose pas de manière claire les principaux déterminants de la qualité en e-learning de manière globale.

La définition de la qualité à travers cet outil dépend de l’objectif poursuivi par chaque organisme de formation. Il n’y a donc pas une base unique de comparaison de la qualité des différents dispositifs. Pour l’apprenant il n’est pas possible d’avoir une visibilité claire de l’évaluation de la qualité des différents dispositifs.

Les différents programmes et projets européens ont été initiés pour impulser le e-learning dans le domaine de l’éducation et de l’enseignement.

Cette mobilisation dans les débuts du plan d’action européen ne tient pas directement compte des pratiques e-learning dans les entreprises.

En conséquence, néglige une part considérable du e-learning dont sont responsables les entreprises ainsi que le rôle joué par ces dernières dans la construction de la « société de connaissance ».

La deuxième phase du plan d’action européen pallie ce handicap et intègre de manière plus précise les actions e-learning sur le lieu du travail.

A ce stade, suite aux problèmes engendrés par l’absence d’interaction et l’isolement de l’apprenant la primauté tant à être accordée à la combinaison de la formation à distance et de la formation en face à face.

L’avenir du e-learning est alors vu à travers le blended learning qui est une formule de formation mixte alliant les cours à distance aux rencontres en présentiel ou face à face.

Un tableau récapitulatif des faits ayant marqués l’adoption du programme d’apprentissage tout au long de la vie au sein de l’Europe est dressé ci-après.

Il permet d’avoir une vue d’ensemble sur les principaux programmes et projets soutenus et financés par l’Union Européenne et qui ont contribué à élaborer au fil des ans le programme d’apprentissage tout au long de la vie dans lequel s’inscrit les travaux e-learning.

Tableau 3 : Récapitulatif des faits marquant l’adoption du programme d’apprentissage tout au long de la vie

DateDécision ou déclarationDénomination du programmeDuréePrésentationObjectifs Généraux
6 Décembre1994La décision no 94/819/CEdu Conseil de l’UnionEuropéennePhase 1 Programme«Leonardo da Vinci»1 Janvier 1995 –31 Décembre1999Programme d’action pour la miseen œuvre d’une politique de formation professionnelle de la Communauté européenneAppuyer et à compléter les initiativesdes États membres dans le domaine de la formation professionnelle : 19 objectifs
26 Avril1999La décision no1999/382/CE du Conseil de l’Union EuropéennePhase 2 Programme«Leonardo da Vinci»1 Janvier 2000 –31 Décembre2006Programme d’actioncommunautaire en matière de formation professionnelleRehausser la qualité, l’innovation et ladimension européenne des systèmes et des pratiques de formation professionnelle, au moyen d’une coopération transnationale : 3 objectifs
19 Juin 1999Déclaration commune desministres européens de l’éducation 29 pays signatairesLa déclaration deBologneJusqu’en 2010Processus intergouvernementalvisant à créer d’ici à 2010 un«espace européen de l’enseignement supérieur», ce qui nécessite un soutien à l’échelon communautaire.Introduire un système de gradesacadémiques facilement « lisibles » et comparables, à promouvoir la mobilité des étudiants, enseignants et chercheurs, à assurer la qualité de l’enseignement et à prendre en compte la dimension européenne de l’enseignement supérieur.
24 Janvier2000La décision no253/2000/CE du Parlement Européen et du Conseil de l’Union EuropéennePhase 2 Programme« Socrates » (Suite phase 1 : 1995-1999, décision du 14 mars1995)1 Janvier 2000 –31 Décembre2006Programme d’actioncommunautaire en matière d’éducationContribuer au développement d’uneéducation dequalité et d’encourager la formation tout au long de la vie : 4 Objectifs
Programme« Grundtvig »Action 3 du programme SOCRATES du 24Janvier 2000Vise les besoins en matière d’enseignement et d’apprentissage des participants à toutesles formes d’éducation des adultes, ainsi que les établissementsvise à améliorer la qualité et à renforcer la dimension européenne de l’éducation des adultes grâce à diverses activités de coopération au niveau européen afin d’offrir aux citoyens européens davantage de
et organisations dispensant oufacilitant cette éducation.possibilités de mieux se former tout aulong de leur vie
Programme« Comenius » Action1 du programmeSocrates du 24 Janvier

