Les effets de la crise financière sur les banques et la bourse Etats-Unis

Les effets de la crise financière sur les banques et la bourse Etats-Unis
Section II

L’impact de la crise financière sur l’économie international

La crise financière actuelle international touche la majorité des pays du monde, voir touts les pays, elle s’exacerbe.

Les plans de sauvetages déployés par les grandes puissances occidentales s’avérant peu efficaces Ni le plan de Paulson de soutien au système bancaire américain, ni le plan de relance de Barack Obama destiné à aider les banques à se refinancer, ne devient capable d’arrêter la marche vers l’effondrement de l’économie internationale. Après l’élargissement et l’étendu de la crise sur le monde. Quelles sont leurs graves conséquences sur l’économie d’Amérique, d’Europe et de certains pays émergents ? Et qu’ils sont les principaux secteurs les plus touchables ?

I): L’impact de la crise financière sur l’économie d’Etats-Unis

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I-1) : Les effets de la crise financière actuelle au niveau bancaire et boursière :

Ces dernières années les crédits aux ménages américains ont été multipliés profitant de taux d’intérêts plutôt bas. Une partie de ses crédits immobiliers one été accords à des ménages peu solvables et suite à la hausse des taux d’intérêts, des milliers de familles ne peuvent plus faire face à leur échéances (les près étaient presque toujours à taux variable). Ceci a provoqué des pertes considérables et même la faillite de plusieurs sociétés de financement(Lehman Brothers).

Ainsi, la premiers banque américaine de crédit immobilier (30% de son activité) a affiché son pire résultat depuis plus de dix ans, son bénéfice a diminué de 17%.

Aux Etats-Unis, plus de 84 société de crédits hypothécaires ont fait faillite ou cessé leur activité entre janvier et le 17 aout 2007, contre seulement 17 sur toute l’année 2006. La Carlyse Capital Corporation (CCC), très proche de la famille Bush, s’est effondré et ses dettes représentent 32 fois ses fonds propres.

Les banques et les institutions de crédits immobiliers américains avaient depuis quelque temps déjà multiplié leurs octrois de prêts hypothécaires à des emprunteurs présentant un fort risque de défaillance (les prêts dits « subprimes »). Mi 2007, on c’est rendu compte que pratique en plein essor rencontrait ses premiers difficultés comme on témoignait le recul Des prix de l’immobilier et la hausse des saisies immobilières, en augmentation de 93% par rapport à l’année précédente.

[1] www. yahoofinance. fr

La gravite de la contagion de cette « dette toxique » dans la sphère financière allait apparaitre au grand jour a mesure que la crise prenait de l’ampleur, aux deuxièmes semestres 2007 et 2008. Grandes banques, institutions de crédit immobilier de crédit immobilier et compagnies d’assurances se sont alors retrouvées en difficultés.

Les institutions financières,n’ayant plus foi dans le système,ont cessé de se faire confiance et les banques ont pratiquement cessé de prêter – ce qu’ on appelle un resserrement de crédit –phénomène dont les effets sur la consommation et l’investissement n’allaient pas faire attendre. A mesure que la crise s’emballait, en septembre et octobre 2008,la bourse de Well Steeret s’est s’effondre, le marche financier américain a été touche à leur tour,et l’ensemble du système financier étant menace d’implosion.

Berkhine « 1 ». La solidité de l’empire de Warren Buffett commence à se fissurer après Fitch,c’est au tour de l’agence de notation Moody’s de priver la société d’investissement de ce note « AAA »Moody’s a ainsi réduit la note de a dette de deux crans,de AAA àAa2,en raison de la baisse des marches financiers et de l’impact de la récession sur la capacité d’autofinancement. Moody’s a aussi abaissé la note de solidité financière des filiales d’assurance de Berkshire, dont Geico Corp, General RE et National Indemnity. pour l’Onecdote, il faut savoir que Berkshire Hothway détient 20% du capital de la maison mère de Moody’s. En mars,l’agence de notation d’un seul cran,AA+, standard et poor’s avait fait savoir le 25 mars dernier qu’il maintenait le “triple A“, mais a place la note sous surveillance négative, ce qui signifie qu’elle peut être dégradé a tout moment.

les banques Etats-UnisMorgan Stanley, selon well street journal, la banque d’affaire américaine Morgan Stanley, considérée comme l’une des plus solides du secteur, pourrait pouvoir cependant afficher une perte trimestrielle du fait d’un impacte adverse de 1,2 à 1,7 milliards de dollars consécutif au rebond des prix des obligations émises par la firme avant la crise financière.

En effet, Morgan valoriserait cette dettes au prix auquel elle serait rachetée sur le marché, ce qui s’était traduit par des gains l’an dernier suite a la chute des prix. La perte sur les obligations pourrait donc plonger les comptes dans le rouge pour le second trimestre consécutif.

Les mécanismes de transactions de la crie immobilier a la crise financière sont désormais bien connus; les quasi-faillites des établissements spécialisé répandent brutalement les Spreads des crédits, mais surtout, la panique se répand dans la sphère bancaire et sur les marché financiers via l impact de la titrisation, les assureurs mondiale, les intermédiaires spécialisé et les spéculateurs.

En rappellera que la titrisation de Mortagage US (prêts hypothécaires) est passée de 200 milliards de dollars d’émission annuelle en 2000 a 1400 milliards de dollars en 2008. Les banques en crée des titres hybrides ( CDO; Collaterazed Debt obligations, RMBS; Résidentiel Mortgage Back Sécurité, etc. …) comprenant plusieurs tranche de créances plus au moins risqués ( dont beaucoup de subprmes); rencontrant des difficultés à placer ces titres sur les marchés financiers encombrés, les mêmes banque ont crée des véhicules hors bilan ( SUV, ABCP, Conduit ) pour faire de levier en refinançant ces titres par des émissions sur le marché monétaire, beaucoup de professionnels comme les Hedge-Fund ont également fait du levier pour récupérer la différance de rendement entre les titres de Mortgage et le Taux monétaire, une parti du risque étant théoriquement couverte par les assureurs monolingues.

L’ampleur de la crise financier peut être constaté dans l’évolution des cours des tranche les plus risqué de subprime RMBS : de 100 % de nominale a l’automne 2006, a 15 /25 % au début 2008, soit une perte théorique de 75/85 % !!

On estime actuellement qu’une banque américaine procédant a une vente forcée d’un bien immobilier récupéré sur un emprunteur défaillant récupéré 35 à 50%de sa créance. A ces pertes de l’immobilier résidentiel, il faut ajouter celles sur l’immobilier commercial, les prêts à la consommation (conséquences du surendettement), et celles de la finance spéculative (capitaux-risqueurs, financement de LOB et autres rachats d’entreprise).

Au total, on estime aujourd’hui le montant des pertes consécutives à la crise financière entre 600milliards de dollars et 1200 milliard de dollars; ces pertes se situeraient pour plus de la moitie dans le système bancaire, et pour le reste seraient disséminées dans l’ensemble du système financier (assureurs, Hedge funds, fonds de pensions, etc. …)

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