2000

qui vise les besoins en matièred’enseignement et d’apprentissage de tous les participants à l’enseignement préscolaire et scolaire jusqu’à la fin dudeuxième cycle de l’enseignement secondaire, ainsi que les établissements et organisations dispensant cet enseignement;– améliorer la qualité de l’éducationet la formation des enseignants- développer les compétences de base et l’enseignement des langues- promouvoir l’usage des TIC

– améliorer l’enseignement des mathématiques et des sciences

– développer une citoyenneté active

28 mars2001COM(2001) 172, de lacommissionPremière phase pland’action e-learning dans le « plan global eEurope »2001-2004Mobiliser les communautéséducatives et culturelles, ainsi que les acteurs économiques et sociaux en Europe, afin d’accélérer l’adaptation des systèmes d’éducation et de formation dans une société basée sur la connaissance– Infrastructure et équipement :observation des usages, mise en réseau des laboratoires de recherche dans le domaine du e-learning…- formation des acteurs aux nouvelles compétences liées aux TIC- développement de contenus et services européens de qualité

– renforcement de la coopération européenne et la construction des réseaux.

23 et 24Mars 2000Cadre d’action fixé par 15membres de l’Union Européenne lors du Conseil Européen de Lisbonne en réunion extraordinaireCadre d’action de la« Stratégie deLisbonne »Jusqu’en 2010Devenir l’économie de laconnaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde, capable d’une croissance économique durable accompagnée d’une amélioration quantitative et qualitative de l’emploi et d’une plus grande cohésion sociale– Préparer la transition vers unesociété et une économie fondées sur la connaissance- Moderniser le modèle social européen- Entretenir les conditions d’une

évolution saine de l’économie et les perspectives de croissance favorables

5 Décembre2003La décision no2318/2003/CE duProgramme appelé«apprendre en ligne»1er Janvier 2004– 31 DécembreProgramme e-learningpluriannuel pour l’intégrationFavoriser et de développer l’utilisationjudicieuse des TIC dans les systèmes
Parlement Européen et duConseil de L’UnionEuropéenneDeuxième phase« plan eLearning »2006efficace des technologies del’information et de la communication (TIC) dans les systèmes d’éducation et de formation en Europed’éducation et de formation en Europepour améliorer leur qualité, leur accessibilité et leur adaptation aux besoin de la société de connaissance dans un contexte d’apprentissage tout au long de la vie: 4 objectifs
5 Décembre2003La décision no2317/2003/CE du Parlement Européen et du Conseil de L’Union EuropéenneProgramme« Erasmus Mundus » Action 2 Erasmus du programme Socrates du 24 Janvier 20001er Janvier 200431 décembre2008Programme pour améliorer laqualité de l’enseignement supérieur et promotion de la compréhension interculturelle au travers de la coopération avec les pays tiers– Favoriser une offre de qualité enmatière d’enseignement supérieure- Encourager et aider les diplômés et universitaires hautement qualifiés à acquérir une expérience au sein de l’union européenne- Coopération plus structurée et une plus grande mobilité dans le cadre de programmes d’études européens

– Rendre plus accessible l’enseignement supérieur et en améliorer l’image de marque

15Décembre2004La décision no2241/2004/CE du Parlement Européen et du Conseil de L’Union EuropéenneProgramme« Europass »A partir du 1erJanvier 2005cadre communautaire unique pourla transparence des qualifications et des compétencesCréation d’un portefeuille personnel etcoordonné de documents que les citoyens peuvent utiliser, à titre facultatif, pour mieux faire connaître et présenter leurs qualifications et compétences dans toute l’Europe.
15Novembre2006Décision no1720/2006/CE du Parlement Européen et du conseil de l’Union EuropéenProgramme d’actiondans le domaine de l’éducation et de la formation tout au longde la vie1er janvier 2007au 31 décembre2013.Favoriser les échanges, lacoopération et la mobilité entre les systèmes d’éducation et de formation au sein de la Communauté, afin qu’ils deviennent une référence de qualité mondiale.11 objectifs déclinés à travers dessous- programmes constitués de 4 programmes sectoriels (Comenius, Erasmus, Leonardo da Vinci, Grundtvig, un programme transversal et le programme Jean Monnet

 

Pour citer ce mémoire (mémoire de master, thèse, PFE,...) :
📌 La première page du mémoire (avec le fichier pdf) - Thème 📜:
La mesure de la qualité perçue d’un dispositif de e-learning
Université 🏫: Université NANCY 2 – Institut D’administration Des Entreprises
Année de soutenance 📅: Thèse pour l’obtention du Doctorat Nouveau Régime ès Sciences de Gestion - 17 Septembre 2009
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